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Nous avons réuni 2 tests du Skullcandy Grind. Les experts notent Skullcandy Grind 5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Skullcandy Grind et d'autres Casque Skullcandy.
Avec le casque Grind, le constructeur Skullcandy nous promet un casque au design classique avec des matériaux de qualité. Le tout pour un prix attractif. A 50 euros, le Grind est-il une perle rare ? Le Grind de Skullcandy se décline dans une multitude de coloris mais certains, plus sophistiqués augmentent son prix d'une dizaine d'euros. Premier élément qui permet de s'identifier (ou non) à ce casque : le design. Et plus particulièrement le logo de la marque, une tête de mort, qui ne sera pas appréciée par tout le monde. Son arceau en métal au revêtement en simili cuir est solide, mais le système de fixation en plastique des écouteurs nous paraît fragile. Le casque possède une particularité, car son câble audio ne comporte pas de télécommande, ni de micro. Ce dernier est intégré dans l'écouteur ainsi qu'un bouton multifonctions compatible sur Android que sur iOS,. Celui-ci sert à prendre un appel téléphonique et à contrôler lecture : un appui pour mettre en pause, deux pour le morceau suivant et trois pour le dernier morceau. En théorie en tout cas car cette dernière fonction n'a pas fonctionné. Nous avons essayé d'appuyer trois fois de suite sur le bouton, mais cela est interprété comme deux appuis puis un appui. Impossible donc d'atteindre le dernier morceau. Autre regret, aucune commande n'est prévue pour régler le volume. Avec ses coussinets confortables et son poids réduit (180 g), le Grind est agréable à porter, mais son isolation des bruits extérieurs se révèle médiocre. Plutôt chaleureux, le son est correct mais manque de relief car il n'y a pas assez de basses, ni d'aigus. Cela n'est pas trop gênant pour écouter du RnB ou de l'Electro, mais le manque se fait sentir sur les autres styles de musique. Ce problème peut néanmoins se corriger facilement en choisissant un réglage en « V » ou « Rock » dans l'égaliseur de l'appareil mobile. Enfin, le casque n'est pas du tout adapté à une écoute à faible volume car il manque de sensibilité et restitue alors mal les fréquences. Confortable, le Grind offre un bon rapport qualité/prix, mais n'est pas exempt de reproches. Il n'isole pas assez, ce qui pose un problème pour une utilisation en déplacement, et délivre un son moyen, même s'il est possible de l'améliorer en passant par l'égaliseur. Mais pour 50 euros, il est plutôt une bonne affaire.
Le Skullcandy Grind est un casque aux allures beaucoup plus simples que celles de ses prédécesseurs. Retour aux sources ou simplification exagérée ? Ce Skullcandy fait place à un design épuré et simple : arceau en métal avec rembourrage au centre, oreillettes supra-aurales rondes et coloris discret... ou presque. Parmi les trois versions, nous avons eu le droit de tester la version la plus flashy, parée de moult couleurs et qui a plutôt tendance à attirer le regard accusateur des passants. Rassurez-vous, il existe également une version bleue et une noire. Ceci dit, le Grind profite d'une bonne solidité ; l'arceau en métal peut d'ailleurs se révéler un peu trop rigide. Les finitions sont relativement convaincantes, même si une plus de discrétion et une meilleure protection des câbles apparents sous l'arceau n'auraient pas été de refus. Du côté des oreillettes, on retrouve une coque en plastique soft-touch mais qui sonne un peu creux et paraît donc un peu cheap. Lorsque l'on visse le casque sur la tête, la sensation de confort est relativement bonne mais loin d'être phénoménale : les fins coussinets en tissu cousus sur l'arceau, disposés légèrement en V, offrent un repos homogène et léger sur le crâne. L'arceau coulissant est facilement déployable et rétractable, mais n'est pas pliable, ce qui est un peu dommage pour un casque nomade déjà peu souple et sans étui de rangement. Il a au moins le mérite de convenir à une grande majorité de tailles de têtes (34 à 43 cm environ), mais nous mettons toutefois une réserve pour les plus petites. Les oreillettes supra-aurales offrent également un confort acceptable au début. Les choses se gâtent passée l'heure et demie, après quoi les coussinets amovibles en similicuir apportent une sensation de chauffe marquée. Les points de pression sont plutôt répartis vers le haut du pavillon, la faute certainement à un pivot pas assez apportant des charnières. Au bout de l'oreillette gauche, on retrouve un épais câble tressé et amovible qui se termine par un épais connecteur mini-jack 3,5 mm coudé. Pour un casque qui se veut nomade, pas d'erreur sur point, on sent un vrai effort sur la qualité. En revanche, pour les contrôles, Skullcandy a fait un choix pour le moins particulier. Au lieu d'intégrer une commande avec microphone sur son câble, comme la grande majorité des constructeurs, la marque a choisi de déporter une seule et unique commande sur l'oreillette...