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Des souris, chez Gigabyte, il y en a toujours eu. Toutefois, un constat s'impose, elles ne sont pas nombreuses et elles ne se renouvellent pas rapidement. Ajoutons à cela que c'est bien dommage, car de manière générale, nous avons des produits de bonne qualité, même si parfois sur ce point, l'impression dégagée reste de l'ordre du cheap. En outre, sur le plan du tarif, elles sont toujours douces, rappelons par exemple, la M9 Ice, sans fil de jeu vendue à l'époque seulement 49 euros… Aujourd'hui, nous allons parler de la XM300. Coque consensuelle, caractéristiques techniques haut de gamme et tarif sympathique, voilà le programme. Nous avons ici un packaging classique pour une souris : une boîte en carton dotée d'un rabat. Ce dernier, une fois levé, permet de visualiser la souris dans son intégralité. Il présente aussi une bonne partie des caractéristiques techniques. La XM300 est présentée sur la partie supérieure du rabat. Deux encarts rappellent l'aspect RGB des diodes et la résolution du capteur. Il est possible de découvrir la souris avec plus de détails sur les côtés de la boîte, grâce à des photos. Au niveau du bundle, c'est assez simple puisque la XM300 n'est accompagnée que de deux planches de patins supplémentaires, une noire et une blanche. Il n'y a pas de guide de l'utilisateur. La souris, une fois sortie de l’emballage, est vite identifiable comme un produit Gigabyte. En effet, si la finition est correcte avec des ajustements un peu lâches parfois, les ébavurages sont correctement réalisés… Mais il n’en reste pas moins qu’elle est un peu cheap. La faute en revient à la présence d’un plastique dur de qualité juste honorable, mais présent sur l’ensemble de la XM300. Cela ne devrait pas l’empêcher de faire le boulot, mais posée à côté de la Castor de Mionix, la différence est assez flagrante. La coque est assez longue. Elle louche un peu du côté d’une Deathadder pour être honnête. La courbure sur l’arrière est faible. En remontant, nous découvrons le logo translucide de la marque. Les clics forment un tout avec la coque, une fine fente surmonte deux boutons et la molette se place sur un encart qui lui est propre entre les deux clics. Elle est en plexi et équipée d’une grosse bande de caoutchouc noir, il est visible que l’axe, lui-même, est en plexi. Les clics sont relativement tuilés. Point d’ambidextrie, la XM300 est prévue pour les droitiers. La partie droite est...