5 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
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Nous avons réuni 5 tests du Meizu Pro 5. Les experts notent Meizu Pro 5 8.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Meizu Pro 5 et d'autres SmartPhone Meizu.
Meizu Pro 5, le retour ! En décembre 2015 nous avions testé une première version prometteuse du smartphone chinois. Malgré de bonnes performances techniques, le modèle pésentait quelques dysfonctionnements au niveau de son logiciel. Nous avions donc choisi de reporter notre verdict définitif. Un peu plus de trois mois plus tard, Meizu a procédé à une mise à jour. Alors, convaincante ? Avec son grand écran Amoled de 5,7 pouces et son processeur Exynos 7 à 8 coeurs, le Pro 5 vient concurrencer les Galaxy S6 qui utilisent la même technologie de dalle, mais aussi un processeur identique. Commercialisé à 499 euros, on peut désormais le dénicher à partir de 470 euros. La différence de prix avec le Galaxy S6 qui était alors considérable en décembre dernier, s'est depuis drastiquement réduite suite à la commercialisation du Galaxy S7. On trouve maintenant de dernier à partir de 409 euros. Il reste qu'à diagonale équivalente, le Galaxy S6 Edge Plus s'avère, quant à lui, bien plus cher (690 euros dans le commerce) que le Pro 5. Difficile pourtant de comparer le design des deux appareils. Mélange de HTC One A9 et d'iPhone 6s, le Pro 5 offre de belles finitions, mais reste d'un style relativement classique. Loin de l'originalité de l'écran incurvé du Galaxy S6 Edge Plus, même si la prise en main de ce dernier s'avère moins agréable à cause d'arrêtes assez tranchantes. L'écran Amoled du Pro 5 n'arrive pas non plus à éliminer les défauts basiques de la technologie, à savoir une luminosité moins élevée que celles qui caractérisent les dalles IPS, ici de 352 cd/m². En revanche le choix d'une dalle seulement Full HD, permet au Meizu Pro de réaliser des performances supérieures aux modèles de Samsung. Avec moins de pixels à gérer que sur leurs écrans QHD, le smartphone chinois inscrit un score de 74 763 à AnTuTu quand le Galaxy S6 Edge Plus réalise 68 438 points et le Galaxy S6, 61 0176 points. De très bonnes performances confirmées avec l'application Epic Citadel où le Meizu affiche en moyenne 58 images par secondes, un résultat parfait pour jouer à des jeux 3D gourmands. L'autonomie est également l'un des points forts du Pro 5. Lors de nos tests, il a ainsi réalisé 11 h 42 en utilisation polyvalente, la plus représentative d'une utilisation quotidienne. On peut ainsi espérer l'utiliser deux jours d'affilée sans avoir à le recharger. Là encore, le Meizu fait mieux que ses deux concurrents de...
La marque chinoise Meizu s'est lancée en mars 2014 sur le marché français des smartphones et propose, depuis, plusieurs appareils destinés à un public aussi large que possible. Ainsi, le constructeur a sorti courant 2014 et 2015, 7 mobiles : MX3, MX4, MX4 Pro, M1 Note, M2 Note, MX5 et M2. Avec son nouveau smartphone orienté plutôt vers le haut du milieu de gamme, le Pro 5, le fabricant compte bien séduire un très grand nombre d'utilisateurs notamment grâce à un design s'appuyant sur un châssis en métal, des lignes ressemblant très fortement à celles d'un iPhone 6 et des composants à la pointe comme le processeur Samsung Exynos 7, l'écran Full HD de 5,7 pouces et les capteurs d'appareil photo numérique signés Sony. Disponible à partir de 500 € (et même 400 € environ jusqu'à fin février 2016) dans sa version de 32 Go de mémoire interne, nous avons pu tester le smartphone Meizu Pro 5 et voici nos impressions. Comme nous l'avons indiqué dans l'introduction, le design du Meizu Pro 5 est assez proche de celui du dernier smartphone d'Apple, l'iPhone 6. En effet, celui-ci s'appuie sur un châssis en métal (attention aux températures basses qui le « transforme » en un petit glaçon). Il est beau et profite aussi de lignes arrondies juste ce qu'il faut pour proposer une très bonne prise en main avec des bords légèrement biseautés. Le mobile est décliné en blanc ou en noir pour la façade tandis que l'arrière et les profils sont gris dans les deux cas. L'unique pièce de métal interdit tout accès à la batterie. Seul un petit emplacement permet d'accueillir les deux cartes SIM ou une carte SIM et une carte mémoire micro SD. Assez classiquement, sur le profil droit, on trouve le bouton marche/arrêt/veille et le double bouton pour gérer le volume sonore. Sur le profil supérieur, il y a le connecteur audio jack 3,5 mm et un microphone. L'emplacement pour les cartes SIM et mémoires est disponible sur le profil gauche du smartphone. Enfin, sur le profil inférieur, il y a un microphone, l'unique haut-parleur et le connecteur USB. À noter que celui-ci présente la particularité d'être de type C donc réversible, ce qui signifie qu'il peut être branché dans n'importe quel sens, simplifiant très largement son usage. Cela évite d'avoir à se demander dans quel sens il faut connecter le câble. On apprécie. Par contre, le revers de cette médaille est que comme ce type de connecteur (et donc de câble) n'est pas encore...
C'est avec bien moins de délais que son prédécesseur, le MX5, que le Pro 5 de Meizu est arrivé en France. Et il aurait été évidemment dommage de l'attendre. Car autant le MX5 est un produit sympathique, autant le Pro 5 est une vraie petite perle, autant le dire tout de suite. Nous allons évidemment étayer cet avis tout au long du test. Un test qui révèle tout le paradoxe de Samsung vis-à-vis de sa branche composant, puisque ce smartphone ressemble beaucoup à un Galaxy Note 5, sans le stylet, sans le châssis arrière en verre minéral, sans écran Quad HD, mais avec tout le reste (ou presque). Et ceci à un prix beaucoup plus doux, vous imaginez bien, même si le Pro 5 est clairement le plus cher des smartphones de Meizu. Tout le savoir-faire de Samsung À l'intérieur de ce beau châssis que nous allons détailler dans quelques instants se trouve une plate-forme robuste et bien connue, puisqu'il s'agit de celle de la famille Galaxy S6 / Note 5 de Samsung. Vous noterez que le Pro 5 est proposé soit en version Note 5 (4 Go de RAM, 64 Go de stockage), soit en version S6 (3 Go de RAM et 32 Go de stockage). La différence tarifaire est d'une cinquantaine d'euros. Ce qui orientera votre choix ne sera pas le stockage en ligne, puisque le Pro 5 dispose d'un lecteur de carte microSDXC, mais bien la quantité de RAM. Avec 3 Go, c'est confortable. Avec 4 Go, vous avez de quoi voir venir. Voici en détail la fiche technique : Cette fiche technique nous révèle deux détails importants vis-à-vis de la stratégie de Meizu. Le Pro 5 est bien le successeur du MX4 Pro, qui était, de par son positionnement, légèrement plus haut de gamme que le MX4. Ensuite, l'intégration du Quad HD dans le MX4 Pro était bien une erreur tactique qui révélait un peu d'opportunisme mal calibré. Si le MX5 nous le montrait déjà un peu, le Pro 5 le confirme clairement : les inconvénients du Quad HD n'arrivent pas à contrebalancer les avantages. Voilà qui est bien dommage, mais plus réaliste. Un design inspiré... mais pas par la Corée Passons au tour du propriétaire. Esthétiquement, le Pro 5 ressemble beaucoup au MX5. Nous retrouvons donc la même coque en aluminium brossé qui couvre le dos et les tranches du téléphone.
Meizu, l'autre constructeur chinois derrière Huawei, revient sur le terrain du haut de gamme avec son "Pro 5", un mobile calibré pour affronter les têtes de gondoles des Samsung, Apple et autres HTC et Sony. Héritier et remplaçant de la lignée MX, le dernier mobile du Meizu vient se loger sur le segment très exigeant des smartphones à plus de 500 € et n'est pas très loin de rafler la mise. Loin de la proposition milieu de gamme que constitue le M2 Note, le fraichement sorti Pro 5 tente de s'attaquer, si ce n'est en termes de renommée, au moins sur le front des caractéristiques, aux grands noms de de la mobilité. Pour cela, le Pro 5 s'équipe d'une puce Samsung Exynos 7420 — la même que dans le Galaxy S6 — aidée par une puce graphique Mali T760 MP8, 3 Go de mémoire vive ainsi que 32 Go de stockage ou bien 4 Go de mémoire vive et 64 Go, selon les versions (stockage extensible via microSD). L'écran Amoled de 5,7 pouces affiche une définition Full HD (1 920 x 1 080 px) pour une densité de 386 pixels par pouces. Côté photo, l'appareil est servi par un capteur principal de 21 Mpx (vidéo 4K) et un frontal de 5 Mpx. Le mobile supporte la 4G de catégorie 6 (300 à 500 Mb/s théoriques), mais n'est pas compatible avec la bande des 800 MHz. Pour le reste de la connectivité, on retrouve Wi-Fi 802.11 a/b/g/n/ac, puce A-GPS, NFC, Bluetooth, lecteur d'empreintes et port USB type C pour la recharge et le transfert. Le tout est soutenu par une batterie de 3 050 mAh et la version d'Android maison, Flyme OS 4.5 (fondée sur Android 5.1 Lollipop). Le Meizu Pro 5 est en vente à partir de 499 € pour la version 3 Go/32 Go, tandis que la déclinaison 4 Go/64 Go (testée ici) se monnaye aux environs de 549 €. Pas de révolution esthétique ici. On retrouve sur ce Pro 5 la plupart des traits déjà partagés par le reste de la famille : bouton central sous l'écran, coins arrondis et cerclage en aluminium. Comme le MX5, ce Pro 5 adopte un dos en aluminium d'excellente qualité avec deux bandes de plastique aux extrémités pour laisser passer les ondes radio. Le tout respire la qualité et le téléphone est très agréable à prendre en main, avec des boutons sur la tranche droite qui tombent naturellement sous les doigts. L'écran de 5,7" élimine toute utilisation facile à une main, même si le constructeur tente d'adapter son logiciel à cette problématique. Saluons le travail de Meizu sur le taux d'occupation de l'écran. Grâce à des...
En dehors de sa gamme " MX " qui porte la marque à bout de bras, Meizu dispose également de gammes annexes, et notamment celle nommée jusqu'à présent " MX Pro ". En 2015, le constructeur chinois tente de mettre sa nouvelle phablette plus en avant en la nommant Meizu Pro 5, lui donnant ainsi une identité propre, bien plus gratifiante que d'être une simple déclinaison à grand écran du flagship annuel. À cette occasion, Meizu à donné à son Pro 5 ce qui se fait de mieux - ou presque - en terme de composants. Cela suffit-il à faire de ce smartphone le " killer " tant attendu ? Pour la renaissance sous un autre nom de sa gamme de phablettes, Meizu a équipé son Pro 5 de composants de pointe. On y retrouve par exemple un processeur Exynos 7420, soit le même que sur le Galaxy S6 couplé à 3 ou 4 Go de RAM LPDDR4, un USB de Type-C ou encore un modem LTE de catégorie 6. Il mise néanmoins sur l'autonomie plutôt que sur la finesse d'écran avec une définition Full HD pour une diagonale de 5,7 pouces. Au vu d'une telle fiche technique, la plus grande crainte provient finalement de son interface, pas réputée pour être des plus ergonomiques. Le tout pour 549 euros sur Belchine, par exemple. Ces derniers temps, les smartphones se succèdent et se ressemblent. Énormément. Meizu n'a pas échappé à la mode du téléphone plat, doté d'un écran 2,5D et d'une coque arrière séparée en trois parties distinctes. Galaxy S6, iPhone 6S, HTC One A9, ZUK Z1 ou encore de nombreux smartphones chinois ont déjà adopté ce look facilement reconnaissable qui semble être la marque de fabrique de l'année 2015. Mais si cette apparence est si plébiscitée, c'est aussi pour une bonne raison : son efficacité et son confort d'utilisation. Que l'on aime ou non cette esthétique peu innovante, elle est agréable en main, n'accroche pas sous le doigt lorsqu'on arrive sur les bords de l'écran, ne blesse pas la paume de la main si l'on serre le téléphone un peu fort et ne glisse pas trop lorsque l'on repositionne sa main. Meizu a de toute façon limité le besoin de repositionner sa main sur ses smartphones puisque presque toutes les actions se situent sur la partie basse de l'écran, et plus particulièrement au niveau du bouton " home ", qui sert également de capteur d'empreintes. Un appui normal réveille le téléphone et renvoie au menu principal, un appui long active la veille tandis qu'un simple effleurement fait office de bouton retour. Les autres...