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Nous avons réuni 12 tests du WRC 2. Les experts notent WRC 2 5.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du WRC 2 et d'autres Jeux Playstation 3.
Absente du monde vidéoludique pendant cinq longues années, la licence WRC a refait surface chez Milestone en 2010, sans pour autant marquer les esprits. La faute à des graphismes d’un autre temps, à un gameplay certes prometteur mais perfectible et pas vraiment dégrossi, et à une foultitude d’autres petits détails qui nous permettaient d’affirmer sans peine que le titre avait été développé à la hâte. Milestone, c’est ce petit studio italien habitué des licences de sport mécanique. La plus connue d’entre elles est SBK, dont le dernier opus avait obtenu 15/20 dans nos colonnes. Les mordus de « simulation » auto se souviennent peut-être également de Superstars V8 ou de S.C.A.R, un titre à la gloire du constructeur Alfa Romeo. Le studio a l’habitude des productions au budget limité et nous livre généralement des productions sympathiques, et a le mérite de VRAIMENT chercher à améliorer ses séries à chaque nouvelle édition. Alors est-ce que WRC 2 confirme cette tendance ? Le premier contact avec le jeu permet de constater que le titre n’a pas subi le grand lifting graphique attendu. Les caisses sont certes un peu mieux modélisées et l’on observe çà et là quelques effets sympathiques, comme le soleil qui danse à travers les arbres ou une trainée de poussière au-dessus de la piste au rendu plus réaliste, mais le problème c’est que comme son ancêtre, WRC 2 donne le sentiment de jouer sur PS2.
PlayLipse
Ajouté le : 11/2011
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Après un premier épisode plutôt sympathique en dépit d'erreurs de jeunesse et d'une réalisation graphique complètement larguée, WRC nous revient avec un second épisode, toujours confié à MileStone, qui a semble-t-il écouté les conseils des fans. Beaucoup de belles promesses avaient été faites concernant cette suite, qui devait corriger de nombreux défauts du premier épisode? Mais ont-elles toutes été tenues ? WRC premier du nom était laid, pas fini et manquait de réalisme. Sa suite corrige effectivement quelques défauts, mais ne va clairement pas assez loin dans les modifications apportées. Ainsi, on remarque d'entrée de jeu que si le titre est plus joli, avec des décors plus travaillés, il demeure toujours nettement en dessous des grosses productions actuelles, souffre d'un manque de détails dans les décors et d'effets visuels beaucoup trop simples, notamment au niveau des dégagements de poussière et de fumée. Ceci étant dit, il faut tout de même remarquer que Milestone a pas mal amélioré sa copie. Le clipping a pratiquement disparu, les bugs graphiques sont beaucoup moins présents et le titre est nettement plus léché, avec des filtres visuels pas toujours jolis qui font un peu les cache-misère.
Après un premier essai l’an dernier, voici que Milestone, spécialiste du sport mécanique, nous propose de découvrir son second opus de la simulation officielle de l’univers du WRC. Ce premier essai qui n’avait pas été couronné de succès aura-t-il permis au studio de comprendre ses erreurs pour nous offrir une simulation à la hauteur de nos attentes avec ce WRC 2 ? Comme l’opus sorti il y un an, nous avons ici le droit à une simulation qui est la seule à pouvoir afficher toutes les licences officielles du Championnat du monde des rallyes WRC. Le jeu nous propose ainsi tous les tracés officiels de la saison qui touchera à sa fin d’ici quelques semaines et nous invite à piloter les voitures officielles des différents pilotes engagés dans la compétition. Comme par le passé, nous avons aussi le droit aux catégories moins connues qui permettent aux jeunes de faire leurs preuves avant d’intégrer la catégorie WRC tant convoitée. Alors que l’an dernier, il fallait passer par la case DLC pour s’offrir les véhicules du groupe B, cette année, le développeur a décidé de les inclure d’office dans le jeu pour éviter le mécontentement des joueurs.
Tous les nostalgiques et les amoureux du Rallye se souviennent de la belle époque PlayStation 2 où Sony Computer Entertainment possédait la licence WRC. Le studio Evolution - désormais passé sur la série MotorStorm - nous garantissait un épisode annuel de qualité et exclusif à notre chère console. Aujourd'hui, c'est l'éditeur Black Bean et le studio Milestone qui tentent pour la seconde année consécutive de ranimer la flamme de WRC sur notre PlayStation 3. Après un premier volet mitigé - que nous n'avions même pas reçu pour test - que donne ce second volet ? Réponse tout de suite.L'acquisition d'une licence officielle est toujours un coût supplémentaire que le budget de développement d'un jeu doit englober. Du coup, l'objectif prioritaire d'un éditeur est de rentabiliser cet achat par une succession de titres destinés au plus grand nombre. C'est vrai, l'intérêt est de vendre un paquet de jeux, à la fois aux acharnés du volant et aux novices qui veulent juste s'amuser avec un titre « qui fait vrai ». Ce second WRC s'inscrit totalement dans ce croisement de l'arcade et de la simulation, sans jamais prendre position entre les deux, n'en déplaise aux fanatiques des deux branches.
Les fans de jeux de course ont eu de quoi se mettre sous la dent cette année, avec entre autres DiRT 3, Shift 2 Unleashed ou bien encore Forza Motorsport 4. Mais il s'agit d'un genre où les prétendants ne manquent pas, et après un WRC qui n'a convaincu personne l'année passée, Black Bean a décidé de reprendre le volant avec WRC 2 plein de promesses sur le papier. Malheureusement, une fois en piste, Milestone retombe dans ses travers.Soyons francs, tout n'est pas mauvais dans WRC 2, à l'image du mode "Carrière" avec lequel on a pris un minimum de plaisir. Au lieu d'enchaîner mécaniquement les courses comme c'est le cas dans la majorité des titres du même genre, les développeurs proposent au pilote de créer sa propre écurie, en lui mettant à sa disposition tout un tas d'outils pour recruter un directeur d'écurie et des mécaniciens, mais aussi pour négocier des contrats de sponsoring. Embaucher pour embaucher ne mène nulle part dans WRC 2, et il est impératif de vérifier les compétences des recrues potentielles, d'autant que cela aura un impact sur le développement des véhicules par exemple. En effet, un mécano doué mettra nettement moins de temps à intégrer des améliorations sur la voiture, qu'un collègue au profil plus limité.
Un an tout juste après la sortie d’un premier épisode jugé unanimement décevant par la critique, les développeurs italiens de Milestone reviennent avec WRC 2. Un second opus dont l’ambition était de répondre aux attentes de fans et de renforcer le l’aspect réaliste de la série. N’y allons pas par quatre chemins, c’est raté. Dans le petit monde des jeux de ‘ouatures, il y les studios qui ont des moyens et il y a les autres. Milestone fait parti des autres et cela se ressent dès les premières courses. La réalisation est indéniablement le gros point faible de WRC 2. À vrai dire on ne comprend pas trop ce qui est passé par la tête des graphistes du jeu. Entre les environnements bleu-vert-violet, les textures floues et pauvres sur les bas-côtés ou encore le faible nombre d’objets différents dans les décors, WRC 2 est d’une rare laideur pour un titre de 2011. On vous parle à peine des différentes contrées dans lesquelles on sera amené à courir, les seuls changements notables se bornent à de vagues modifications des couleurs des environnements (gris pour l’Angleterre, gris-bleu pour la Norvège ou gris-vert pour l’Allemagne) ou à quelques bâtiments typiques des pays. Je veux bien comprendre que les pays européens partagent tous plus ou moins la même culture, mais ils ne se ressemblent pas autant que ce qu’affiche le titre.
Difficile de débouler sur les étals des revendeurs après Dirt 3 et Forza 3 sur le créneau du jeu de course : c'est pourtant la situation compliquée où se trouve WRC 2, précédé par un premier épisode très moyen. Pour charmer les amateurs de rallye, Milestone s'est donné une petite année pour réaliser cette suite sur la base d'une licence exclusive avec la FIA. Douze mois qui, sans surprise, n'auront pas suffit à créer le miracle : sans être catastrophique, WRC 2 reste encore trop limité par son manque d'ambition, la modestie de ses moyens et son hésitation permanente entre les pôles simulation et arcade. Centré exclusivement sur le WRC (World Rallye Championship), le dernier titre de Milestone laissait espérer une retranscription fidèle de la discipline, sous la forme d'une simulation pointue. Autant le dire tout de suite : les espoirs seront une nouvelles fois déçus. Lors des premières parties, on constate d'abord que le moteur graphique n'a quasiment pas évolué depuis le premier épisode, et enchaîne les disgrâces au regard des standards modernes. Entre les plans d'eaux alternativement fluorescents et bleu-javel, le sol en vilains aplats 2D étirés et les deux-trois textures de roches ressassées sans vergogne, on a parfois l'impression d'être devant le mauvais portage HD d'un vieux titre PS2.
Alors qu'ils ont conquis le monde de la moto avec la série des SBK, MileStone persévère dans l'univers des quatre roues avec WRC 2. Loin d'être une réussite l'année passée, le développeur italien essaye de proposer une suite faisant honneur au championnat du monde de rallye. Est-ce enfin la consécration ou doit-on déboucher le champagne pour une autre occasion ? Dès notre arrivée dans les menus, l'ambiance de ce second opus surprend. Exit l'impression d'être dans un monde de compétition où il faut obligatoirement se salir, on se retrouve ici dans un blanc épuré avec une petite musique jazzy pour nous accompagner. Même si le clin d'oeil n'est pas réellement franc, cette ambiance donne cette forte impression d'être devant un Forza Motorsport remixé avec un Gran Turismo 5. Cependant, la comparaison s'arrête là. Le menu nous invite soit à aller dans le mode carrière, The Road to the WRC, soit à l'école de pilotage, soit dans le mode multijoueur en ligne. Bien évidemment, il est toujours possible de courir sur des spéciales sans prendre part à un véritable championnat, ou bien de créer un petit tournoi pour y jouer jusqu'à quatre en se passant à tour de rôle la manette.
Seul et unique titre à bénéficier de toutes les licences du Championnat du Monde des rallyes, WRC est de retour douze mois après sa première tentative. Si celle-ci ne fut pas couronnée de succès, la persévérance du duo Black Bean et Milestone leur permet de proposer autre chose aux fans de la discipline. Alors cette fois, l'équipe de développement a-t-elle autant dominé son sujet que Sébastien Loeb a dominé le WRC ces sept dernières saisons ? Étant donné que Milestone est le seul studio du moment à vouloir/pouvoir se concentrer exclusivement sur le WRC, l'attente du public est considérable bien que le précédent volet ait largement déçu. Le studio italien n'avait donc pas intérêt à se planter ! Après plusieurs heures de jeu passées à dompter les différentes catégories de WRC 2 et à développer notre écurie du mode Carrière, notre sentiment est assez mitigé. De toute évidence, cette suite ne fera pas date dans l'histoire du WRC virtuel. Encore trop bridés par leurs propres idées de gameplay recyclées quel que soit le profil du jeu de courses qu'ils développent, les petits gars de Milestone ne se donnent pas les moyens de faire évoluer leur bébé. Pourtant, ils sont restés attentifs aux critiques et ont corrigé, parfois un peu trop partiellement, pas mal d'incohérences.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 08/2011
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En signant le jeu de rallye WRC l’an dernier, Milestone avait effectué un faux départ plus que décevant pour les amateurs de ce sport. Si la licence officielle du World Rally Championship permettait au titre d’éviter le bide, c’est dans l’essentiel, à savoir la conduite et ses sensations, qu’il pêchait. Pour juger sur pièce des évolutions de la série, nous avons pu tâter d’une version encore assez incomplète de WRC 2. Précisons d’emblée qu’il nous a été dur de juger de la qualité graphique du jeu, puisque c’est apparemment dans cet aspect qu’il reste le plus de pain sur la planche aux équipes de Milestone. On peut tout de même noter à ce propos des palettes de couleurs pour le moins étonnantes, pour ne pas dire disgracieuses. Bien souvent trop chaudes et flashies, elles n’ont pour l’heure rien de naturel, et donnent la sensation de contempler les courses à travers un léger filtre sépia. Au-delà de ces choix artistiques qui ne sont peut-être pas définitifs, la modélisation des décors et des véhicules semble faire un léger pas en avant depuis WRC 1, rien cependant que l’on puisse qualifier de transcendant.
L'année dernière, le World Rally Championship de Milestone avait marqué le retour de l'une des meilleures séries de sport automobile. Il ne fut bien entendu pas le seul - alors que le F1 2010 de Codemasters s'accompagnait du clinquant qui correspond à la discipline la plus bruyante du monde, WRC correspondait sans doute plus à l'audience moins importante des courses de rallye. Bien que concernant tous les deux des véhicules à quatre roues, les mondes de Sébastien Loeb et Sebastian Vettel ne sauraient être plus différents l'un de l'autre. Le glamour et la boue ne vont pas forcément bien ensemble, et alors que le champagne est la boisson de référence sur les stands des Grands Prix, lorsque le WRC vint au Royaume-Uni l'année dernière pour organiser un show, il le fit sur un circuit marécageux de Cardiff où les thermos de thé étaient la seule boisson appropriée. Il est donc naturel que le jeu WRC de l'année dernière n'ait pas été le plus tape-à-l'oeil qui soit. C'était une expérience de pilotage réduite à son essence qui reprenait assez bien les fondamentaux de la conduite à fond de train à travers des forêts épaisses, malgré certains manques dans d'autres domaines. Il n'est pas exagéré de dire qu'à certains moments, WRC était aussi joli que de la boue.
En achetant la prestigieuse licence World Rally Championship, Milestone pensait avoir réalisé un gros coup. Pourtant, à ce jour, le jeu bâti autour de celle-ci, sobrement intitulé WRC, reste probablement la plus grosse sortie de route du studio italien. Un plantage. Un vrai. A la traîne visuellement, le titre avait également eu du mal à convaincre au niveau des sensations de pilotage. Habitués à livrer des productions de meilleure facture, les développeurs se sont remis en question pour rectifier le tir avec WRC 2 et oublier rapidement ce premier échec. Pour quel résultat ? Un échec n'a pas toujours que des répercutions négatives. Il permet aussi dans certains cas d'aller de l'avant en analysant les erreurs commises. Après la sortie de WRC, Milestone a fait preuve de sagesse en admettant le constat d'échec. Le studio italien s'est alors tourné vers la communauté pour écouter et étudier les feedbacks des joueurs afin de repartir du bon pied. C'est en tout cas le discours officiel. Mais ne soyons pas dupes, les volontés de changement affirmées en présentation ne sont pas toujours suivies des faits. Pour le coup, le chantier semblait en plus assez vaste pour Milestone.
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