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Nous avons réuni 5 tests du Fujifilm FinePix F550EXR. Les experts notent Fujifilm FinePix F550EXR 7.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Fujifilm FinePix F550EXR et d'autres Appareil photo numérique Fujifilm.
Avec son capteur EXR CMOS rétro éclairé de 16 mégapixels, son objectif grand angle 15X, son GPS intégré, l’enregistrement vidéo en 1080p, sa sortie HDMI et son lot de fonctions automatiques et manuelles, le Fujifilm FinePix F550EXR est sans conteste un modèle très attractif. Mais ce très bon potentiel est quelque peu terni par des défauts assez gênants. À commencer par le flash escamotable qui s’ouvre automatiquement même si l’on n’en a pas besoin et se trouve placé à l’endroit où l’on pose naturellement l’index gauche. Difficile également de placer son pouce droit sans presser accidentellement l’un des boutons. Le FinePix F550EXR prend de très bonnes photos avec un excellent rendu des couleurs. Il est très performant pour les prises de vue de paysages et la macro tandis que son objectif grand angle poussé à son maximum maintient la netteté sans problème. Nous avons cependant relevé un bruit assez prononcé sur les images prises dans une sensibilité supérieure à 400 ISO. Malgré ces défauts qui l’empêchent d’être parfait, le F550EXR reste tout de même un bon compromis pour ceux qui cherchent un appareil compact doté de nombreuses fonctions.
Sur ce secteur du marché, Fujifilm a été un peu plus long que d'autres à arriver. Il aura en effet fallu attendre le F300 EXR en juillet 2010 pour voir autre chose qu'un zoom 10X sur un compact Fuji. Peu importe, le constructeur nippon est maintenant en phase en matière d'optique : nous testons aujourd'hui le Finepix F550 EXR avec zoom 15X et un tout nouveau capteur CMOS EXR de 16 Mpix ! Le F550 EXR revêt strictement le même design que le F300 EXR, à deux différences près : l'excroissance du module GPS sur le F550 et le coloris plus racé sur ce dernier (superbe au passage). En dehors de ça, le boîtier affiche les mêmes courbures fort agréables. On relèvera en particulier la poignée grippée et l'excellent galbe au niveau du pouce, permettant de sécuriser la prise en main tout en douceur. Et la position oblique du sélecteur fait qu'on peut changer ses modes sans déplacer ses mains. L'écran, le même LCD 3 pouces en 460 000 pixels est toujours aussi flatteur. Il reste relativement lisible (bien que très brillant) et fluide, quand on règle le Réglage Alim. sur LCD Clair. Et on retrouve des commandes identiques au dos de l'appareil. Tout n'est pas exactement rose cependant.
Nouveau haut de gamme des compacts Fujifilm, le F550EXR est sur le papier, très alléchant. Malgré son zoom particulièrement puissant (15X), l’appareil est resté très compact et se classe parmi les modèles les moins encombrants des super-zooms. Très soigné sur le plan esthétique avec ses formes galbées, il bénéficie d’une finition flatteuse et semble robuste. Un aspect attractif qui ne gâte rien ! Comme un certain nombre de modèles destinés au voyage, il intègre un GPS mais si la chose vous semble inutile, une version sans GPS, le F500EXR, est disponible.Pour le coté technique, le zoom extrême 15X offre un très grand angle mais a le bon goût de ne pas trop réduire sa luminosité aux focales les plus longues. Il est associé à un capteur CMOS BSI avec beaucoup de pixels mais performant. D’autant plus qu’il bénéficie de la technologie EXR pour une exploitation optimale en fonction de la situation. Il faut ajouter de nombreux modes de prise de vue (dont le panorama à la volée) jusqu’au tout manuel et la vidéo Full-HD. Tout cela est parfois un peu technique et demandera de bonnes connaissances si vous sortez des modes automatiques.Dans la pratique, le F550EXR procure de bonnes images bien définies mais avec une tendance à brûler les haute lumières en cas de fort contraste.
Le F550EXR est un excellent compact à super-zoom, bien équipé et réactif. Mais l'organisation des menus pourrait être améliorée. Après un passage à vide, Fujifilm reprend du poil de la bête avec des appareils plus attrayants que les précédents, comme le FinePix F550EXR. Un compact à super-zoom qui vient attaquer frontalement les TZ de Panasonic ou encore les HX de Sony, et ce avec une fiche technique des plus exhaustives. C'est très subjectif, mais nous trouvons que le F550EXR est une réussite esthétique : son boîtier très futuriste n'est comparable à aucun autre, et il réussit le tour de force de conjuguer un côté massif et solide avec un format compact et élégant. La prise en main est impeccable, et on apprécie toujours autant la roue des modes inclinée à 45 °, plus pratique à manipuler qu'une roue à plat sur le dessus de l'appareil. Même remarque pour le bouton de déclenchement de la vidéo, placé sous le renflement arrière droit de l'appareil, qui prend une forme très ergonomique. Si la prise en main est une réussite, la partie logicielle est, elle, perfectible. Et notamment les noms et abréviations des fonctions.
Coup de tonnerre sur la série F : après des années de bons et loyaux services, le Super CCD tire sa révérence. Le Fujifilm Finepix F550 EXR reçoit en effet un tout nouveau capteur, basé sur la technologie BSI CMOS. D'une définition de 16 Mpx, il est cependant différent du modèle Sony : au format 1/2", il est 15 % plus grand et adopte les fonctions EXR des derniers Super CCD. Le F550 EXR reprend par ailleurs boîtier et objectifs du F300 EXR et se pose en concurrent des meilleurs compacts à gros zoom. Le F550 EXR reprend fidèlement le boîtier du F300 EXR. Les rares modifications incluent le passage à des micros stéréo (cf. partie vidéo), le bosselage du récepteur GPS (absent du F500 EXR), et des changements de couleurs (objectif noir, bague rouge sur la version noire, logo EXR en rouge...). Comme pour celui-ci, la fabrication est donc plutôt soignée, les assemblages étant précis et rassurants. On note tout de même le jeu du flash, qui sort automatiquement à l'allumage mais que l'on peut faire rentrer et sortir en appuyant dessus (vers l'arrière pour le déverrouiller, vers l'avant pour le bloquer), et la résistance trop faible de la roue codeuse qui tourne parfois accidentellement. L'écran de 7,6 cm et 460 000 points est également repris du modèle précédent.