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Nous avons réuni 7 tests du Pebble Time. Les experts notent Pebble Time 8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Pebble Time et d'autres Montre connectée Pebble.
L'esprit de sérieux qui a caractérisé le lancement de l'Apple Watch a laissé de côté l'aspect amusant qu'il y a à porter une montre connectée. Qui n'a pas eu le bourdon en visionnant les publicités pour l'Apple Watch ? Qui n'a pas éprouvé un léger sentiment d'ennui poli devant les présentations de Kevin Lynch ? Ou réprimé un bâillement en surfant sur les pages du site web consacré à l'Apple Watch ? Cliquer pour agrandirPebble joue une partition bien différente. Son statut de challenger — après avoir été l'un des pionniers du marché — lui facilite la vie, tout comme les 20 millions de dollars récupérés sur Kickstarter pour la seconde génération de sa montre connectée : non seulement le constructeur ne ressent pas (à court terme, du moins) la pression financière sur ses épaules, mais encore Pebble a toute latitude pour développer une expérience plus décontractée. La Pebble Time se pose en alternative tout à fait crédible aux montres connectées du marché, qu'il s'agisse de l'Apple Watch ou des toquantes sous Android Wear. Crédible, mais aussi fragile : comme on le verra dans ce test, si les atouts de la Pebble Time sont de nature à faire pencher la balance de son côté, les limites sont tout aussi problématiques. Personne ne se réveillera la nuit pour admirer une Pebble Time posée sur la table de chevet. Et pas grand monde ne scrutera votre poignet avec envie si vous portez une Pebble Time. Malgré tout, cette nouvelle génération de Pebble n'a plus rien à voir avec le jouet de geek de la précédente version. Exit le gros rectangle en plastique, et bonjour au format carré qui n'est pas sans rappeler celui de l'Apple Watch. Au second plan, une Pebble de première génération — Cliquer pour agrandirL'écran de la Pebble Time est entouré d'une bordure en aluminium qui donne un discret effet classieux à la montre. On retrouve toutefois très rapidement le plastique de qualité très moyenne au toucher granuleux qui n'a malheureusement rien de très premium. Une impression encore renforcée par les quatre gros boutons palliant l'absence d'écran tactile : ces boutons, qui ont tout leur intérêt comme on le verra plus loin, sont très loin d'offrir la même sensation de solidité et de qualité de finition que les boutons de l'Apple Watch. Et quand on appuie dessus, le seul mot qui vient à l'esprit pour les qualifier est… mou. Cliquer pour agrandirSi l'Apple Watch exploite de nouveau la conception...
Après une première montre connectée lancée avec succès grâce à KickStarter en 2012, Pebble a réitéré l'opération avec la Time. Si ce nouveau modèle conserve l'écran E-ink qui a fait l'autonomie de la première smartwatch, celui-ci affiche désormais les couleurs. La Pebble Time se targue également d'un design plus classieux et garde son étanchéité, sa compatibilité Android et iOS et, surtout, ses nombreuses applications ? Mais que vaut-elle réellement à l'usage et se démarque-telle vraiment des montres concurrentes des grandes marques ? La rédaction de Tom's Guide l'a testée pour vous. Retrouvez notre comparatif des meilleures montres connectées La montre connectée Pebble Time Même éteint, l'écran couleur E-ink affiche toujours les informationsC'est la principale nouveauté de la Pebble Time par rapport au premier modèle : la présence d'un écran en couleur. La première montre Pebble était en effet équipée d'un écran à encre électronique classique, c'est-à-dire noir et blanc. Si la technologie permettait d'avoir un affichage constant ainsi qu'une grande autonomie, elle commençait tout de même à faire pâle figure face aux écrans colorés des montres de Samsung, Motorola, LG et même Apple. C'est pourquoi la Pebble Time propose cette fois un écran E-ink permettant d'afficher 64 couleurs différentes, avec la même définition de 144 pixels par 168. À l'usage, l'écran s'avère assez confortable. Le rétroéclairage s'éteint automatiquement au bout d'un certain nombre de secondes, défini dans les paramètres, pour économiser la batterie. L'affichage reste alors parfaitement visible en plein jour. Pour le rallumer, il suffit de secouer le poignet ou d'appuyer sur le bouton retour, à gauche de la montre. L'autonomie est justement le principal point fort de la Pebble Time par rapport à ses concurrents. Là où l'Apple Watch, la G Watch R ou la Moto 360 ne tiennent qu'un jour ou deux au maximum, Pebble annonce une autonomie jusqu'à une semaine pour la Time. Bien évidemment, il ne s'agit que d'une estimation, mais au cours de nos tests, nous avons réussi à utiliser la montre connectée durant quatre jours de façon intense. Une performance qui tient donc à la batterie de 150 mAh, mais surtout à l'écran E-Ink, économe en énergie. Depuis la première smartwatch sortie en 2012, Pebble a su attirer les développeurs tiers, notamment grâce à son magasin d'applications et de cadrans intégrés à l'application...
La Pebble Time est une montre atypique sur le marché. Elle est plus ou moins la seule à fonctionner avec un écran ePaper semblable à celui des liseuses (à quelques rares initiatives confidentielles près). Et son fabricant a choisi la voie de l'indépendance vis-à-vis d'Apple (forcément) et de google, qui pourtant propose son OS Android Wear à des conditions plus qu'avantageuses. Cette indépendance est une force, puisque la montre est à la fois compatible avec les smartphones Android, et les iPhone. Un atout qui a, très tôt, provoqué un engouement exceptionnel pour les produits de la marque. L'indépendance n'est toutefois pas sans contrainte, puisqu'elle oblige les développeurs à créer des applications spécifiques à son système. Ce qui prend du temps, et réduit forcément aussi le nombre d'applications disponibles. Dans ce contexte où les applications font la loi, la Pebble Time a-t-elle ses chances ? Clairement, le design de la Pebble Time n'est pas son point fort. Et la plupart des personnes à qui nous l'avons confrontée étaient du même avis. Les rebords de l'écran sont très larges, les boutons auraient mérité d'être plus discrets, et le boîtier est constitué essentiellement de plastique. Seul le contour de l'écran est en métal. Globalement, côté look, elle est plus proche des montres à cristaux liquides de notre jeunesse que des élégantes montres lancées ces derniers mois par Motorola, LG ou Huawei. La Pebble Time a toutefois le mérite d'être légère (42,5 g) et plutôt discrète dans ses dimensions. Contrairement à beaucoup de ses concurrentes, elle pourra ainsi être portée sur un poignet féminin en passant plus ou moins inaperçue. On pourra aussi troquer le simple bracelet en caoutchouc par n'importe quel autre modèle plus chic au format 22 mm. La montre s'est également montrée robuste lors de nos différents tests, et aucune rayure n'est apparue sur le cadran. Sans doute grâce au traitement Gorilla Glass 3, qui la prémunit contre les chocs. Détail qui a son importance enfin, la montre peut résister à une immersion dans l'eau jusqu'à 30 mètres. Nous n'avons pas pu vérifier (la Seine n'est pas si profonde), mais nous l'avons plongée de longues minutes dans l'eau et emportée sous la douche plusieurs fois sans que cela nuise à son bon fonctionnement. La principale attraction de la Pebble Time est son écran ePaper qui fonctionne sur le même principe que celui des liseuses à encre...
La Pebble Time est une nouvelle montre connectée qui sort un peu du commun. Mais avant tout, il est important de signaler que je n'avais jamais trouvé d'intérêt aux montres connectées. Je n'en ai testé qu'une seule, il y a un bon moment, nommé Omate Trusmart, dont plus personne ne se souvient aujourd'hui (exceptés peut-être ceux qui en ont acheté une). Pour preuve, la marque a étoffé depuis son catalogue avec 4 autres modèles, et personne n'en a (presque) jamais parlé. Puis, il m'a toujours été difficile de concevoir un objet nécessitant d'être rechargé toutes les 48 heures (voir moins) comme un garde-temps. J'ai donc décidé de mettre tous mes préjugés dans un carton (enfermé dans l'armoire d'un vaisseau balancé dans une lointaine galaxie), afin d'entamer le test de la fameuse Pebble Time avec un regard neuf. Fameuse, car elle a rencontré un succès fou sur Kickstarter (500 000$ espérés, 20 millions récoltés). La société, maligne et efficace, a également réussi à honorer les commandes dans des délais respectables, une chose rare pour être soulignée, mais doit faire face à une rupture de stock. Un succès que nous allons tenter de comprendre… ou pas. Non, ce n'est pas un fond d'écran fixe. Il est affiché 5h35
La Pebble Time nous rappelle qu'avant de graviter autour de l'Apple Watch et Android Wear, le monde des montres connectées était peuplé d'acteurs y allant chacun de son initiative pour faire bouger les choses. Et la petite startup est de ceux qui s'accrochent. Toujours propulsé par Kickstarter, leur troisième modèle mise sur un design plus fin, un écran e-ink en couleur, et toujours pas de tactile. Une approche rafraîchissante pour une des rares montres compatibles Android et iOS. La Pebble Time se veut moins volumineuse que les deux premières tentatives du constructeur et de ce côté, c'est plutôt réussi. La montre vise un design de type sportif, proche de celui de l'Apple Watch, mais plus fin, et légèrement incurvé sur le dessous. Ça plaira aux utilisateurs allergiques aux boitiers plats, ou même bombés comme celui de la montre d'Apple et son imposant capteur cardiaque, dont la Pebble Time est d'ailleurs complètement dépourvu. Le boitier mélange plastique mat et bordure en métal, et on pourrait trouver l'ensemble vraiment réussi si la finition ne le trahissait pas. On ne peut pas s'empêcher de trouver à la montre des petits airs de prototype : les boutons ne sont pas très bien alignés, le métal se raye très facilement. C'est compréhensible vu les moyens d'une petite entreprise comme Pebble face à des géants. Si la version commerciale ne bénéficie pas d'améliorations par rapport à la version Kickstarter, la Pebble Time risque de mal vieillir, vu son usure déjà perceptible au bout de quelques jours. En revanche, on pourra lui faire prendre l'eau : le boitier est étanche ! On a évoqué les boutons et ils sont primordiaux, car la Pebble Time, comme les deux précédentes, n'est pas tactile. La navigation s'effectue intégralement via une série de trois boutons (haut, validation, bas) sur la tranche droite, et un bouton back sur la tranche gauche. Le tactile sur un si petit écran divise : Apple offre une navigation hybride avec sa couronne digitale, et Android Wear commence à intégrer des gestes permettant de s'en passer partiellement. Faire l'impasse sur la technologie paraît à contre-courant en 2015, mais on verra que l'interface est assez bien pensée malgré tout. Pebble a opté pour un bracelet standard et amovible. Notre montre est fournie avec un bracelet en caoutchouc qu'on a trouvé de bonne qualité, peut être un peu trop souple au goût de certains. Pebble se distingue de ses concurrents par la...
En 2012, lorsque Pebble Technology débarque avec ses drôles de montres et son financement participatif pour devenir la première "belle histoire" de Kickstarter, le marché des tocantes intelligentes n'est qu'une vague idée où Sony se lance sans grande conviction avec sa première SmartWatch. Trois ans plus tard, les Pebble et Pebble Steel se sont écoulées à plus d'un million d'exemplaires. Les meilleures représentantes du secteur juste derrière les montres Samsung. Nous voici donc devant la nouvelle itération, tout simplement intitulée Time et elle aussi issue d'une campagne Kickstarter historique (plus de 20 millions de dollars récoltés). La recette de cette Pebble Time semble la même que pour les premières Pebble : un produit ultra simple d'accès, un système d'exploitation qui l'est tout autant, la promesse d'une autonomie solide et une compatibilité multi-OS (Android et iOS). Le seul vrai changement de prime abord semble être le passage du noir et blanc à la couleur pour l'écran. Dans la Pebble Time, on trouve toujours des composants qui semblent à des années-lumière de ce que proposent les géants high-tech sur les montres connectées : une puce STMicroelectronics STM32F439ZG MCU cadencée à 180 MHz (ARM Cortex-M4), 128 Mo de mémoire, une batterie de 150 mAh et un écran rectangulaire LCD très basse consommation de 1,25 pouce (3,2 cm de diagonale) proposant 64 couleurs et une définition de 168 x 144 pixels. Ce dernier n'est toujours pas tactile, mais dispose cette fois-ci d'un revêtement Corning Gorilla Glass 3 pour prévenir des rayures et chocs, ainsi que d'un capteur de luminosité ambiante. Le boîtier est étanche 3 ATM et Pebble Technology assure une utilisation aquatique sans anicroche. La connectivité sans fil s'effectue via Bluetooth avec des mobiles iOS 7 et Android 4.3 minimum. La Pebble Time est commercialisée au tarif indicatif de 199 euros. Si son achat se fait pour le moment en direct avec Pebble, la marque adoptera une commercialisation à celle de ces derniers mois avec ses premiers modèles, à savoir une disponibilité dans chez Bouygues Télécom et quelques multispécialistes. Le look étiré de la Pebble "1" laisse sa place à un format carré, avec un écran encadré d'une bordure de plus de 2,5 mm puis d'un nouveau cadre d'ornement de 5 mm. Si l'on est moins dans le grossier par rapport à la première itération, cette Pebble Time reste relativement rudimentaire dans sa présentation et n'entre...
Les journalistes ont l'habitude de résumer trop rapidement le choix dans le secteur de la montre connectée à Android Wear ou à l'Apple Watch. Pas seulement sur les médias généralistes, mais aussi dans la presse spécialisée, comme j'ai pu le lire dans le dernier Canard PC Harware. Pourtant, il existe une alternative crédible : Pebble. Dernièrement, cette petite entreprise américaine a réussi à repousser le record Kickstarter, détenu par la première Pebble, avec sa Pebble Time. La campagne est arrivée à son objectif, en moins de 24 heures. Au total, elle a recueilli 20 millions de dollars. Les vaut-elle ? Tout le secteur de la montre connectée devrait être redevable à Pebble. En quelques mois, Pebble a réussi à concevoir une vraie alternative aux grands écosystèmes que sont iOS, Android et Windows. Avec un produit compatible avec toutes les plateformes, Pebble Time n'est pas seulement de l'Android Wear à la sauce Pebble, c'est une philosophie particulière, un concept unique et une plateforme propriétaire. Le design industriel de la Pebble Time lui confère à la fois certains de ses plus grands atouts, mais aussi ses plus grandes faiblesses. En effet, le matériel est très léger, et étonnamment petit et mince. Elle est résistante à l'eau - je l'utilise sous la douche - et son bracelet est interchangeable (standard 22 mm). Le tout prend peu d'espace sur le poignet, avec un dos concave pour plus de confort. Le plastique utilisé est de qualité, cela respire la qualité et une bonne finition. Qualité… ne veut pas dire que la Pebble Time est " jolie ". Au premier abord, tout ce plastique lui donne une apparence de jouet pour enfants. Les boutons sont moins saillants que le premier modèle, néanmoins ils restent imposants. L'appui est spongieux, mais se termine pour un clic à la fin. Vous remarquerez également la présence d'un microphone (résistant à l'eau), utile pour lancer des commandes vocales. La face de la Pebble Time est symétrique et ressemble à une minuscule télévision old-school.