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Nous avons réuni 9 tests du Tales of Vesperia. Les experts notent Tales of Vesperia 7.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Tales of Vesperia et d'autres Jeux Xbox 360.
Cette nouvelle itération de la série des Tales of s'ouvre sur un thème chanté fort en glucose qui peut agacer comme charmer, tandis qu'une séquence animée du plus bel effet dévoile quelques moments clés de l'aventure. C'est le début d'un long voyage qui ne risque pas de dépayser les vétérans du RPG console, rompus aux mécanismes d'un genre codifié à l'extrême. Et pourtant... Tales of Vesperia vous place dans les bottes de Yuri Lowell, un chevalier impérial prématurément retraité qui a choisi de consacrer son existence à la défense des faibles, et plus particulièrement ceux qui peuplent le quartier inférieur de sa capitale natale. On appréciera le fait d'avoir droit à un héros dont le sexe est immédiatement identifiable, théoriquement pubère bien qu'imberbe et doté d'assez de classe nonchalante pour qu'on puisse s'y attacher. La remarque vaut pour la plupart des personnages qui se joindront à vous, visuellement réussis grâce à la patte de K?suke Fujishima (Ah ! My Goddess) et nantis d'un capital sympathie indéniable. L'histoire démarre avec le vol d'un blastia, sortes de pierres magiques à tout faire qui sont un peu l'électricité de ce monde, et la rencontre fortuite avec une princesse relativement coincée contrairement à ce que ses cheveux roses pourraient laisser penser.
Constat amusant (enfin, ça dépend pour qui..) : la Xbox 360 voit sa collection de RPG s’étoffer de mois en mois, au détriment de la Playstation 3. Enfin, pour le coup, le dernier volet de la série Tales of (disponible depuis 1 an au Japon, quand même…) devrait également sortir sur la console de Sony. Mais dans quelques mois seulement. En attendant, focalisons nous sur cette version Xbox 360. S’impliquer dans un RPG est toujours une tâche hypra réfléchie. Non franchement, qui aurait envie de débourser 70€ dans un jeu qui demande à minima 30 heures d’implication pour être dégusté à sa juste valeur sans être certain d’être face à un monument du genre ? Pas grand monde, mis à part les fans du genre. Enfin, par le passé, Namco Bandai Games nous a montré qu’on pouvait sans trop s’inquiéter placer ses kopecs sur ses jeux. Et une fois n’est pas coutume, ce Tales of Vesperia, totalement détaché des autres épisodes de la série, nous propose une recette qui sent certes le déjà-vu, mais qui n’en reste pas moins imparable : scénar’ travaillé, sérieux, mais capable d’afficher par moment une légèreté bienvenue (et dont on ne vous dira rien, parce que je ne sais pas pour vous, mais moi, me faire teaser dans un test me donne des envies de meurtres…), cel-shading appliqué avec parcimonie, monde enchanteur et mécanismes de gameplay rôdés (les combats au tour par tour affichés sur un plan 2D sont une très belle réussite dans le genre, bourrins, mais efficaces).
Nous en faisons l'écho depuis des mois désormais. Sans joie aucune. Embourbé dans des poncifs d'une autre époque, incapable de se réinventer, de marier technique et propos un rien mature, le RPG japonais patine sur consoles dites Next Gen. Il manque du souffle, de l'étoffe de ces aventures jadis marquantes, aujourd'hui globalement décevantes. Une triste fatalité ? Pas forcément. Aujourd'hui, sans bouleverser les codes bien établis, Tales of Vesperia pourrait bien faire souffler un vent de réconciliation avec le jeu de rôles à la japonaise. Son secret ? Miser sur un rythme soutenu, un style soigné et une impressionnante richesse. Le tout sans emphase particulière. Un maître mot : générosité... Débutée en 1995 sur Super Nintendo, la série des Tales of est une véritable institution au Japon. Entre les différentes versions et adaptations, c'est pas moins d'une vingtaine de titres qui auront vu le jour. Une série animée a fini par consacrer une saga habituée aux million-sellers. Ainsi lorsqu'en décembre 2007, ce bastion du RPG fut annoncé comme une exclusivité temporaire sur Xbox 360, le séisme fut d'importance.
Développé en interne chez Namco par la Team Vesperia (anciennement Symphonia), Tales of Vesperia est donc l'occasion de retrouver les noms de Kosuke Fujishima et Yoshito Higuchi, figures habituelles des productions de cette équipe. Respectivement chara-designer et directeur, ces derniers sont à l'origine de plusieurs épisodes de la saga comme Tales of Symphonia ou encore Tales of The Abyss. Si ces deux exemples ne donneront pas foncièrement le sourire aux connaisseurs, ils permettront au moins de se rendre compte qu'avec le même terreau, il est possible de pousser à l'éclosion des plantes privées de soleil. Centré comme d’habitude sur un duo principal composé d'un héros masculin et d'une jeune fille, Tales of Vesperia fait évoluer le concept en proposant, non pas un jeune homme va-t-en-guerre et une adolescente écervelée défiant les limites du kawai, mais deux personnages surprenants. La noble Estellise est certes candide mais ne tombe jamais dans les travers de l'émotivité à outrance, évoluant tout au long de l'aventure sans jamais apparaître comme un intervenant dispensable.
Tales Of Vesperia est un nouvel opus de la série reconnue des « Tales Of » (même si elle semble moins plébiscitée en Europe que des sagas comme Final Fantasy), dont les derniers épisodes en date chez nous sont les agréables Tales Of Eternia sur PSP et Tales Of Symphonia sur GC. L'arrivée sur console en haute résolution sera-t-elle aussi couronnée de succès ? La réponse tout de suite, avec notre Vidéo-Test... On peut dire que le titre de Namco Tales Studio avait vraiment de quoi nous faire languir. Histoire d'attiser l'appétit des amoureux de RPG en Europe, Tales Of Vesperia s'était en effet payé le luxe d'être le jeu Xbox 360 le plus vendu au Japon de l'année 2008 (il avait par ailleurs particulièrement dynamisé les ventes de la console de Microsoft sur l'archipel). Mais, étant donné le destin plutôt mitigé des RPG sur consoles next-gen, notre attente sera-t-elle vraiment récompensée ? Il semblerait bien que oui, et voici pourquoi. Mais parlons tout d'abord de contexte scénaristique du jeu. Nous sommes dans le monde de Terca Lumireis, dont les villes sont protégées par des barrières de « blastia » nécessitant un élément fondamental nommé l'Aer.
Disponible depuis près d’un au Japon et aux USA, les nombreux fanatiques de RPG japonais guettaient Tales of Vesperia comme le messie. Le genre connaît une période creuse avec des titres agréables (mais sans plus) pour les meilleurs et totalement dénués d’intérêts pour les autres. Atari nous fournit aujourd’hui la version européenne localisée du jeu pour un test en bonne et due forme d’un jeu qui a toute les chances de garder le statut de référence… en attendant Final Fantasy XIII ? Tales of Vesperia nous conte les aventures de Yuri Lowell. Un jeune épéiste, ancien chevalier démissionnaire, qui ne peut s’empêcher de porter secours aux démunis et de rendre justice partout où il passe. Une attitude qui lui a déjà valu de nombreux allers-retours en geôles. Mais qui n’ont en rien calmé ses ardeurs. Tout commence dans le quartier inférieur de la capitale Zaphias. Un district pauvre qui vit sous le poids écrasant des nobles du quartier royal et dépendant, comme le reste du monde, des blastia. Ces machines, composées d’un noyau et d’un corps fonctionnent grâce à l’Aer, une source d’énergie naturelle que seuls les blastia savent utiliser.
Contre toute attente, la seconde Xbox voit sa collection de RPG japonais s'étoffer au fil des mois, déjouant tous les pronostics et conjurant au passage la malédiction qui pesait sur sa grande soeur. Contre-partie de cette relative fertilité, la qualité desdits titres reste assez aléatoire avec quasiment toujours quelques petits accrocs ternissant des aventures pourtant prometteuses. D'une malédiction à une autre, la Xbox attend donc toujours le RPG qui fera l'unanimité. Et si, justement, ce dernier était issu d'une série plutôt outsider ? Et si ce RPG tant attendu était Tales of Vesperia ? Sans les Blastia, ces mystérieuses pierres magiques, le monde de Terca Lumireis serait sans doute plongé en plein chaos. Placées à des endroits stratégiques, elles projettent une force protectrice qui empêche les monstres de s'en prendre aux humains. Aussi, on comprend bien l'inquiétude de Yuri lorsqu'il s'aperçoit que l'une des Blastia qui protégeait le quartier pauvre de Zaphias a disparu, probablement dérobée par un des nobles qui vit bien à l'abri dans le quartier supérieur de la ville.
Avec les sorties consécutives de Star Ocean : The Last Hope chez tri-Ace et de Tales of Vesperia chez Namco Bandai, les joueurs 360 attendaient la venue de l'été avec une impatience que l'on partage forcément lorsqu'on est amateur de RPG. Si la série des "Tales of" n'a pas toujours eu la chance de s'exporter hors des limites du Japon, ce n'est plus le cas aujourd'hui où les fans sont de plus en plus nombreux à la soutenir dans l'hexagone. A l'instar des différents volets de la série des Final Fantasy, Tales of Vesperia est un épisode indépendant qui n'a aucun lien direct avec ses prédécesseurs et qui peut donc être découvert avec un regard neuf par les joueurs. Par conséquent, pas besoin d'être familier avec la série de Namco pour apprécier l'expérience de jeu offerte par Tales of Vesperia. Pour peu que l'on apprécie le style visuel très manga de son univers et que l'on adhère au déroulement somme toute classique de la progression, c'est un voyage mémorable que l'on va vivre aux côtés des différents personnages du jeu.
Découvert depuis presque un an par le public japonais, Tales of Vesperia a fait l'objet, ces derniers mois, d'annonces pour le moins réjouissantes. Non seulement le titre sortira en France dès le 26 juin sur Xbox 360, mais il faudra aussi compter sur une version PS3 comportant quelques suppléments (prévue pour cette année au Japon). Cerise sur le gâteau, Namco Bandai nous a fait parvenir une pré-version 360 entièrement localisée en français. Il nous fallait donc revenir sans plus attendre sur ce Tales of Vesperia qui nous aura fait languir de longs mois avant que Namco Bandai ne se décide enfin à officialiser sa sortie en Europe. Le jeu bénéficiera donc d'une traduction intégrale en français, avec une majeure partie des dialogues doublée en anglais. On retrouve à la composition Motoi Sakuraba qui accompagne la saga depuis ses débuts et dont on a pu admirer le talent sur les plus grandes séries de RPG (Valkyrie Profile, Baten Kaitos, Star Ocean, etc.).
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Tales of Vesperia. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Tales of Vesperia.