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Nous avons réuni 6 tests du Wileyfox Swift. Les experts notent Wileyfox Swift 6.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Wileyfox Swift et d'autres SmartPhone Wileyfox.
Après Kazam, c'est au tour du fabricant britannique Wileyfox de lancer deux smartphones avec les Storm et Swift, ce dernier étant l'objet de ce test. Proposé à 179 euros, il s'agit d'un smartphone d'entrée de gamme évoluant sous CyanogenMod. Parvient-il à se différencier et à sortir son épingle du jeu ? Réponses dans notre test complet du Wileyfox Swift. Imaginée par des anciens de HTC, Kazam avait quelque peu créé la sensation avec des smartphones au rapport qualité/prix attrayants. Le fabricant britannique avait aussi différencié son offre avec un support singulier et un service de SAV séduisant. Au tour de Wileyfox de tenter de s’imposer sur un marché très concurrentiel et déjà fort encombré. Dans cette optique, la société a lancé deux terminaux mobiles sous Android, ou plutôt sous CyanogenMod, le plus populaire des forks d’Android. Basé sur la ROM Android Lollipop 5.1, il s’agit de la mouture 12.1 de l’OS alternatif. Wileyfox_Swift_g Le Swift ne devrait pas laisser indifférents les amateurs de personnalisation à tout-va mais aussi les adeptes de la confidentialité, ou plus globalement des ROM proches d’Android Stock. Mais, il ne s’agit pas pour autant d’occulter les spécifications techniques de ce smartphone, toujours essentielles pour trouver chaussure à son pied. Le Swift est équipé d’un écran à technologie IPS de 5 pouces protégé par Gorilla Glass 3 signé Corning. Pas de QHD, ni même de Full HD ici, puisque le terminal se « contente » d’afficher de la HD / 720p (1280 par 720 pixels), soit une chiche résolution d’affichage de 294 ppp (pixels par pouce). On est donc loin de la finesse d’affichage des fleurons que sont les Galaxy S7 et autre LG G5. Mais, on est aussi loin des tarifs élevés de ces flagships de fabricants. L’acuité visuelle a aussi ses limites qui permettent parfaitement de s’accommoder de la définition 720p sur un écran de 5 pouces. Wileyfox_Swift_Home-Screen En fait, l’écran du Swift pêche plutôt du côté de la luminosité élevée qui ne lui permet pas d’afficher des noirs profonds. En contrepartie, l’écran est donc très lumineux et peut être visualisé sans coup férir en plein soleil. Le taux de contraste est plutôt flatteur, tout comme l’angle de vision, mais le gamut de couleur ne plaide pas véritablement en sa faveur. Ceci étant dit, CyanogenMod a ses raisons qu’Android ne connait pas. Le fork permet de régler toute une batterie...
Wileyfox est une marque jeune… très jeune, basée en Angleterre (à Londres pour être précis) et co-créée par l'ancien Directeur Général de Motorola UK : Nick Muir. Une entreprise qui vient de se lancer, certes, mais qui propose déjà 2 mobiles aux spécifications intéressantes et aux prix bas. Dont, plus particulièrement, le Wileyfox Swift. Le plus « raisonnable » des 2 modèles existants, et pourtant déjà très bien doté… Et surtout, proposé à un petit prix de 179€ (prix client maximum conseillé). Wileyfox est donc une marque qui montre son envie de se tailler sa part de marcher, et qui pour se différencier de la concurrence, intègre des fonctionnalités centrées sur la protection/sécurisation des données. Mais la principale originalité provient de son système d'exploitation qui n'est autre que Cyanogen. Si de face, ce Swift est d'une tristesse et d'une banalité déprimante, la marque a su travailler sur un dos original (le cache-batterie). Donc, concrètement, de face, c'est triste au possible, et le dos lui est plus sympathique, agréable au toucher, et peu glissant. Notons tout de même que la vitre tactile est (selon les informations du constructeur) une Corning Gorilla 3 (même si on remarquera une tendance de la vitre à se déformer sous la très forte pression…). Ce qui prouve que Wileyfox a apporté un soin particulier à la sélections des composants et éléments de ce mobile. On remarquera également la présence d'une LED de notifications dans le coin supérieur gauche de l'écran (et qui se distingue à peine lorsqu'elle est éteinte, ne dégradant pas ainsi le design du mobile). Ce mobile est depuis peu disponible en 2 versions couleurs : en noir (la version testée) ou en blanc. L'écran de ce Swift est un bon écran, d'autant qu'il faut se souvenir que nous sommes en présence d'un mobile entrée de gamme. 5 pouces, avec une résolution HD ready (ndlr : on entend déjà les inconditionnels d'imports chinois dire « mails il n'est pas full HD ») et si les couleurs peuvent potentiellement (aux yeux de certains) manquer de « saturation », on pourra dire que la luminosité est tout à fait bonne. Une image nette avec une densité proche des 300ppp, et une image fluide en jeu 3D (comme nous pouvons le constater grâce au test Epic Citadel, cf la section « Performances »).
Cet été, un nouvel acteur a débarqué en France : Wileyfox. Originaire du Royaume-Uni, ce constructeur encore confidentiel présentait alors deux mobiles : le Swift, un modèle plutôt économique, et le Storm, qui se positionne davantage sur le milieu de gamme abordable. Lors de cette présentation initiale, nous avions remarqué quelques similitudes avec la stratégie de OnePlus, la start-up de Carl Pei qui s'est fait connaître l'année dernière grâce à son « Flagship Killer » (et dont nous avons testé le remplaçant il y a deux mois). Une similitude qui s'exprimait d'abord par le ton de sa communication institutionnelle et commerciale : prix attractif, rapport qualité-prix, canal de distribution uniquement en ligne. Une stratégie copier-coller ? Mais ce n'était pas le seul point commun. Les produits aussi s'inspiraient visiblement du OnePlus One : colori Sandstone Black et ROM Cyanogen OS. Des choix intéressants. Mais un peu copié quand même. Il n'en fallait pas plus pour attiser notre curiosité. Voici donc le Swift en test dans notre rédaction et notre intuition ne nous a pas trompés : une fois en main, le Wileyfox singe beaucoup le Flagship Killer. Reste à savoir à quel point. C'est ce que nous allons découvrir tout au long de notre test. En attendant, voici les détails de la fiche technique : Le Swift est un smartphone vendu 179 euros hors subvention. Il n'est plus rare de trouver des mobiles vendus sous la barre des 200 euros et avec une telle configuration. En fait, nous serions peut-être même déçus de ne voir qu'un Snapdragon 410, que nous retrouvons même dans certains mobiles 4G premier prix. Cependant, nous sommes ravis de constater que Wileyfox ne lésine pas sur la protection de l'écran, avec Corning Gorilla 3. Cela rattrapera un petit manque d'ambition sur la plate-forme qui dénote face à celle de OnePlus. Et nous verrons que, côté performances, l'apport de Cyanogen n'est pas négligeable. Une inspiration marquée Ergonomiquement, en revanche, la ressemblance est assez frappante. Le petit smartphone reprend certains codes du Flagship Killer de façon évidente. Cela commence naturellement avec la coque arrière du produit avec cette texture légèrement granuleuse. Chez OnePlus, cela s'appelle Sandstone Black. Comme chez Wileyswift (traduit en français en « Grès noir »). Cette coque en polycarbonate très douce au toucher recouvre, comme le Flagship Killer la moitié des tranches, le reste étant dévolu...
Après Kazam, un second fabricant britannique ambitionne de prendre d'assaut le marché français des smartphones. Répondant au doux nom de Wileyfox, le nouveau venu débute avec deux modèles, le Swift et le Storm. Nous testons ici le premier cité, qui est aussi le moins onéreux des deux. Le nom de Wileyfox ne vous dit rien ? C'est normal puisqu'il s'agit d'un tout nouveau constructeur. Une fois n'est pas coutume, il ne nous vient pas de Chine. Pour envahir les étals français, ses produits n'auront que la Manche à traverser — après, certes, être arrivés d'usines qu'on devine bien chinoises de leur côté — puisque Wileyfox bat pavillon anglais. Le premier des smartphones lancés par la nouvelle marque à passer le pas de la rédaction est le Swift, soit le modèle de milieu de gamme à prix serré. Vu son positionnement, ce dernier ne se permet guère de fantaisie dans sa fiche technique. Il propose ainsi un écran de 5" HD (1280 x 720 px), protégé par du verre Gorilla Glass 3, une puce mobile (SoC) Qualcomm Snapdragon 410 à 4 cœurs ARM Cortex A53 (1,2 GHz), épaulée par 2 Go de RAM et un iGPU Adreno 305. Côté multimédia, la captation de photos et de vidéos est assurée par un capteur 13 Mpx à l'arrière, et un deuxième de 5 Mpx à l'avant. Pour stocker les instantanés du petit dernier, de Tata Janine ou du contenu palpitant des assiettes, 16 Go de stockage interne sont proposés, auxquels peuvent s'ajouter jusqu'à 32 Go par carte microSD. L'appareil propose aussi des fonctions double-SIM et 4G. L'ensemble tient dans des dimensions de 141,15 x 71 x 9,37 mm (135 g), et tourne sous CyanogenMod 12.1, qui se base sur Android 5.1 Lollipop. Le Wileyfox Swift est disponible au tarif public conseillé de 179 €. Il suffit de manipuler le smartphone quelques instants pour comprendre que le constructeur a mis un soin particulier à la conception de son appareil. Si le design de l'ensemble apparaît relativement classique de prime abord, on se prend vite à apprécier tout particulièrement le revêtement de la coque arrière en plastique gommeux lisse, qui assure d'emblée à l'appareil une excellente prise en main. Cette prise en main est confortée par des dimensions raisonnables. De sorte que la préhension se montre assez agréable dans l'ensemble. Ajoutez à cela une qualité de fabrication sans faille et vous comprendrez que le Swift réalise un presque sans-faute. Néanmoins, il y a tout de même un défaut à signaler : le...
Nouvel entrant sur le marché du smartphone, le britannique Wileyfox va commercialiser dans les prochains jours son premier modèle, le Swift. L'objectif de la marque : proposer des mobiles équipés de composants de bonne facture à tarif abordable. Un énième acteur low cost ? Pas complètement. Hormis son prix modéré de 179 euros, le Swift se distingue par la présence de la dernière version de Cyanogen sur une base d'Android Lollipop, à l'instar du OnePlus One. D'autre part, cette nouvelle marque s'appuie sur un réseau de centres d'appels chargés du service après-vente et de conseiller les consommateurs. Du low cost peut-être, mais qui se veut premium. Le Swift se montre-t-il à la hauteur dans ses performances ? Réponse dans ce test. Le Swift ne compte pas parmi les smartphones les plus fins ou les plus légers du marché. A diagonale égale de 5 pouces, le dernier Wiko Rainbow Up 4G (150 euros) fait mieux sur ces deux points avec 8,3 mm d'épaisseur/128 g contre 9,3 mm/136 g pour le modèle de Wileyfox. Mais, en dépit d'un style classique, la compacité des plus correctes du Swift séduit visuellement et assure par ailleurs une excellente prise en main. On aime plus particulièrement le dos en gomme lisse original et élégant avec son logo à tête de renard et son capteur photo cerclé d'un liseré orange (en rappel de la marque de même couleur). Sous le capot, on trouve une batterie amovible de 2500 mAh, un emplacement double SIM et un lecteur de cartes microSD (jusqu'à 32 Go) pour étendre facilement la mémoire de 16 Go (dont un peu moins de 12 Go disponibles). Seuls bémols, pour recharger le mobile, il faudra forcément passer par le câble MicroUSB fourni : les autres ont tendance à se détacher au bout de quelques instants. Un petit défaut qui fait tâche alors que tout le reste respire l'excellence au niveau de la finition. Précisons d'autre part que Wileyfox ne fournit pas le chargeur. Seul le câble MicroUSB plat fourni par Wileyfox tient bien en place. En matière de connectivité, on reste sur du très classique Wi-Fi n, Bluetooth 4.0, pas de NFC mais une compatibilité avec les réseaux 4G (catégorie 4, jusqu'à 150 Mbit/s théorique en download). Le reste de l'équipement est dans la lignée de ces premiers éléments, sans grande surprise mais de bonne facture, à commencer par l'écran. Sur du format 5 pouces, la définition HD de l'écran livre une résolution satisfaisante approchant les 300 points par pouces. On...
Tout droit venue d'Angleterre, la marque Wileyfox vient d'annoncer ses deux premiers smartphones, le Storm et le Swift. Positionnés entre entrée et milieu de gamme, ces deux téléphones visent à donner un coup de pied dans la fourmilière et à balayer les défauts des autres produits disponibles sur le marché. Le Swift, proposé à moins de 180 euros, serait-il le nouveau killer de sa catégorie ? Nous l'avons essayé pour voir si le constructeur outre-Manche tient ses promesses et arrive réellement à proposer le " rapport qualité-prix imbattable " annoncé. Si l'on ne se fie qu'à sa fiche technique, Wileyfox semble avoir rempli sa part du contrat en proposant des composants de qualité pour un prix réduit. Pour moins de 180 euros, le Swift propose un écran HD de 5 pouces, un processeur reconnu de qualité couplé à 2 Go de mémoire vive, ainsi que des à-côtés non négligeables (comme un appareil photo de 13 Mégapixels). Autant dire que si son ramage se rapporte à son plumage, il est bien parti pour être le phœnix des hôtes de l'entrée de gamme. Un comble pour un renard... Le Swift est un smartphone d'entrée de gamme, proposé à moins de 180 euros. Si certains pourraient s'attendre pour ce prix à avoir en mains un produit " cheap " ou mal fini, ce n'est pas du tout le cas ici. Les finitions sont bonnes et la prise en mains agréable. En outre, sa façade arrière est très douce au toucher, contrairement au OnePlus 2 qui donne l'impression d'être taillé dans du papier de verre, et ce malgré une apparence assez similaire à l'œil. Entre plastique et carton, cette coque ne fait pas " noble ", mais casse les codes habituels, et c'est une très bonne chose. Pour terminer avec cette vue de derrière, le logo de la marque (une tête de renard) dégage une certaine classe. Il est dommage toutefois qu'à ce niveau le revêtement s'effile légèrement. Afin d'accentuer cet aspect qualitatif, l'appareil photo est cerclé d'un fin liseré couleur cuivre, faisant légèrement ressortir l'œil du téléphone et rappelant l'orange du nom de la marque inscrit sur la partie basse. Les trois boutons physiques habituels sont tous situés sur la tranche droite du Swift et tombent instinctivement sous les doigts. Néanmoins, avec de grandes mains, l'index gauche tombe plus facilement sur le bouton de volume que sur celui de l'alimentation, et il arrive parfois de s'y reprendre à deux fois avant d'allumer ou d'éteindre l'écran. Le reste est...