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Nous avons réuni 12 tests du Vancouver 2010. Les experts notent Vancouver 2010 5.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Vancouver 2010 et d'autres Jeux Playstation 3.
La flamme olympique trône à Vancouver à dater de ce jour et continuera de brûler jusqu'au 28 février prochain, l'occasion pour Sega de proposer une nouvelle édition vidéoludique de cet évènement sportif mondial. Car chez monsieur Sonic, on aime les Jeux Olympiques, le hérisson bleu a d'ailleurs été le héros d'un épisode consacré aux JO d'hiver en fin d'année dernière avec un certain Mario... L'éditeur rempile donc avec une simulation sportive plus classique développée par Eurocom, déjà responsable d'Athens 2004 (pour Sony) et de Beijing 2008. Rappelons que ce dernier opus était assez honnête, s'appuyant sur une réalisation graphique réussie et un gameplay plus innovant qu'à l'accoutumée. Qui dit sports d'hiver dit obligatoirement ski...Ainsi, là où la jouabilité est principalement réduite à un matraquage incessant de touches à l'instar d'un Track & Field, Vancouver 2010 se démarque comme son prédécesseur en privilégiant les réflexes et les actions synchronisées. Ne vous attendez cependant pas à quelque chose de pointu, car comme trop souvent dans cette catégorie de jeux à licence, la prise en main reste simplifiée ; peu de combinaisons de touches pour une mécanique de jeu peu variée. Evidemment différente entre une discipline de glisse, de saut, ou de patinage, elle s'avère pourtant trop répétitive et grossière au final.
En fin de semaine débutent les Jeux Olympiques d'Hiver au Canada. Si si, c'est vrai. Ce qui devrait être le deuxième évènement sportif de l'année (après la Coupe du Monde de ballon rond) ne semble pas enthousiasmer les foules. Pourquoi ? Des épreuves diffusées en direct entre 2 et 5 heures du mat', un pays organisateur tellement lisse après la si polémique Chine, Roch Voisine et Philippe Candeloro aux commentaires, sans parler d'un manque de neige pour moins malvenu ; bref, de quoi refroidir même les plus courageux. Le jeu de Sega va-t-il sortir le sportif télévisuel de sa léthargie ? Après un Pékin 2008 assez respectable, le studio Eurocom tente de surfer sur la pente avec Vancouver 2010. Au programme, ski alpin, saut à ski, snowboard, patinage de vitesse, bobsleigh, skeleton (du bob en solo) et luge, le tout décliné en différentes épreuves. Si l'absence de hockey sur glace est pardonnable (EA et 2K Games le font très bien), quid du biathlon, du patinage artistique (Briannn !!!), du ski de fond ou encore du mythique curling si cher à nos amis de Libelabo ? Rien, nada. La glace à l'eauBref, pour un jeu officiel, cela fait désordre. Vient ensuite le choix du pays (peu nombreux eux-aussi) et là, nouvelle déception.
Après nous avoir fait vivre manette en main les Jeux Olympiques d'été de Pékin il y a déjà deux ans, le duo Eurocom/SEGA nous revient aujourd'hui avec une adaptation vidéoludique des J.O. d'hiver de Vancouver qui démarreront d'ici quelques semaines. De quoi patienter sereinement en tentant de décrocher quelques médailles d'or.C'est en 1984 que les Jeux Olympiques firent leur première apparition dans le petit monde du jeu vidéo avec le Summer Games d'Epyx, rapidement suivi l'année suivante par son pendant enneigé Winter Games. Depuis, les adaptations ont été nombreuses et ont connu des fortunes diverses : de la Master System à l'Amiga en passant par la NES ou la PlayStation, toutes les plateformes de jeu ont accueilli à un moment ou à un autre un titre consacré aux Olympiades. Après sa prestation correcte en 2008 pour les J.O. de Pékin, on attendait beaucoup d'Eurocom et de son Vancouver 2010. Peut-être un peu trop...L'arrivée sur le menu principal du jeu donne en effet d'emblée une impression de minimalisme assez désagréable : aucune vidéo d'introduction ne le précède (il faut laisser la page d'accueil quelques secondes sans toucher à la manette pour qu'elle se lance !), et son apparence s'avère un peu austère.
Désormais en possession de la licence des Jeux Olympiques, Sega profite de la tenue de ceux de cette année pour nous pondre un Vancouver 2010 - Le jeu officiel des Jeux Olympiques. Rien que ça. S'agit-il pour autant d'un jeu à licence développé à la va-vite ou d'un titre confirmant les bonnes dispositions entrevues dans Beijing 2008 ? Le menu d'accueil de Vancouver 2010 est à l'image du reste du jeu : classique, sobre, mais aussi un peu vide par endroits. Classique, le jeu de Eurocom l'est dans sa construction avec seulement un mode entrainement, un mode Jeux Olympiques et un mode Défis. Autant faire son deuil rapidement donc, il n'y a aucune possibilité pour qui veut créer un athlète à son image et encore moins pour ceux qui ambitionnent de faire de leur star favorite le nouveau médaillé d'or. On ne retrouve en effet aucun nom connu et il faut se contenter du peu de pays disponibles pour trouver chaussures à son pied. Sobre, Vancouver 2010 l'est dans sa réalisation. Le jeu est assez joli et n'agresse pas les yeux, les sensations de vitesses sont bien retranscrites et la modélisation des décors et des sportifs se révèle plutôt correcte.
Après avoir exploité avec succès la licence des Jeux Olympiques d'été grâce à Beijing 2008, Sega remet ça. Cette fois, ce sont bien évidemment les olympiades d'hiver que l'éditeur nous propose de vivre sur nos machines. Vancouver 2010 a le même objectif que son cousin : devenir une référence dans le genre multi-épreuves inspiré d'une compétition existante et qui plus est, la plus populaire qui soit. Forts d'une expérience réussie au cours de l'été 2008, les développeurs d'Eurocom partaient avec toute notre confiance dans leur mission d'adapter les Jeux Olympiques d'hiver en jeu vidéo. Avant eux, d'autres s'y sont risqués en se basant sur les licences Lillehammer 1994, Nagano 1998 ou Torino 2006 pour ne citer qu'elles, avec des fortunes diverses. Cette fois, la peur de l'inconnu n'est plus puisque sans révolutionner le genre, Beijing 2008 demeure un très bon souvenir pour nous, subtile mélange entre fun et exhaustivité. Malheureusement, l'expression qui revient dans les bouches des joueurs qui essaient brièvement Vancouver 2010 est la même : "ils ne se sont pas foulés !". Et en effet, le moins que l'on puisse dire, c'est que ce titre nous déçoit. Peut-être en attendions-nous beaucoup trop mais quoi de plus naturel pour un titre possédant la licence officielle des J.O. ?
Après avoir sorti Mario & Sonic aux J.O. d'Hiver à la fin de l'année dernière, et suite au succès qu'on lui connaît, SEGA se jette de nouveau dans la poudreuse avec cette fois Vancouver 2010, sur consoles HD et PC. Il s'agit bien ici de "LE jeu officiel" (et plus sérieux) des prochains Jeux Olympiques d'Hiver, qui auront lieu le mois prochain au Canada. Alors réussite ou belle gamelle ? Réponse dans les lignes qui suivent, là maintenant tout de suite... S'il-vous-plaît.Le titre est développé par Eurocom, comme ce fut le cas pour Beijing 2008, et toujours sous la houlette de SEGA. Évidemment, ici les épreuves proposées feront partie du panel habituel que l'on verra prochainement dans la magnifique ville de Vancouver, que j'avoue ne pas connaitre. Leur nombre est malheureusement loin d'être pléthorique, avec seulement 14 épreuves représentant 8 disciplines au total... sur les 15 des "vrais" Jeux, ça fait un peu léger... Bref, pas de quoi sauter au plafond de ce côté, même avec des skis fartés à mort. Évidemment, les différentes disciplines choisies restent assez représentatives de l'événement planétaire, mais on aurait malgré tout apprécié avoir un peu plus de choses à se mettre sous la dent...
Après un bref aperçu, posté voilà de cela quelques semaine, Vancouver 2010 vient refaire un tour dans nos colonnes. Avec peu de variété, une IA monstrueusement forte et une maniabilité catastrophique, la version preview laissait présager le pire… Qu’en est-il de la version test ? Lorsque l’on prend en main Vancouver 2010 pour la première fois, force est de constater que la direction artistique frise le néant total. Pas de vidéo d’introduction, des menus très dépouillés et quelques conseils assez secs accueillent le nouvel arrivant. Après quelques instants à naviguer dans l’interface globale du titre, on se rend compte que cette sobriété toute monacale est étendue à l’ensemble des éléments. Quatre modes de jeu (en comptant l’entraînement) et un total de quatorze épreuves s’offrent alors au joueur, ébahi par tant de générosité. Dans le détail, cela donne une partie entraînement, constituée de tutoriels pour chacune des disciplines et de la possibilité de dévaler les pistes jusqu’à plus soif. Les défis proposent pour leur part de petits challenges à relever. Il y est notamment question de descendre une piste en un temps donné, d’accumuler un certain nombre de points ou de maintenir une certaine moyenne de vitesse sur l’ensemble d’un parcours.
A l'heure où le Comité National Olympique et Sportif Français dévoile la composition de la délégation chargée de faire une razzia de médailles à Vancouver, SEGA propose aux sportifs de canapé de rafler l'or sans bouger de chez eux. Visiblement satisfait du travail effectué sur Beijing 2008, l'éditeur a remis en piste le studio de développement Eurocom, dont l'expérience en matière de divertissements hivernaux se limite au portage sur consoles et PC de l'Age de Glace 2. Le résultat s'en ressent. Plutôt frileux dans son approche, Vancouver 2010 évite de justesse la chute au fin fond du ravin où s'entassent déjà bon nombre de titres multisports.Après avoir brillé à Salt Lake City, en décrochant un total historique de onze médailles, et réalisé une belle performance à Turin en montant sur neuf podiums, la délégation olympique française sera d'autant plus attendue au tournant que plusieurs de ses membres enchaînent les succès depuis le début de la saison. La douceur de la Colombie Britannique réussira-t-elle aux athlètes nationaux ? En attendant l'événement, qui débutera le 12 février pour s'achever 16 jours plus tard, Sega vous propose donc d'établir votre propre palmarès avec le jeu officiel des JO d'hiver.
Chez Sega, on aime le sport et les Jeux Olympiques en particulier. Après un Mario & Sonic aux J.O d'Hiver plutôt destiné à l'amusement familial, la firme vise maintenant une autre portion de joueurs avec un Vancouver 2010 plus réaliste, et développé par Eurocom, déjà auteur de Beijing 2008. Ici, le joueur pourra exprimer toute sa dextérité à travers 14 épreuves, seul ou à plusieurs, avec du multi local et un mode de jeu en ligne. Si ce genre de titre n'a généralement pas grand chose pour étonner, on est tout de même agréablement surpris par la réalisation soignée de l'ensemble avec de bons graphismes, et un didacticiel clair permettant de se faire la main sur chaque discipline avant de s'attaquer aux médailles. La prise en main est donc bonne une fois sur la neige ou la glace, et le gameplay s'appuie généralement bien plus sur le timing ou l'équilibre que sur le matraquage de boutons, ce qui est plutôt une bonne chose. On regrette néanmoins la similitude qui peut exister entre certaines épreuves, déjà pas spécialement nombreuses : les différences entre la luge et le bobsleigh ou le patinage sur 500 ou 1.500 mètres restent ainsi minimes dans la pratique. Et il y a d'autres exemples.
A deux semaines de sa sortie, Vancouver 2010 se dévoile un peu plus par l'intermédiaire d'une version preview envoyée par SEGA. De quoi découvrir les 14 épreuves proposées, et se faire une première idée de leur gameplay.Le jeu inclura 14 épreuves des J.O. d'hiver, réparties en huit catégories : ski alpin, saut à ski, ski acrobatique, snowboard, patinage de vitesse, bobsleigh, skeleton, luge.Vous pourrez incarner des athlètes venant de 24 pays différents, de la Suède à la Chine en passant par les Etats-Unis, le Japon ou la France.Les compétitions se dérouleront sur quatre sites officiels, recréés avec fidélité afin de plonger le joueur au coeur de l'évènement.Le mode Défis vous proposera différents challenges permettant d'améliorer peu à peu vos performances.Il sera possible de jouer seul ou à plusieurs, aussi bien sur une unique console qu'en réseau local ou en ligne.Un classement en ligne vous permettra de connaître votre niveau par rapport aux joueurs du monde entier. L'avis de EricAvant toute chose, il convient de faire le point sur les 14 épreuves incluses dans Vancouver 2010. En ski alpin, vous participerez à la descente hommes, au super-G hommes, au slalom géant dames et au slalom dames.
Sega continue d’exploiter le juteux marché des jeux officiels des Jeux Olympiques. Après un Beijing (en 2008) passable mais non bâclé, les développeurs passent maintenant aux futurs jeux d’hiver de Vancouver qui débutent l’année prochaine. La GC 09 a été l’occasion de découvrir le jeu qui devrait sortir un peu avant l’évènement international. Comme d’habitude avec ce genre de jeu à licence, Vancouver 2010 devrait couvrir la plupart des épreuves présentes dans la réalité. Ski alpin, saut à ski, snowboard, skeleton, bobsleigh, etc, etc. La principale nouveauté avec les JO d’été nous expliquent les développeurs, c’est que ce sont des sports beaucoup plus rapides. Et à ce titre le travail a été porté sur l’impression de vitesse. Le développeur lance donc l’épreuve de saut à ski pour nous convaincre. Cette épreuve se déroule en trois temps : gestion du vent tout d’abord pour calculer au mieux son axe de décollage, puis l’impulsion qui demande d’appuyer sur un bouton de la manette au bon moment, vient ensuite l’équilibre en l’air et enfin l’atterrissage. Tout cela se fait en vue à la première personne, histoire de bien ressentir le vent filer sur ses oreilles et voir la caméra trembler lors de la descente.
Après Beijing et la satisfaction d'avoir réussi à adapter l'un des événements les plus plébiscités de la planète en jeu vidéo, les développeurs d'Eurocom s'attaquent aux J.O. d'hiver qui se dérouleront à Vancouver dans quelques mois. Pour la même réussite ? Vancouver 2010, c'est l'histoire d'un titre qui s'appuie sur la bonne expérience de Beijing 2008 sans pour autant en être un clone, avec un peu de neige et des températures opposées en plus. En effet, plutôt que de céder à la facilité et de proposer un jeu recyclant les mêmes mécanismes, l'équipe en charge de développer ce titre a plutôt opté pour une orientation sensiblement différente. Si le côté grand public n'est à aucun moment remis en question, c'est bien le gameplay qui se détache un peu de ce qu'a fait Beijing. Preuve en est, les disciplines qui nous ont aujourd'hui été montrées (ski alpin, saut à skis, bobsleigh et snowboard), ont permis de mettre en avant une vue à la première personne assez révolutionnaire. S'il sera bien possible de jouer en vue à la troisième personne, les plus avides de sensations réalistes pourront switcher de caméra pour se placer derrière les yeux de l'athlète !
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