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Nous avons réuni 10 tests du Wolfenstein. Les experts notent Wolfenstein 6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Wolfenstein et d'autres Jeux Xbox 360.
Cela fait huit ans qu'un Wolfenstein nouveau n'était pas venu s'incruster sur nos machines. Et pourtant, le jeu qui inventa le First Person Shooter n'est pas mort, et c'est Raven Software qui va tenter de nous le prouver. Alors, soubresaut d'une licence déjà morte ou véritable innovation ? Si ce nom vous dit quelque chose, non, vous n'êtes pas fou. Ce nouvel épisode de Wolfenstein nous permet d'incarner une nouvelle fois B. J. Blackowicz, le personnage principal de Wolfenstein 3D. Nous revoilà donc dans la peau de cet agent des services secrets américains en pleine Seconde Guerre Mondiale. Envoyé dans la ville allemande d'Isenstadt, notre héros devra prendre contact avec la Résistance avant d'effectuer bon nombre de missions pour le compte de plusieurs groupes locaux tels que l'Aube d'Or, un groupe de scientifiques spécialisés dans le paranormal, ou le Cercle Kreisau, une petite troupe de résistants. Nous nous rendrons vite compte que la division sur la recherche paranormale de l'armée nazie jouera un rôle important dans le scénario. Bien sûr, ne prenons pas un Wolfenstein pour ce qu'il n'est pas, oublions donc le réalisme militaire d'un Medal of Honor pour faire une part à l'occulte et aux mystérieuses expériences des Nazis.
Né dans un château, Wolfenstein est un combat contre le nazisme assez sanglant. Pas de pitié pour l'ennemi, il faut tout faire pour l'empêcher d'arriver à ses objectifs ! Alors que le premier (Wolfenstein 3D, 1992) était sorti dans les balbutiements de la 3D (voire inventait le FPS en 3D avant Doom), ses successeurs n'ont pas toujours été très bien réussis. Loin de là dire qu'ils étaient très mauvais, mais pour une série de cette taille on avait de quoi être légèrement déçu. Que donne alors le dernier de Raven (et édité par Activision) se chargeant de cet épisode ? Raven continue dans le thème du surnaturel en proposant un héros doté de pouvoirs afin de mettre un terme aux nazis. Vous contrôlez Blazkowicz, agent américain au service des services secrets américains. Outre son nom et initiales (B.J.) qui font très "américains", son physique est proche de l'aspect tactique du jeu : bourrin. Mais procédons dans un ordre logique, parlons un peu du déroulement du jeu. Arrivé dans la ville d'Isenstadt, vous rencontrez la résistance qui vous attribue des missions qui rentrent dans vos objectifs.
Alors que les jeux de guerre mettant en scène le conflit mondial de 1939-1945 sont toujours à la mode, Activision décide de relancer la franchise Wolfenstein, absente de nos écrans depuis le plutôt bon Return to Castle Wolfenstein. Cette fois, id Software cède la place à Raven Software, un studio bien connu des amateurs de FPS puisqu’à l’origine de l’excellent Jedi Knight II : Jedi Outcast et surtout des deux premiers épisodes de la saga Soldier of Fortune. L’introduction musclée du vieux B.J. Blazkowicz est à réserver aux adultes. Celui-ci pénètre en douce un porte-avions nazi avant de se faire repérer et de tout faire sauter, en éliminant tous ses adversaires à l’aide d’un mystérieux médaillon. Une cinématique plus tard, il est envoyé dans la petite ville d’Isenstadt pour enquêter sur les agissements paranormaux des soldats allemands en lien avec l’ordre de Thulé dont Hitler aurait été membre. Voilà pour la partie à peu près sérieuse car pour le reste, ce Wolfenstein nouveau sombre dans la caricature mal assumée. Le héros bien connu joue le pseudo bellâtre indestructible qui ne s’étonne de rien et avance blasé dans une ville hostile en travaillant tantôt pour la résistance locale, tantôt pour la société de l’Aube d’Or, une communauté également secrète qui œuvre pour contrer les plans diaboliques du leader allemand.
Est-il besoin de présenter Wolfenstein, cette série qui, pour beaucoup, a initié le genre du FPS a lui tout seul. Les joueurs se souviennent du tout premier Wolfenstein 3D, puis de Return to Catsle Wolfenstein. La série n'est pas de celle à sortir un volet par an et c'est sans doute pour cela qu'aujourd'hui encore elle suscite l'intérêt. Pourtant, il s'agit encore une fois de se plonger dans la Seconde Guerre mondiale et de lutter contre les nazis par le biais d'armes à feu, de grenades et de dynamites. Activision étant le chef d'orchestre de la production, ce troisième Wolfenstein risque de rappeler un certain Call of Duty. Mais le pouvoir du titre de Raven Software dispose de ce pouvoir qu'on les anciens, de ce respect imposé non pas parce qu'il a été vendu à des millions d'exemplaires à travers le monde et qu'il en est à son sixième volet, mais parce que Wolfenstein dispose de cette force tranquille inébranlable. Wolfenstein, c'est une ambiance, une aura particulière. La seule difficulté ici était, pour les développeurs, de transmettre le même esprit que celui connu il y a quelques années. Et même s'il y a de la nouveautés dans l'air, les habitués de la série s'y reconnaîtront sans aucun mal.
Mythique père fondateur des jeux de tir à la première personne, Wolfenstein nous revient aujourd'hui pour un troisième volet, développé cette fois par Raven Software. Un come-back loin d'être fracassant, mais qui permettra néanmoins aux amateurs de séries Z de passer un bon petit moment en compagnie de nazis sans cervelle et de leurs abominations zombifiées. Nous revoici donc dans la peau de B.J Blazkowicz, un agent d'élite recruté dans le cadre d'une mission périlleuse pour le compte des Bureaux des services secrets américains. Expédié sans ménagement dans la ville allemande d'Isenstadt, notre doux héros - dont le charme ravageur et l'invraisemblable charisme ne vous échapperont pas - doit tout d'abord prendre contact avec la résistance locale afin de mettre un terme aux activités nazies dans le domaine du paranormal. Lors de ses pérégrinations, le bougre entrera également en contact avec les membres de l'Aube d'Or, un groupe d'érudits eux aussi déterminés à mettre des bâtons dans les chenilles des sbires d'Hitler. Wolfenstein mélange donc joyeusement Seconde Guerre mondiale, reliques mystérieuses, sciences occultes et organisations secrètes dans un bon gros shaker et nous sert finalement une mixture plus ou moins digeste.
GamePro.fr
Ajouté le : 08/2009
Plus accessible...
A l'heure où Tarantino alimente la chronique avec ses sidérants Basterds, scalpeurs de nazis complètement déplacés dans une fresque du film de guerre façon cinéma bis, l'emblématique shooter Wolfenstein fait son retour sur la scène jeu. Aux mains de Raven (Quake 4, Wolverine) pour Activision, le jeu développe l'envie de relancer la franchise, mais en cultivant les inspirations de ses aînés. Ainsi, on y retrouve en vrac tout ce qui participe à l'imaginaire Wolfenstein, grand détournement de la Second Guerre mondiale version SF sous couvert d'expérimentations nazies complètement mystiques. Malheureusement, l'exploitation de la prestigieuse licence ne dissimule que peu de temps le manque d'ambition du titre, que ce soit dans le fond comme dans la forme. Blazkowicz, yankee pure souche, se retrouve donc infiltré derrière les lignes nazies pour comprendre les bizarroïdes événements d'Isenstadt, ville centrale de l'aventure où l'on ira chercher un à un ses objectifs, exterminant au passage des hordes de soldats SS. Des phases de jeu tristement symptomatiques des gros défauts de Wolfenstein, au premier rang desquels figure la linéarité sidérante de la progression que n'égale que le dirigisme d'un level-design qui ne fait jamais l'effort de dissimuler son architecture en couloirs.
Avec ce Wolfenstein remixé version 2009, les petits gars de Raven Software ont l'ambition de faire un FPS original et efficace, un challenge quand on connaît la surpopulation du genre, qui voit régulièrement débarquer des bouses nauséabondes. Loin des titres "sérieux" orientés seconde guerre mondiale, ce "nazi-shooter" mélange paranormal, science-fiction et mythes divers. De quoi offrir un peu de variété dans un genre qui tourne trop souvent en rond ? Le scénario de Wolfenstein est un savant mélange d’aventure délirante façon Indiana Jones, saupoudré d’action frénétique comme le veut la tradition des FPS. Blazkowicz, qui a déjà fait parler de lui dans les vénérables prédécesseurs de la série, est toujours un agent secret plus proche de Captain America que de l'espion normal. Ça tombe bien, c'est justement ce qu'on lui demande : nous faire rêver, avec sa chance insolente et son corps indestructible... Vu les missions qu’il se coltine, il aura besoin de ces qualités ! Votre périple va vous trimbaler dans une multitudes d'endroits, tous dignes des meilleurs films du genre : zeppelin géant, bases secrètes planquées dans des caves naturelles, ville aux rues détruites, égouts, etc.
Franchise ô combien légendaire dans le milieu du FPS, Wolfenstein nous revient cette année pour un nouveau titre cette fois-ci développé par Raven Software pour le compte d'Activision. Simplement baptisé Wolfenstein, ce reboot de la série ne manque pas de points communs avec ses aînés puisqu'il mêle mysticisme, expériences de savant-fou et Seconde Guerre mondiale dans un medley relativement digeste mais pas spécialement inoubliable. Mâchoire carrée, cheveux gominés et veste en cuir à la mode, l'agent américain B.J. Blazkowicz est envoyé derrière les lignes ennemies pendant la Seconde Guerre mondiale pour enquêter sur les perturbations observées dans la ville d'Isenstadt. Si le bonhomme ne s'attendait sans doute pas à une mission de tout repos en plein coeur de l'Allemagne nazie, rien ne le préparait toutefois aux jolies petites expériences des larbins d'Hitler, qui cherchent à exploiter une certaine "énergie du Soleil Noir" à des fins évidemment néfastes. Contacté sur place par la résistance locale et une organisation secrète mystique, notre envoyé de l'Oncle Sam devra user de ses contacts pour se sortir de ce sac de noeuds en sauvant le monde libre au passage.
Peut-on encore faire de l'ironie en commentant un jeu ? Comme quand on dit d'un film qu'il est « tellement mauvais qu'il est bon » ou qu'une chanson pop nullissime fera danser les gens (enfin, surtout les étudiants), justement parce qu'elle est ringarde. C'est l'envie que donne la version 2009 de Wolfenstein. Ce redémarrage tardif de la série, qui arrive près de 10 ans après la plutôt bonne version sur Xbox de 2001, Return to Castle Wolfenstein, est un jeu mal foutu, bourré de défaut et souvent débile. Il est également amusant en certaines occasions – certainement plus que ne devrait l'être un jeu avec autant de défauts - mais je peux dire que le jeu me fait souvent rire, ou plutôt souvent rire de lui. Une fois de plus, vous enfilez les bottes de combat sentant la sueur de BJ Blazkowicz. Vous êtes convoqué à la ville allemande d'Isenstadt, où la résistance locale a besoin de vos talents. Les nazis font quelque chose de bizarre dans un site de fouilles archéologiques à proximité et cela implique une chose appelée l'énergie Soleil Noir. Pour faire court, disons qu'ils ont trouvé une dimension alternative diabolique baptisée Le Voile et qu'ils siphonnent sa puissance pour créer un surhomme encore plus surnaturel.
Gamekult
Ajouté le : 04/2009
Plus accessible...
Entre deux parties de X-Men Origins : Wolverine et Marvel : Ultimate Alliance 2, Activision nous avait également conviés à prendre en main son futur FPS Wolfenstein dans un grand hôtel san franciscain lors de la récente GDC. Confié à Raven Software (Soldier of Fortune II : Double Helix PC, Quake 4, Singularity...), le projet s'y dévoilait au gré d'une seule mission solo d'une bonne demi-heure et sur Xbox 360 uniquement. Tout juste de quoi se faire une première idée du potentiel de ce Wolfenstein donc, et ce, à quelques mois de sa sortie, théoriquement prévue pour cet été sur Xbox 360, PS3 et PC. Sans surprise, on retrouvera dans cette suite directe de Return to Castle Wolfenstein ce bon vieux B.J. Blazkowicz - un soldat allié un peu agent secret sur les bords - alors qu'il opère une fois de plus en territoire allemand afin de percer à jour le terrible plan des Nazis.
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