19 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
1
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 19 tests du The Legend of Zelda : Spirit Tracks. Les experts notent The Legend of Zelda : Spirit Tracks 8.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du The Legend of Zelda : Spirit Tracks et d'autres Jeux DS.
À chaque épisode de Zelda c'est un peu la même rengaine, l'elfe vert doit partir à la rescousse de la potiche de princesse et accessoirement sauver le monde. Une rengaine très classique que Nintendo a pour une fois un peu bousculée. Cette fois-ci, le vaillant Link se retrouve propulser au poste de conducteur de train et votre être amené à aider la princesse Zelda. Comme d'habitude, celle-ci se fait encore enlever, mais à la différence près que pour une fois l'esprit de la cruche de service a pu s'échapper. Et c'est comme cela que commence le début d'une jolie coopération entre la princesse et notre héros. Celle-ci se fait d'ailleurs ressentir rapidement au travers des dialogues qui ne manquent pas d'humour. La princesse s'affirme avec son caractère bien trempé et ça fait plaisir à voir. Tout comme les graphismes et la maniabilité au stylet qui a été peaufinés depuis le dernier zelda DS. cll Train, Donjon, repos La grande nouveauté de ce Zelda est bien évidemment l'arrivée du train. C'est avec celui-ci que Link va effectuer tous ses déplacements. Et malgré un début prometteur, durant le tutoriel où l'on apprend ainsi à réveiller les vaches assoupies sur la voie avec le sifflet.
Lorsqu'un Zelda arrive jusqu'à nos yeux souvent ce dernier a fait parler de lui, souvent aussi ce dernier garde ses surprises pour le jour d'après la sortie, se contentant de quelques petites idées craquantes à se mettre sous la dent. Et pour cause, malgré une histoire si souvent servie, de cette princesse en danger qu'il va falloir secourir pour la bonne santé du royaume, l'immersion a jusqu'à ce jour été le point fort de cette série d'aventure. C'est donc avec une grande impatience que l'on insère cette cartouche dans notre console portative. Qu'elle soit vert anis, jaune de damas ou encore rouge écarlate, le même écran s'allume sur la cinématique d'un train aux grandes roues sifflantes. Et dès le départ de cette aventure, on souffre déjà d'un élément que l'on n'attendait pas : le temps qui passe. Car si en effet on ne pourra pas faire grand chose de mieux avec le moteur graphique, la grossièreté des traits, et dans l'ensemble le manque de finesse de cette première cinématique laisse sans voix. Après une absence aussi longue on ne s'est même pas permis d'en changer une rame, c'est en tous points identique au travail fait sur Phantom Hourglass.
OMG : vous n’allez pas le croire, mais pour ce nouveau volet de The Legend of Zelda sur DS, la princesse du même nom s’est faite –suspense insoutenable- kidnapper. Du coup, Link, désormais affublé au rôle de conducteur de locomotive devra tout faire pour la retrouver… Oui, une fois encore la princesse Zelda s’est faite kidnapper. Le temps de Ganon est définitivement révolu, puisque Zelda s’est cette fois faite kidnapper par un fourbe ministre du nom de Kimado. Décidément, en 20 ans de carrière, la donzelle n’aura vraiment pas eu de chance (et elle aura presque passé plus de temps enfermée que libre…) Mais, car il a un mais, elle ne s'est cette fois fait kidnapper que son corps, et son âme restera tout au long de l'aventure auprès du petit lutin au bonnet vert. Et en réalité, l’idée a du bon, dans le sens ou on est face cette fois à une princesse plus causante, et forcément plus attachante… Comme quoi, on a de la suite dans les idées chez Nintendo ! Bref, passons sur ce postulat de départ pour nous recentrer sur ce qui nous intéresse vraiment : les entrailles du soft ! Alors évidemment, les développeurs se sont largement inspirés de Phantom Hourglass, un volet autant apprécié chez certains que décrié chez d’autres.
Il y a deux ans de cela, la Nintendo DS accueillait son premier épisode de la célébrissime saga The Legend Of Zelda avec Phantom Hourglass. Un titre qui s'inscrivait très nettement dans la lignée du Wind Waker sorti cinq ans plus tôt sur Nintendo GameCube en empruntant assez fidèlement l'esthétique de ce dernier en même temps que les grandes lignes de son game design. Une démarche qu'emprunte à son tour The Legend Of Zelda : Spirit Tracks en pérennisant encore un peu plus la touche cartoon initiée par Wind Waker. Entre recyclage et petites touches de fraîcheur, le dernier né de la saga s'inscrit comme un épisode assez mineur. Hyrule, Link, Zelda, une période de paix soudainement troublée par les forces du mal, des temples à explorer : l'univers de Spirit Tracks respecte à la lettre le bon vieux grimoire des charges établi par Nintendo. Nous ne reviendrons pas en détails sur le scénario de cet épisode qui s'apparente, dans les grandes largeurs, à tous ceux des épisodes qui l'ont précédé (exception faite de Majora's Mask). Le point de départ de cette nouvelle quête située une centaine d'années après les évènements de Phantom Hourglass suffit : apprenti conducteur de train venu recevoir son diplôme des mains de la princesse Zelda, notre héros est le témoin impuissant de la dépossession de cette dernière de son propre corps par Kimado, conspirateur tapi derrière sa fonction de ministre d'Hyrule, cherchant à réveiller le Roi Démon pour l'incarner dans ce réceptacle princier.
GamePro.fr
Ajouté le : 12/2009
Plus accessible...
Phantom Hourglass, premier Zelda sur Nintendo DS, était un jeu épatant qui tirait parfaitement partie des caractéristiques de la portable de Nintendo et notamment de l'écran tactile. Un Zelda mignon, avec son style hérité de WindWaker, agréable à prendre en main, bien écrit et rythmé. Une très belle aventure pour résumer. A l'annonce de ce Spirit Tracks, tous les fans de Zelda, nous y compris, ont frémi au moment d'apprendre que cette nouvelle aventure se jouerait sur rails. Avec des trains. Et des itinéraires de fait dirigistes. Fort heureusement, les équipes de Nintendo ont été assez intelligentes pour éviter une trop grande linéarité. Comment ? En rythmant au maximum la trame principale qui se fait sur les chapeaux de roues en une dizaine d'heures, mais aussi en créant et en intégrant un nombre considérable de (bonnes) missions annexes aussi diverses que plaisantes à jouer. En réussissant aussi à utiliser convenablement l'aspect coopératif entre Link et la princesse Zelda, et en créant des puzzles qui, sans être novateurs, sont toujours impeccablement intégrés. Et puis il y a la réalisation enchanteresse. Du côté de la patte graphique et du moteur, aucune surprise, c'est du tout bon.
Après la voile, la vapeur. Zelda revient avec une belle aventure classique. Mais pourquoi innover quand on a la classe ? Face à un nouvel épisode de Zelda, on peut grosso modo enregistrer quatre types de réaction. Ceux qui ne veulent pas en entendre parler mais, a priori, vous n'êtes pas concerné. Il y a ensuite ceux qui ne connaissent pas, ceux qui sont fans quel que soit le résultat et ceux qui sont blasés avant même d'avoir allumé la console. C'est donc à tous qu'on s'adresse ici. La série des Legend of Zelda est au jeu d'aventure ce qu'un camembert est au plateau de fromages, un incontournable. Vous dirigez Link, qui pourra porter votre prénom pour les besoins de l'aventure. Espiègle jeune homme, il va devoir sauver une princesse (Zelda) et son monde (Hyrule). Dans Spirit Tracks, Zelda est éthérée, alors que Link est atterré. Nintendo vous fait vous déplacer dans un vaste espace de jeu, composé de quatre zones, à bord d'un train que vous pouvez personnaliser peu à peu. Votre quête principale est de rendre son corps à la princesse et refermer un sceau qui emprisonne un démon. Démon qu'un vilain ministre démoniaque et un guerrier patibulaire veulent libérer. Comment ? En brisant le sceau, qui n'est autre que les voies ferrées.
Depuis des temps immémoriaux, Nintendo a toujours pu compter sur deux licences fortes pour porter ses consoles, de génération en génération. Si Mario est bien évidemment la mascotte de la firme et explose les records de vente à chaque sortie, une autre série connait un destin plus ou moins similaire et réunit autour de lui des millions de fans. Il s'agit bien évidemment de la saga de The Legend of Zelda, qui débarque une nouvelle fois sur Nintendo DS aujourd'hui avec The Legend of Zelda : Spirit Tracks, second opus à voir le jour sur la portable au double écran après Phantom Hourglass paru il y a deux ans de cela maintenant. Embarquement immédiat pour un aller simple vers les contrées mystérieuses d'Hyrule !Il existe une légende dans la royaume d'Hyrule. Une légende qui remonte à des temps immémoriaux, à l'époque où les Hommes virent le jour. A l'époque, seuls les dieux dirigeaient le monde, assurant alors un calme et une paix indéfectibles. Tout allait à merveille dans le meilleur des mondes, jusqu'au jour où le roi démon, incarnation des ténèbres, attaqua et ravagea le monde. Tentant de le combattre tant bien que mal, les dieux firent alors appel à tous leurs pouvoirs pour une lutte des plus acharnée, qui se solda finalement par une victoire du Bien sur le Mal. Mais à quel prix...
Les dernières - fausses ? - pistes données par Eiji Aonuma aidant, nous pouvons dresser un constat implacable. Sans tenir compte d'une quelconque chronologie fumeuse, on remarque que la série The Legend of Zelda a suivi pas à pas les progrès de l'Humanité, à mesure que ses suites s'empilaient. D'une aventure exclusivement pédestre, nous sommes d'abord passés à la découverte de l'élevage avec Epona dans Ocarine of Time. Avant, qui sait, les premiers pas de Link dans l'aviation, vinrent ensuite l'époque formidable de l'exploration du monde avec la traversée des océans (Wind Waker et Phantom Hourglass), puis ici la révolution industrielle avec l'avènement de la locomotive à vapeur. Mais en attendant de voir si le prochain grand Zelda annoncé sur Wii nous enverra tutoyer les étoiles, voyons si The Legend of Zelda : Spirit Tracks n'est pas un épisode qui mérite de rester à quai.A l'heure de la conquête de Mars, de l'A380, des passes Navigo et des bouchons sur le périph', il paraît peu évident que devenir cheminot fut un jour la source d'une immense fierté. Dans le monde de The Legend of Zelda : Spirit Tracks, cet événement est pourtant comparable à l'adoubement au Moyen-âge, comme en témoigne la convocation de Link au château de la Princesse Zelda pour y être solennellement consacré conducteur de trains.
Oublions les voies navigables de Phantom Hourglass et laissons la place aux chemins ferrés et autres passages à niveau. Spirit Tracks est donc le nouveau volet des aventures de Link, du moins, d'un des descendants du Link matelot croisé il y a deux ans. Tout comme cette princesse Zelda qui est elle aussi une des petites-filles, ou arrière petite-fille de l'autre Zelda. Unique descendante de la lignée royale d'Hyrule, Zelda est désormais la seule et unique cible des attaques des démons, qui ont pour but de prendre le pouvoir sur de douces contrées et d'y apposer leurs maléfices. Une fois de plus donc, la princesse est mise en difficulté et c'est son fidèle compagnon depuis la nuit des temps qui viendra lui sauver la vie, à elle, mais aussi au royaume. Les voies ferroviaires sont ici l'essence de l'équilibre du royaume. Toutes relient les quatre temples sacrés et transportent l'énergie utile au bon fonctionnement de la tour des dieux. Jusqu'au jour où, à mauvais escient, de viles créatures décidèrent de rayer de la carte toutes les rames de chemin de fer, brisant ainsi le voyage de l'énergie. Plus alimentée, la tour des dieux s'affaiblit...
Deux ans après le séduisant Zelda : Phantom Hourglass, Link repart à l'aventure sur Nintendo DS. Mais avant de porter sa mythique tunique verte, le lutin va devoir endosser une nouvelle tenue : celle de conducteur de locomotive ! Avec Spirit Tracks, adieu les longues escapades maritimes, place à de généreux voyages ferroviaires. Mais si le moyen de locomotion a changé, il n'en est pas de même du style graphique et de la structure globalement similaires. Alors ce Zelda serait-il un simple épisode 1.5 ? Que les inquiets se rassurent, ils vont découvrir un volet plus vivant et riche que son aîné. En clair, une belle aventure en modèle réduit dans laquelle la pate d'Eiji Aonuma semble s'épanouir. Il était une fois...L'arrivée d'un nouveau Zelda reste un événement. Véritable concentré d'aventure, d'humour et de gameplay diaboliquement rodé, les épopées du jeune Link n'ont jamais réellement déçu. Il existe pourtant désormais deux grandes familles dans les Zelda. D'un côté les épisodes consoles de salon misant sur des aventures au long cours avec un héros mature... de l'autre, des périples plus condensés, plus insouciants sur DS. Le look même de Link est un indice.
La légende de Zelda n’en finit plus de s’étoffer. Troisième rejeton de la branche Wind Waker, Spirit Tracks se pose dans la droite lignée de Phantom Hourglass. Deux ans à peine après la sortie de ce dernier, et au vu des visuels distillés par la firme au gros N, les ressemblances étaient flagrantes. Ce titre, réalisé par Eiji Aonuma,n’est-il alors qu’une simple version mise à jour de son prédécesseur ou arrive-t-il à s’en affranchir ? Embarquement immédiat… Toute la série des Zelda repose sur un principe simple. Link est un enfant/adolescent/homme amené par la force des choses à sauver tout ce qui bouge : des Zoras, des Gorons, des enfants, un cheval, le royaume d’Hyrule et surtout la princesse Zelda qui arrive toujours à se faire enlever par le sorcier/guerrier/démon de passage. Dans Spirit Tracks, dont les événements interviennent cent ans après Phantom Hourglass, le toujours jeune Link se destine à embrasser la carrière de conducteur de train. Un concept pour le moins innovant dans l’univers a-technologique auquel nous a habitué la la franchise. L’histoire débute donc à l’aube d’un jour important : Link doit se rendre à la citadelle pour recevoir des mains de la princesse son diplôme officiel de conducteur de train.
Il aura fallu un peu plus de deux ans aux équipes de Nintendo pour offrir un nouvel épisode de Zelda à la DS, après le nonchalant Phantom Hourglass. Construit en grande partie sur les mêmes bases, Spirit Tracks abandonne l'univers marin et le bateau au profit de voyages plus terriens à bord d'une locomotive divine roulant sur des rails magiques. Ce n'est pourtant pas la seule nouveauté apportée par cette aventure ferroviaire portable, qui dispose de sérieux atouts pour gravir la voie du succès. En voiture ! Zelda, comme sa copine Peach, est douée pour attirer les gars craignos rêvant de conquête et de pouvoir. Dans Spirit Tracks, elle est la cible d'un fieffé ministre à cornes nommé Kimado et d'un sombre guerrier au nom improbable qui aurait sa place dans Naruto, les deux complices cherchant à libérer un puissant démon emprisonné au terme d'une longue bataille par les Esprits d'Hyrule. Rapidement privée de son enveloppe corporelle, l'âme de la princesse accompagnera néanmoins tout au long de l'aventure un Link initialement formé pour devenir cheminot. Comme les fées d'Ocarina of Time et Majora's Mask, elle ne manquera pas de taper régulièrement la discute avec son héros pour lui rappeler le prochain objectif, lui fournir des indices ou simplement lui faire part de ses pensées.
Il serait facile d'utiliser le thème du train de ce dernier Zelda sur DS comme métaphore pour illustrer à quel point les aventures de Nintendo se conforment à une formule stricte : elles font naviguer leur jeune héros sur des chemins préétablis d'une situation à une autre en respectant rigoureusement les traditions, en se conformant à un calendrier strict et en évoluant plus comme un plan de construction que comme un conte de fées. Ce ne serait d'ailleurs pas entièrement faux. Jamais dans l'histoire auto-référente de la série un titre n'avait collé de si près (et rarement aussi rapidement) à la structure et au style de son prédécesseur que Spirit Tracks au Phantom Hourglass de 2007. Pourtant, interpréter le train de Spirit Tracks comme le signe d'un épuisement créatif serait une erreur mortelle. C'est le coeur et l'âme d'un jeu délicieux et irrésistible. Le tchou-tchou insistant du train donne le tempo d'un rythme alerte et d'une tonalité enlevée, et sauter dedans provoque toujours l'excitation simple et trépidante des départs pour ces voyages que les jeux Zelda ont toujours su rendre passionnants. Il est certain que conduire un train s'apparente à un caprice d'enfant, mais c'est bien là le propos - c'est évoqué avec une joie tellement communicative que cette série qui commence à vieillir (tout comme ses joueurs) conserve toute sa jeunesse du coeur.
La légende de Zelda se poursuit de plus belle sur DS. Après un épisode baignant littéralement dans une thématique marine, Link s'improvise cette fois conducteur de train et monte à bord d'une locomotive qui va l'entraîner jusqu'à la tour des dieux. Un édifice brinquebalant dont l'équilibre a été rompu, annonçant la résurrection imminente du roi des démons... Bien avant que ne soit fondée la citadelle d'Hyrule, la tour des dieux s'élevait fièrement au centre d'un monde quadrillé par des voies ferrées. Chacune de ces veines ferroviaires acheminait jusqu'à la tour l'énergie provenant de quatre temples sacrés, seule force capable de maintenir le sceau retenant captif le roi démon Mallard. Puis vint le jour où un serviteur du mal nommé Kimado entreprit de ressusciter son maître, rayant de la carte les voies ferrées ancestrales dans le but d'affaiblir le sceau de la tour des dieux. Il ne lui restait plus alors qu'à trouver l'un des descendants de l'antique royaume d'Hyrule et de séparer son âme de son corps pour que ce dernier serve de réceptacle au roi démon. Prise pour cible par Kimado et son acolyte Maître Traucmahr, la princesse Zelda disparaît alors sous les yeux du jeune Link, n'existant plus que sous la forme d'un esprit impalpable résolu plus que jamais à trouver le moyen de sauver son royaume et son enveloppe charnelle.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 07/2009
Plus accessible...
Après un premier opus DS nommé The Legend Of Zelda : Phantom Hourglass, vraiment impressionnant de maîtrise en plus d'être agréable à jouer, Nintendo reviendra bientôt avec son héros tout de vert vêtu, Link. Et pourtant, le dernier-né de la firme suscitait un certain nombre d'interrogations pas forcément très positives. En effet, il faut dire que les premiers visuels diffusés paraissaient extrêmement (trop ?) proches de ce que l'on pouvait voir dans Phantom Hourglass et que l'une des nouveautés avancées était le déplacement en train. Bref, il était temps de faire le point en nous essayant à une version assez avancée de The Legend Of Zelda : Spirit Tracks. C'est bien connu, les jeux Zelda sont des valeurs sûres. Aboutis, aussi bien dans le fond que dans la forme, ils proposent en général une aventure mâtinée de réflexion, d'action et de quelques éléments de jeu de rôle. Ce sont également des titres qui font « vendre des consoles » (d'où l'incroyable dénouement concernant Twilight Princess, devenu au dernier moment un jeu GC et Wii) et qui demeurent parmi les meilleurs titres des plateformes qui les accueillent.
Dès les premiers visuels de Spirit Tracks diffusés, on savait déjà que ce nouvel épisode de la série s’inscrirait dans la droite ligne de son prédécesseur. Les amateurs du premier Legend of Zelda sur ce support seront donc les premiers satisfaits, mais les idées qui s’annoncent seront-elles suffisamment novatrices pour encore produire de l’effet ? Certains s’inquiète en effet de la tournure des évènements et craignent une absence de renouveau. Voici nos impressions toutes fraîches sur la question. Afin de nous proposer de découvrir les aspects essentiels de ce qui s’annoncent comme les phases principales de gameplay, nous avons eu la possibilité de nous essayer à trois genre de parties bien distinctes. La première que nous allons aborder concerne le déroulement des fameux voyages en train. L’elfe le plus célèbre de l’histoire de Nintendo a en effet troqué son habit vert contre celui du cheminot, mais il n’en reste pas moins un héros au service de la princesse Zelda. C’est tout du moins ce que laisse supposer les vidéos et on ne doute pas un instant de ces capacités. Mais pour en revenir à l’histoire de locomotive, cette dernière possède quelques anciennes caractéristiques du bateau « dragon rouge » qui portait notre jeune blondinet sur les mers.
Il y a quelques jours, Nintendo nous conviait dans son appartement parisien pour une présentation des prochaines aventures de Link sur DS : The Legend of Zelda : Spirit Tracks. Même si nous n’avons pu prendre en main qu’une courte démo jouable, proposant seulement dix minutes de jeu, nous en avons découvert suffisamment pour fonder nos premières impressions, sur cette deuxième apparition de Zelda sur DS. The Legend of Zelda : Spirit Tracks, n’est autre que la suite de The Legend of Zelda : Phantom Hourglass, sorti il y a deux ans sur la même console. Effectivement, dès les premières secondes les ressemblances entre les deux titres sautent aux yeux. L’apparence de The Legend of Zelda : Spirit Tracks est en tout point similaire à celle de Phantom Hourglass, mais aussi à celle de The Legend of Zelda : Wind Waker sorti en 2003 sur la Game Cube. Le design ressemble beaucoup à celui d’un dessin animé et l’univers se révèle toujours aussi coloré. Comme dans le dernier opus, les personnages sont encore des enfants. Pourtant cent ans séparent les aventures de Spirit Tracks, de celle de Phantom Hourglass.
Depuis son annonce en mars dernier, The Legend of Zelda : Spirit Tracks est entouré du plus grand mystère. Nintendo avait alors dévoilé une bande-annonce laissant notamment entrevoir un Link cheminot à bord d'une belle locomotive. Toujours aussi énigmatique, le jeu DS était tout de même jouable sur le stand E3 de son éditeur. L'occasion pour nous de vous livrer nos premières impressions. Soyons déjà clairs sur un point. Nintendo tient à entretenir le mystère sur The Legend of Zelda : Spirit Tracks. Nous ne savions rien sur le scénario avant de prendre le jeu en main et nous n'en savons malheureusement pas beaucoup plus à ce sujet après l'avoir essayé. Nous pouvons tout de même situer l'histoire dans le temps puisqu'elle se déroule 100 ans après celle de Phantom Housglass. Dans Spirit Tracks, le monde n'est plus recouvert d'eau mais bien au sec comme le confirme le nouveau moyen de transport utilisé dans le jeu : la locomotive. Link se déplace en effet en train dans sa nouvelle aventure.
Gamekult
Ajouté le : 06/2009
Plus accessible...
Les connaisseurs le savent, la DS est bien un support privilégié pour le RPG avec un catalogue fleuve et riche en productions de qualité. Du côté de l'action-aventure, par contre, les prétendants sont un peu moins nombreux, et The Legend of Zelda : Phantom Hourglass reste encore le meilleur choix aujourd'hui pour les amateurs du genre friands d'expériences nomades. Candidat à sa propre succession avec The Legend of Zelda : Spirit Tracks, Nintendo nous prépare un titre qui devrait s'inscrire dans la continuité de ses succès passés. Jouable pour la première fois sur le stand de la marque à cet E3, ce nouveau Zelda aura-t-il les épaules assez larges pour s'inscrire dans la lignée de la série ? Ce que tout le monde a retenu du lever de rideau sur The Legend of Zelda : Spirit Tracks à la GDC se résume à une simple image : Link sur un train. Pourtant, le coeur du prochain épisode de la saga culte de Nintendo ne se résumera heureusement pas à des trajets SNCF d'un point à l'autre d'un univers fantasy un peu cartoonesque.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour The Legend of Zelda : Spirit Tracks. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce The Legend of Zelda : Spirit Tracks.