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Nous avons réuni 5 tests du Kodak Ektra. Les experts notent Kodak Ektra 5.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Kodak Ektra et d'autres SmartPhone Kodak.
L'Ektra de Kodak est notre première déception de l'année. En tant qu'amateur de photographie, nous étions emballés à l'idée de tester ce photophone. Notre déconvenue n'en fut que plus grande. Une finition plastique de piètre qualité, une interface mal pensée de l'appareil photo et une autonomie médiocre même après une mise à jour logicielle nous ont frustrés. Mais le pire est sans doute le fait que ce smartphone soi-disant expert en photo ne prend même pas de beaux clichés.- Les meilleurs photophones de 2017 Kodak a voulu jouer sur la corde de la nostalgie des amateurs d'appareils photo Lomography ou Holga avec un look rétro. On adhère à l'idée mais le résultat n'est pas du tout à la hauteur. Le souci est que l'on peut faire des photos bien meilleures avec des smartphones à la fiche technique bien plus impressionnante comme le OnePlus 5 ou le Galaxy S7 qui se situent pourtant dans la même gamme de prix.Signalons que depuis notre premier essai, le tarif de l'Ektra a drastiquement baissé. Annoncé à 499 euros, on le trouve désormais sur Internet aux alentours des 250 euros. Admettons aussi que la série de mises à jour diffusées par Kodak ont tout de même amélioré certaines choses. Un problème avec les couleursNotre principal grief envers les performances tient à une balance des blancs aléatoire et une mise au point automatique qui rate souvent sa cible. Les mises à jour ont sensiblement amélioré ces points, mais elles ne les ont pas totalement fait disparaître. Nos essais en extérieur ont systématiquement fait ressortir des défauts persistants sur la balance des blancs, la fidélité et l'éclat des couleurs, un manque de détails et une bonne dose de bruit sur les clichés en lumière basse. Par ailleurs, nous avons trouvé l'application peu pratique à utiliser. Elle se lance un peu plus rapidement depuis une mise à jour, mais le système de changement de mode à l'aide d'une molette n'est pas très intuitif. Le mode HDR est séparé au lieu d'être placé dans le mode automatique comme on le trouve sur l'iPhone ou le Galaxy S8. Saluons tout de même l'ajout de la prise en charge du format raw qui aurait dû être présent dès le début sachant qu'Android le supporte nativement. Design bas de gamme, logiciel passable, autonomie médiocreOutre l'appareil photo, voici ce que nous n'aimons pas non plus sur l'Ektra : - Sa finition imite le cuir et le métal, mais il est fait dans un plastique bas de gamme ; - La...
Pour une fois qu'un smartphone se démarque d'un point de vue esthétique, nous n'allons pas faire la fine bouche. D'autant que le résultat est plutôt réussi. Le design, qu'on pourrait qualifier de rétro futuriste, évoque d'emkblée un appareil photo. Et le nom du modèle, Ektra, vient le confirmer, puisque Kodak l'a maintes utilisé pour baptiser ses modèles depuis les années 40. Le renflement, en bas de l'écran n'est pas qu'esthétique. A l'usage, il apporte, sinon plus de confort, du moins une bien meilleure prise en main que ce qu'offre un smartphone lisse comme un miroir. >>> Retrouvez notre comparatif des meilleurs smartphones pour la photo Aucune crainte de le laisser choir, d'autant qu'il est revêtu d'un revêtement grainé qui s'inspire de celui des anciens appareils de la marque. Autre clin d'œil, l'objectif surdimensionné rappelle ceux des compacts numériques. Mais ne nous y trompons pas, le bloc optique n'occupe que quelques millimètres de diamètre au centre de la couronne. Un bon point, parmi les boutons physiques, tous situés du même côté du téléphone, celui du bas sert de déclencheur, et une double pression permet d'activer l'appareil, y compris en mode veille. Avec un prix public frôlant les 500 euros à son lancement, Kodak se devait de doter son smartphone de composants garantissant un fonctionnement fluide et rapide en toutes circonstances. De ce point de vue, c'est convenable. L'Ektra intègre un processeur Helio X-20 à dix cœurs, cadencé à 2.3 GHz, et 3 Go de mémoire vive. Avec un score de 995 au test 3DMark Slingshot ES 3.1 et 4313 points au test Geekbench 4, il se classe dans la moyenne des téléphones de milieu de gamme. De quoi faire tourner sereinement les jeux les plus exigeants du moment, sans craindre les moindres ralentissements ou saccades. >>> Retrouvez notre comparatif des meilleurs smartphones Les caractéristiques du module photo sont aussi satisfaisantes. L'Ektra accueille un capteur principal de 21 mégapixels couplé à un objectif stabilisé ouvrant à f/2, et un second appareil de 13 mégapixels pour les autoportraits. Dernier point appréciable, Kodak a le bon goût de ne pas surcharger l'interface Android 6.0 Marshmallow. Peu d'applications tierces sont installées d'origine, et il est possible de supprimer la plupart d'entre elles. Frustration, déception, colère, désillusion, amertume…les mots ne manquent pas pour qualifier notre ressenti à l'issue des tests photo. C'est bien...
Kodak fait son entrée sur le marché des smartphones. L'occasion rêvée pour la marque de tordre le coup à Apple et Samsung qui ont, disons-le franchement, tué les appareils photos compacts traditionnels avec leurs smartphones. Sauf que dans les faits, les choses ne sont pas aussi simples. Cet Ektra – en hommage à un modèle mythique de la marque – n'est pas vraiment conçu par Kodak, mais par la société anglaise Bullit qui utilise une licence. Si ce nom n'est pas vraiment connu du grand public, sachez que c'est cette entreprise qui fabrique -par exemple- les smartphones renforcés Caterpillar. A Bullit donc d'insuffler l'esprit de la prestigieuse marque américaine au sein d'un smartphone. Chose qui est plutôt réussie au niveau du design. L'Ektra reprend les codes des vieux boîtiers photo, avec notamment une poignée, un bouton dédié au déclenchement sur la tranche et un objectif bien visible au dos. En revanche, les matières choisies sont moins nobles. Tout est en plastique, de l'imitation cuir présente au dos en passant par le contour façon métal. A 500 euros, on aurait aimé qu'un peu plus de soin soit apporté aux matériaux choisis. Force est aussi de constater que le gros objectif photo n'est rien d'autre que de la décoration, si ce n'est le verre employé pour protéger le capteur. Charlie Henderson, le patron de la marque chez Bullit, confiait ainsi à 01net.com qu'il ne retient que « 3 % de la lumière, là où celui utilisé par la concurrence en retient 8 % ». Un gage -selon lui- de photos plus lumineuses sur lequel nous reviendrons un peu plus bas. Esthétique, la poignée n'est en revanche pas si pratique que ça. Le bouton de déclenchement de l'appareil étant situé un peu trop à gauche, on a vite fait de placer par mégarde son pouce sur l'écran tactile et d'activer toute sorte de fonctionnalités indésirables. Pris à la verticale, le smartphone pâtit encore de cette poignée qui bloque les doigts au dos de l'appareil. Estampillé Kodak, cet Ektra se doit d'être irréprochable sur toute la partie imagerie. Les choses partent pourtant mal avec l'écran IPS Full HD de 5 pouces utilisé. Sa luminosité de 452 cd/m2 n'est pas extraordinaire, un défaut qui pourrait être contrebalancé par un excellent contraste. Ce n'est malheureusement pas le cas ! Nous avons relevé un taux de 853:1, on a connu bien mieux pour visionner des photos ou les retoucher. Heureusement, l'Ektra se rattrape sur les performances. Son...
Le Kodak Ektra est arrivé dans nos bureaux et nous l'avons essayé. C'est un smartphone concu sous licence par Bullitt Group, qui fabrique aussi les smartphones Caterpillar. Kodak l'annonce comme étant destinés aux " créatifs " et surtout aux photographes. Alors est ce que son prix de 500 euros est vraiment justifié malgré une fiche technique en demi-teinte ? C'est ce que nous allons voir ! Le 9 décembre 2016 sortait en Europe le Kodak Ektra, présenté le même jour que le Google Pixel. Le smartphone de Kodak avait alors subit le fait d'être presque totalement effacé des esprits par l'annonce des flagships de Google. Il est le deuxième smartphone de la famille Kodak après le IM5, un smartphone qui en voyant son interface logicielle faisait penser aux smartphones pour séniors. Le fabriquant d'appareils photos américain a alors fait équipe avec le fabriquant Bullitt, qui fabrique déjà les smartphones Caterpillar entre autres, pour concevoir un smartphone fait pour la photo, rendant hommage aux anciens appareils photos de Kodak qui ont fait sa popularité. Kodak vise donc clairement les photographes nostalgiques, les hipsters, ou tout simplement des personnes cherchant un téléphone capable de prendre de belles photos. Mais au vue de sa fiche technique de smartphone milieu de gamme et pour un prix de 500€, est ce que ce smartphone vaut le coup ? Pour le design de son second smartphone, Kodak a voulu se rapprocher de ses anciens appareils photo avec une coque arrière en faux cuir et l'appareil photo proéminent. On retrouve aussi le bas bombé pour améliorer la prise en main durant une photo. Du plastique en peinture métallisé compose les contours du téléphone. A gauche on y trouve uniquement le slot nano sim et micro SD. En haut se trouve la prise jack et un micro, en dessous du téléphone on peut voir un autre micro et la prise USB Type-C. Enfin à droite on retrouve les boutons de volume, d'allumage et également un bouton déclencheur de l'appareil photo et petite particularité de ce smartphone, une attache pour la dragonne qui nous rappelle nos heures de jeux sur la Wii. Devant se trouve un haut-parleur, l'appareil photo frontal de 13 mégapixels, une led de notification et en bas les 3 boutons tactiles qui s'éteignent en même temps que l'écran. Derrière se trouve comme dit plus haut l'appareil photo de 21 mégapixels et le 2ème haut-parleur du téléphone. Le téléphone est plutôt léger et on a une sensation de...
Quand Kodak débarque sur le marché des smartphones, on s'attend forcément à voir arriver un terminal doué en photo. Il semblerait toutefois que l'Ektra, frappé du sceau de l'ancienne gloire, ne profite pas réellement d'atouts majeurs dans le domaine. Pire encore, la prestation du Kodak Ektra est très moyenne à cause de choix discutables. Sous ses airs d'appareil photo compact, le Kodak Ektra n'en reste pas moins un smartphone. Il est doté d'un écran de 5 pouces qui repose sur une dalle LCD IPS de 5 pouces affichant 1920 x 1080 px. Il est animé par un SoC MediaTek Hello X20, à 10 cœurs. Ceux-ci sont accompagnés d'un iGPU Mali-T880, 3 Go de RAM et 32 Go de mémoire interne (extensible par microSD). La batterie de 3000 mAh peut être rechargée au moyen d'un port USB-C. Pour la photo, on retrouve une fiche technique honnête, mais qui ne présente pas de véritable plus-value sur le marché des smartphones. Ainsi trouve-t-on un module principal qui repose sur un capteur de 21 Mpx, surmonté d'une optique stabilisée ouvrant à f/2, le tout épaulé par une mise au point à détection de phase. À l'avant, on trouve tout de même un capteur de 13 Mpx, peu commun à l'heure actuelle. Le Kodak Ektra est commercialisé au tarif indicatif de 499 €. À mi-chemin entre l'appareil photo compact et le smartphone, le Kodak Ektra affiche des lignes pour le moins singulières. Le corps de l'appareil est entièrement composé de plastique. Le pourtour imite un métal, façon aluminium brossé, tandis que le dos simule le cuir. Le résultat est assez convaincant pour l'œil, un peu moins au toucher. Ne vous y méprenez pas, l'imposant bloc optique qui trône à l'arrière de l'appareil n'est là que pour faire joli. Le module IMX230 de Sony n'occupe en réalité que peu de place. Ce smartphone ne mise pas sur la finesse extrême. On note ainsi une épaisseur d'un peu moins de 1 cm à près de 1,5 cm sur certaines parties. Au dos, à droite, lorsqu'on tient le Kodak en mode paysage, on trouve une poignée. Celle-ci apporte à la fois à l'esthétique et à la prise en main de l'Ektra. Elle permet de caler ses doigts quand on souhaite capturer une photo, mais on ne peut pas pour autant parler d'un confort incroyable. Tous les boutons sont placés sur la tranche droite. On note surtout la présence d'un déclencheur physique à double course. À l'instar de ce que propose la majorité des APN, un appui léger permet de faire la mise au point et un appui plus...