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Nous avons réuni 28 tests du The Witcher 2 : Assassins of Kings. Les experts notent The Witcher 2 : Assassins of Kings 8.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du The Witcher 2 : Assassins of Kings et d'autres Jeux PC.
Après un Witcher premier du nom relativement bien reçu, malgré quelques problèmes techniques gênants, CD Projekt revient avec un second opus des aventures de Geralt de Riv. Largement plus abouti techniquement parlant, le titre a-t-il réussi à gagner encore en maturité ? On voit cela ensemble… Dans la suite ! Au cas ou vous auriez, comme beaucoup, fait l’impasse sur le premier volet de la série The Witcher, je vais commencer par vous remettre un peu le décor en tête. Sachez donc que le jeu se déroule dans le royaume de Téméria, dans lequel le personnage principal, Geralt de Riv, sorceleur de son état, jouit d'un talent tout particulier pour se retrouver dans de salles draps. Bon pour le coup, à la fin du premier opus, Geralt se retrouvait rattaché au service du roi de Téméria, car il venait de sauver la vie de ce dernier. Le second opus commence donc trois mois après les aventures dépeintes il y a 4 ans dans The Witcher. On retrouve Geralt auprès du roi de Téméria pendant le siège du château de La Valette. Votre mission sera de récupérer, dans ce château, les enfants illégitimes du roi. Lors de la chute du château se déroulera un événement qui va bouleverser le royaume de Téméria, et Geralt se retrouvera dans un cachot.
Apparu en 2007, The Witcher aura attendu quelques mois avant de se faire véritablement un nom sur la scène du RPG. Il faut dire que si Atari n'avait pas vraiment forcé sur la communication avant la sortie du jeu, le manque de finition de ce dernier n'avait pas non plus aidé les développeurs à mettre leur titre en avant. C'est principalement par le bouche à oreille et grâce à d'énormes mises à jour que le premier bébé de CD Projekt a connu le succès qu'il méritait, pour finalement s'imposer comme un RPG incontournable. Sans surprise donc, The Witcher 2 : Assassins of Kings a très vite suscité la plus vive impatience chez les joueurs grâce à une communication bien mieux gérée qui laissait entrevoir un jeu d'envergure et de qualité, reprenant tous les bons points de son prédécesseur tout en améliorant ce qui devait l'être. Après presque quatre ans d'attente, il est maintenant temps de savoir si les développeurs ont tenu toutes leurs promesses et si The Witcher 2 saura, lui aussi, s'imposer comme la nouvelle référence du genre. Une fois encore, l'histoire de The Witcher 2 : Assassins of Kings démarre d'une étrange façon pour Geralt de Riv. Alors que le sorceleur avait réussi à empêcher un régicide à la fin du premier épisode, le voici enchaîné au fin fond d'un cachot humide et sombre en attente de la potence qui lui semble promise.
Première création des Polonais de CDProjekt, The Witcher avait à l'époque séduit bon nombre d'amateurs de RPG en proposant une aventure sombre, intense et à l'esthétique flamboyante, et ce, malgré les quelques tares techniques qui l'avaient alors empêché d'accéder au panthéon des plus grands jeux de rôle.Plus de trois années plus tard, les développeurs ont visiblement appris de leurs erreurs puisqu'avec The Witcher 2 : Assassins of Kings, ils nous livrent ici une oeuvre magistrale et probablement le nouveau mètre-étalon du RPG à l'Occidentale. Explications. Il y a des héros à qui tout ou presque sourit. Bien sûr, le plus souvent, il leur incombe la lourde tâche de sauver le monde des dangers qui l'assaillent, mais ils ont au moins le bon goût, ou la chance, d'afficher un sourire carnassier de rigueur, de jouir d'un soutien sans faille de la part de leurs contemporains et de toujours voir leurs plans se dérouler sans accroc. Et puis il y a Geralt de Riv. La chevelure grisonnante et l'oeil reptilien, ce chasseur de monstres dopé aux mutations en tous genres, aussi populaire dans son quartier que la peste, se voit en sus flanqué d'une inexplicable propension à entamer ses divers périples de la pire manière qui soit.
Basé à Varsovie, CDProjekt est parvenu à se faire un nom avec un unique titre. Un OVNI débarqué courant 2007 pour le plus grand plaisir des joueurs PC amateurs d'aventure, de narration et de personnages travaillés. The Witcher faisait effectivement l'effet d'une bombe alors que le PC n'avait pas la cote et que nombre de studios cherchaient à reproduire la recette monde ouvert qui avait déjà fait le succès de Elder Scrolls : Oblivion. Les Polonais se plaisaient alors à souligner qu'ils développaient un genre moribond pour une plateforme moribonde... Presque deux millions d'exemplaires vendus plus tard, voilà qu'ils nous refont le coup avec une suite encore plus aboutie ! Au contraire de ce que propose l'immense majorité des jeux de rôle, il n'est pas ici question de démarrer l'aventure par la petite séquence création de personnage qui va bien. De fait, il n'y a aucun point à répartir pour se préparer un alter ego tout en finesse, pas plus qu'il n'est prévu de paramétrer l'apparence de notre héros... Pire, The Witcher 2 se permet en plus de débuter par un didacticiel / prologue bien long, bien bavard et pas franchement passionnant !
Lors de sa première épopée virtuelle, Geralt de Riv, sorceleur de son état, aimait tuer des monstres, collectionner les piécettes dorées et trousser toutes les donzelles consentantes qui croisaient sa route. Une vie idéale pour un héros cynique et brutal, loin des charmeurs moralistes qui hantent le RPG occidental. De brutales proies potentielles avaient pourtant manqué de mettre un terme à cette merveilleuse existence. Fut un temps où Geralt s'était en effet heurté aux cavaliers apocalyptiques de la Chasse Sauvage. Après s'être emparé de Yennefer, la sorcière voluptueuse qui avait réussi à dompter son coeur volage, la meute spectrale avait laissé notre homme agonisant et amnésique. Les années ont passé et, bien que le sorceleur aux cheveux d'argent ait su trouver le réconfort auprès d'une autre sorcière tout en s'attirant les faveurs, amicales cette fois, du roi Foltest, il n'en reste pas moins hanté par des visions cauchemardesques. Plus soucieux de réunir ses souvenirs que de plaire aux nobles ambitieux, trop indépendant, trop étrange aussi les sorceleurs sont des mutants Geralt n'ignore rien de la précarité de sa situation à la Cour et s'apprête à se remettre en route.
C'est bien beau d'annoncer The Witcher 2 "jeu de l'année" dans les podcasts de Gameblog, mais encore faut-il qu'il ne me laisse pas tomber. Ça n'a pas été facile, il a failli ne pas les avoir ses cinq étoiles ! Vous pensez bien qu'il n'y a pas que des bonnes choses à dire sur le nouveau RPG de CD Projekt. Heureusement, tout se termine bien à la fin.Tiens, un test de The Witcher 2 ! Je parie que vous ne l'attendiez plus. Ou alors vous n'avez même pas remarqué qu'on ne l'avait pas encore sorti. Eh bien le voilà en tout cas ! Il y en a qui se disent peut-être « Ah, Fumble, il a voulu y jouer cinq fois pour être sur de faire du bon travail, c'est pour ça qu'il est en retard. » Euh, non, pas du tout en fait. Il s'avère juste que nous avons subi un véritable festival de lose pour récupérer une version, l'installer, etc. Autant vous dire que j'étais un peu déception. L'avantage étant que si vous n'avez pas pu cliquer pour connaître rapidement l'avis de Gameblog, vous cliquerez pour au moins savoir pourquoi on est autant à la bourre. Bref, j'ai quand même finalement réussi à le lancer et j'ai mis ma haine du système (yo !) de côté pour profiter du RPG de l'année. Place au Witcher. Ah Geralt le Sorceleur, comme tu as changé. Plus taciturne, non ? Plus... beau que tu ne l'étais avant ?
Il y a des jeux qu'on aimerait bien avoir le temps de déguster et The Witcher 2 en est un parfait exemple. Seulement voilà : on ne l'a pas reçu assez tôt pour vous proposer un test dans des délais raisonnables. Du coup, afin d'être le plus exhaustif possible sans perdre trop de temps, on innove avec un test à quatre mains, basé sur l'article original de Quintin Smith paru chez nos confrères anglais, complété par ma propre expérience de jeu. Remarquez, un test franco-anglais pour un jeu tchèque édité par des Japonais, c'est plutôt cohérent. Cyrille Baron Saviez-vous que bizarrement on peut juger d'un jeu en voyant sa première ville ? Cela se vérifie la plupart du temps. Baldur's Gate 2 était un jeu d'une taille immense dont le premier décor à explorer librement, la ville d'Amn, d'une immensité intimidante, vous subjuguait immédiatement. Pareillement, le campement de départ de Fallout, Shady Sands, bidonville sinistre au milieu de nulle part, a laissé des souvenirs impérissables à nombre d'entre nous. À l'instar des RPG cités plus haut, la première zone centrale de quêtes de The Witcher 2, la ville marécageuse de Flotsam, humide et exhalant des relents d'alcool, est une véritable déclaration d'intention.
Après avoir fini The Witcher 2 (hier soir à une heure du matin, pour ceux que ça intéresse), une question m’a immédiatement sauté au cerveau : depuis combien de temps n’ai-je pas été autant happé dans un scénario de jeu vidéo ? Impossible d’y répondre, tant ça remonte à loin. Devant le générique de fin qui défile, on ne peut que repenser à toutes les pièces qui constituent la trame du titre de CD Projekt. Et on a qu’une seule envie : y retourner pour profiter encore de ce magnifique univers. Car une chose est sûre : il est tout bonnement impossible de tout découvrir et tout démêler à la fin d'une seule partie. The Witcher 2 se dote en effet d'un scénario à multiples couches, dont certaines se dévoilent uniquement selon certaines décisions. La preuve ? Le second acte peut être totalement différent en fonction du camp que l’on rallie à la fin du premier chapitre. Entendez par là que l’histoire, mais aussi le lieu de l’action, n’est pas le même. . Mais, le plus brillant dans tout ça, c’est qu’il n’y a pas de bonne ou mauvaise solution. Geralt doit souvent trancher lors d’un débat (au sens propre comme au figuré), mais c’est la plupart du temps le moindre des maux qu’il choisit, car son entourage n’est jamais réellement bon ni entièrement mauvais.
Disponible depuis le début de la semaine, nous décortiquons aujourd’hui pour vous le très attendu The Witcher 2 : Assassins of Kings. Un RPG comme on en fait peu et qui a l’ambition de reprendre le flambeau de son illustre prédécesseur. Bilan de cette suite qui, comme on l’espérait, se profile comme un must have pour tout joueur PC qui se respecte. L’histoire de The Witcher 2 débute là où le premier opus se termine. On peut d’ailleurs reprendre ses sauvegardes du premier épisode pour débuter l’aventure. Nous retrouvons donc Geralt de Riv, désormais au service du roi Foltest. Ce dernier vient d’échapper à une tentative d’assassinat grâce à notre héros et c’est en pleine guerre que tout commence. En effet, le roi coureur de jupon a fait un bâtard à la duchesse d’à côté. Forcément, ça ne plait pas à tout le monde et une guerre pour la succession s’est engagée. C’est dans ce contexte qu’il va falloir se frayer un chemin au milieu des troupes ennemies pour retrouver l’enfant du roi. Mais l’épopée héroïque tourne au vinaigre lorsque le roi se fait égorger par un autre sorceleur ! Geralt, qui ne parvient pas à mettre la main à temps sur le meurtrier se fait griller par les gardes seul dans la pièce avec le cadavre.
Cette année 2011 est marquée par la sortie de deux gros jeux de rôle à l'orientation opposée : The Witcher 2 et Skyrim. L'un mise sur son ambiance, sa narration et ses personnages, l'autre sur sa liberté et son univers ouvert. Le vœu le plus cher des fans du genre, c'est que ces deux suites très attendues ne déçoivent pas. On ne sait pas ce qu'il en sera pour Skyrim, mais pour The Witcher 2, c'est déjà dans la poche ! Fin 2007, alors que la mode est aux mondes ouverts, un studio polonais du nom de CDProjekt Red décide de proposer un jeu de rôle qui va à contre-courant de cette démarche libertaire, The Witcher. Ce titre relativement linéaire, qui ne permet ni de créer son avatar ni de sortir des sentiers battus, préfère se concentrer sur la narration et sur l'immersion du joueur dans l'univers de dark fantasy violent et sans concession de l'écrivain Andrzej Sapkowski. Le héros, Géralt de Riv le sorceleur, spécialisé dans l'éradication des créatures surnaturelles maléfiques, est confronté à des thématiques résolument modernes (xénophobie, fanatisme, terrorisme...) qui suscitent quelques prises de parti dont il ne mesure les conséquences qu'à long terme.
Cette année va être fantastique pour les RPG, c'est au moins un point d'acquis. Après une année de relative disette avec seulement les os blanchis de Dragon Age II pour se faire les dents, la fin de l'année promet maintenant des choses excitantes comme Skyrim, Mass Effect 3 et un jeu à peine moins connu dont nous sommes maintenant convaincus qu'il peut se hisser au niveau des meilleurs : The Witcher 2. Le premier Witcher, un RPG polonais sorti de nulle part qui s'était rapidement fédéré un public fidèle, avait été un succès tranquille, mais avait rebuté pas mal de gens avec ses scènes controversées de parties de jambes en l'air. À en juger d'après ce que nous voyons maintenant, The Witcher 2 paraît complètement apte à faire l'unanimité. The Witcher 2, qui constitue une énorme avancée en termes de présentation, d'écriture et de complexité du jeu de rôle, entend se frotter directement aux grands noms du genre. Un tueur de rois ? Si les rois sont BioWare et Bethesda, cela pourrait être le cas. Même si disserter sur les graphismes d'un jeu peut facilement mener à des superlatifs épouvantables, ce serait une omission impardonnable de ne pas souligner à quel point The Witcher 2 est visuellement superbe.
The Witcher 2 sort dans un mois et CD Projekt a eu la bonne idée de nous faire parvenir une version très avancée. De quoi se faire un sérieux avis de la qualité finale du titre, malgré les bugs, ralentissements et autres crashs. Espérons tout de même que les développeurs mettent le paquet pour peaufiner leur bébé, sans quoi les crises de nerfs risquent d’être fréquentes chez les joueurs. Mais peu importe ces petits soucis d’optimisation, puisqu’ils n’entachent que peu le plaisir que l’on a à découvrir ce second épisode. Nous l’avons déjà évoqué dans les précédentes previews, mais permettez-moi d’en remettre une couche : The Witcher 2 est absolument magnifique (jetez un oeil aux screens maison, pour vous en convaincre). Tout, dans sa réalisation, transpire le bon goût, la classe et la puissance. Les jeux d’ombres et de lumière sur les murs sont saisissants, l’effet de profondeur donne le tournis et la végétation luxuriante semble plus vraie que nature. Mais cette opulence visuelle a un prix et n’espérez pas dépasser le niveau de détail « moyen » avec un PC de plus de deux ans. Vous cherchiez une bonne occasion de mettre à jour votre machine ?
Après quelques jours passés à dévorer une version preview de The Witcher II proposant une grosse portion du jeu (le long prologue et l'intégralité du premier chapitre), nous ne pouvions manquer de vous livrer nos nouvelles impressions sur ce jeu de rôle très attendu, qui a la lourde tâche de succéder à un premier volet qui a fait date. Autant vous le concéder d'emblée, cette version preview de The Witcher II nous aura fait passer par tous les stades émotionnels possibles : fascination, inquiétude, colère, jubilation, incompréhension, soulagement... La faute incombe à une grande disparité entre les deux segments de jeu proposés. Le prologue et le début du premier chapitre prennent en effet la forme d'un long couloir bavard, très bourrin et peu interactif, truffé de séquences cinématiques interminables et de QTE inutiles. Là, on se pince, on se demande ce qui se passe et on va jusqu'à s'imaginer l'équipe du jeu dilapidant de façon obscène et décadente l'argent gagné après avoir vendu son âme au diable. Mais on se ressaisit et on se rappelle aussi à quel point le prologue du premier opus ne laissait en rien présager des qualités réelles du jeu.
Si les développeurs de CD Projekt nous avaient fait une présentation très convaincante de leur bébé lors de la dernière Gamescom, nous attendions avec impatience de pouvoir réellement y jouer. C’est désormais chose faite grâce à une (courte) session de jeu organisée dans le sous-sol d’un restaurant parisien. Une petite heure de prise en main qui nous a permis de découvrir une infime partie des nouvelles aventures de Geralt, le sorceleur bourreau des cœurs. Avant de pouvoir s’emparer des machines de test, les développeurs nous donnent quelques infos : la démo se situe vers la moitié du jeu et va nous permettre de visiter Vergen et ses environs, une petite ville naine perchée dans les montagnes. Autre précision : la découverte de ce patelin n’est pas obligatoire et dépendra essentiellement de nos précédentes actions. Une manière de nous prouver que The Witcher 2 est un titre non linéaire et très ouvert. Le nombre d’embranchements scénaristiques devrait être énorme et pas moins de seize fins différentes guettent le sombre héros. En attendant de réellement juger cet aspect du jeu, on se contentera de croire béatement le studio polonais.
L'été dernier, CD Projekt nous avait présenté à la Gamescom des passages de The Witcher 2 axés sur la furtivité et l'exploration de donjon. Cette fois-ci, nous avons pu mettre la main à la souris et profiter d'une cession de jeu complète. Cette cession permettait de jouer une des nombreuses quêtes secondaires que proposera The Witcher 2. Pour le moment, CD Projekt ne souhaite pas communiquer sur le scénario du jeu proprement dit. Les fans d'Andrzej Sapkowski, auteur de la saga dont le jeu est tiré, seront toutefois ravis d'apprendre que ce scénario fera parfois référence à des évènements relatés dans les bouquins (édités en France chez Bragelonne sous le nom « Le Sorceleur »). C'était déjà le cas dans le premier Witcher, dont une des quêtes s'inspirait du livre « Le sang des Elfes ».Pour résumer ce que l'on sait déjà du scénario, The Witcher 2 prend place peu de temps après les aventures relatées dans le premier volet. Après avoir sauvé le roi Foltest d'un complot fomenté par l'Ordre de la Rose Ardente, Geralt de Riv se trouve bien malgré lui au centre des intrigues politiques qui déchirent le Royaume de Temeria.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 02/2011
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Succès surprise de la fin d'année 2007, The Witcher a même été salué par de nombreux critiques / joueurs comme le jeu de rôle de l'année... Une récompense d'ailleurs renouvelée à la sortie de son « enhanced edition » en 2008 ! Après diverses présentations qui avaient fait plus que nous mettre l'eau à la bouche, il nous tardait cependant de pouvoir essayer la bête, et ce, alors même qu'une date de sortie ferme a été annoncée il y a peu par un développeur - CDProjekt RED - de plus en plus sûr de lui... Les Polonais ont-ils vraiment réussi à rendre Geralt encore plus séduisant ? Accueilli par le producteur du jeu - Tomasz Gop - nous avons tout d'abord eu droit à un bref rappel des principales caractéristiques de The Witcher 2. Nous ne vous ferons pas l'affront de vous les repréciser, et ce, d'autant plus que vous pouvez consulter nos précédentes preview ci-bas... Tomasz ne s'est d'ailleurs pas éternisé comprenant que nous n'avions pas fait le déplacement pour nous entendre rabâcher des choses maintes fois entendues. Il nous a toutefois précisé que la version présentée n'était encore qu'une pré-bêta et que divers éléments tels que la fluidité générale du jeu seront améliorés d'ici à la sortie... Le bougre dit sans doute vrai, mais de toute façon, on ne peut pas dire que nous ayons eu à nous plaindre de bugs ou autres ralentissements durant cette session de prise en main.
De passage en France, Tomasz Gop, producteur de The Witcher 2 nous a offert de prendre les commandes de son nouveau bébé, le temps d'une quête. Juste assez pour réaliser que l'on tient sans doute là le RPG de l'année. Et nous avons été furieusement emballés. Quiconque se rappelle de ce mois d'octobre 2007 où The Witcher, jeu de rôle d'un studio polonais parfaitement inconnu, a débarqué chez nous, ne peut qu'être attentif quant à sa suite. Du lourd, forcément du lourd, puisque les petits gars de Varsovie l'air de rien nous avaient concocté la plus belle surprise de l'année, en faisant preuve d'une grande maîtrise en matière de background, de gameplay et de level design. Sans parler d'une qualité graphique qui n'est pas non plus passée inaperçue, loin s'en faut. Trois ans plus tard, donc, le même héros Geralt de Riv, sorti faut-il le rappeler de l'imagination de l'écrivain fantastique Andrzej Sapkowski*, reprend du service pour déjouer une malédiction qui pèse sur toutes les têtes couronnées des environs. Geralt est un sorceleur, mercenaire mutant usant de magie et expert en alchimie, qui aura pour mission de tirer cette sombre affaire au clair, même s'il doit pour cela faire couler le sang, ce qui arrivera évidemment, et plus que de raison.
Gamekult
Ajouté le : 02/2011
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Mutant armé jusqu'aux dents, tombeur de ces dames et accessoirement chasseur de monstruosités en tous genres, Geralt de Rivia nous reviendra cette année dans The Witcher 2 : Assassins of Kings. Ce jeu de rôle toujours signé CDProjekt et que l'on avait déjà eu l'occasion de croiser à Gamescom l'an dernier, s'est déplacé à Paris en début de semaine pour une petite session d'essai en mains propres. Au programme, de la parlotte, de la baston et une petite chasse à la succube. Bienvenue à Vergan, petite ville naine récemment envahie par des touristes venus des quatre coins du monde... et par un certain Geralt de Rivia. Sans connaître les raisons qui ont poussé le Witcher à visiter cet endroit reculé, on se retrouvait libre de batifoler à l'envi dans les rues de la bourgade afin de s'imprégner de son ambiance chaleureuse. Graphiquement parlant, le jeu de CDProjekt n'avait rien perdu de sa superbe depuis l'été dernier et affichait des décors à la fois très détaillés et élégamment construits, par ailleurs peuplés de personnages hauts en couleurs.
Sur le stand business de CDProjekt RED, la bière polonaise coulait à flots. Sur une étagère, des boîtes du jeu PC The The Witcher 2 : Assassins of Kings trainaient nonchalamment (on vous en parlera plus tard), mais tout cela n'avait que peu d'intérêt comparé à la présentation des nouvelles aventures de Geralt. Sorti il y a trois ans, The Witcher est le RPG-surprise auquel personne ne s'attendait, offrant un scénario résolument adulte, et une trame où il est beaucoup plus difficile de distinguer le bien du mal, contrairement aux scénarios plus classiques de type AD&D. De plus, on avait réellement l'impression de façonner l'histoire à notre manière, tant les répercussions de nos actions se faisaient sentir à plusieurs moments du jeu. Bien que souffrant de problèmes de performances à sa sortie, le jeu connût un tel succès grâce au bouche à oreille que CDProjekt RED sortit une méga-édition optimisée et améliorée du jeu un an après, gratuite pour ceux qui avaient acheté le jeu à sa sortie. The Witcher 2, comme son nom l'indique, est la suite de The Witcher et relate les aventures de Geralt, le Loup Blanc, Sorceleur de son état (oui, Sorceleur est la traduction officielle de Witcher).
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 08/2010
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Déjà présenté quelques semaines avant le lancement de l'E3 2010 en juin dernier, The Witcher 2 ne pouvait évidemment pas manquer la GamesCom de Cologne alors que l'Europe a représenté plus de 50% des ventes du premier opus. Toutefois, les développeurs de CD Projekt RED n'avaient réservé qu'un tout petit emplacement « perdu » dans les allées de la zone business... Tout petit espace certes, mais énorme claque en assistant à une présentation de ce qui sera sans aucun doute l'un des titres majeurs de l'année 2011. Impressions. En juin dernier, Geralt de Riv - héros de la saga Witcher - avait encore fière allure et, avec ses compagnons, il avait tout du puissant guerrier que rien n'arrête. Changement de décor avec cette présentation GamesCom 2010 puisque les choses débutent alors que Geralt est emprisonné au fin fond de je ne sais quel forteresse avec deux gardes bien taquins pour le surveiller. La séquence est en fait l'occasion pour les développeurs d'insister très largement sur les multiples possibilités offertes aux joueurs. Dans un premier temps, il s'agit donc de quitter le cachot et, pour ce faire, deux options sont disponibles : Geralt peut choisir de provoquer ses deux gardiens ou il peut décider de faire plus direct en leur montrant qu'il est parvenu à trancher ses liens.
J'aime cet article 4 personnes aiment cet articleEgalement disponible sur : The Witcher 2 : Assassins of Kings fait partie de ces titres qui peuvent se permettre d'enchaîner les présentations sur à peine trois mois, sans le moindre risque d'écoeurer les journalistes. Car avec un premier épisode qui s'était déjà montré excellent, le RPG de CD Projekt sait qu'il attise la curiosité et les passions, et que sa sortie pour 2011 sonne déjà comme une torture pour ceux qui n'en peuvent plus d'attendre les nouvelles aventures de Geralt de Rivia. Et puisque nous faisons partie de ceux-là, c'est avec un certain plaisir que nous avons assisté à un tout nouveau tour de force de The Witcher 2 : Assassins of Kings. Nos impressions. Ce que l'on ne peut absolument pas enlever aux développeurs de CD Projekt, c'est l'enthousiasme dont ils ont su faire preuve durant toute la présentation de The Witcher 2 : Assassins of Kings, et de leur volonté de convaincre l'assistance de la qualité de leur jeu. Ils ont commencé par vanter la profondeur du scénario du titre - graphique à l'appui - qui comprendra au final seize fins différentes, contre seulement trois en 2007.
The Witcher a été assurément LA bonne surprise de 2007. Jeu de rôle débarqué de nulle part, développé par les Polonais de CD Projekt, les premières aventures de Geralt avaient imposé un style bien particulier, baignant dans le médiéval fantastique sombre et mature. Mais, selon le studio, ce premier essai était bourré de défauts. Des points négatifs que CD Projekt s’est appliqué à gommer dans cette suite. Pour vous donner quelques chiffres, The Witcher 2 c’est : . Des statistiques qui ne veulent certes pas dire grand-chose, mais qui témoignent d’une volonté de faire les choses bien plus proprement. Cette première démonstration s’est avant tout concentrée sur les multiples façons d’aborder une situation. Ici, Geralt le « sorceleur » est prisonnier d’une geôle quelconque, attaché et quasi nu. Comment se libérer ? Apparemment, notre héros à la tignasse argentée a réussi au préalable à obtenir la clé de ses chaînes. Mais il faut encore se débarrasser des gardes qui surveillent la cellule. C’est pilepoil à ce moment qu’intervient le dialogue à choix multiples. Une provocation plus tard et voilà les matons qui investissent la cage de pierre de Geralt.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
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Cloisonnés dans un stand behind close door minuscule au fin fond de la gamescom de Cologne, les développeurs polonais de CDProjekt compensaient amplement la modestie de leur installation par l'intérêt de leur présentation de The Witcher 2 : Assassins of Kings, qui est sans aucun doute le jeu de rôle le plus ambitieux et impressionnant présenté cette année au salon allemand. Impressions à froid. Notre bon ami Geralt de Rivia avait sans coute connu des jours meilleurs que celui de cette présentation de The Witcher 2 : Assassins of Kings à la gamescom : attaché comme un gigot à un gibet de torture, notre fier héros cherchait évidemment à s'échapper du donjon où il était retenu. Pour ce faire, l'équipe du jeu a choisi de provoquer les gardes occupés à l'extérieur de la cellule du Witcher afin de les forcer à s'approcher un peu trop du personnage originellement créé par Andrzej Sapkowski. Ce que les gardes ignoraient, c'est que l'ami Geralt avait crocheté les liens qui le retenait sur cet outil de torture, lui permettant du coup de s'échapper d'une cellule maintenant ouverte après avoir tabassé ses tortionnaires grâce à un nouveau système de combat à mains nues visuellement très nerveux mais encore assez obscur dans son fonctionnement.
Impressionnant, riche, fouillé, les qualificatifs manquent pour parler du premier The Witcher qui a marqué de son empreinte le petit monde des jeux de rôle sur PC à sa sortie en 2007. Sa version Enhanced Edition parue un an plus tard mettait la barre encore plus haut grâce à une foultitude d'ajouts de contenu et de corrections de bugs. Hélas, l'adaptation console fut abandonnée si bien que seuls les joueurs PC ont pu goûter à ce petit chef-d'œuvre. On espère en tout cas que ce second volet verra bien le jour sur console, mais rien n'est certain actuellement puisque les développeurs nous ont juste dit qu'ils seraient "intéressés" à ce que The Witcher 2 voie le jour sur PS3 et 360, mais que pour l'instant, ils ne travaillaient que sur la version PC. Quoi qu'il en soit, le menu qu'ils nous proposent s'annonce vraiment goûteux ! Préquelles, seconds volets qui nous font jouer un personnage différent ou univers modifiés, les suites sont parfois très différentes de leurs prédécesseurs. Mais dans le cas de The Witcher 2, nous avons affaire à une suite tout ce qu'il y a de plus classique. Mais qui s'en plaindrait au vu des qualités du premier volet ?
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 06/2010
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Fin octobre 2007, CD Projekt a surpris son monde avec un jeu de rôle de qualité au scénario léché et au contenu adulte. The Witcher, sorti exclusivement sur PC, proposait des combats vivants et des situations variées avec une durée de vie conséquente. Plus généralement, et malgré quelques défauts, il a été très bien accueilli par la critique. Pour la suite des aventures de Geralt, officialisée en septembre 2009, les développeurs ont pris en compte une bonne partie des reproches que l'on a fait à leur production. Si The Witcher 2 : Assassins of Kings s'appuie les qualités narratives de son prédécesseur, il en profite pour faire peau neuve sur nombre de points. La démonstration faite par Tomasz Gop, le Producteur, nous plonge directement dans les premières minutes du jeu. L'histoire se passe quelques semaines après la fin de The Witcher. L'introduction met en scène deux personnages, un elfe et un guerrier plutôt imposant, en train de conspirer dans une grotte sombre... Quelques jours plus tard, Geralt, Triss et Vernon arrivent sur les lieux pour retrouver un informateur à Flotsam. Débarqués de leur bateau en pleine forêt, ils tombent dans une embuscade et doivent déjà se battre pour aller se réfugier en ville.
Paru en 2007, The Witcher est un RPG à l'ambiance très particulière, assez proche d'une sorte de dark fantasy. Truffé de répliques crues, de scènes assez dures et d'une présence marquée des relations sexuelles, le titre de CDProjekt s'apparentait à un jeu de rôle mature sans se baser uniquement sur cet aspect. En effet, si The Witcher a convaincu un large public, c'est également grâce à son aspect très carré et efficace, à défaut d'être profondément original. Avec beaucoup plus de pression sur ses épaules, car désormais attendu au tournant, The Witcher 2 s'est montré à nous lors du dernier Gamer's Day de Bandai Namco Games. Une surprise en moins pour des qualités en plus ?Présenté par Tomasz Gop, le producteur du jeu, The Witcher 2 a donc profité d'un petit détour par Barcelone pour dévoiler quelques phases de gameplay et surtout les systèmes de dialogues et de combat, double clef de voûte de tout bon RPG à l'occidentale qui se respecte. Pour resituer les rôles et le scénario, The Witcher 2 reprend le personnage de Geralt de Rivia comme héros principal, toujours accompagné de Triss, la sorcière rousse et d'un nouveau venu nommé Vernon Roche, à savoir un soldat de Temeria.
Gamekult
Ajouté le : 05/2010
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Bonne surprise de 2007 venue tout droit de Pologne, The Witcher avait su séduire les passionnés de bug grâce à une réalisation, un système de jeu, une histoire et des personnages aussi soignés que ses JdR étaient nombreux, même s'ils furent en partie réglés à coups de patches directement inclus dans l'Enhanced Edition. En parallèle des adaptations sur consoles finalement tombées à l'eau, les équipes de CDProjekt ont rapidement mis en route The Witcher 2 : Assassins of Kings, une suite directe que l'on a pu découvrir en action lors du récent Level Up de Namco Bandai à Barcelone. Impressions. Environ trois mois séparent la fin de The Witcher des évènements d'Assassins of Kings, même si le jeu s'ouvrira sur une scène placée au tout début de cette période de transition : dans une grotte éclairée par une simple flamme, l'elfe Iorveth discute de monarchie à renverser avec un homme à la carrure impressionnante surnommé le Kingslayer déjà responsable de la mort du roi Demawend d'Aedirn dont il garde la tête fraîchement décapitée en souvenir. A l'aide d'une ellipse de plusieurs semaines, on se retrouve à bord d'un navire en compagnie de ce bon vieux Geralt, la sorcière Triss et un soldat de Témérie nommé Vernon Roche, tous en route vers la ville de Flotsam pour rencontrer un informateur.
Sorti il y a trois ans sur PC, The Witcher a surpris de nombreux fans de jeux de rôle en proposant une aventure plus mature et plus riche que la plupart de ses petits concurrents. Personne ne s'attendait alors à voir les développeurs polonais de CD Project accoucher d'un tel chef-d'œuvre. Le succès de leur premier titre a visiblement donné des ailes aux membres de ce studio qui se surpassent pour nous proposer une suite encore plus impressionnante. Chose rare dans le cadre d'un RPG occidental, The Witcher nous mettait dans les bottes d'un héros prédéfini. En effet le titre se basait sur la série de romans et de nouvelles d'Andrzej Sapkowski et mettait en scène le personnage principal de cette saga : Geralt de Riv, un Sorceleur surentraîné qui utilise aussi bien la force brute que la magie pour chasser les monstres. Le bougre n'était pas au meilleur de sa forme au début de The Witcher, il était même frappé d'une amnésie bien pratique pour le joueur qui ne connaissait pas forcément le background lié à l'œuvre d' Andrzej Sapkowski. Le premier chapitre de The Witcher II entre plus rapidement dans le feu de l'action puisqu'il s'agit de la suite directe du premier épisode.
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