3 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 3 tests du Essential Phone PH-1. Les experts notent Essential Phone PH-1 7.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Essential Phone PH-1 et d'autres SmartPhone Essential.
Nous avons reçu un Essential Phone (PH-1) à la rédaction : il est intéressant à plus d'un titre. Il a été créé par le cofondateur d'Android. Il propose un design borderless. Enfin, l'expérience Android est pure. Il est temps de le tester. C'est parti. Vous ne connaissez peut-être pas Andy Rubin, il est pourtant un des fondateurs d'Android. En 1999, Andy Rubin a fondé Dangers inc. dans un contexte où les smartphones peinaient à se vendre aux USA tandis qu'en Europe, Nokia commençait à accumuler les milliards. Ouvrez bien vos yeux, c'est là que commence réellement l'histoire d'Android. L'entreprise Danger a accouché en 2002 du SideKick. Ce terminal fonctionnait sous DangerOS, un système basé sur Java. Développé en étroite collaboration avec T-Mobile, ce téléphone remporta un grand succès aux USA notamment auprès des adolescents friands de messagerie instantanée et de sextos. Le SideKick fut vendu dans beaucoup de pays anglo-saxons ainsi qu'au Québec par Fido. Mais l'opérateur québécois se fit racheter par le Canadien Rogers qui décida de discontinuer le SideKick en raison de son positionnement concurrentiel par rapport à l'offre du Canadien BlackBerry, laquelle bâtait son plein. Dangers attira l'attention et se fit finalement achetée par Microsoft qui n'en fera… rien. L'essentiel des employés de Dangers, dont Andy Rubin, quitta Microsoft. Notre cher Andy créa une entreprise dont le nom ne vous est pas inconnu : Android Inc. En 2003, la société Android naît. Les objectifs de l'entreprise ne sont pas très clairs, mais l'on sait que cela touche au développement mobile. Déjà très proche de l'opérateur T-Mobile, la compagnie se rapproche progressivement de Google qui l'achètera en 2005. Il a fallu attendre le mois de novembre 2007 pour que Google dévoile Android, quelques mois après l'iPhone d'Apple. Andy Rubin prit ensuite la tête de la division Android, jusqu'en 2013. Il fut remplacé par Sundar Pichai, le CEO actuel de Google. Pour la petite histoire, c'est Hiroshi Lockheimer qui est à la tête de la division Android et Chrome aujourd'hui, un ancien employé de Danger Inc. En 2017, voici un nouveau concurrent sur le marché du smartphone : " Essential" . Sorti de nulle part, annoncé par Andy Rubin il y a seulement dix mois. Amazon, Tencent et Foxconn ont déjà investi dans Essential, et la dernière ronde de financement valorise la société à plus d'un milliard de dollars. Bien qu'il s'agisse d'un...
>>> Retrouvez notre comparatif des meilleurs smartphones Ces temps-ci, venir affronter Samsung et Apple demande beaucoup de cran, surtout pour une start-up. Il faut également tout autant de cran pour proposer un smartphone dont l'une des fonctionnalités principales est aussi brute que celle qu'on trouve sur l'Essential Phone. Essential n'est pas le premier challenger venu non plus. Son fondateur et PDG, Andy Rubin, a participé à la création d'Android. De plus, l'entreprise compte également plusieurs anciens employés d'Apple et de Google dans ses rangs. Pour couronner le tout, différents investissements ont permis de valoriser Essential à plus d'un milliard de dollars. Essential ne se limite pas seulement à un smartphone, la société essaye aussi de construire un écosystème qui comprend un nouvel assistant intelligent qui vient se positionner en face de l'Echo Amazon et de Google Home. Mais tout commence avec l'Essential Phone, un terminal doté d'un design époustouflant en titane, d'un écran bord à bord, et d'un système modulaire intelligent qui peut potentiellement surpasser les produits qui sont disponibles aujourd'hui. Le tout avec un généreux espace de stockage de 128 Go. Malheureusement, l'appareil photo déçoit et plusieurs bugs viennent ternir le tableau. L'Essential Phone est à la fois classique et moderne. Ses bords carrés nous rappellent les anciens iPhone, tandis que l'écran bord à bord s'inscrit dans la tendance actuelle. Ce téléphone est aussi très résistant grâce à sa coque en titane. Si l'on en croit le constructeur, elle résiste aux rayures, ne se déforme pas et ne se plie pas. La face arrière est en céramique, un matériaux là aussi résistant aux rayures, mais très sensible aux taches de doigts. En revanche, l'Essential Phone n'offre aucune résistance à l'eau. L'arrière de l'appareil est également équipé de connecteurs magnétiques sur lesquels viennent s'accrocher les éléments modulaires de l'Essential Phone. La tranche inférieure accueille un port USB Type-C, mais il n'y a aucune prise jack pour brancher un casque audio. On peut également déplorer l'absence d'un emplacement pour une carte microSD, mais le téléphone dispose néanmoins de 128 Go de stockage interne. Affichant un poids de 184 grammes environ, l'Essential Phone est relativement lourd avec son écran de 5,7 pouces. À titre de comparaison, le Samsung Galaxy S8 pèse 155 grammes malgré son écran de 5,8 pouces, même si ce...
Dès que nous avons pris en main l'Essential Phone, nous en sommes tombés amoureux. Son châssis en titane à la consistance plaisante, ses bordures fines, l'absence de logo, la finition miroir, tout était irrésistiblement attirant. Mais après un essai prolongé de deux semaines avec le PH-1, la lune de miel est terminée. Ce premier smartphone signé Essential est plutôt réussi, mais il est handicapé par quelques sérieux défauts. Pour faire court, on peut dire qu'Essential s'est précipité pour sortir ce modèle dont certaines fonctionnalités majeures ne sont pas abouties. Il nous est pour le moment difficile de conseiller l'achat d'un PH-1, mais nous espérons qu'Essential parviendra à corriger le tir sur certains points.Qu'est-ce qu'un Essential Phone ?Essential est une start-up fondée par Andy Rubin, considéré comme le père d'Android. Après avoir revendu son entreprise à Google en 2005 et dirigé la pision Android jusqu'en 2013, il s'est mis au vert pendant quelques années avant de revenir avec un projet de smartphone inédit : pas de logo de marque, pas de logiciels inutiles, une compatibilité avec tous les réseaux cellulaires, des mises à jour Android garanties pendant deux ans, un système d'accessoires modulaires, un châssis en titane hyper résistant et un appareil photo double capteur. Pour le moment, l'Essential PH-1 n'est vendu qu'en Amérique du Nord pour 699 dollars (environ 583 euros au cours actuel). Ses points forts : écran, design, performancesLa prise en main du PH-1 est vraiment très plaisante. Sa coque en titane a juste ce qu'il faut de rondeur, ses dimensions sont parfaitement adaptées, ses boutons ainsi que le lecteur d'empreintes digitales idéalement disposés. L'écran 5,7 pouces bord à bord 2.560x1.312 pixels est éclatant, vraiment magnifique. Ce téléphone est aussi très véloce. Grâce à sa puce Snapdragon 835 et une version d'Android quasiment vierge, nous avons pu lui infliger des sessions intensives avec une douzaine d'applications ouvertes, deux messageries email, quatre réseaux sociaux et une paire de jeux vidéo sans qu'il ne montre le moindre ralentissement. Sur nos bancs d'essai, il fait jeu égal avec le Note 8 de Samsung.Bien que la batterie n'offre pas une autonomie exceptionnelle (10 heures à notre test d'endurance), le PH-1 est très économe en énergie lorsqu'il est en veille. Il a tenu encore pendant près de deux heures avec seulement 1% de batterie restant. En usage intensif,...