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L’iPad 6 prend en charge l’Apple Pencil, mais n’est pas encore tout à fait un iPad Pro. Sans Smart Connector, point de Smart Keyboard. Pas que ce soit un problème : Apple elle-même recommande le Slim Folio de Logitech, l’accessoiriste plus ou moins officiel de l’iPad. Un étui-clavier, à moins qu’il ne s’agisse d’un clavier-étui, qui ne manque pas d’arguments. Le Logitech Slim Folio, ici en bleu. Logitech propose aussi un modèle noir. Le Slim Folio est d’abord, comme son nom l’indique, un étui façon folio. Glissé par friction et fermement maintenu par de petits ergots, l’iPad est entièrement protégé, particulièrement aux quatre coins, sans bien sûr que les ports ni les capteurs ne soient obstrués. Le Slim Folio n’est pas, comme son nom le prétend, fin (2,2 cm) ni léger (445 grammes). Ce qu’il est, c’est relativement abordable : il est vendu 99,95 €, presque deux fois moins cher que le Smart Keyboard, qui ne protège rien d’autre que l’écran. Or le Slim Folio est tout aussi pratique que le Smart Keyboard. Apple a beau vanter la « connexion » instantanée du Smart Keyboard, ses utilisateurs savent qu’il peut être capricieux, et qu’il faut parfois le « (dé)brancher » plusieurs fois avant qu’il ne soit correctement reconnu. Le Smart Connector permet une connexion instantanée… sauf quand il ne le permet pas, quand ses broches sont légèrement encrassées, quand la nappe reliant les différents composants du clavier commence à flancher, et surtout quand le logiciel fait des siennes. Les surfaces extérieures sont recouvertes de tissu. Le Slim Folio peut accueillir un iPad 5 comme un iPad 6. La première connexion du Slim Folio demande un appariement classique, mais c’est la première et la dernière fois que vous devriez vous soucier d’aspects matériels. La connexion est parfaitement gérée : Logitech exploite les aimants normalement utilisés par la Smart Cover pour détecter la présence de l’iPad en position de rédaction, et connecter automatiquement le clavier en deux ou trois secondes. Cela signifie que le clavier est actif seulement lorsqu’il doit l’être, et passe le plus clair de son temps en veille. Or il consomme très peu d’énergie à l’usage : plutôt qu’une batterie et toute la logistique associée, il embarque deux simples piles boutons, censées lui assurer quatre ans (!) d’autonomie à raison de deux heures de frappe par jour. Difficile de le vérifier,...