5 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 5 tests du Microsoft Surface Pro 3. Les experts notent Microsoft Surface Pro 3 8.2/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Microsoft Surface Pro 3 et d'autres Tablette tactile Microsoft.
La Microsoft Surface 3 Pro entend bien gommer les errances des versions précédentes. Certes, la Surface était un bon concept, mais la première génération souffrait de quelques défauts de conceptions et quelques choix pour le moins étranges (qui a bien pu dire que la Surface RT était une bonne idée ?) résultat l'appareil s'est plus contenté d'un succès d'estime qu'autre chose. Avec cette troisième génération Microsoft arrive cependant avec un produit bien plus mature et des objectifs plus qu'ambitieux : venir titiller Apple et son MacBook Air, en particulier auprès des étudiants. Un choix certes loin d'être facile mais bien plus logique que celui de tenter de concurrencer l'iPad. La Surface était et reste d'ailleurs l'un des plus beaux exemples de design industriel du monde du PC. Logiquement, la Surface 3 Pro en reprend l'essentiel des codes. On retrouve donc une tablette en magnésium à la finition tout simplement parfaite. Peu de fabriquant peuvent se targuer de faire jeu égal avec Apple sur ce point et Microsoft soutient sans rougir la comparaison, ce qui n'est pas peu dire.
LaRuche
Ajouté le : 09/2014
Plus accessible...
Notre premier contact avec la Surface Pro 3 de Microsoft nous avait emballés. Il faut dire que - nous allons le voir dans ce test - les efforts réalisés par le géant de Redmond pour concevoir cette troisième génération de Surface n'ont pas été vains. Mais outre l'évolution du produit sur les plans technologique et ergonomique, c'est son positionnement qu'a aussi retravaillé Microsoft, puisque la Surface Pro 3 est introduite comme la tablette capable de remplacer avantageusement un Ultrabook tactile, et de se muer en sus en carnet de notes grâce à son stylet. Un repositionnement intéressant, qui pourrait bien aider le produit Surface Pro 3 à convertir un nouveau public à sa cause. Indéniablement, la Surface Pro 3 est un beau produit. La tablette fait seulement 9,1 mm d'épaisseur et ne pèse que 800 grammes, contre 13,5 mm d'épaisseur pour la Pro 2 qui pèse 907 grammes. Et lorsqu'il s'agit de manipuler une tablette, ces chiffres font une sacré différence. Surtout pour un produit qui embarque un écran d'une diagonale de 12''. On aurait d'ailleurs pu penser que cela empêcherait de manipuler l'objet à une main, mais c'est en réalité parfaitement possible, grâce notamment au poids « plume » de l'objet qui embarque on le rappelle tout ce qu'il faut pour en faire un vrai PC puissant. Les finitions sont d'un très bon niveau, la tablette inspire la solidité, et son style est affirmé par l'utilisation de côtés légèrement biseautés.
Et de trois ! Microsoft présentait au mois de mai sa nouvelle et troisième génération de tablette tactile, la Surface Pro 3. Trois mois plus tard, la tablette est commercialisée. Une tablette dont le positionnement officiel a évolué puisque Microsoft présente maintenant Surface Pro 3 comme un appareil remplaçant à la fois votre tablette tactile et votre ordinateur portable. Cela fait logiquement de Surface Pro 3 une solution hybride, ce qui d'ordinaire est connoté négativement puisqu'à trop vouloir faire de choses, on les fait généralement moins bien. Pour autant, les précédentes générations de Surface ne déméritaient pas : en s'appuyant sur les forces de Surface Pro et Surface Pro 2, la Surface Pro 3 pourrait-elle réussir à convaincre ? Ne dit-on pas d'ailleurs qu'il faut toujours attendre la troisième version d'un produit Microsoft pour avoir une solution convaincante ? Pour cette Surface Pro 3, Microsoft a conservé le design caractéristique des Surface tout en faisant évoluer la physionomie de l'appareil. La tablette est en effet plus large puisque dotée d'un écran de 12 pouces. Le châssis a lui aussi évolué : beaucoup plus fin avec seulement 9,1mm d'épaisseur, il est fait de magnésium, et Microsoft a abandonné la peinture noire des premières Surface.
En octobre 2012, Microsoft se lançait sur le marché des tablettes avec un produit novateur : Surface. Un appareil faisant office à la fois de tablette et d'ultrabook, pouvant remplir toute sorte de tâches et fonctionnant sous Windows. À vrai dire, ce n'était pas une première pour Microsoft, qui avait déjà commercialisé des « Tablet PC » au début des années 2000. Mais depuis, le géant de Redmond avait totalement abandonné le marché, et s'était fait voler la vedette par Apple et son iPad, ainsi que les innombrables modèles fonctionnant sous Android. Une première version assez mal accueillie A gauche la Surface Pro 3, à droite la Surface Pro 2En 2012 donc, Microsoft est revenu sur le devant de la scène en lançant, en même temps que Windows 8, deux tablettes : la Surface Pro d'un côté, et la Surface RT de l'autre. Si l'éditeur n'a jamais communiqué les chiffres de vente de ses deux appareils, il semble néanmoins que les premiers modèles aient été très difficiles à écouler. Le grand public a plutôt mal accueilli la Surface RT, car il ne pouvait pas y installer ses logiciels classiques Windows, mais uniquement celles du Windows Store (encore peu nombreuses à l'époque).
Après une première version peu convaincante et une seconde qui conservait quelques défauts, Microsoft s'accroche à son concept de Surface Pro. Cette troisième mouture montre de belles améliorations, à commencer par une taille d'écran qui passe à 12 pouces et affichant 2160 x 1440 px. On trouve également un châssis affiné et un nouveau stylet. La Surface Pro 3 sera-t-elle "la tablette qui remplace votre ordinateur portable" ? Gommera-t-elle les quelques imperfections des anciennes versions, dont la chauffe qui plombait légèrement le confort d'utilisation. Le test répond à ces questions... Si les finitions des deux premières versions de la Surface Pro étaient bonnes, on approche ici de l'excellence. Avec seulement 9,1 mm d'épaisseur pour 800 g pour la tablette seule, dans un habit en aluminium brossé — qui, sans vouloir "nourrir le troll", n'est pas sans rappeler certaines machines d'Apple — la Surface Pro 3 flatte l'œil. À la prise en main, sa robustesse est ressentie immédiatement. La béquille qui fait office de support gagne en souplesse et offre maintenant un angle maximal de 150°, plus confortable lors d'une utilisation sans le clavier Type Cover. Elle permet de choisir une orientation précise, s'adaptant facilement à la position de l'utilisateur.