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Nous avons réuni 6 tests du Meizu Pro 6. Les experts notent Meizu Pro 6 7.4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Meizu Pro 6 et d'autres SmartPhone Meizu.
Son design métal très réussi rappelle clairement celui des iPhone 6, 6s et 7. Et lorsqu'on le prend en main, l'illusion persiste : difficile de faire la différence entre le Pro 6 et les smartphones d'Apple. Tant mieux, car le dernier-né haut de gamme de Meizu est, du coup, très agréable à manipuler, avec une finition excellente. Un premier bon point pour la marque chinoise. Malgré son prix défiant toute concurrence (300 euros), le Pro 6 est équipé d'un écran Super Amoled Full HD de 5,2 pouces. Si le contraste de ce dernier est irréprochable, on est en revanche un peu déçu par sa luminosité qui n'atteint « que » 363 cd/m². Un classique sur les dalles Amoled mais des constructeurs comme Samsung parviennent à atteindre des mesures autour de 600 cd/m². Ce n'est pas le cas sur ce Meizu. L'écran sera un peu moins lisible en extérieur que celui d'un un Galaxy S7, sans que cela soit rédhibitoire. Notons également l'intégration d'une fonctionnalité « 3D-Press » inspirée du 3D Touche d'Apple. En appuyant un peu plus fort sur l'icône d'une application, on ouvre ainsi un menu de raccourcis très pratique. Malheureusement le système n'est compatible qu'avec les applications de Meizu, ce qui est un peu frustrant. On apprécie par ailleurs Flyme OS en surcouche d'Android 6.0, toujours aussi sobre et minimaliste. Avec lui, Meizu offre la possibilité, par exemple, de revenir à la fenêtre précédente simplement en effleurant le bouton d'accueil tactile. Cet environnement compte parmi les bonnes alternatives aux fonctions classiques d'Android. Seul regret, le capteur d'empreintes digitales est parfois capricieux et un peu lent. On a connu mieux, même à ce niveau de prix. Pour le processeur, le constructeur chinois a misé sur le Helio X25 de Mediatek, un modèle à dix cœurs dont les deux principaux sont cadencés à 2,5 GHz. La puissance est au rendez-vous en 3D avec environ 40 images par seconde affichées au test Epic Citadel. Largement suffisant pour jouer confortablement à la plupart des jeux gourmands en ressources, même si l'on reste ici loin de la puissance offerte par un OnePlus 3T. La navigation dans l'interface est, quoi qu'il en soit, fluide et ne souffre d'aucun ralentissement. On note en revanche parfois quelques défauts de traduction dans les menus. Côté réseau, l'origine chinoise du Pro 6 se fait sentir par l'absence totale de compatibilité avec la bande 4G des 800 MHz. Attention donc aux clients SFR, dont...
Le Meizu Pro 6 ressemble beaucoup à un iPhone. Et malgré une configuration respectable, la marque chinoise a vraiment trop cherché à en faire un produit Apple pour qu'il puisse être un bon smartphone Android. On trouve le Meizu Pro 6 sur Internet aux alentours des 430-450 euros. Nous avons relevé trois défauts majeurs : une interface peu intuitive, un système d'exploitation qui n'a pas été adapté aux usagers occidentaux et des performances médiocres sur les jeux vidéo malgré la présence d'un processeur à 10 cœur. Plus gênant encore est l'absence d'un bouton retour remplacé par un geste de balayage à faire sur la surface du bouton d'accueil. On peut aussi se servir du bouton virtuel sur l'écran pour naviguer entre les applications. Les deux systèmes fonctionnent, mais sont un peu bizarres à utiliser. Et c'est là que l'on réalise à quel point le bouton retour est important sur Android.Le Meizu Pro 6 est muni d'une interface personnalisée appelée FlyMe 5.6 qui est une version modifiée d'Android 6.0. Elle a été pensée pour ressembler à iOS avec un écran de verrouillage quasiment identique et, ce qui est typique des téléphones chinois, pas de tiroir de rangement pour les applications. Cela signifie que les applications sont réparties sur autant d'écrans d'accueil que nécessaire. En revanche, contrairement à iOS, on peut ajouter des widgets.L'interface FlyMe fonctionne plutôt bien, mais elle a été pensée pour le marché chinois. Les notifications sont en chinois, même si l'on opte pour l'anglais comme langue par défaut. Les services Google sont absents, y compris le Play Store. On peut remédier à cela en installant le Play Store ainsi qu'un lanceur d'applications. Mais ceux qui veulent un téléphone prêt à l'emploi seront déçus.Mais l'un des principaux défauts de ce modèle concerne ses piètres performances pour les jeux vidéo. Il s'est classé dans le bas du tableau sur notre banc d'essai et un jeu 3D comme Sonic Dash n'était pas assez fluide. À l'usage, la navigation dans l'interface est plutôt fluide grâce au processeur MediaTek et ses dix coeurs. Au banc d'essai Geekbench, il a même battu le Galaxy S7 de Samsung. Et bien qu'il cherche vraiment trop à ressembler à un iPhone, il a le mérite d'avoir la qualité de fabrication d'un produit Apple. Son châssis métallique lui confère une excellente prestance lorsqu'on le tient en main et il ne fait que 0,2 mm d'épaisseur de plus que l'iPhone...
Avec le Pro 5, Meizu parvenait à faire d'une pierre deux coups. En l'absence d'un Galaxy Note 5 sur certains pays, la petite marque chinoise offrait une alternative économique et pratiquement aussi convaincante (sauf en photo) : même chipset, même taille d'écran, définition moindre (mais plus de réactivité, même avec 3 Go de mémoire vive), écran Amoled, bonne autonomie et appareils photo très corrects. Une très bonne proposition donc. Changement de gamme Avec le Pro 6, nous n'avons pas été autant charmé, autant être clair tout de suite. D'abord parce que certains détails de la fiche technique nous chiffonnent. Ensuite, parce que le design de ce smartphone manque cruellement d'originalité, notamment vis-à-vis d'un Pro 5 sorti quelques mois à peine auparavant et dont l'ambition était presque palpable. Bien sûr, le Pro 6 est un smartphone séduisant. Mais quand le Pro 5 visait clairement l'iPhone 6 Plus, le Pro 6, lui essaie de se rapprocher de l'iPhone 6S. La preuve avec cette fiche technique : Vous remarquerez d'abord que l'équipement photographique n'a pas changé entre le Pro 5 et le Pro 6. Seule véritable nouveauté ici, l'anneau de 10 LED autour du capteur infrarouge de l'autofocus laser. Ensuite, comme prévu avec MediaTek, c'est l'Helio X25 qui anime ce smartphone. Nous verrons les conséquences de ce changement dans la partie dédiée aux performances. Il bénéficie d'un quatrième gigaoctet de RAM et de deux paliers de stockage, sans extension possible. La batterie est plus petite (-16 %), mais gagne une nouvelle version de la technologie de chargement rapide mCharge. Et l'écran passe de l'Amoled simple au Super Amoled. Plus petit et moins audacieux Physiquement, le smartphone a changé, même si, en apparence, cela ne se remarque pas tout de suite. Les dimensions du mobile ont évolué, perdant 9 mm en hauteur, 7 mm en largeur et 0,2 mm en épaisseur. Ceci est la conséquence d'un écran tactile beaucoup plus petit, puisque la dalle du Pro 5 mesure 5,7 pouces, tandis que celle du Pro 6 ne mesure que 5,2 pouces. Le Pro 6 descend donc d'une catégorie, alors que, historiquement, les « Pro » (MX4 Pro et Pro 5) sont davantage des phablettes que des petits formats. Le Pro 6 et le Pro 5 côte à côte Ce changement de position est d'ailleurs symptomatique dans la téléphonie asiatique : Meizu ne cible plus ici les phablettes comme l'iPhone 6S Plus ou le Galaxy Note 5, mais les « flagships » comme l'iPhone 6S et le...
- Réduire Fiche produit Acheter à 59€ Meizu est une marque qui ne vous dit peut-être pas grand-chose. Elle nous avait pourtant impressionnés l'année dernière avec un Pro 5 surpuissant et très bien fini dont les deux principaux points faibles tenaient à son format de 5,7 pouces et à l'absence de support de la bande des 800 MHz. Il n'aura toutefois fallu que quelques mois à Meizu pour corriger le tir avec un Pro 6 aussi impressionnant que peu inspiré. La fiche technique du Meizu Pro 6 est pour le moins inhabituelle. Passons rapidement sur la forme et les dimensions de l'appareil. Contrairement à son (très) grand frère, le Pro 6 ne fait plus que 5,2 pouces et possède une épaisseur honorable de 7,25 mm. C'est surtout sa fiche technique qui détonne. Le Pro 6 est l'un des premiers smartphones Android à disposer d'un écran Force Touch (ici appelé 3D Press) et le premier smartphone au monde à embarquer le Helio X25, la puce haut de gamme de MediaTek. Meizu a poussé le vice jusqu'à inclure un port USB Type-C 3.0 et à intégrer 4 Go de RAM. Sur le papier, le Pro 6 a absolument tous les attributs d'un smartphone haut de gamme de 2016, voire de 2017. Voilà maintenant près d'une semaine que le Pro 6 est posé sur mon bureau et près d'une semaine que tous les visiteurs de la rédaction prennent l'appareil pour un nouvel iPhone. C'est sûrement l'évidence, mais autant évacuer le sujet tout de suite : le Meizu Pro 6 n'est rien de plus qu'une copie de l'iPhone 6 légèrement revue à la façon chinoise. Que cela concerne ses matériaux, ses coins arrondis, ses antennes et même sa tranche inférieure, tout ressemble très, trop, clairement à un iPhone 6 de 5,2 pouces. Est-ce un mal ? Cela dépend de votre tolérance au plagiat. Personnellement, cela ne me dérange pas. Je trouve le téléphone esthétiquement très réussi en dépit de son manque criant d'originalité. Je le trouve d'ailleurs d'autant plus réussi que Meizu a fait un bel effort sur les finitions.La coque est métal possède peu ou prou la même texture que celle de l'iPhone 6S. L'écran 2,5D prolonge doucement les courbes des tranches arrondies, ce qui rend le téléphone très agréable en main. Les boutons en métal cliquètent discrètement et tombent parfaitement sous la main. Vraiment, on sent que Meizu a bien étudié son concurrent et n'a pas lésiné sur les moyens. Il se dégage donc une agréable sensation de qualité en prenant le Pro 6 entre les...
Meizu adopte un rythme "à la Sony" pour ses fleurons. À peine lancé depuis 6 mois, le Pro 5, incarnation du savoir-faire de la marque, est d'ores et déjà remplacé par le tout nouveau Pro 6. Meizu cherche toujours à se faire une petite niche à côté des mastodontes que sont Apple et Samsung avec, disons-le tout de suite, quelques concessions. Présenté en grande pompe à Pékin, ce Meizu Pro 6 est le nouveau porte-étendard de la marque, mais pas seulement. Il symbolise également un pari audacieux pour une marque qui cherche à se faire une renommée dans les pays occidentaux et à exister aux côtés des monstres que sont Huawei et Xiaomi en Asie. Pour ce faire, la firme mise sur une fiche technique solide et un prix contenu. Un refrain que l'on entend aujourd'hui chez pratiquement toutes les marques. Rayon puissance brute, on trouve donc dans le Pro 6, une puce Mediatek Helio X25 avec pas moins de 10 cœurs (2 Cortex-A72 cadencés à 2,3 GHz et 2 x 4 Cortex-A53 cadencés à 1,4 et 2 GHz), un processeur graphique Mali-T880 MP4 et 4 Go de RAM ainsi que 32 ou 64 Go de mémoire interne, sans possibilité d'extension microSD, contrairement à la génération précédente. Au-dessus de tout cela s'étire un écran Amoled Full HD (1920 x 1080 px) de 5,2 pouces. La photo et la vidéo sont laissées au soin d'un module principal de 21 Mpx avec autofocus laser et flash à 10 leds, et d'un secondaire en façade de 5 Mpx. Pour la connectivité, on retrouve tous les habituels Wi-Fi 802.11 a/b/g/n/ac, Bluetooth 4.1, GPS, Glonass et NFC. Malheureusement, la compatibilité 4G du Pro 6 est toujours amputée de la bande des 800 MHz, ne le rendant que partiellement compatible avec notre haut débit mobile français — nous y reviendrons. Pour compléter le tout, un capteur d'empreintes trouve sa place sous le bouton central principal. Le Pro 6 tourne sous le système d'exploitation maison Flyme OS 5.2, basé sur Android 6.0 (Marshmallow). Le Meizu Pro 6 sera commercialisé en France à la fin du mois de mai, pour un tarif inférieur à celui du Pro 5 lors de sa sortie. On peut donc espérer un tarif tournant idéalement aux alentours de 450 €. Les différences esthétiques et ergonomiques de ce Pro 6 par rapport à son prédécesseur ne sont pas légion. On retrouve la construction de qualité en aluminium qui prête au téléphone une véritable sensation de solidité et de sérieux. Difficile de nier encore une fois la ressemblance...
Meizu ne laisse pas tomber le marché français. En témoigne l'annonce du Meizu Pro 6. Ce mobile de milieu de gamme se révèle suréquipé tant du point de vue de l'hardware (processeur dix-coeurs, 4 Go de RAM…) que des connectiques (capteur d'empreintes digitales, USB Type-C…). Un flagship-killer. Redouté, car proposant des appareils puissants et abordables, le fabricant Meizu peine tout de même à se faire une place sur les segments de milieu et haut de gamme. Même si le rapport qualité-prix est toujours au rendez-vous, les mobiles sont souvent pénalisés par leur design un peu trop commun et, surtout, par leur interface encombrée de bloatwares. En ce sens, le Meizu Pro 6 a pour mission de faire une place au constructeur au milieu des grands. Pour ce faire, le fabricant a mis les moyens : processeur dix-coeur, 32 ou 64 Go d'espace de stockage, 4 Go de mémoire vive, écran de 5,2 pouces Full HD… le nécessaire pour faire mal aux ténors actuels du marché. Le Meizu Pro 6 a clairement les armes pour être la surprise de l'année. À jour du point de vue des connectivités (USB Type-C…), le mobile se paye même le luxe de proposer un écran tactile 3D Press, dans la lignée de la technologie que l'on connaît avec le Force Touch sur certains mobiles haut de gamme (Huawei Mate S ou iPhone 6S). Autrement dit, le smartphone est capable de lancer différentes actions selon la pression que vous exercez sur l'écran. Le Meizu Pro 6 s'annonce comme très convaincant. Sa seule véritable faiblesse : son design sans réelles innovations par rapport à ce que le constructeur chinois a déjà proposé. Autre interrogation : la surcouche. FlymeOS. Espérons que cette dernière ait été épurée de toutes les petites erreurs de traduction qui pénalisaient la navigation. Un mobile qui s'annonce comme très prometteur.