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Nous avons réuni 5 tests du Sony Smartband Talk. Les experts notent Sony Smartband Talk 6.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Sony Smartband Talk et d'autres Sport Sony.
Après un un Smartband relativement simple, mais complet, voici le Sony Smartband Talk, son grand frère qui reprend bien évidemment les mêmes fonctions, mais avec un écran e-Ink (comme les liseuses numériques) cette fois.Cet écran vous permettra bien évidemment de recevoir vos notifications Android, mais aussi de recevoir des appels parce que oui, le Sony Smartband Talk est aussi un kit mains-libres, d'où son nom d'ailleurs.Le Smartband de Sony se composait d'un tout petit capteur que Sony appelle « Core » et que vous pouviez utiliser seul ou dans un accessoire-étui type bracelet. Le Smartband Talk reprend ainsi le même principe sauf qu'il intègre désormais un écran e-ink et ne peut donc plus se cacher comme le Smartband sous un étui. Il vient concurrencer directement les bracelets connectés tels que les Jawbone UP24 ou Fitbit Charge HR. S'il est plus large que certains comme le bracelet de Jawbone, il est en revanche de la même largeur que certains comme les Garmin VivoSmart ou Fitbit Charge HR.Au niveau de la personnalisation, vous ne pourrez changer que les bracelets (propriétaires) et il faudra faire attention à l'harmonie des couleurs puisque le Smartband Talk est disponible en noir ou blanc et qu'il n'est pas caché comme son petit frère, le Smartband.
Les bracelets d'activité déferlent sur le monde avec la promesse de nous aider à gérer nos séances d'entraînement ou nous motiver quand notre volonté flanche. Avec cette offre pléthorique, il est difficile pour de nouveaux produits de tirer leur épingle du jeu. Sony tente le pari avec son SmartBand Talk et son écran à base d'encre électronique (comme sur la liseuse Kindle), un système de notifications et la possibilité de recevoir les appels via son téléphone. Il est disponible au tarif de 160 euros. Le design et le confortDu fait qu'il intègre un écran, le SmartBand Talk est plus volumineux que d'autres modèles plus orientés fitness tels que le Jawbone Up24 ou le Garmin Vivosmart. Esthétiquement, il se rapproche davantage d'une montre, et de fait se révèle un peu trop large (23,5 millimètres) pour être porté sur le même bras qu'une montre. Mais il est suffisamment discret et léger (24 grammes) pour être utilisé tout au long de la journée ou pour un jogging. Le bracelet est fait d'une matière en caoutchouc qui se fixe à l'aide un picot. Il est très facile à mettre en place et la texture est très confortable pour un usage prolongé.
Précurseur dans l'univers des montres connectées avec sa Smart Watch, Sony l'est également dans celui des bracelets connectés. Après le SmartBand, lancé il y a moins d'un an, le SmartBand Talk fut annoncé lors du salon IFA de Berlin de septembre 2014. Le voilà dans les rayons pour les fêtes. Lancé à environ 170 €, il s'agit d'un capteur d'activité qui veut pousser assez loin l'expérience utilisateur. Pour autant, peut-il lui donner entière satisfaction ? Réponse après 10 jours de test… Équipé d'un écran de 1,4 pouce avec afficheur E-ink (encre électronique), le SmartBand Talk est assurément un joli tracker. Ni trop grand ni trop petit, il est élégant, constitué d'un petit module s'accrochant sur un bracelet en silicone avec fermeture métallique. Un bracelet est fourni, mais il est possible d'en acheter de différentes couleurs par pack de trois sur le site du constructeur (à 24,90 €), ce qui peut s'avérer sympathique si l'on a l'esprit mode. Sur le côté droit du bracelet sont disposés deux boutons (accès aux fonctions / réglage volume). De part et d'autre, deux minuscules haut-parleurs, donnant la réplique à un micro situé plus haut. Le capteur est fourni avec un mini-câble USB pour sa recharge. Normé IP68, l'attelage est étanche.
Quelques mois tout juste après la sortie du très bon SmartBand SWR10, Sony sort une version améliorée de son tracker d'activité. Le SmartBand Talk (ou SWR30) se veut une version plus connectée du tracker d'activité. Et pour ce faire, Sony a intégré un écran. Écran qui sert aussi bien à voir ses performances en direct, qu'à consulter ses notifications… et même à prendre des appels. Alors, gadget ? tracker de luxe ? La réponse, comme d'habitude, se trouve dans les lignes de ce test. Avant même de commencer le test du SmarBand Talk, il est nécessaire de comparer les caractéristiques de ce nouveau bracelet de Sony à celles de son prédécesseur, le SmartBand SWR10. Les deux bracelets possèdent à peu de choses près les mêmes fonctions : ce sont tous les deux trackers d'activités. Une fois reliés à un smartphone, ils vont alors envoyer des informations à l'application mobile afin de tracer l'activité physique, multimédia et nocturne de l'utilisateur. La principale différence entre les deux bracelets, c'est que le SWR30 possède un écran alors que le SWR10 se contentait de quelques diodes.
Note de la rédaction : On aime: Beaucoup de fonctionnalités, mais souvent mal exploitées - Le bracelet est confortable - L'application Lifelog. On n'aime pas: La rémanence de l'écran - Le tactile manque de réactivité - L'autonomie. Verdict : Le SmartBand Talk est décevant. Certes son écran apporte quelques fonctionnalités intéressantes, mais sa qualité laisse à désirer tout autant que sa sucrcouche tactile, peu agréable à utiliser. Surtout, malgré l'emploi d'un écran à technologie E-Ink, reconnu pour sa faible consommation d'énergie, l'autonomie ne dépasse pas trois jours ! Enfin, la lecture des notifications est un peu hasardeuse, ce qui est d'autant plus dommage qu'elles sont ajustables avec précision depuis les réglages du bracelet. Au final, le potentiel est bien là, mais dans les faits, difficile d'être emballé. Sony a rapidement suivi la mode des bracelets connectés, en dévoilant lors du CES en début d'année le SmartBand. Il n'aura pas fallu attendre longtemps avant de voir arriver son successeur, le SmartBand Talk. Officialisé pendant le salon de l'IFA, en septembre dernier, il se veut plus complet que son prédécesseur.