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L'expression « MMO de style parc à thème » est actuellement employée à toutes les sauces, mais elle m'a rarement paru aussi adaptée que lors de mes quatre heures passées sur The Elder Scrolls Online. Si Skyrim, Cyrodiil et autres sont des mondes, alors TESO en est la reproduction dans un parc à thème ; bouts de décors recréés en fibre de verre pour être admirées, mais que l'on ne confond jamais vraiment avec l'original. J'aimerais beaucoup me tromper sur ce jeu, et quelques heures ne sont manifestement pas suffisantes pour prendre la mesure de tout un MMORPG. Malgré tout, c'est suffisamment long pour être déçu par la direction qu'il emprunte. Ce n'est pas que The Elder Scrolls Online ne soit pas poli, professionnel et de bonne facture. Au niveau de la plupart des détails, il est aussi solide, accompli et bien fabriqué que n'importe quel autre jeu du moment. Pourtant, à en juger par les sections auxquelles j'ai pu jouer et au contenu de haut niveau dont on m'a fait la démonstration, il donne l'impression d'un MMO auquel on a donné l'apparence de The Elder Scrolls, mais pas de The Elder Scrolls réinventé en tant que MMO.
Même si le passé récent a montré qu'il était particulièrement difficile de s'imposer dans le monde ultra concurrentiel des MMO, des acteurs majeurs du marché du jeu vidéo continuent régulièrement à tenter leur chance. C'est le cas de ZeniMax Online Studios (filiale de ZeniMax Media) qui espère bien déjouer les pronostics les plus pessimistes et bousculer ainsi l'ordre établi. Pour ce faire, le développeur américain possède un argument de poids : la licence The Elder Scrolls. Les membres du studio s'affairent en ce moment même à la préparation du titre massivement multijoueur exploitant cette dernière. Et alors qu'il subsistait jusqu'ici de nombreux secrets autour du projet, ZeniMax a enfin décidé de passer à la vitesse supérieure en termes de communication, en délivrant un maximum d'informations à propos de sa production. Le tout via de multiples explications fournies par les pontes du studio, mais aussi à travers une session de jeu avoisinant les quatre heures. Voici ce que l'on en retient ! Pour ZeniMax Online Studios, l'un des objectifs de l'événement était de laisser la presse expérimenter librement le jeu pendant environ quatre heures.
Même si l'annonce de ce titre est plutôt récente, The Elder Scrolls Online est en développement depuis près de 5 ans chez Zenimax Online. Voyons voir ce que ce nouvel épisode a dans le ventre... Le creative director, Paul Sage, qui nous a fait la démonstration de ce titre, insiste sur le fait que le but était d'ajouter un vrai côté social à l'expérience de jeu Elder Scrolls. Mais pour que ce soit agréable à jouer à plusieurs et surtout de manière fluide sur tout type de machine, il a tout de même fallut faire des choix. Du coup le titre, s'il est proche d'un Elder Scrolls graphiquement, n'est pas non plus à la hauteur d'un Skyrim en terme de réalisation. De la même manière, les personnages sont plus proches d'un Star Wars : The Old Republic en terme de design. Quand aux décors, si ils sont bien sur proches de ceux de Skyrim, c'est tout de même nettement moins réaliste. Malgré tout, cela reste agréable à l'œil. Mais ça ira pour le graphisme, parlons maintenant du gameplay. Les événements racontées dans ce titre se déroulent 1000 ans avant ceux dépeints dans Skyrim (800 ans avant Oblivion), à une époque où la lutte pour le pouvoir impérial est grande en Tamriel. Il y a 3 factions (le Daggerfall Covenant, L'Aldmeri Dominion et l'Ebonheart Pact) qui sont en fait des alliances entre des races de l'univers de The Elder Scrolls, chacune avec leur propre zone de jeu. Au centre de la map se trouve Cyrodiil, et clairement, c'est une zone de conflit, en permanence contestée entre les différentes factions.
The Elder Scrolls Online, un projet à peine révélé et pourtant sur toutes les lèvres depuis des années, que Bethesda Softworks dévoile cette année à l'E3. En haut de l'affiche grâce au gros succès de Skyrim l'an dernier, la franchise historique de l'éditeur se doit de frapper un grand coup pour s'imposer dans le milieu pas très accueillant du massivement multijoueur. Sur le papier, c'est quasiment déjà fait, mais en pratique ? Triforce Président de Zenimax Online Studios depuis sa fondation, Matt Firor nous a dévoilé son ambition avec The Elder Scrolls Online : créer le MMO le mieux connecté socialement de l'histoire. Via cette formule qui sonne définitivement mieux en anglais, cet ancien employé de Mythic Entertainment sur Dark Age of Camelot veut relancer la collaboration entre les joueurs en les encourageant à s'entraider. Filer un coup de main sera du coup toujours récompensé dans The Elder Scrolls Online et pourtant le jeu s'organise autour d'un conflit entre trois factions. L'Ebonheart Pact regroupe ainsi les Argoniens, Elfes Noirs et Nordiques d'un côté de Tamriel ; le Daggerfall Covenant unit les Orques, Rougegardes et Brétons de l'autre et enfin l'Aldmeri Dominion regroupe ces pourritures d'Elfes des Bois, de Hauts Elfes et de Khajiits au Sud. L'enjeu de cette opposition est visible comme la hache au milieu de la figure puisque c'est tout Cyrodiil que ces trois camps cherchent à s'arracher.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour The Elder Scrolls Online. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce The Elder Scrolls Online.