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Nous avons réuni 16 tests du Yakuza 3. Les experts notent Yakuza 3 7.2/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Yakuza 3 et d'autres Jeux Playstation 3.
Programmés à la chaîne, au rythme d'un épisode par an dans une usine nommée Sega à la production démentielle, les Yakuza forcent toujours un minimum le respect. Malgré quelques errances techniques évidentes, la saga s'en tire toujours grâce à un scénario, un jeu d'acteur et un nombre d' «à côté» ludiques (pour ne pas dire lubriques) qui enchantent forcément les joueurs adultes. Un monde mature, sexy et violent, auquel les équipes de Toshihiro Nagoshi ont ajouté une foule de détails tirés de la réalité, et qui rendent l'ensemble particulièrement jouissif. Tout ces détails, on les retrouve évidemment dans ce troisième opus dans lequel figurent toujours en première place Kazuma Kiryû et son quartier préféré Kamurochô - copie fidèle de Kabukichô, le quartier chaud de Tôkyô. A ceci s'ajoute pour la première fois (et les besoins du scénario), l'île d'Okinawa, où il débute son aventure... et le mènera encore à combattre de nombreux ripoux tentant de le déstabiliser, lui et son ancien clan mafieux (le Tôjô), avec lequel il a toujours des liens. Le jeu laisse toujours une bonne place aux loisirs (golf, karaoké, batting center...).
Alors que le Japon accueille le quatrième volet des aventures de Kazuma, voici que SEGA se décide à nous offrir Yakuza 3 dans une version européenne quelque peu allégée en contenu et destinée à ceux qui ne sont pas allergiques à la langue de Shakespeare. Pour tous ceux qui seraient passés à côté de l’importance de la série pour SEGA, nous allons effectuer un rapide rappel des faits. Yakuza a fait ses armes sur PS2 avant qu’un épisode Kenzan nous plonge dans un univers féodal ne débarque exclusivement au Japon. La licence a réussi à s’imposer dans l'archipel en mêlant subtilement des éléments de jeux tels que GTA et Shenmue dans un Japon plus vrai que nature. Nous allons donc voir ce que nous réserve ce nouveau volet du titre qui vient enfin de débarquer dans nos contrées. L’aventure du jeu commence avec un Kazuma Kiryu qui a décidé de laisser derrière lui l’univers des yakuza qu’il côtoyait à l’époque où il était le chef du Clan Tojo. Il a donc décidé de se retirer sur l'île d'Okinawa avec Haruka pour y fonder un orphelinat auquel il consacre tout son amour et tout son temps libre afin d’oublier son passé. Mais tout ne va pas se dérouler comme prévu pour notre retraité. En effet, un puissant groupe immobilier a décidé de choisir ce lieu pour y établir une nouvelle base militaire ainsi qu’un complexe touristique.
Le 3ème épisode des aventures de Shiryu Kazuma aura tout de même attendu un an avant de quitter le Japon pour nous rendre une petite visite. Entre temps amputé d'une petite partie de son contenu (on manque de temps chez SEGA...), ce nouveau trip organisé au sein de l’univers très fermé des Yakuza semble en tout cas en avoir une fois encore gardé sous la semelle... N’ayant pas eu le droit de goûter à Yakuza Kenza, le spin-off de la série, sorti en 2008 uniquement au Japon sur Playstation 3, c’est donc la toute première fois que l’on se frotte à une version HD de la licence. Une version HD qui arrive certes à offrir des graphismes plus fins, et forcément, plus agréables à l'oeil, mais qui se retrouve quelque peu handicapée par les animations de ses personnages, hallucinantes de rigidité qu’elle offre, et qui peinent à nous faire croire qu’on se trouve face à un jeu sorti en 2009. Difficile de pardonner aujourd'hui ce que l’on pardonnait déjà avec un peu de mal en 2006... Car autant le dire tout de go : la sensation de se frotter à des avatars peinant à afficher une démarche naturelle est vexante. Mais résumer ce Yakuza 3 à un jeu traînant une physique bancale serait une grave erreur. Et le charisme si particulier qui à fait la force de la série se retrouve évidemment au sein de ce 3ème volet.
A la base, Yakuza 3 n'était pas destiné à aller séjourner en territoire étranger. Les performances des deux premiers opus aux Etats-Unis et en Europe s'étant révélées bien tristes, Sega n'avait pas, dans un premier temps, jugé utile pour ses finances de retenter le coup une troisième fois. Mais l'insistance d'un public connaisseur aidant, Yakuza 3 se retrouve finalement aujourd'hui dans nos PS3. La patience aura eu un prix, sachez-le. Car si globalement, l'expérience de jeu demeure la même que celle vécue par les joueurs japonais il y a de cela plus d'un an, notre version occidentale aura été vidée d'une certaine partie de son contenu. On débute donc par les choses qui fâchent, à commencer par cette non-localisation des textes du jeu, en anglais pour tous les secteurs du monde autres que nippons. Si on pourra comprendre les raisons qui ont conduit Sega à ce choix, il sera en revanche regrettable de constater que même les Trophées et leurs descriptions sont restées dans la langue du Prince Charles. Comble, pendant certaines cinématiques, il arrivera que les sous-titres ne soient pas très lisibles, et ce en raison de leur incrustation directement sur l'image, qui peut poser problème quand cette dernière affiche des couleurs claires et/ou lumineuses.
PlayLipse
Ajouté le : 04/2010
Plus accessible...
La série des Yakuza a commencé en 2005 au Japon (2006 en Europe et aux USA) sur PlayStation 2 avec un premier opus qui a séduit bon nombre de joueurs. Un deuxième, tout aussi bien accueilli, est arrivé fin 2006 au Japon et quasiment deux ans plus tard en Occident. Fort d?une certaine notoriété, la saga de Sega est revenue en mars 2008 (au pays du soleil levant uniquement) avec cette fois-ci un spin-off nommé Kenzan et proposant une échappée dans le Japon Féodal. Ce fut sa réelle première apparition sur la PlayStation 3. Malgré des avis partagés sur cet opus, les joueurs attendaient avec impatience Yakuza 3, qui peut même être considéré comme le premier opus réellement de nouvelle génération (et il l?est pour les joueurs occidentaux), le Kenzan étant plus une version PS2 en HD pour schématiser en vulgarisant. Sorti en février 2009 sur le territoire nippon, celui-ci n?arrive qu?un an plus tard dans nos vertes contrées alors que les japonais ont le droit à Yakuza 4. Reste donc à voir si l?attente en valait la peine? La série des Yakuza repose sur un scénario riche qui a été développé tout au long des deux premiers volets.
Un an après la version japonaise, Yakuza 3 débarque, enfin, en Occident. Jouissant d'une réputation sans faille au pays du Soleil Levant, la série a bien du mal à s'imposer comme incontournable dans nos contrées. La faute, certainement, à des défauts récurrents mais aussi, et surtout, à une accessibilité restreinte puisque le jeu n'a jamais été traduit en français. Sega ne baisse pour autant pas les bras et nous propose, une fois de plus, de vivre les aventures du plus connu des Yakuza. Le spin-off se déroulant à l'époque des samouraïs, Yakuza Kenzan !, n'ayant pas vu le jour en dehors du japon, le dernier né de la série se présente comme le premier épisode véritablement next gen pour les joueurs occidentaux. Les développeurs de Sega ont-ils su tirer partie du support pour transcender une licence qui a fort à faire pour séduire le joueur non japonais ? Verdict après quelques bourre-pifs. Avant de se lancer dans l'aventure, il convient de préciser que, comme son prédécesseur, Yakuza 3 n'a pas été traduit en français. Si l'on ne peut que se réjouir de la présence de la VO pour la bande audio, on regrettera amèrement de devoir subir des sous titres entièrement en anglais qui rebuteront certainement plus d'un joueur.
Série relativement confidentielle en occident, Yakuza (Ryû Ga Gotoku au Japon) accueille aujourd'hui son troisième volet plus d'un an après sa sortie nippone et alors que le quatrième épisode débarque aujourd'hui même dans toutes les bonnes boutiques de l'archipel. Il faut dire que les fans de Kazuma Kiryû et sa clique de truands sont maintenant coutumiers des longs mois d'incertitude puisque Sega aura pas mal tergiversé avant de décider d'une sortie occidentale pour les épisodes 2 et 3. Mais nous avons assez ruminé comme ça, place à notre verdict sur ce troisième opus ! Une fois de plus, le charismatique Kazuma Kiryû est rattrapé par son passé. Comme ce fut le cas au début du deuxième volet, le truand au coeur grand comme ça est sorti de sa retraite (ici, l'orphelinat Morning Glory) par ses anciens frères d'armes pour ramener un peu d'ordre à Kamurochô. En revanche, ce retour à la réalité tokyoïte ne se fait pas immédiatement : le premier tiers du jeu se passe en effet à Okinawa où Kiryû nouera des liens très fort avec le chef d'une des familles locales et son lieutenant. Ce premier tiers se veut d'ailleurs assez paisible et multiplie les petites missions sans trop d'enjeu, si ce n'est celui de veiller au bien-être des orphelins dont notre héros a la charge.
Jeu japonais par excellence, ce Yakuza porte le fardeau du passé et l'énergie démesurée d'un jeu hors du commun. On vous laissera découvrir l'histoire alambiquée de ce troisième volet de la série, qui contient son lot de rebondissements, de morts pas vraiment morts ou alors c'est une usurpation d'identité et de machiavélique manipulation, voilà juste la base. Après un début en flash-back explosif et toute l'adrénaline que peut déverser sur vous la vie de Yakuza, vous vous retrouvez à gérer un petit orphelinat dans l'île d'Okinawa, au côté paradisiaque volontairement exagéré. Il vous faudra attendre d'avoir fait le jour sur une sordide affaire de corruption et d'intérêts financiers autour de la construction d'une base militaire et d'un complexe hôtelier pour revenir à l'action pure. Une chute de rythme, qui peut décevoir et frustrer, mais qui se révèle utile autant qu'elle fait penser à ces films de chambara, où le héros se retire pour mieux revenir. Kazuma Kiryu, mélange de Toshiro Mifune et de Clint Eastwood, se retrouve démesuré dans un monde trop petit. On passe les premières heures du jeu à gérer les soucis du quotidien d'une bande d'enfants chaleureux et sympathiques.
Dans cette partie barbare du monde qu'est l'Occident, les joueurs ont pour coutume de fustiger les habitudes de consommation de leurs homologues japonais. Chaque semaine, lors de la publication des charts Media Create, les apôtres du bon goût se bousculent pour rigoler de la dernière bizarrerie qui cartonne au pays du Soleil Levant. Pourtant, en se penchant sur les marchés européens et américains, les rares Nippons à s'intéresser à un autre territoire que le leur auraient également de quoi avoir peur. Ce n'est effectivement pas une simple phalange, mais sa peau entière que Yakuza a failli laisser lors de ses deux premiers voyages chez nous et ce, en dépit de son statut de franchise phare au Japon depuis une demi-décennie. L'arrivée tardive du troisième opus doit, à ce titre, être considérée comme un véritable miracle. Espérons que ce soit le dernier, et qu'une localisation des futurs épisodes de la saga ne soit plus que formalités. Kazuma Kiryû le mérite.Dans le Japon fictif de Yakuza 3, l'orphelinat Asagao est un peu à l'image de la pension des Mimosas : tout le monde y est heureux, même si quelques fois le ciel n'est pas toujours bleu.
Avec le succès qu'on lui connaît au Japon, Sega continue sur sa lancée et explore de manière ludo-numérique le terrifiant univers de la mafia japonaise dans Yakuza. Après deux volets intéressants mais techniquement un peu faibles, et un spin-off de transition à l'époque des samouraïs inédit chez nous, voici enfin la vraie suite sur la nouvelle génération de consoles, malheureusement tronquée par rapport à la version japonaise. Sega, super censeur? Après quelques années de bourre-pif et de tractations en tout genre, notre ami Kiryû, l'hyper-charismatique yakuza au grand coeur, s'est lassé de la pègre. Il décide donc de tout plaquer, et de se barrer à Okinawa fonder un orphelinat, étant lui-même orphelin. Tout se passe donc plutôt bien dans cette île paradisiaque du sud du Japon, jusqu'au jour où son humble refuge est menacé de destruction par un projet consistant à transformer la baie en attrape-touristes. Après quelques coups de talons dans la face, notre héros apprendra que tout ceci cache un gros trafic d'influence pour agrandir une base militaire américaine contre l'avis de la population locale. Politique, gros sous, mais aussi règlements de compte de parrains proches de Kiryû : c'en est trop pour notre héros, qui reprend la batte de base-ball et le complet Armani pour empêcher la situation de dégénérer.
Après deux épisodes de qualité sur PlayStation 2 et un spin-off à l'époque féodale sur PlayStation 3 que les européens ne connaitront probablement jamais, la franchise Yakuza revient dans nos salons pour une troisième aventure pleine d'action, de rencontres, de minis-jeux et de sushis.Yakuza 3 est la suite directe du précédent opus : si vous n'avez pas fini Yakuza 2, les lignes suivantes sont à éviter. Et si vous avez la mémoire courte, rassurez-vous, Sega a eu la bonne idée d'inclure un résumé des deux premiers volets illustré par des cinématiques.Kazuma Kiriyu a mis un terme à la menace que représentait Ryuji Goda et a placé le jeune Daigo Dojima à la tête du clan. Du coup, lui et la jeune Haruka espèrent enfin pouvoir profiter de la vie bien loin de Kamurocho, son bruyant quartier tokyoïte.Suite à ces évènements, Kazuma coule donc une paisible retraite sous le soleil d'Okinawa. Avec la petite Haruka, il s'occupe d'un orphelinat et passe ses journées entre la plage et les fourneaux.Deux ans d'une tranquillité qui, bien entendu, ne va pas durer : au même moment à Tokyo, le sixième chairman Daigo et l'une de vos nouvelles relations à Okinawa viennent de se faire tirer dessus par un homme que tout le monde croyait mort.
Qui a dit que les jeux vidéo rendaient nerveux ? Ils peuvent au contraire vous apprendre toutes les vertus de la patience. Prenez les amateurs de la série des Yakuza par exemple : ils ont régulièrement attendu un ou deux ans entre les sorties japonaises et occidentales des différents opus. Le troisième épisode débarque ainsi sur notre continent au moment même où le Japon a droit au quatrième opus. La série des Yakuza tient une place à part dans le catalogue de Sega : offrant un étrange compromis entre le gameplay d'un GTA et celui d'un Shenmue, la licence a permis à de nombreux joueurs de s'immerger dans l'ambiance de la pègre japonaise. Les deux premiers épisodes PS2 étaient pour l'instant les seuls à avoir fait le voyage jusqu'en Occident. Le spin-off sorti sur PS3 qui nous plongeait dans l'époque féodale n'a en effet pas quitté les côtes du Japon. Ce Yakuza 3 est donc le premier opus à débarquer chez nous sur une console HD. Sega s'est décidé à éditer le jeu dans nos contrées un an après sa sortie au Japon mais la firme s'est contentée du strict minimum en terme de localisation.
Le Japon n’est pas que le pays des mangas, des jeux vidéo et des sushis. Il est également la patrie des yakuza, les mafieux locaux. Si l’on en croit SEGA et son Yakuza 3, un bon yakuza, même repenti comme Kazuma Kyriu, suit scrupuleusement son code d’honneur et sa morale. Mais il sait également faire preuve d’extrême violence le cas échéant ou encore s’éloigner du business pour se détendre de mille façons. J’avoue ne pas avoir eu la chance de toucher aux deux premiers opus de la série Yakuza sortis sur PlayStation 2. Qu’à cela ne tienne, SEGA a pensé aux joueurs dans mon cas et introduit un long résumé vidéo des deux épisodes précédents. On en apprend donc un peu plus sur le héros et les évènements passés avant de se lancer dans l’aventure. On retrouve donc Kazuma Kyriu, ancien haut gradé du clan Tojo. Il sévissait autrefois à Tokyo, dans les rues d’Amurocho. Les bastons, arnaques, rackets et autres embrouilles pour le contrôle de ce quartier font désormais partie du passé pour Kiriu. Il mène désormais une vie paisible sur l’île d’Okinawa où il dirige un orphelinat et veille sur ses pensionnaires. Lui-même orphelin, cette voie lui permet de se rendre utile sans jamais faire le mal et d’apporter à ces malheureux enfants ce qu’il n’a jamais eu : paix et réconfort.
Avec ses gros coups de tatanes dans la gueule, ses tatouages expression d'une insolente virilité et sa consommation encouragée d'alcools forts aux propriétés roboratives , Yakuza 3 s'adresse aux gamers présentant une forte concentration de testostérone. Qu'on se le dise : à désormais quarante ans, le dragon de Dojima, désormais retiré du monde, a toujours de beaux restes... et sait encore montrer les crocs.Yakuza fait partie de ces séries bénéficiant d'une curieuse aura de sympathie, bien que, sous nos contrées, peu de personnes, finalement, y ont vraiment joué. La faute a une plate-forme exclusive, la PlayStation (2 puis 3) et, surtout, un univers et une accessibilité un peu à part. Difficile, en effet, d'apprécier les Yakuza sans s'y plonger corps et âme, et prendre le temps de lire les tonnes de dialogues qui emmaillent chaque opus. À cet égard, le fait que Yakuza 2 n'ait pas été traduit en français -- tout comme ce troisième épisode, qui ne propose que des sous-titres anglais -- n'a évidemment pas arrangé les choses... Quoi qu'il en soit, on appréciera particulièrement, ici, la possibilité de regarder les résumés vidéo des deux premiers volets, véritables petits films de 15-20 minutes commentés par la voix chaude de Takaya Kuroda (Kiryu dans le jeu).
Gamekult
Ajouté le : 04/2009
Plus accessible...
Avec le succès que l'on connaît à domicile, Sega continue sur sa lancée et explore de manière ludo-numérique le terrifiant univers de la mafia japonaise dans Yakuza. Après deux volets intéressants mais techniquement un peu faibles, et un spin-off de transition au pays des samurai, voici enfin la vraie suite sur la nouvelle génération de consoles. La révolution est-elle au rendez-vous ? Après quelques années de bourre-pif et de tractations en tout genre, notre ami Kiryû, l'hyper-charismatique yakuza au grand coeur, s'est lassé de la pègre. Il décide donc de tout plaquer, et de se barrer à Okinawa fonder un orphelinat, étant lui-même orphelin. Tout se passe donc plutôt bien dans cette île paradisiaque du sud du Japon, jusqu'au jour où son orphelinat est menacé de destruction par un projet consistant à transformer la baie en attrape-touristes.
Gamekult
Ajouté le : 10/2008
Plus accessible...
Alors que l'Europe découvre seulement le second volet de ses aventures, Kazuma Kiryû, le plus viril des héros de Sega depuis le soldat romain d'Altered Beast, revient pour le plus grand plaisir des hommes, des vrais ! Nous ayant été présenté dans une version non-jouable mais néanmoins passionnante par son producteur Toshihiro Nagoshi, voici un petit aperçu de ce qui vous attend... dans la gueule ! Quelques années après les ennuis qui ont émaillé sa vie, Kiryû et sa petite protégée coulent des jours heureux sur l'île paradisiaque d'Okinawa, une région au climat plus que clément complètement au Sud du Japon. C'est là qu'il entretient un orphelinat, au calme et totalement retiré de la vie des affaires criminelles tokyoites. Pourtant, un complot militaro-immobilier, mêlant à la fois la C.I.A., les syndicats de pêcheurs et la mafia locale autour d'une installation militaire américaine, va mettre en péril l'existence même de cet orphelinat.
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