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Nous avons réuni 11 tests du Alice : Retour au Pays de la Folie. Les experts notent Alice : Retour au Pays de la Folie 6.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Alice : Retour au Pays de la Folie et d'autres Jeux Playstation 3.
Près de 10 ans après un American McGee's Alice qui a laissé quelques séquelles aux joueurs qui affectionnent le roman de Lewis Carroll et qui découvraient une alternative un peu moins convenue du conte, Alice est de retour dans ce qu'il reste du pays des merveilles et sa folie ne semble pas s'estomper, c'est le moins que l'on puisse dire. Si votre profil psychologique est suffisamment solide pour pénétrer dans le monde de la névrose, poussez la porte et entrez dans ce paysage maléfique. Les choses commencent plutôt bien lorsque nous insérons Alice dans notre console puisque nous découvrons qu'Electronic Arts a eu la bonne idée de fournir un code qui nous permet de télécharger le premier volet. Une bonne séance de rattrapage pour les possesseurs du jeu neuf (pass online oblige) qui l'auraient raté ou désireux de revivre une expérience unique. Car en effet, l'aventure proposée nous plonge dans un monde malsain où Alice, fragile psychologiquement depuis le décès de sa famille dans un terrible incendie, essaie de reconstruire le puzzle de sa vie en affrontant ses pires cauchemars. Dans cet épisode, Spicy Horse a réussi à reproduire une ambiance toujours aussi délicieuse et c'est avec plaisir que nous nous attaquerons à des créatures toutes plus folles les unes que les autres, largement inspirées de l’œuvre originale.
Tombé dans le domaine public au cours du siècle dernier, le célèbre roman Les Aventures d'Alice au pays des merveilles a eu le droit à une ré-interprétation bien particulière lors de son adaptation en jeu vidéo. C'était il y a maintenant plus de dix ans, début 2001. Décalée et ouvertement dérangée, la vision d'American McGee se dote aujourd'hui d'une suite, Alice : Retour au Pays de la Folie. Faudrait-il être fou pour rater une pareille aventure ? Bien loin des préoccupations de son âge, Alice Liddell est une jeune fille que l'on découvre d'emblée chez son psy, perturbée par l'incendie ayant causé la mort de sa famille. La demoiselle fait des rêves étranges, à mi-chemin entre le souvenir et la folie. Des visions d'horreur qui sont le point de départ du retour d'Alice dans un pays créé de toutes pièces par son imaginaire, avec des protagonistes hauts en couleurs. Le Chapelier, le chat du Cheshire, les connaisseurs de l'oeuvre de Lewis Caroll ne seront pas perdus. En revanche, c'est toute la ré-interprétation artistique du pays des merveilles qui marque très rapidement le joueur. Les décors paradisiaques et colorés imaginés par Alice deviennent rapidement le théâtre d'animaux morts et de ruisseaux de sang, de coulées de lave mortelles et d'ennemis prêts à tout pour réduire en pièce notre jeune héroïne.
Après une longue période passée dans l'asile Rutledge, Alice est désormais confiée à la société, toujours suivi par un psychiatre en raison de ses nombreux troubles relatifs à la mort de ses parents. Détruite dans les flammes, sa famille hante la jeune fille et l'empêche de trouver un équilibre. Ne sachant toujours pas si elle est responsable ou non de ce drame, elle va être contrainte de revenir dans les terres désolées de l'univers qu'elle a elle-même créé. Une progression au plus profond de son esprit qui s'articule en parallèle de ses investigations dans le monde "réel" d'un Londres presque fantomatique. Deux mondes difficiles, violents, dans lesquelles une échappatoire semble totalement hors de propos. Un constat amer qui ne va pas freiner Alice dans son obsession de vérité, tailladant sa voie au couteau de boucher en ne trouvant comme résistance que des créatures aussi grotesques que dangereuses. Une introspection rouge-sang qui brise les limites de la réalité mais également du temps. Car le lapin que suit Alice a plutôt les aiguilles de sa montre qui retardent.A l'heure où d'autres surgissent des années 90, par le biais de remakes opportunistes, Alice : Retour au pays de la folie fait le chemin inverse et va chercher l'efficacité dans les platformer action 3D de la fin de vie de la PSone et de la grande époque de la PS2.
On connaissait déjà les projets d'American McGee pour leur tiraillement entre grandeur d'un pôle artistique tout puissant et décadence du versant ludique, banal et souvent mal réglé. Cristallisant cette approche boiteuse du game design, le premier Alice Madness alignait une plateforme très basique dans le cadre d'un univers de bric et de broc, aux fulgurances artistiques déjà incontestables. Voir l'équipe de Spicy Horse relancer sa licence avec Alice : Retour au Pays de la Folie n'est donc pas une surprise ; ce qui l'est d'avantage, c'est qu'au travers d'une aventure répétitive et bordélique, le jeu parviennent à maintenir l’intérêt par son inventivité visuelle constante. S'inscrivant dans la suite logique du précédent épisode, le scénario reprend son approche librement adaptée du roman de Lewis Caroll, dans laquelle le Pays des Merveilles n'est qu'une hallucination, refuge d'une Alice sombrant progressivement dans la folie. La jeune fille au passé tragique évolue ainsi tout au long de l'aventure entre l'atmosphère cendrée d'une Angleterre victorienne et les contrées fantastiques de son esprit, où elle renoue petit à petit avec la vérité. A mesure qu'elle s'en approche, son monde imaginaire menace de basculer dans le cauchemar pur et simple, qui modèlera une progression alternant plateforme classique et combats acharnés.
Les adeptes des romans de Lewis Caroll ne reconnaîtront pas Alice. Il en était de même pour American Mc Gee's Alice il y a de cela 10 ans. Une chose est sûre, en 10 ans, l'esprit d'Alice Liddell n'a pas changé. Toujours aussi torturé et imprégné de la touche machiavélique de son créateur. A l'époque du premier opus, l'héroïne n'a que 18 ans. Enfermée dans un asile psychiatrique, errant dans la folie suite à l'incendie de la maison familiale dont elle fut l'unique rescapée. Aujourd'hui on la retrouve, à 20 ans. Guérie ? Loin de là. Encore sous le choc de l'accident, dont elle pourrait bien être la responsable, Alice tente de reconstituer son passé proche dans le seul lieu où elle se sent vivre, le Pays des Merveilles. Un endroit qui, comme son aîné, porte très mal son nom.Succintement, votre but sera de sauver le Pays des Merveilles d'un train maléfique qui dévaste à la fois ce monde mais également l'esprit de la jeune fille. Vous mènerez votre quête sur 5 chapitres. Le chiffre peut paraître petit mais rassurez-vous, une quinzaine d'heures seront plus que nécessaires pour stopper la machine. Vous parcourerez notamment une forêt, des fonds-marins, une maison de poupée ou encore un château de cartes flottant dans les airs qui, personnellement, m'a donné le vertige.
Il y a dix ans, le développeur American McGee s'appropriait le mythe d'Alice au pays des merveilles, avec une réinterprétation très sombre du conte de Lewis Caroll sur PC. Aujourd'hui aux commandes de Spicy Horse, son propre studio spécialisé dans la destruction de fables en tout genre (American McGee's Grimm), il donne suite à son délire meurtrier avec Retour au pays de la folie. Bienvenu de l'autre côté du miroir. De tout temps, les adeptes de psychotropes ont tenté de mettre en avant les aspects subversifs des aventures d'Alice, mais cette version-la n'épargne aucun de nos souvenirs d'enfance. En un seul épisode, Alice a bâti sa réputation sur une ambiance dérangeante, en décalage total avec le petit délirium pastel de Lewis Caroll. Place à la noirceur et la méchanceté dans ce jeu d'action-aventure à la troisième personne qui fait de son atmosphère "dark" son principal atout. Concrètement, Alice Liddell n'est plus la petite rêveuse de l'histoire, c'est une jeune femme perturbée, en lutte contre ses cauchemars à l'aide d'un glaive affuté, d'un moulin à poivre changé en sulfateuse ou d'une masse d'arme. À son tour, le Pays des merveilles, n'est plus ce qu'il était. C'est un enfer pavé de créatures monstrueuses, faites de sang et d'huile de moteur.
Sorti début 2001 sur PC, American McGee's Alice avait su nous proposer un mélange réussi de plateforme et de combats, le tout dans un univers sombre mais totalement déjanté, largement inspiré des livres de Lewis Caroll. Dix ans plus tard une suite arrive sur nos consoles, qui reprend dans les grandes lignes les bases de son prédécesseur. Enfin sortie de l'asile de Rutledge après les évènements du premier opus, Alice Liddell vit désormais dans un foyer de Londres où ses progrès sont supervisés par un psychiatre. Mais toujours traumatisée par l'incendie qui tua sa famille une dizaine d'années plus tôt, elle continue à souffrir d'étranges visions qui ravivent ses doutes quant aux origines du drame : le feu a-t-il réellement été déclenché par une lampe à pétrole renversée par le chat, ou bien y a-t-il une autre explication ?Pour répondre à la question, Alice devra faire plusieurs allers-retours entre Londres et le Pays des Merveilles, ce dernier étant en proie à une terrible menace : un train démoniaque sorti d'on ne sait où y sème en effet la destruction, et notre jeune héroïne ne tarde pas à faire le lien entre ses problèmes et ceux de ce bien curieux univers.
A quoi reconnaît-on un jeu qui a marqué son époque ? Facile, dix ans plus tard, on en parle encore, que ce soit pour en dire du bien ou pour en dire du mal. En 2001 sortait American McGee’s Alice, jeu bizarre, dérangé, un peu mégalo aussi puisque l’auteur était allé jusqu’à apposer son nom au titre du soft. On pouvait y voir une certaine forme de vanité mais on ne pouvait contester le fait que la démarche artistique était originale et intéressante. McGee voulait revisiter le conte de Lewis Carroll en y saupoudrant des touches de gore, de violence, de démence pure et dure. Dix ans plus tard, ce jeu a certes pris des rides mais il dégage toujours un charme étrange et envoûtant. Si ce n’est pas déjà fait, vous pourrez d’ailleurs vérifier cela par vous-même puisque American McGee’s Alice est disponible gratuitement si vous achetez le jeu qui nous intéresse aujourd’hui, sa suite directe intitulée (ridiculement en français) Alice : Retour au Pays de la Folie. Alice Liddell n’est toujours pas guérie. Cette gamine a autrefois vu tous ses proches mourir dans un incendie qu’elle pourrait très bien avoir provoqué elle-même. Depuis, elle est partagée entre ses séances à l’asile psychiatrique et son boulot de bonne qui lui attire railleries et commentaires graveleux.
Vous avez l'impression que le petit monde des jeux vidéo a tendance à tourner en rond et à accoucher de titres trop aseptisés ? Il existe pourtant des jeux qui échappent au conformisme ambiant. American Mc Gee's Alice en était un bon exemple : le titre nous livrait une version trash des romans de Lewis Carroll en nous dépeignant un Pays des Merveilles dévasté et une Alice totalement folle. Le fameux American Mc Gee revient aujourd'hui aux fourneaux pour nous proposer une suite dans le même esprit que son aîné. Si American Mc Gee's Alice s'était élevé au rang de jeu mythique lors de sa sortie il y a une dizaine d'années, c'était moins pour son gameplay qui s'apparentait à celui d'un jeu d'action / plate-forme assez classique, que pour son univers particulièrement malsain. On retrouvait bien Alice, le personnage principal des romans de Lewis Carroll, mais celle-ci avait totalement sombré dans la folie après la mort de ses parents dans l'incendie de la maison familiale. On la retrouvait donc sous les traits d'une jeune femme de dix huit ans enfermée dans un asile psychiatrique depuis ce tragique accident. Son retour au Pays des Merveilles, ou ce qu'il en restait, constituait alors pour elle une forme de thérapie lui permettant de reprendre petit à petit pied dans la réalité.
Popularisé par Disney et récemment revisité par Tim Burton, l'univers d'Alice aux Pays des Merveilles créé par Lewis Caroll en 1865 a aussi eu droit à son adaptation vidéoludique au début du millénaire. Un jeu resté dans les esprits pour sa réalisation somptueuse et son gameplay mélangeant habilement action et plateforme. Onze ans plus tard, voilà qu'Electronic Arts s'apprête à nous en proposer une suite, largement basée sur l'excellente recette de son illustre aîné.Ce second volet des aventures d'Alice mêle une fois encore la vision enchanteresse et néanmoins inquiétante d'un Pays des Merveilles tourmenté, et celle d'un Londres de la fin du 19ème siècle particulièrement violent.Après être sortie de l'asile de Rutledge onze ans plus tôt, Alice vit désormais dans un foyer où elle est suivie par un psychiatre qui tente de lui faire oublier la mort horrible de ses parents dans l'incendie de la maison familiale. Mais ses hallucinations ne tardent pas à reprendre le dessus...De retour au Pays des Merveilles, Alice découvre un monde aux abois, corrompu, et menacé de destruction. Renouant avec de vieilles connaissances, elle devra faire toute la lumière sur les évènements et lutter contre ses vieux démons.
De longues années après les évènements du premier épisode, Alice est désormais libérée de son asile mais continue d'être placée sous la surveillance d'un psychiatre, sa guérison n'étant pas vraiment complète. Une instabilité qui ne tarde pas à ressurgir, changeant une nouvelle fois le paisible Pays des Merveilles en un lieu dangereux et horrible que la jeune héroïne va devoir tenter de remettre dans sa configuration joyeuse. Une nouvelle quête personnelle qui va donc passer par la collecte de nouveaux indices concernant la cause réelle de la mort de sa famille et la découverte de lieux viciés remplis de créatures étranges et angoissantes. Toujours aidée par le fameux et cynique Chat du Chesire qui glisse quelques indices sur la manière de procéder devant tel ou tel obstacle, Alice pourra également compter sur une capacité utile lui permettant de rapetisser. Si elle lui donne la possibilité de se glisser dans des endroits exigus, celle-ci sert également à passer dans un mode de vision spécial qui affiche des indices invisibles lorsque l'héroïne est à sa taille normale. Indispensable pour distinguer certaines plateformes qui disparaissent quelque secondes après avoir été repérées ou encore pour découvrir des chemins secondaires, ce pouvoir s'utilise de façon rapide et pousse donc le joueur à faire un petit état des lieux dans chaque zone traversée.
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