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Nous avons réuni 17 tests du Aliens vs Predator. Les experts notent Aliens vs Predator 6.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Aliens vs Predator et d'autres Jeux Playstation 3.
Prenez quelques Facehuggers, quelques Aliens, quelques Predators et parsemez le tout de quelques humains à l'aspect éreinté et pleins de sang ou de Marines un peu trop présomptueux et vous obtenez la recette de cette AvP version consoles next-gen. Loin s'en faut, on aurait pu se dire « whhaaaa quel challenge !!! Des Aliens déchaînés (dans tous les sens du terme), des prédateurs au sommet de leur art, et des humains rangés dans cette bataille rageante et dérangeante réduits à des fétus de paille ». Oui mais voilà... Dans la campagne humaine, vous incarnez un personnage Marine répondant au doux nom de bleu ou le bleu terme qui vous va à ravir surtout après les secousses de l'atterrissage et de ce flat case pris en pleine g... tête. Pour l'histoire le bleu est surtout issu de votre aptitude militaire au début du jeu, convenez que le terme est bien choisi pour un jeu de mots coloré : le bleu marine... Sitôt arrivé (et réveillé de ce put*** de coup...) vous vous retrouvez vite confrontés à la communauté hostile de la planète où vous avez atterri. Les xénomorphes sont présents assez rapidement, mais don't panic votre potar-radar vous aiguillera dans votre progression et surtout dans votre orientation des cibles probables.
Après deux énormes catastrophes nommées ShellShock 2 : Blood Trails et Rogue Warrior, Rebellion ne se dégonfle pas pour autant et nous offre un nouveau FPS qui n'est autre que Aliens vs. Predator. Un titre à forte licence donc, qui n'est pas sans rappeler le très bon jeu éponyme que le studio avait sorti il y a de cela dix ans. Désormais sur un hardware sans commune mesure avec les PC de l'époque, le titre a-t-il réussi à évoluer dans le bon sens ? La recette qui avait fait mouche en 1999 est toujours la même, à savoir que l'on retrouve une partie solo mêlant trois des races les plus célèbres de la galaxie. L'histoire, qui au passage n'est clairement pas le point fort du titre, propose donc de découvrir ce qui se passe au sein de la colonie Freya Prospect à travers le regard de trois créatures possédant chacune leur mini-campagne. Le joueur est libre de commencer le jeu par celle qu'il préfère, que ce soit le trip survival-horror de l'humain ou le sadisme revendiqué de l'Alien et du Predator. D'ailleurs, si on peut trouver pas mal de similitudes entre les campagnes des deux races extraterrestres, la campagne humaine est quant à elle vraiment à part, que ce soit en terme d'émotions (être la proie ou le prédateur, ça change tout) ou d'environnements (les décors sombres en intérieur sont plus nombreux dans la campagne humaine).
Alors que je suis perché sur l'armoire de stockage des jeux, arborant une coiffe à base de dreadlocks tout en faisant des râles gutturaux (j'ai toujours eu un faible pour ce poseur de Predator mais surtout, j'ai une sale crève ce matin), l'heure est de savoir si le Aliens vs Predator nouveau se montre à la hauteur de ses modèles. Il y a de cela quelques semaines, je mettais la main à prix d'or sur un exemplaire de Alien versus Predator dans sa version Jaguar. Une cartouche mythique qui manquait gravement à ma collection sur la console Atari (il restait une place vide sur mon étagère dédiée !) et qui fait toujours son effet, même 16 ans après sa sortie. Passé le côté vintage des personnages en bitmap digitalisés bien pixélisés, le jeu développe une ambiance plutôt réussie qui prouve à ceux qui en douteraient encore que la bécane d'Atari en avait dans le ventre (non, non, ne partez pas !). Bref, lorsque Moulinex a tendu dans l'open space une version du nouveau Aliens vs Predator qu'il venait de recevoir, développé par l'équipe originale qui avait travaillé sur la fameuse cartouche, j'ai gentiment fait usage de mon arme à visée laser pour écarter tout autre rédacteur croyant pouvoir revendiquer une légitimité pour ce papier.
Alien et Predator, deux races extraterrestres qui ont fait trembler chacune de leur côté des milliers de spectateurs dans les salles obscures avant de s'affronter sous forme de comics puis sur grand écran. Déjà transposé plusieurs fois en jeu vidéo, ce choc des titans s'invite aujourd'hui sur PS3 avec un titre signé Rebellion, dans la droite lignée de ce que le studio nous avait proposé voilà 15 ans sur la Jaguar d'Atari.Inutile de s'attarder sur le scénario qui vous sera timidement conté au travers de quelques cut-scenes, il ne s'agit que d'une resucée des histoires déjà offertes par l'univers du cross-over Aliens vs Predator : l'industriel Charles Weyland mène en secret des recherches sur les Xénomorphes (les Aliens), tout en tentant d'en apprendre plus sur la race des Yautjas (les Predators). Alors qu'il s'apprête à pénétrer dans un temple Yautja et ainsi à sonner le retour de ces chasseurs hors pairs sur Terre, l'un de ses Aliens d'étude parvient à s'échapper du laboratoire situé non loin de là et à délivrer ses congénères ainsi que leur reine. Quelques Marines ne tardent évidemment pas à débarquer pour remettre un peu d'ordre, et le massacre peut alors démarrer.
Plus de 10 ans après avoir livré l'illustre Alien vs Predator sur PC, Rebellion tente de nouveau sa chance pour un nouvel épisode. Mais en dix ans, il s'en passe des choses. Un studio de développement peut par exemple perdre de sa superbe. N'y allons pas par quatre chemins pour planter le décor de cette nouvelle déclinaison de la rencontre des deux machines à écorcher de l'espace. Toujours au coeur du problème, on trouve une fois de plus l'infâme société Weiland Yutani qui va de nouveau sacrifier tout un tas d'innocents colons à sa quête de la maîtrise des xénomorphes et de la technologie des Yautjas. Pour mettre la panade, il aura suffi à monsieur Weiland de faire deux choses idiotes en même temps. D'un côté, mener des expériences sur, euh, "l'élevage" des xénomorphes, de l'autre côté, aller grattouiller de trop près un temple Yautja situé à proximité. En une heure, c'est la catastrophe, les aliens sont libérés, et une petite bande de Predator se pointe sur la planète colonisée. Ne reste plus qu'à faire venir une escouade de marines coloniaux et hop, on peut commencer la teuf en se demandant si, quand même, il serait pas un peu gâteux le père Weiland.
Entre le studio Rebellion et la licence Aliens vs. Predator, c'est une affaire qui roule ! Déjà à l'oeuvre sur la première version sortie en 1994 sur la défunte Jaguar d'Atari, les anglais ont également réalisé la mouture PC de 1999. Cette année, ils récidivent une fois de plus dans leur exercice favori avec un Aliens vs. Predator de nouvelle génération. Un gage de qualité ? Pas sûr, car Rebellion c'est aussi le studio responsable des très mauvais Rogue Warrior et Shellshock 2 : Blood Trails...Si le titre du jeu fait immanquablement penser à un duel entre terrifiantes créatures, c'est en réalité un ménage à trois qui nous est proposé puisque les humains se retrouvent systématiquement pris à partie dans les affrontements entre aliens et predators. Passons rapidement sur le scénario, qui ne présente absolument rien de passionnant et sert juste de prétexte à réunir les trois races en un même endroit. En l'occurrence, il s'agit d'une planète extra-solaire abritant quelques temples mystérieux. La campagne solo est divisée en trois sections distinctes, une pour les humains, une pour les xénomorphes et une pour les chasseurs. Cet agencement a ceci de bon qu'il nous permet d'observer la même histoire sous trois angles différents, puisque les événements auxquels on participe se déroulent en parallèle les uns des autres.
PlayLipse
Ajouté le : 02/2010
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La semaine dernière, Sega avait donné rendez-vous à la rédaction de Xbox Gamer à Paris pour découvrir les sept modes multijoueurs de son Aliens vs. Predator. C’était donc l'occasion pour nous d’avoir un nouveau contact avec le soft avec un point de vue différent de la dernière fois. Nous avons bien entendu tenu à partager avec vous nos premières impressions sur ce qui vous attend le 19 février prochain. Aliens vs. Predator marque le retour des deux références du cinéma fantastique pour ce qui pourrait faire le plus grand bonheur des fans du genre. A cette occasion, ce sont les développeurs britanniques de Rebellion (déjà responsables en 1999 du mythique AvP sur PC et d’autres opus malheureusement bien moins bons), qui ont eu la lourde tâche d'édifier trois types de gameplay distincts, un pour chaque race. Par conséquent, une petite présentation de ces dernières s'impose avant de rentrer dans les détails du mode multijoueur. Ne disposant d'aucune arme (excepté leur queue constituée de courtes lames et leurs griffes pointues), les Aliens misent sur leur rapidité, leur force bestiale et leur agilité. Ceci implique d'adopter des techniques de combats au corps à corps. Toutefois, leur agilité nécessite un temps d'adaptation conséquent qui est récompensé par des sensations de plaisir à l'état brut.
Annoncé il y a moins d’un an, Aliens vs Predator signe le grand retour de cette franchise populaire sur consoles de salon. Le studio Rebellion parviendra t-il à faire ressusciter ce monument de l’univers vidéoludique ? Premières impressions. Cela faisait bien longtemps que l’on avait pas vu un Aliens vs Predator sur nos consoles de salon, alors forcément dès que la version preview est arrivée à la rédaction, le blu-ray n’a pas mis longtemps à être englouti par la PS3. On rentre tout de suite dans le vif du sujet avec les premiers niveaux du mode solo présents sur cette version. Prenez une troupe de marines qui tentent de survivre sur une planète très très lointaine, une horde d’aliens qui réussissent à s’échapper des laboratoires de scientifiques cherchant toujours à les dresser, et un groupe de Predator qui sortent de leur pyramide pour s’adonner à leur sport favori : la traque. Le tout forme une histoire commune que le joueur pourra vivre du point de vue de chaque faction. De par ses caractéristiques et ses équipements, chaque faction apporte un gameplay qui lui est propre et par extension de la diversité.
Lundi 18 janvier, nous avons été conviés par SEGA pour tester le multijoueur d'Aliens Vs. Predator. Lors d'une session de près de 2 heures, nous avons pu tester l'essentiel des modes de jeu proposés. Nous allons donc vous faire part de nos impressions sur ce titre qui débarquera chez nous dès le 19 février prochain. Comme vous le savez sans doute, Aliens Vs. Predator propose trois races différentes qui sont les Marines, les Aliens et les Predators. Chacune a évidemment ses avantages et inconvénients pour justifier son utilisation. Par exemple, les Marines sont les seuls à pouvoir utiliser les armes à feu éparpillées aux quatre coins de la carte. Vous pouvez porter jusqu'à deux armes, ce qui vous obligera donc à jongler habilement avec les armes trouvées sur votre parcours. Vous possèderez aussi une lampe torche afin de pouvoir éclairer les recoins les plus sombres de la zone de jeu. De leur côté les Aliens possèdent l'énorme avantage de pouvoir se faufiler sur tous les éléments du décor en s'agrippant aux parois. Vous pourrez ainsi vous coller au plafond en attendant que votre proie passe inconsciemment en dessous de votre planque, vous laisser tomber au sol à l'aide de la gâchette et saisir l'inconscient par derrière afin de lui faire subir un châtiment des plus cruels.
Aliens vs Predator nous avait déjà laissé poser les mains sur son multijoueur, Sega nous permet aujourd'hui de jeter un coup d'oeil aux trois campagnes solos du jeu, dans la peau de ses différents protagonistes. Aliens vs Predator, une licence qui revient de loin après avoir fait les beaux jours des joueurs PC. Liées d'abord par un simple clin d'oeil, les deux bestioles les plus mortelles de la galaxie sont depuis devenues inséparables, pour le plus grand malheur des marines qui n'ont désormais de cesse de se faire désosser par l'une ou par l'autre. Fidèle à ses illustres modèles sortis depuis maintenant quelques années, cette résurrection de la franchise se divise en 3 campagnes solos dédiées aux trois protagonistes. Tout cela une fois de plus à cause de Karl Bishop Weyland qui, n'en ratant pas une, tente encore et toujours de dompter les Xénomorphes pour s'en faire des animaux de compagnie. Des essais qu'il ne peut s'empêcher de tenter sur une colonie humaine établie sur une planète ayant le malheur d'abriter l'une des pyramides que les Prédators utilisent pour enfermer des aliens afin de se livrer à leur chasse rituelle.
Mine de rien, il aura fallu plus de dix ans pour que Rebellion ressorte de ses tiroirs ce bon vieux concept qui avait tant séduit sur PC à la fin du siècle dernier, cet improbable crossover impliquant les deux races extra-terrestres les plus terrifiantes de la galaxie : l'Alien et le Predator. Fantasme de geek, Aliens vs. Predator offre donc une nouvelle fois l'occasion de se glisser dans la peau d'une de ses bébêtes peu commodes avec, pris en sandwich entre elles, des humains qui font forcément moins leurs fiers. Première plongée dans le mode solo d'un titre prometteur, mais casse-pipe. Comme dans le Aliens vs Predator de 1999, cette nouvelle aventure propose bien trois campagnes distinctes selon la race choisie par le joueur avec à la clé, évidemment, une approche du jeu radicalement différente. Ainsi, s'engager dans les Marines, c'est mettre les pieds dans une aventure oppressante, qui lorgne généreusement vers le survival horror à la première personne, un peu à l'image d'un Condemned, par exemple. Car Rebellion a respecté à la lettre l'une des premières règles des films Alien : isoler et éteindre la lumière.
Et c’est reparti pour un tour ! Deux des icônes les plus marquantes du cinéma fantastique (C’est un genre, pas une appréciation...) vont débarquer dans nos salons pour y jouer un nouvel acte de leur interminable bataille. Et encore une fois, une poignée d’humains va se retrouver prise entre le marteau et l’enclume... ou plutôt entre les baveux et les invisibles. L’un disait "Dans l’espace, personne ne vous entendra crier", ce à quoi l’autre répondait immanquablement "Si ça saigne, on peut le tuer...". Ces deux citations tirées respectivement de l’univers d’Alien et de Predator définissent assez bien le prochain titre qui sera consacré à ces deux monstres sacrés du grand écran. Alchimie combinant à dose égale l’horreur qui vous cloue de trouille au détour d’un couloir sombre et l’action se résumant à être plus rapide mais aussi plus inventif que votre adversaire pour lui faire la peau, ce titre devrait répondre aux attentes d’un large éventail de joueurs. Et, au passage, il s’offrira le luxe de contenter ceux qui connaissent les univers en question et qui auront été avant tout attirés par son titre. Mais, avant d’aller plus loin, petite présentation des forces en présence.
Sega, dans sa grande mansuétude, nous a laissé approcher Aliens Vs. Predator (AvP de son petit nom) le temps d’une petite matinée, dans ses locaux. L’occasion non seulement de poser quelques questions aux développeurs, mais surtout de nous permettre de voir pour la première fois le mode multijoueur de la bête. Il est vrai que lâcher une troupe de Marines, une meute d’Aliens et quelques Predators dans une arène donne forcément envie. Premières impressions à chaud. Pour ceux qui n’ont pas eu la chance (ou la malchance) de claquer tout leur argent de poche dans des cybercafés pour jouer en réseau, rappelons tout d’abord que Aliens vs. Predator est le fils spirituel de Alien Vs Predator 1 et 2, sortis respectivement en 1999 et 2001 sur PC. Ces deux vieux jeux développés par Monolith avaient le mérite d’allier une campagne solo fantastique à un mode multijoueur très efficace. Dans ce dernier, il était en effet possible d’incarner chacune des trois races du jeu (Alien, Marines et Predator) et de se taper joyeusement dessus de bien des façons (Deathmatch, Survival, Last Man Standing). Évidemment, Rebellion, le développeur de ce troisième opus, ne pouvait pas faire et moins.
Si nous avons eu l’occasion d’en apprendre plus cet été sur les trois modes solo (Marines, Aliens, Predator) qui constitueront le cœur de Aliens vs. Predator, nous avons enfin pu mettre la main hier sur une version PS3 du jeu, pour découvrir cette fois les modes multijoueurs. Et comme pour les aventures solitaires, c’est bien un triple gameplay qui nous invitera à nous éclater à plusieurs en début d’année prochaine. Les développeurs de Rebellion, ceux-là même qui ont réalisé la plupart des Aliens vs Predator (depuis la version Jaguar de 1994), insistent bien sur l’importance de cette partie multijoueurs qui n’est pas, comme dans certains FPS, un petit bonus, histoire de. Et après nous y être essayé une petite heure, nous pouvons leur donner raison, il y aura effectivement de quoi faire du côté des services en ligne des machines respectives. Avec trois façons de jouer totalement différentes, grâce au background riche de possibilités de ces univers croisés, la diversité des parties en ligne devrait effectivement représenter un des points forts du titre. D’autant plus que 18 joueurs pourront s’y adonner simultanément.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
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Aliens vs Predator a beau avoir tourné à la farce au cinéma, l'annonce d'un nouveau FPS utilisant la licence a forcément créé une petite étincelle dans le coeur des vieux fans qui ont connu les joies des versions PC ou même Jaguar il y a bien longtemps de cela. Pour cette gamescom 2009, Sega nous a invité à voir l'évolution du projet de Rebellion prévu pour février 2010 sur PC et consoles HD. Voici nos impressions. Déjà vu brièvement à l'E3, Aliens vs Predator nous a fait meilleure impression à la gamescom, et cela pour plusieurs raisons. Le moteur du jeu, pour commencer, a progressé avec une fluidité améliorée (mais pas encore parfaite), et une atmosphère globalement bien rendue qui retranscrit fidèlement tout le stress que pourrait ressentir un soldat traqué par les aliens dans un gigantesque vaisseau spatial à la dérive. La campagne humaine ne semble pas être la plus intéressante, mais elle devrait donc au moins procurer quelques bons frissons avec une violence assez marquée, et des séquences de mise à mort à vous faire rendre votre petit déjeuner sur la moquette. Comme on pouvait s'y attendre, Aliens vs Predator sera donc un jeu relativement gore, mais il aura d'autres atouts.
Deux races d'extraterrestres ultra-belliqueuses jetées l'une contre l'autre, avec au milieu, une petite tripotée de marines déterminés à sauver leur peau, voilà une formule bien connue qui risque pourtant de ne laisser personne indifférent. Que l'on ait été marqué au fer rouge par le FPS de Rebellion en 1999 ou que l'on soit simplement fan - si cela est possible - des films d'action mettant en scène cette confrontation inter-espèces, nul doute que la perspective de trucider notre voisin a de quoi nous faire frétiller d'impatience. Qu'on se rassure, le titre, emmené une nouvelle fois par Rebellion, prend forme et laisse déjà imaginer de joyeuses tueries nocturnes. Pas de surprise, ce nouvel épisode, le premier de la nouvelle gamme Aliens de SEGA, nous permettra bien évidemment d'incarner au choix un marine colonial, un doux Predator ou un jeune Alien couvert de bave. Les trois races auront une fois encore droit à une campagne distincte. Rien ne vous empêchera d'ailleurs de débuter par celle que vous voudrez. Néanmoins, si vous souhaitez véritablement découvrir tous les tenants et aboutissants de l'histoire, vous devrez alors traverser les trois aventures.
La série Aliens vs Predator résonne encore dans la tête des joueurs comme l'une des meilleures licences des années 90. Son retour annoncé a été placé sous la bonne garde de Rebellion, le studio par qui tout a pratiquement commencé. Si l'on met de côté les deux jeux Aliens vs Predator sorti en 1993 sur Super Nes et Gameboy, la série comme nous la connaissons maintenant a vraiment commencé en 1994 sur Jaguar avec un jeu développé par le studio Rebellion. C'est ce même studio que l'on retrouve aujourd'hui aux commandes de ce nouveau titre édité par Sega. Visiblement heureuses de retrouver leurs créatures favorites, les équipes de Rebellion semblent avoir apporté un soin tout particulier au développement de ce nouvel Aliens vs Predator. Cela se ressent surtout au niveau de l'ambiance, très respectueux des films et notamment d'Aliens 2 avec ces couloirs troués par des flaques d'acide.
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