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Nous avons réuni 18 tests du Assassin's Creed III. Les experts notent Assassin's Creed III 8.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Assassin's Creed III et d'autres Jeux Playstation 3.
Le nouveau monde, fin des années 1700, à l'aube de la guerre d'indépendance américaine, c'est le créneau spatio-temporel qu'a choisi Ubisoft pour ce nouvel épisode d'Assassin's Creed. Ce cinquième opus nous propulse dans la peau de Connor, un autre ancêtre de Desmond Miles réveillé frais et pimpant de son petit coma de l'épisode précédent. Connor, donc, est un anglo-amerindien qui décide de combattre l'injustice, de défendre la veuve et l'orphelin et de rejoindre les assassins suite à la destruction de son village par les Templiers. Cette ficelle scénaristique un peu grosse aurait pu être le signe d'un scénario bâclé et bardé de lieux communs; ce n'est heureusement pas (trop) le cas. Mieux : cet héroïsme rageur, principal trait de caractère de Connor, est souvent utilisé par les autres personnages qui manipulent parfois le jeune homme pour servir leurs intérêts. Les personnages sont d'ailleurs loin d'être monolithiques et gagnent en crédibilité, d'autant que la qualité générale de la narration s'est sensiblement améliorée. Ubisoft est même arrivé à conserver quelques menues surprises dans le scénario, notamment sur le prologue de l'aventure, et a évité l'erreur indépendantistes gentils / loyalistes méchants.
Les années se suivent et sont riches en grands titres pour l'industrie vidéo ludique. La génération dite HD arrive au bout de son cycle, bien plus long que les précédentes et avec une qualité qui ne cesse de pousser l'exigence des joueurs toujours plus haut. Assassin's Creed est à rapprocher d'autres trilogies et sagas ambitieuses au destin prestigieux : Mass Effect, Gears of War, God of War, Metal Gear Solid, Dead Space, Bioshock ou Uncharted, pour n'en citer que quelques unes. Avec Assassin's Creed III, Ubisoft nous propose une aventure vidéoludique majeure grâce à un scénario fantastique, une mise en scène éblouissante, une réalisation de haut vol et une expérience exceptionnelle. Ce qui va être difficile, c'est de vous parler du jeu sans vous pourrir le plaisir de la découverte. Souvenez-vous de vos premiers pas, des toutes premières minutes du tout premier Assassin's Creed. En découvrant ces images et vidéos du jeu, ces croisées, ces templiers et ces villes, nous étions loin de nous imaginer le revirement scénaristique que nous fait vivre aujourd'hui Assassin's Creed III. Une saga bien installée Dès le premier Assassin's Creed, Ubisoft a affiché une grande ambition.
Après un épisode en demi-teinte, qui n'avait de "Revelations" que le nom, Ubisoft s'est retroussé les manches et nous livre un troisième opus de sa série phare, après 3 ans de travail acharné, de marketing coup-de-poing et de vidéos alléchantes. Desmond, notre Assassin préféré, livre -enfin- la fin de son combat contre les Templiers, à l'aube de la fin du monde. L'aube de ce funeste destin sonne-t'il le glas de la licence, ou au contraire, Ubisoft a-t-il réussi à transformer l'aigle, symbole des Assassins, en phénix chatoyant ? Même si certains de nos confrères peu scrupuleux ont vendu la mèche aux flibustiers écumant l'océan Atlantique, nous tenterons -contre vents et marées- de vous proposer un test garanti 100% pur sans spoil, ou alors, par de très légères traces. Après 3 séquences posant les fondations du scénario, vous ne jouerez véritablement Connor qu'au début de la séquence 6 ! Les précédentes proposant des tutoriels divers et variés, vous aurez amplement le temps de prendre les différents protagonistes en main, et croyez-nous, au vu de la profondeur du gameplay et des changements drastiques d'orientation, ces séquences ne seront pas de trop, surtout pour les vétérans de la série !
Tout juste cinq ans d'existence et déjà un troisième opus numéroté qui cache en réalité pas moins de cinq titres sur PS3, un sur PSP et un à venir dès demain sur Vita. Une performance dont peu de séries peuvent se vanter, et qui ne semble pas encore lasser le public si l'on en croit les chiffres de précommande fournis jusqu'ici par Ubisoft. Les développeurs sont-ils une fois de plus parvenus à offrir une expérience accrocheuse et dépaysante ? Réponse dans notre test complet.Le moins que l'on puisse dire, c'est que les scénaristes de la série sont décidément très forts pour compliquer le travail des testeurs de jeu vidéo. Souvenez-vous du tout premier Assassin's Creed dont les différents trailers occultaient complètement le versant moderne du jeu et le personnage de Desmond Miles, pour se focaliser uniquement sur les passages se déroulant au 12ème siècle dans la peau d'Altaïr. Et bien le troisième opus qui nous intéresse aujourd'hui donne dans le même registre, avec des premières heures de jeu surprenantes se concluant par une révélation qui en laissera plus d'un bouche bée.
Les jeux vidéo et l'histoire, c'est une romance qui se résume le plus souvent à la Seconde Guerre mondiale. Du moins pour les blockbusters occidentaux. Au rayon des événements les moins utilisés, la Guerre d'Indépendance Américaine figurait jusqu'à présent en bonne place entre la Guerre des Malouines et la Révolution Française. Mais c'était sans compter sur Ubisoft, bien décidé à changer d'époque pour son Assassin's Creed III. Après trois épisodes dans la peau d'Ezio, il est enfin temps de changer d'air. Et pas qu'un peu. Assassin's Creed III évolue en effet à bien des niveaux, embarquant le joueur pour un périple de plusieurs années dans les Colonies britanniques du nouveau monde au XVIIIème siècle. Et puisque spoiler la moindre bribe du scénario serait un crime de lèse majesté, on se contentera de mentionner la qualité de ce dernier, avec son lot de rebondissements inattendus, ses protagonistes sans fausse note et son traitement très intelligent de la Guerre d'Indépendance Américaine. Plus que jamais omniprésents, les personnages illustrés se marient avec merveille à la thématique du complot des Templiers, le tout bénéficiant d'un cadre idéal pour se développer au fil des heures. Le mieux dans tout ça, c'est que le scénario prend la forme d'un cours d'histoire sans même que l'on s'en rende compte.
Après 3 ans de développement et deux épisodes que l'on pourrait qualifier de mises en bouche, ça y est, Assassin's Creed III est enfin là ! Celui-ci aura toutefois fort à faire pour combler les attentes colossales des fans et se montrer digne d'une série tout simplement époustouflante. Il lui faudra aussi imposer un nouveau héros et offrir un final en apothéose aux aventures de Desmond. Bref, la tâche s'annonce ardue. Avant toute chose, méfiez-vous, ce test peut spoiler très légèrement. Ceci étant, comme on le sait déjà, l'aventure contée dans Assassin's Creed III prend pour base les théories mayas sur la fin du monde et la date fatidique du 21 décembre 2012. On oublie toutefois un peu le satellite que devaient lancer les templiers dans le premier opus, puisque ce sont ici des éruptions solaires et volcaniques qui sont craintes. Il incombe par conséquent à Desmond de sauver l'humanité, tâche qui le mène dans un premier temps vers un temple secret créé par la première civilisation. La pomme d'Eden ne s'avère malheureusement pas suffisante pour pénétrer au cœur de ce lieu et il convient dès lors de s'atteler à la recherche de nouveaux artefacts. Mais lesquels ?
Avec Assassin's Creed III, la guilde fictive des Assassins d'Ubisoft redistribue les cartes une nouvelle fois et change de continent et de contexte historique. Elle plonge ses joueurs au coeur d'un nouveau récit qui a pour toile de fond une période forte de l'histoire de l'humanité : la Guerre d'Indépendance des Etats-Unis d'Amérique. Alors que les 13 colonies se révoltent contre les troupes anglaises, un jeune homme d'obscure extraction va embrasser la cause des Assassins et modifier durablement le destin de l'humanité. Une autre Histoire pour l'humanité, des enjeux secrets révélés, Assassin's Creed n'avait jamais collé d'aussi près les événements réels pour offrir aux joueurs un point de vue complètement fantaisiste, fantastique, mais rigoureusement crédible. “Rien n'est vrai, tout est permis”. Et si vous aviez quelque chose de prévu après le 21 décembre, vous feriez bien de terminer d'abord Assassin's Creed III... On ne débute pas Assassin's Creed III en compagnie de son héros. Nous ne révélerons pas quel personnage à priori sans rapport tient les rennes des trois premiers chapitres, mais préparez-vous à être surpris.
Est-il vraiment utile de vous présenter encore la franchise des assassins d'Ubisoft ? Bien évidemment non. Mais une petite mise au point s'impose pour Assassin's Creed III. Cinquième jeu de la série, il nous propulse dans l'Amérique du XVIIIème siècle en pleine mutation et qui penche de plus en plus vers l'indépendance et la liberté. Un contexte sanglant idéal pour créer un jeu de haute volée à l'ambiance unique et aux nombreuses qualités. Tout commence dans le milieu du XVIIIème siècle alors que Connor n'est qu'un enfant. Il vit paisiblement dans sa communauté amérindienne sans réellement se soucier des affaires des colons fraîchement arrivés sur leurs terres et de l'armée anglaise qui les accompagne. Les deux peuples parviennent à vivre en bons voisins mais un drame va frapper Connor et les siens. Son village est incendié alors qu'il était absent et il ne peut qu'observer sa mère périr par les flammes. Une haine farouche s'empare alors de lui et il va finir par rencontrer Achilles Davenport, un ancien assassin qui a raccroché ses lames et qui va le former à devenir un tueur hors pair et lui permettre d'assouvir sa vengeance. Vu comme ça, le scénario de cet opus peut paraître simpliste. La suite nous donne tort.
Après un épisode Révélations de très bonne facture, mais qui tournait un peu en rond, il était plus que temps pour Ubisoft de repenser un peu sa série fétiche en lui offrant une bouffée d'air frais. Exit Ezio, bienvenue Connor : véritable bond en avant chronologique, Assassin's Creed III se déroule au dix-huitième siècle, durant la colonisation du continent américain et la guerre d'indépendance des États-Unis. Mais outre la campagne Solo, le titre se fend également d'un mode multijoueur bien plus développé que ses prédécesseurs. Scénarisée et compétitive, la partie multi est un véritable bond en avant dans la saga et promet également un sacré challenge pour qui voudra se jeter dedans. Planifiez quelques longues soirées d'hiver devant votre écran, car le dernier bébé d'Ubisoft Montréal va vous offrir une sacré dose de contenu, qui pourrait presque parfois friser l'indigestion. Cependant pas de panique, on peut composer son menu idéal, un peu comme un buffet illimité. Un indien dans la ville Difficile d'aborder le scénario du jeu sans vous gâcher la surprise. Car si l'histoire du jeune Connor est au centre du titre, il ne sera cependant pas jouable dès le début.
Enfin ! Enfin un nouvel assassin, une nouvelle période, un nouveau moteur ! Enfin, la suite de l'incroyable histoire de Desmond et de ses ancêtres, de la lutte ancestrale entre Assassins et Templiers ! La hype est à son comble, les fans vibrent à l'unisson, et moi je viens de boucler à peu près tout cet assassin à quelques plumes et autres collectibles près. Verdict : j'ai kiffé... mais pas tout de suite et même un peu dans la douleur.Comme j'ai pesté, au début ! Comme j'ai eu du mal à retrouver mes repères, à me sentir, manette en mains, en contrôle ! Et pour cause. Beaucoup de petites choses ont changé dans cet Assassin's Creed III, et si on ne manquera pas de saluer les prises de risques diverses d'Ubisoft Montreal, pour tenter de pousser plus loin encore leur merveilleuse saga, quand on a ses habitudes, c'est parfois difficile d'en adopter de nouvelles. Mais il arrive aussi, comme avec chaque changement, qu'on grince parfois des dents pour de bonnes raisons. J'ai bien conscience que je ne joue finalement que depuis vingt ans, et que je suis un peu con, mais tout de même, il y a des choses que je ne m'explique pas dans cet Assassin's Creed.
C'était il y a cinq ans déjà : Altaïr faisait ses premières cabrioles sur les toits de Jérusalem et signait l'arrivée fracassante d'une saga qui allait marquer cette génération de consoles. Deux ans plus tard, en 2009, débarquaient l'impétueux Ezio et son éblouissante Italie de la Renaissance pour une trilogie conclue par Revelations sorti l'année dernière, presque à bout de souffle. L'heure du changement avait sonné. Un changement qui était d'ores et déjà en route, en secret, chez Ubisoft Montréal. Tandis que d'autres studios Ubisoft développaient Brotherhood et sa suite, Assassin's Creed III prenait peu à peu forme sous la houlette des principaux responsables des deux premiers volets. S'il ne sort qu'un an après le dernier épisode en date, ce troisième opus a donc bénéficié de trois années de développement qui promettent un véritable bond en avant et une avalanche de nouveautés. Après la Renaissance, Assassin's Creed est-il prêt à faire sa révolution ? Connor, c'était les colons On connaissait Altaïr, Ezio et bien entendu Desmond, le petit dernier. La famille Assassin's Creed compte désormais un nouveau membre, un nouvel aïeul assassin, héros de ce troisième épisode, Connor.
La Gamescom fut l'occasion pour Ubisoft de présenter une démo jouable des phases de batailles navales de son hit de l'hiver, Assassin's Creed 3. Réalisées par la branche Ubi Singapour, ces séquences annexes prendront le relai des phases de tower defense plutôt ratées de l'épisode Revelations, dans l'objectif de gonfler la durée de vie globale du titre - annoncée aux alentours des 30 heures minimum. Au nombre de quatre dans la mission principale, les batailles navales devraient être nettement plus nombreuses du côté des quêtes secondaires, suivant un fil rouge parallèle à l'histoire principale. Lors de ces séquences, le joueur sous les traits d'un Connor reconverti en capitaine tient la barre d'un navire qu'il contrôle directement. En terme de spectacle marin, la scène est visuellement convaincante : la houle qui rudoie le bateau créé un joli tableau de tempête, la "liquidité" de ce relief de creux et de vague est parfaitement retranscrite, de même que l'écume. S'y ajoute un travail sonore de vent, de fracas de vague et de canons qui épingle à merveille l'atmosphère de "combat maritime" de la séquence, découpée elle-même en deux temps. Lors de la première phase, il faut d'abord réduire les rangs de la flotte britannique en une série d'affrontements contre des petits voiliers.
A l'annonce du développement par le studio basé à Annecy d'une composante multijoueur pour Assassin's Creed : Brotherhood, nombreux étaient les joueurs à regarder Ubisoft d'un œil curieux. Pourtant, la société française a prouvé par la suite que son choix était pour le moins judicieux. Cette partie multi s'est avérée être originale, parfaitement intégrée dans la série et particulièrement plaisante à jouer. Du coup, l'expérience a été renouvelée sur Revelations. Évidemment, le succès étant au rendez-vous, Assassin's Creed III aura aussi droit à de multiples modes permettant de s'éclater à plusieurs en ligne. Voici un aperçu de ce qui vous attend ! Au fil des épisodes, Assassin's Creed a su fédérer une véritable communauté autour de sa composante multijoueur. Tant et si bien qu'on attend maintenant chaque épisode, autant pour vivre une belle aventure en solitaire que pour se livrer à des parties de cache-cache online endiablées et ensanglantées. Avec l'arrivée du troisième volet (le cinquième en réalité), Ubisoft se devait de franchir un palier. C'est ce que le studio situé à Annecy s'est attaché à faire.
Gamekult
Ajouté le : 06/2012
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La découverte de Watch Dogs a fait tourner tellement de têtes chez Ubisoft que l'on en oublierait presque l'autre grosse star de cet E3 chez l'éditeur français : Assassin's Creed III. Après avoir batifolé dans la neige et sur l'eau pendant les conférences, Connor nous invitait cette fois-ci à faire un petit tour à Boston. Un indien dans la ville Bienvenue dans les rues de Boston en 1773 pour une petite séance de détente assaisonnée d'assassinat(s). Pas de mission à se mettre sous la dent ou de gros objectif à remplir d'urgence, l'intérêt était ici de nous montrer comment le joueur d'Assassin's Creed III pourra s'occuper à droite à gauche entre deux affectations grâce aux objectifs secondaires offerts par cette ville (on rappelle que New-York sera aussi disponible même si c'est une destination moins intéressante en cette période de play-offs). Les différentes cités traversées au fil des épisodes d'Assassin's Creed ont toujours eu une importance capitale et Ubisoft comptait bien nous prouver que ce sera toujours le cas dans Assassin's Creed III. Comme souvent, le premier constat était purement graphique : cette nouvelle histoire d'assassin à capuche s'annonce déjà comme une belle prouesse visuelle, surtout si l'on considère qu'il s'agissait d'un des rares jeux multiplates-formes du salon à oser s'afficher sur console (en l'occurrence, une PlayStation 3) plutôt que sur PC. Peuplée d'un petit millier d'habitants et battue par une pluie sans doute glaciale, Boston nous a fait de l'oeil avec un succès immédiat.
Et je dois bien admettre qu'en apprenant que Assassin's Creed III se passerait durant cette période historique, ça m'a un peu perturbé. Non, en fait, ce n'est pas la période historique qui est surprenante, c'est le lieu. La valeur ajoutée des précédents volets, en plus de vivre une histoire extraordinaire, de mettre la main, petit à petit sur Florence en s'emparant des tours Borgia, c'est de faire le touriste. Dans quel autre jeu peut-on escalader le Vatican ? Ou tout simplement faire du tourisme dans un environnement réel avec des bâtiments parfaitement reproduits. En jouant à Assassin's Creed, on a parfois l'impression qu'Ubi a réussi le vœu pieux de certains éditeurs de produits éducatifs qui ont cherché à reproduire des lieux célèbres. On peut penser à Encarta par exemple, pour n'en citer qu'un. Malheureusement, ces représentations 3D dans les encyclopédies numériques étaient loin d'être convaincantes. Alors quand on apprend qu'Assassin's Creed III se découpera en trois zones distinctes que sont New York, Boston et une énorme surface forestière, on se demande si le touriste qui est en nous va y trouver son compte. Pas de bâtiments millénaires qui transpirent l'Histoire par chacune de leur pierre.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 03/2012
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Après avoir visité les environs de Masyaf avec Altaïr et fait le tour de l'Italie avec Ezio, les joueurs s'interrogeaient sur la destination ainsi que sur l'identité du nouvel ancêtre de Desmond. Aujourd'hui, ce n'est un mystère pour personne : l'aventure se déroulera sur les territoires encore sauvages de l'Amérique du Nord au XVIIIe siècle. Depuis cette annonce, les informations fusent à propos de l'univers, du scénario, du gameplay, etc. Simples spéculations ou réalités affirmées ? Penchons-nous en détail sur les secrets de polichinelle de cet épisode, qui apporte une bouffée d'air frais à la série. Né de parents anglais et indien Mohawk, Ratohnhaké:ton alias Connor mène une existence paisible dans son village jusqu'au jour où celui-ci est ravagé par les forces britanniques. Brûlant d'un désir de justice, Connor apprend de la bouche des survivants qu'un groupe de sa tribu œuvre en secret dans ce noble but. Un nouvel assassin est né. Bande-annonce #1 - Direction l'Amérique Cette notion est d'ailleurs au cœur du jeu. Alors qu'Altaïr est un assassin professionnel et Ezio un charmeur en quête de vengeance, Connor, lui, est un justicier. Lorsque nous savons que les templiers se trouvent dans les deux camps (loyaliste et patriote) mais aussi que Connor n'a aucune allégeance, nous sommes en droit de nous demander ce qu'est la justice.
Oubliez le charme et la grandeur de l'Italie de la Renaissance. Ne pensez plus à la chaleureuse et anarchique ville de Constantinople. Enterrez dans votre esprit Ezio Auditore da Firenze, car ce n'est plus un secret depuis plusieurs semaines maintenant, Assassin's Creed III va brutalement changer vos habitudes en vous plongeant au cœur de la Révolution américaine (XVIIIe siècle) dans la peau d'un nouveau héros : Connor. Deux changements de taille qui préfigurent de l'ampleur du travail réalisé par Ubisoft. Voici, dans le détail, les informations que nous avons pu glaner sur ce blockbuster prévu pour octobre prochain. Assassin's Creed est sans conteste l'une des séries majeures de ces cinq dernières années. On pourrait évoquer son rayonnement médiatique ou l'influence qu'elle a eue sur d'autres titres mais un nombre suffit à lui seul à démontrer la véracité de cette affirmation. Ce nombre, c'est 38 millions, soit le total (approximatif) d'exemplaires des quatre premiers épisodes vendus à travers le monde. Cela représente évidemment une rentrée d'argent importante pour l'éditeur et développeur de la série : Ubisoft. On comprend donc aisément l'enjeu qui entoure la sortie en octobre prochain d'Assassin's Creed III.
Gamekult
Ajouté le : 03/2012
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Réveillés en sursaut il y a quelques jours par la simple annonce de la date de sortie du tant désiré troisième épisode, les fans d'Assassin's Creed sont depuis lors pendus aux lèvres d'Ubisoft, dans l'attente d'informations sur le nouveau chapitre d'une des plus importantes sagas de cette génération. L'heure est donc enfin venue de lever le voile sur Assassin's Creed III et de découvrir l'identité de l'ancêtre de Desmond et, surtout, l'époque dans laquelle nous allons être plongés cet automne. "Non, Sir. C'est une révolution !"Le sujet qui a enflammé les forums du monde entier pendant des années est sur le point d'être clos. Ubisoft nous présente enfin le nouveau héros successeur d'Altaïr et Ezio. L'homme qui aura donc la lourde tâche de reprendre le flambeau de ces deux assassins légendaires s'appelle Connor et ses aventures vont se dérouler aux États-Unis, dans la seconde partie du XVIIIème siècle, avec en toile de fond la Révolution américaine. C'est donc la fin d'un insoutenable suspense et la conclusion radicale de toutes les plus folles conjectures. A vrai dire, Julien Laferrière, associate producer sur cet épisode, a reconnu que cette période s'était très rapidement imposée à eux.
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