29 tests d’experts - 1 avis d'internautes
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Nous avons réuni 29 tests et 1 avis du Splinter Cell Conviction. Les experts notent Splinter Cell Conviction 8.1/10 et les internautes 10/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Splinter Cell Conviction et d'autres Jeux Xbox 360.
Retour d'une légende de l'infiltration. Fort d'un long développement et d'un remaniement d'une «première» version qui ne convenait pas; Splinter Cell Conviction fait table-rase du passé et s'oriente vers une approche plus explosive. Un choix divisant les joueurs, mais qui risque de toucher un public plus large. Une «Casualisation» comme certains aiment le dire ? En quelque sorte... Série culte pour toutes personnes appréciant l'infiltration, Splinter Cell s'impose depuis quelques années comme la référence dans le registre «réaliste». Bien loin d'un Background complètement surréaliste d'un Metal Gear, Sam Fisher et sa bande surplombaient depuis belles lurettes les sommets, en particulier depuis l'apparition du troisième opus Chaos Theory, véritable perle dans le genre ! La question que l'on peut se poser est la suivante : Comment surprendre à nouveau ? Alors que la précédente aventure nommée Double Agent, manquait de nouveautés et n'arrivait pas à procurer des sensations supérieurs (ou équivalente) que son prédécesseur. Délicate interrogation dont la surprise fut à son paroxysme en 2007 avec la première vidéo diffusée. Beaucoup plus action, plus libre, plus vaste dans les airs de jeux, avec une foule permettant de dissimuler notre héros, à la manière d'Assassin's creed, autre production de ce développeur.
En général, le cinquième volet d'une oeuvre marque un essoufflement. Parfois, c'est le premier, hein, et on se demande vraiment comment une suite a pu être commise. Tenez, par exemple, pour briller en société (à la machine à café en fait) et comprendre les préoccupations de mes contemporains, j'ai vu Camping, le premier. Et ça m'a rappelé pourquoi j'ai pris l'option "jeu vidéo" au bac, plutôt que "cinéma". Je crois que je préfère le plus pourri des jeux de la Wii aux plus grands succès français. Mais je crois que je me suis éloigné furtivement de mon sujet. Ah tiens, furtivement, c'est le mot. Contrairement aux développeurs qui ont complètement changé la philosophie de Splinter depuis le précédent volet.Tout commence par l'évocation de Double Agent. Ou de Chaos Theory. Je n'en sais trop rien, je ne suis jamais allé au bout d'un Splinter. Pour tout vous dire, j'aime l'infiltration à petite dose. J'aime le contournement tout en finesse d'un ou deux gardes dans les premiers niveaux. Mais quand il s'agit de résoudre une équation à dix inconnus, enfin, dix gardes, qu'il faut gamberger trois plombes avant de faire le moindre pas, j'ai plutôt envie de sortir le silencieux et de faire le ménage. Ce qui tombe bien, c'est précisément une des possibilités de Conviction.
Découvrons ensemble si cette marche arrière en valait véritablement la peine, si Ubisoft a su reprendre les concepts qui ont fait le succès de cette longue et attirante licence. De son nom complet, Tom Clancy's Splinter Cell Conviction, le jeu fait directement suite à Splinter Cell Double Agent et tente de faire la lumière sur la retraite anticipée de Sam Fisher.Splinter Cell Conviction est composé de trois modes de jeu distincts. Le mode solo nous permet d'incarner le mythique héros de la série et de poursuivre son enquête qui le mènera aux fins fonds de l'Amérique. Le protagoniste a perdu au cours de ses dernières aventures deux êtres qui lui sont chers : Sarah Fisher, sa fille unique ainsi que Irving Lambert, son supérieur direct et meilleur ami. Ces tragiques pertes ont poussé Sam à quitter son poste afin de retrouver le responsable de la mort de Sarah causée à première vue par un accident de voiture. Complètement métamorphosé, Sam Fisher est désormais un homme plus déterminé que jamais, un homme littéralement prêt à tuer pour connaître la vérité. C'est en renouant contact avec d'anciennes connaissances que cette enquête évoluera et nous poussera à visiter des lieux célèbres comme le Lincoln Mémorial ou la Maison Blanche.
Enervé, violent, diablement efficace, Sam Fisher se fait justice et sauve le monde, aussi. Un retour presque parfait. Autant le dire, Sam Fisher et Conviction partaient lestés d'un lourd fardeau. Des débuts difficiles qui les ont vu changer du tout au tout, retardés, puis retardés encore pour « passer un p'tit coup d'polish ». Autant dire qu'ils étaient attendus et que les espoirs étaient élevés. Pour mémoire, Conviction vous remet dans les muscles de Sam Fisher, dieu de l'infiltration, après Double Agent, à la fin duquel il tuait Lambert, son meilleur ami. Sa fille, la prunelle de ses yeux, est morte. Il a quitté Echelon Trois. Les choses ne vont pas bien. L'histoire, bien menée et agréable, sans être exceptionnelle, offre son lot de rebondissements et installe bien l'atmosphère du jeu, aidée en cela par une musique bien adaptée. Sam est remonté et il est prêt à tout pour faire payer les vrais responsables de la mort de sa fille. Autant dire que l'infiltration un peu exigeante laisse la place à de l'action/infiltration, voire à de l'action tout court. On ne rencontre que quelques caméras laser au fil de la toute petite dizaine d'heures du jeu solo. Comptez plutôt huit heures d'ailleurs. Ce changement de cap se ressent clairement dans le gameplay et dans la conception des niveaux.
Avec Double Agent, la série d’Ubisoft avait changé nos habitudes après trois épisodes, certes de qualité, qui commençaient pourtant à s’essouffler. Tout l’aspect un peu trop systématique de l’infiltration cédait ainsi sa place à une plus grande liberté, à plus d’improvisation, à quelque chose de moins mathématique et moins rigide. A l’infiltration légèrement claustrophobique des premiers épisodes (reposant sur le principe du clair-obscur) se succédait aussi des niveaux totalement ouverts dans la lignée de la saga Hitman. . Pour s’en rendre compte, il suffit de regarder le niveau flashback en Irak. Ce dernier, dans un décor urbain ouvert et dévasté, abandonne quasiment toute forme d’infiltration pour nous plonger dans une séquence digne d’un Call of Duty. Si l’on peut toujours tenter quelques approches discrètes, des gunfights nerveux s’avèrent inévitables. Le gameplay n’offre rien de franchement original et reprend le système de couverture instauré par Gears of War. Mais après l’excellent Uncharted 2, qui reprenait ce système avec une fluidité époustouflante, la maniabilité de Sam Fisher se montre un peu plus lourde. On note tout de même une fonction sympathique qui permet de marquer l’ennemi pour effectuer des exécutions sommaires et rapides.
Cela fait maintenant un petit moment que nous n'avions plus eu l'occasion de retrouver Sam Fisher sur nos consoles. On l'avait quitté en 2006 dans Double Agent, sujet alors à un dédoublement de personnalité en tant qu'infiltré dans une organisation terroriste américaine. Quelques années plus tard, les choses ont bien changé, pour lui comme pour les joueurs, puisque Ubisoft Montréal a décidé de revoir totalement la formule Splinter Cell. Un pari risqué, qui se traduit par un gameplay bien loin de ce que l'on connaissait de la série. Pour le meilleur ou pour le pire ? Beaucoup de choses ont changé dans ce cinquième épisode. Pour tout dire, même Sam Fisher a eu le droit à un relooking complet, histoire de gagner en charisme et de bien marquer le profond changement que représente Tom Clancy's Splinter Cell : Conviction. Autrefois agent au service du gouvernement américain, Sam est devenu un homme sans foi ni loi depuis la mort de sa fille. Un prédateur lâché en pleine nature et sans laisse pour le maintenir dans le droit chemin. On est donc assez loin du concept qui nous avait été présenté en 2007 lors des Ubidays, et qui voulait que Sam soit un fugitif barbu poursuivi par toutes les forces de l'ordre.
Agent secret parmi les agents secrets, Sam Fisher est le genre de super-héros qui n'a sa place que dans les fictions. A l'instar d'un Jack Bauer à la télévision, Sam fait partie de cette classe d'humains... surhumains. Mais qu'importe, nous on aime ça et c'est avec un certain enthousiasme qu'on découvre cet épisode Conviction, où discrétion et précision seront vos atouts. Désormais seul contre tous, sa progression est alimentée par une seule pulsion : venger la mort de sa fille. Mais pas n'importe comment : avec intelligence, efficacité et un style que même James Bond pourrait lui envier. Car comme tout homme de l'ombre, Sam Fisher sait comment user des faiblesses de ses ennemis pour les retourner contre eux. Entre scepticisme et Conviction, il n'y a qu'un petit pas, que beaucoup de joueurs risquent de franchir.Ne passons pas par quatre chemins, Splinter Cell Conviction marque une réelle évolution dans la série Splinter Cell. Bien plus accessibles, les commandes n'auront jamais permis de se cacher dans l'ombre, de surgir et de liquider un ennemi aussi facilement qu'ici. C'est même l'entière progression dans les environnements qui a été remise à plat, pour au final procurer une sensation incroyable, celle de pouvoir maitriser les événements et de se sentir tout simplement efficace.
Qu'elle est loin, l'époque où Ubisoft souhaitait adopter le système économique popularisé par Electronic Arts et décliner à un rythme métronomique une poignée de licences majeures ! Fort du succès du premier volet, l'éditeur français pensait notamment appliquer cette stratégie à Splinter Cell, et produire un nouvel épisode de son percutant jeu d'infiltration tous les douze à dix-huit mois, cadence tenue jusqu'au milieu des années 2000. La belle idée n'a cependant pas résisté aux aléas tant structurels que conjoncturels auxquels sont confrontés tous les ambitieux. Quarante-deux mois après le débarquement de Splinter Cell : Double Agent, épisode aux partis-pris curieux et qui sombrait dans une redondance de mauvaise augure, Sam Fisher sort enfin de sa retraite forcée. Un temps bien long, qui devait permettre aux innombrables équipes impliquées dans sa nouvelle aventure de réinventer une série palpitante mais qui commençait sérieusement à s'essouffler. Une mission difficile, très difficile... Trop difficile ? Ecrivain et journaliste, Frédéric Martel a enquêté tout au long des années 2000 sur la mondialisation des contenus culturels. Fruit de ses minutieuses recherches, son dernier ouvrage, Mainstream : Enquête sur cette culture qui plaît à tout le monde, a le bon goût de ne pas oublier que le jeu vidéo est aussi un produit culturel, très largement mondialisé qui plus est.
Avec son développement chaotique fait de revirements soudains et de reports, Splinter Cell Conviction est recouvert d'un voile de mystère à peine atteint par une campagne médiatique tonitruante. Totalement dans la tendance avec son orientation action affichée et assumée, cette nouvelle aventure de Sam Fisher se pose en remise à plat complète de la franchise, pourtant déjà pas mal dépoussiérée par le précédent volet. Bonne pioche ? Sam Fisher n'est pas content. Après des années de bons et loyaux services, à sauver le monde plus souvent que Jack Bauer et John McLane réunis, le voilà en fuite après la mort mystérieuse de sa fille. Pas du genre à regarder les autres jouer à la guerre, le bonhomme a le c?ur lourd comme un canot en fer. Qu'est-il arrivé à Sarah ? Pourquoi ? Quel rapport avec Echelon 3, la boite pour laquelle il a bossé toute sa vie ? C'est en mercenaire bien vénère que Sam compte mettre des noms sur les problèmes qui paralysent sa vie depuis déjà deux ans maintenant. Dans la droite lignée des précédents volets, le côté « Born to be wild » en plus, le scénar' de ce Conviction est efficace sans jamais vraiment surprendre. Même les twists, déjà vus dans quelque film ou série télévisée à succès, ne font pas un effet b?uf.
Quand une série a dominé un genre et qu'elle en est arrivée à faire le tour d'elle-même, il ne lui reste pas beaucoup d'options. Elle peut se reposer sur ses lauriers et ne pas changer ses habitudes au risque de lasser, disparaître au sommet de sa gloire ou se livrer à ce qu'on appelle un "reboot". Qu'est-ce à dire ? Balayer ses propres codes et repartir de zéro. C'est risqué, mais ça peut rapporter gros. Pour le fan de Splinter Cell peu enclin au changement, cet épisode Conviction a tout d'une injure. Si le jeu reste basé sur l'infiltration, vous pouvez mettre au placard tout ce que vous connaissez de la série. Le changement est si radical qu'il vaut sans doute mieux prendre cet opus pour un titre à part entière. Même le ton est plus sombre et n'a plus grand-chose à voir avec le reste de la série. Démissionnaire d'Echelon 3 suite à la perte de sa fille, Fisher va devoir reprendre du service bien malgré lui lorsque cette bonne vieille Grimsdottir entre en contact avec lui. Au menu du scénario : la piste de Sarah Fisher, un complot visant à tuer la présidente des Etats-Unis et la destruction d'Echelon 3 passé du côté des méchants. Mais pour Fisher, la seule chose qui compte, ce sont les réponses et la vengeance.
Assassin’s Creed 2, The Settlers 7, Clash of Heroes, on peut dire que Ubisoft a franchement gâté les joueurs en ce début d’année. C’est désormais au tour d’une de ses licences phares de faire son grand retour après quatre ans d’absence : Splinter Cell. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que Sam Fisher revient infiltrer nos écrans avec brio. Explication. Le scénario de Conviction débute quelques temps après la fin de Double Agent. Comme d’habitude, le joueur incarne Sam Fisher, désormais ancien agent d’élite de la NSA (les services secrets américains) qui travaille maintenant dans un unique but : trouver l’assassin de sa fille. L’histoire commence donc à Malte, à une terrasse d’un bistro. Sam boit tranquillement un café jusqu’au moment où le serveur lui apporte un téléphone. Au bout du fil, une vieille connaissance : Anna Grim, une conseillère de Echelon 3, l’ancien employeur de Sam Fisher. Ce dernier apprend donc qu’il a deux minutes pour échapper à une embuscade et qu’il se trouve à quelques mètres de l’assassin de sa fille. Les évènements de Splinter Cell Conviction sont en marche, et notre vieux Sam va affronter ses anciens démons et trouver de nombreuses surprises sur sa route. On n’en dira pas plus sur le scénario de Conviction, qui s’avale comme un excellent film d’action et d’espionnage.
Montré pour la première fois aux Ubidays en 2007, Splinter Cell Conviction voit enfin le bout du tunnel, mais l'accouchement ne fut pas sans douleurs pour Ubisoft. Retards, changement de formule : les premières aventures de Sam Fisher dédiées uniquement aux supports de nouvelle génération se seront fait désirer. Il faut dire que les fans de la série n'ont rien eu à se mettre sous la dent depuis Splinter Cell : Double Agent dont la sortie remonte tout de même à 2006. Après des années d'attente, le jeu maintenant entre nos mains, vient enfin l'heure du verdict. Sam est-il toujours le meilleur agent de la Xbox ? Si par le passé, Splinter Cell était souvent question de missions stratégiques à remplir pour le compte d'une organisation gouvernementale, Conviction, lui, démarre par une simple histoire de vengeance personnelle. Obnubilé par la disparition de sa fille, Sarah, Sam Fisher se lance à la recherche de son assassin. Mais le personnage a radicalement changé. La perte de son bien le plus précieux, et les événements tragiques de Splinter Cell : Double Agent l'ayant amené à tuer de ses mains son meilleur ami, ont profondément meurtri l'ex soldat américain. Autant de blessures qui ont amené notre héros à revoir radicalement son comportement, avec de nouvelles méthodes musclées à influence directe sur le gameplay du titre.
Amoureux de l'infiltration à l'occidentale, fans de la saga Splinter Cell, préparez-vous à découvrir un volet en marge de vos habitudes. Après une première tentative de "reboot" avortée, les équipes d'Ubi Montréal livrent la seconde, définitive à plus d'un titre. Sam Fisher n'est plus le même homme : en marge du gouvernement, devenu sans foi ni loi, il chasse, exécute, et va toujours de l'avant -- finis les temps passés à éviter à tout prix d'être repéré. Cette fois, s'il faut forcer le passage, Sam n'hésitera plus.On le sait depuis qu'il a rejailli à l'E3 dernier, lors duquel il avait fait sensation. Splinter Cell : Conviction joue plus que jamais la carte de l'action. La série nous a habitués auparavant à une forme d'infiltration centrée sur l'observation, en vue d'une progression chargée de précautions et si possible parfaite, sans laisser de traces. Même s'il continuera de planifier dans l'ombre, ce Sam-ci est plus sombre, plus violent, plus que jamais en phase avec les héros du cinéma et du petit écran que sont les Jack Bauer et autres Jason Bourne. Alors qu'avant, il ne laissait rien qui puisse indiquer son passage, c'est une traînée de cadavres qui marquera désormais son sillage. La mort de sa fille Sarah, écrasée par un chauffard ivre, aura laissé Sam Fisher dans un état très particulier.
Splinter Cell est une série qui s'est fait connaître par son approche très stricte de l'infiltration : aucun droit à l'erreur, une bouteille qui bougeait alertait dès lors les gardes qui vous tuaient en quelques balles et l'ombre restait la seule amie de Sam Fisher, agent n°1 d'Echelon 5 (une unité d'agents secrets) et, accessoirement, protagoniste de la saga. Le dernier opus sorti, , changeait pourtant la donne en proposant une approche plus brutale que ses prédécesseurs. Et si certains fans ont crié au meurtre et à la trahison, Splinter Cell : Conviction semble bien parti pour suivre le chemin tracé par son aîné. Si vous appréciez de passer des heures dans Splinter Cell, dissimulé dans l'ombre en attendant votre prochaine victime, après avoir déplacé le corps de la précédente afin que personne ne puisse sonner l'alarme, passez votre chemin ! Le gameplay se veut désormais plus nerveux, plus rapide et beaucoup plus proche d'un Jack Bauer () ou d'un Jason Bourne (La trilogie « ») : ainsi, se faire repérer n'est plus synonyme d'échec vu que Sam est désormais un as du Hide&Kill. Il s'agit tout simplement d'une variante du Hide&Seek (Cache-cache pour les anglophobes), dont l'addition par rapport au jeu original n'est plus à démontrer.
Lorsque Sam a débuté sa carrière sur Xbox en 2002, notre homme était propre sur lui, affichant un regard malicieux et des dents bien blanches… Puis sa fille s’est faite assassiner. Au lieu de tomber dans la dépression comme le premier héros d’Heavy Rain venu, Sam, ivre de vengeance, s’est laissé pousser la barbe et a quitté son boulot de planqué au sein d'Echelon-3. Toujours prêt à péter quelques mâchoires pour découvrir la vérité, l’ex-agent va se retrouver à Malte sur la piste d’un mystérieux trafiquant. C’est ici que débute la campagne solo de Splinter Cell Conviction. Premier contact et premier constat: le titre joue toujours énormément sur l’obscurité et affiche des environnements plus ouverts et vivants. Des passants déambulent dans les rues, quelques petites saynètes nocturnes se jouent à la terrasse d’un café et l’on aurait presque envie d’ouvrir un guide touristique pour partir à la découverte de l’île. Mais l’objectif affiché en gros caractère sur le mur nous rappelle vite à l’ordre: il faut s’infiltrer dans un manoir pour interroger un certain Cobbin. La bâtisse, sombre et imposante, est entourée de grands remparts et les deux molosses qui gardent l’entrée principale ne donnent clairement pas dans la déco.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 03/2010
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« Changer l'action furtive, la rendre plus dynamique » tel est le l'objectif de l'équipe d'Ubisoft Montréal avec Splinter Cell Conviction. Après quatre années de développement, il ne manque plus que quelques semaines avant que les heureux possesseurs de Xbox 360 ne goûtent aux nouvelles aventures de Sam Fisher. Nous avons eu l'occasion de prendre la manette sur une version très avancée du jeu afin de vérifier longuement si les promesses annoncées ont des chances d'être tenues, ou bien si la révolution annoncée pour l'action/infiltration risque de n'être qu'une belle parole. Pour apporter un nouvel angle d'approche à l'infiltration, il faut changer la mentalité et les objectifs du personnage jouable. Dans les quatre premiers Splinter Cell, Sam Fisher était un membre de l'agence gouvernementale Echelon 3. Forcément, quand on bosse pour une nation, on exerce son travail proprement, sans faire de bruit et en prenant soin de ne laisser aucune trace. Avec ce volet, Ubisoft a fait de son héros un solitaire, avide de vengeance, cherchant à découvrir l'identité du meurtrier de sa fille. Si sa quête va le conduire en plein c?ur d'une conspiration internationale, il n'en reste pas moins un homme brisé qui ne prend plus la peine d'utiliser des pincettes.
Que se passe-t-il quand un agent d'élite habitué à suivre les règles décide de laisser libre cours à sa colère et d'assouvir sa vengeance ? Disons qu'il vaut mieux éviter de se trouver sur son chemin et tâcher de répondre à ses questions, posséder les réponses étant la seule garantie de conserver sa boîte crânienne intacte. Si Splinter Cell Conviction s'est déjà livré à nos yeux pleins de curiosité à plusieurs reprises, nous avons enfin pu passer quelques heures en sa compagnie, tranquillement assis à la maison. Au menu de cette version preview, Ubisoft nous a gentiment offert 3 missions du mode solo ainsi qu'un joli morceau des fameuses Opérations Confidentielles du mode coopératif. De quoi se faire une idée plus précise de ce qui attend le joueur dans ce nouvel épisode qui rompt clairement avec le reste de la série. Après avoir perdu sa fille dans Double Agent (et tué son meilleur ami), Sam a donc fini de péter les plombs, vivant loin d'Echelon 3, il est pourtant recontacté par Grim, à Maltes, qui lui explique que non seulement des agents sont à ses trousses, mais qu'en plus elle sait qui est responsable de la mort de Sarah. Voilà donc Sam reparti à l'action, mais cette fois, plus de règles d'engagement, pas de chichi.
Les présentations de jeux vidéo peuvent se décliner en milliers de formes. Il y a celles qui commencent par un voyage aux USA où le jeu nous est présenté pendant deux jours, où l'on découvre tous les aspects du titre en rencontrant chaque intervenant. Cela peut également durer une heure, à Champigny sur Marne ; heure durant laquelle le lead designer nous parle en nous montrant des vidéos en 320 / 240. J'exagère à peine, ça peut vraiment être n'importe quoi. Cette présentation de Splinter Cell fut la plus efficace possible, le parfait ratio de blabla et de boum boum.Maxime Beland a commencé par nous présenter non pas le contenu du jeu, mais les intentions de l'équipe de développement. Et contrairement à 99% des speechs de ce genre, ce n'était pas inutile. Un petit décryptage sur le pourquoi du comment s'avérait indispensable. Vous avez sans doute vu ces images où les noms des missions sont affichés sur les murs ou les bâtiments. Surprenant. Maintenant, on a un peu pigé le truc. Vingt petites minutes auront permis à Beland de nous mettre dans le bain. Puis il a eu la gentillesse de se taire et nous laisser jouer pendant... quatre heures.
Gamekult
Ajouté le : 02/2010
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On aurait presque tendance à l'oublier, mais dans la catégorie Arlésienne, Splinter Cell Conviction est lui aussi un sacré client. Dévoilé en 2007 aux Ubidays, le titre déjà décrit comme le "plus ambitieux de la série", a ensuite été victime de plusieurs reports assez douloureux pour les nombreux fans de Sam Fisher. Mais cette fois, le bout du tunnel n'est plus très loin, comme en témoignent ces nouvelles impressions sur le jeu que nous avons pu essayer au récent X10 de San Francisco. Splinter Cell Conviction était sans aucun doute le jeu le plus prisé du X10, en dehors du cerbère Fable III, Halo : Reach et Alan Wake. Ubisoft a pu proposer de nombreuses bornes à la presse pour que tous puissent découvrir son bébé manette en main, ce que nous nous sommes évidemment empressés de faire. Et le patient se porte plutôt bien. Pour dresser un premier diagnostic général de cette version solo, il ressort que le jeu est déjà fort agréable graphiquement avec plus de couleurs, des environnements enfin vivants, et des problèmes de fluidité - soulignés dans nos précédentes impressions - qui semblent être en passe d'être résolus. Le gameplay, pour sa part, paraît plus accessible qu'auparavant. Moins rigide, aussi.
La prochaine aventure de Sam Fisher s'est fait désirer, voilà bien le moins qu'on puisse en dire. Mais comme tout arrive à point à qui sait attendre, les fans de l'agent américain qui a élevé le concept de la furtivité au rang des beaux-arts voient enfin le bout du tunnel. Et voilà qu'Ubisoft, l'éditeur de cette célèbre série profite de leur fébrilité augmentant au fur et à mesure que la date de sortie approche pour leur asséner une nouvelle tout bonnement surprenante : il y aura du coopératif dans le prochain Splinter Cell. Tout fout le camp, ma bonne dame... Sam Fisher a longtemps été l'archétype du héros solitaire. Capable de maintenir à lui tout seul l'équilibre des forces géopolitiques en présence et ainsi d'assurer la paix mondiale, il n'a que très rarement opéré en équipe. Il faut dire que, lorsqu'on privilégie la furtivité comme il le fait et qu'on tente de prendre à revers des hordes de gardes armés jusqu'aux dents dans un univers où une balle peut vous tuer, il vaut mieux éviter d'avoir un sbire qui va se prendre les pieds dans la première table basse venue ou qui va vous raconter le match qu'il a vu à la télé la veille. Autant dire que face à nos certitudes forgées au fil des différents volets utilisant tous des mécaniques très similaires, l'annonce de l'insertion dans la campagne solo d'un mode coopératif nous a pour le moins surpris.
Gamekult
Ajouté le : 12/2009
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Splinter Cell Conviction, c'est incontestablement la grosse sortie AAA du début de l'année 2010. Pas celle-là, ni celle-ci, l'autre. Attendu de pied ferme depuis son annonce officielle en 2007, le retour de Sam Fisher ne se fera pas sans un mode multijoueur, comme il est de bon ton dans la série depuis le second épisode Pandora Tomorrow. Ubisoft était plutôt discret sur la question jusqu'à présent, mais l'éditeur s'est récemment décidé à lever le voile sur un nouveau mode coopération héritier de Chaos Theory, le troisième volet de la saga salué pour son coop bien ficelé. Exclusivité Xbox 360 et PC oblige, le jeu s'est donc montré le temps d'une prise en main au Loft Microsoft. Et autant le dire tout de suite, il va y avoir quelques changements. Entraide. Travail d'équipe. Dialogue. On se serait cru à un congrès politique, mais non, il s'agissait bien d'une présentation presse de Splinter Cell Conviction. Même au moment de la question fatidique : "Quid du mode Versus, espions contre mercenaires, présent depuis l'opus Pandora Tomorrow ?", les circonvolutions évasives des designers en charge de la démonstration rappelaient que l'équipe d'Ubisoft Montréal avait traversé l'Atlantique pour parler avant tout de coopération.
Si Ubisoft a pour le moment communiqué principalement sur le mode solo de Splinter Cell Conviction, ce qui paraît bien naturel, l'éditeur continue à faire progressivement monter la pression en dévoilant les modes multijoueurs à la presse deux mois avant la sortie du jeu, calée pour février prochain. Avant de retourner très prochainement sur la vie tourmentée de Sam Fisher, l'attention se focalise sur d'autres personnages dans cet article. Deux autres pour être plus précis.Alors que Splinter Cell Double Agent, sorti il y a maintenant trois ans, avait largement mis de côté les modes coopératifs, assez maigres et peu intéressants, pour se concentrer sur les fameux modes versus qui occupaient les joueurs depuis Pandora Tomorrow, on assiste finalement à un véritable virage à 180° avec Conviction. Vous pouvez donc mettre une croix sur les modes versus, qui n'existeront tout simplement plus. Ce sont les modes co-op, particulièrement à la mode ces temps-ci, qui seront donc (quasiment) les seules stars du multijoueurs. Un choix finalement compréhensible, étant donné que les modes versus à deux contre deux étaient particulièrement hardcore, et donc réservés à une certaine élite. Aujourd'hui, place à ce qui plaît davantage au plus grand nombre.
Gamekult
Ajouté le : 09/2009
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Voir une démo jouée devant soi, c'est bien, y jouer soi-même, c'est encore mieux. Et ce petit quart d'heure passé en compagnie de l'agent Fisher dans les allées du Tokyo Game Show avait de quoi rassurer sur le dynamisme revendiqué de Splinter Cell Conviction, une manière de passer en revue, manette en main, les nouveautés de gameplay montrées au dernier E3. Découpée en plusieurs étapes, la mission désamorçage jouable commençait en extérieur, autour d'une étrange bâtisse plongée dans l'obscurité. Une façon idéale de bien appréhender les nouvelles ficelles du système de cover, en se glissant de murets en zones d'ombre dans un environnement ouvert. Rien de plus facile du reste, puisque l'interface indique très clairement vers quel endroit Sam bondira une fois que le joueur lui en aura intimé l'ordre. Le temps de disperser les gêneurs, l'agent Fisher pouvait commencer son interrogatoire, plus musclé que d'habitude. Quand l'indic refuse de parler, Sam doit employer la manière forte, quitte à se servir du moindre élément de décor pour lui éclater la tête, genre un capot, ou en dernier recours lui planter un canif dans le métacarpe.
Ubisoft aura profité du Tokyo Game Show 2009 pour nous offrir un niveau inédit de Splinter Cell Conviction, qui plus est jouable durant un très court laps de temps. Une bonne raison pour vous remettre une couche de Sam Fisher d'autant que le bougre semble plus que jamais au top de sa forme. Chronologiquement parlant, le niveau présenté par Ubisoft se situait après celui montré à l'E3 2009. Sam commençait alors aux abords d'une centrale qu'il devait investir afin de désamorcer une bombe IEM planquée dans les bas-fonds du bâtiment. Premier constat, Fisher dispose toujours de ses lunettes de vision qu'il devra mettre à profit pour voir notamment les ennemis à travers les murs. Rien de bien neuf, je sais, sauf que tout le reste était dans la continuité du renouveau de la série désormais plus dynamique, plus orientée action. Et le moins qu'on puisse dire est qu'on se sent comme un poisson dans l'eau lorsqu'on prend la manette en mains. Notre personnage répond au quart de tour, il est aisé d'enjamber les éléments, de glisser sur le sol pour passer inaperçu ou bien de contourner les ennemis pour les prendre à revers.
Ce festival 2009 nous réserve décidément de bonne surprise. C’est au tour des nouvelles aventures de Sam Fisher d’être dévoilées lors de la démonstration de Splinter Cell : Conviction. Là encore, de bonnes surprises sont au rendez-vous… Sam Fisher mais pas que… Dans ce nouveau volet, le joueur incarnera un Sam Fisher très différent. N’appartenant plus à Echelon 3, vous ne recevrez plus d’ordres et il ne faudra pas compter sur ce bon vieux Lambert pour vous fournir l’équipement et les gadgets nécessaires qu’il faudra se procurer au marché noir. Courant après sa vengeance, l’ex espion de la NSA sera livré à lui-même ce qui annonce un épisode beaucoup plus violent que ses aînés et jouera légèrement moins sur l’infiltration. Par exemple, il ne vous sera plus nécessaire de cacher les corps. Celui-ci offre une plus grande liberté, et les choix du joueur pour venir à bout de certaines situations semblent plus diverses. Dans tous les cas, le joueur aura souvent le choix entre une approche infiltration et une autre…qui le sera beaucoup moins ! Notons l’apparition d’un système de lock (deux ennemis maximum) qui permettra à Sam de tuer ses opposants avec plus d’aisance.
Toujours plus furtif et discret, Sam Fischer se montre enfin sous les couleurs de ses prochaines aventures : Splinter Cell Conviction. C’est lors du Festival du Jeu Vidéo de Paris (du 18 au 20 septembre, Porte de Versailles) qu’Ubisoft nous a brièvement présenté quelques nouveautés de cet opus qui change d’axe tout en gardant son lien de parenté avec les opus passés. Sam Fischer, héros de l’ombre du peuple américain et membre de la NSA connaît quelques bas. Sans nous avoir dévoilé le pourquoi du comment, Ubisoft nous présente son super agent furtif sous un nouveau jour. Mal rasé et déambulant dans des vêtements civils banals sur l’île de Malte, notre homme recherche des renseignements sur l’odieux meurtrier de sa fille unique. Le décès de son enfant a légèrement fait monter la moutarde au nez du monsieur qui, pas content du tout, fait fi de tous protocoles pour parvenir à ses fins. Et c’est le moins que l’on puisse dire ! Ubisoft insiste, Splinter Cell offre désormais le choix entre furtivité et action. Libre au joueur d’adopter la méthode qui lui sied le mieux et les conséquences que cela implique.
Le prochain opus des aventures de Sam Fisher a subi une refonte complète au niveau du principe de jeu. "Ouais, c'est grâce à nous !" s'enorgueillissent certains journalistes en jouant du plastron. Passons... En tout cas, pas rancunier pour un sou, Ubi Soft nous a proposé de venir jeter un coup d'oeil à ce titre et même de diriger Fisher manette en mains. Si vous ouvrez le Petit Robert à "Conviction", la première définition donnée pour ce mot à tiroir est "Preuve établissant la culpabilité de quelqu'un". Et si vous poursuivez votre lecture, vous retrouverez un sens plus commun, celui qui concerne les croyances profondes de tout un chacun. Si vous cherchez le sens du mot anglais -et rappelons au passage que ce jeu est développé à Montréal...- vous découvrirez qu'il est le même qu'en français mais qu'il signifie également "Emprisonnement". Le choix de ce sous-titre pour dénommer les prochaines aventures de Sam Fisher, en plus d'être très pratique d'un point de vue marketing puisqu'il s'adapte à tous les marchés, est donc lourd de sens. D'un côté, il évoquera les certitudes du héros, persuadé que la mort de sa fille n'est pas aussi simple qu'on a voulu lui faire croire.
Présenté une seule fois puis caché dans un coin en attendant de se métamorphoser, Splinter Cell Conviction est de nouveau prêt à affronter le monde. Oubliez ce qu'Ubisoft avait montré en 2007, ce Splinter Cell 5 n'a plus rien à voir. Il n'a même plus rien à voir avec le reste de la série. Toujours ravagé par la perte de sa fille, Sam Fisher a définitivement quitté Echelon 3 pour se lancer dans une quête de vengeance personnelle et débridée. Du coup, oubliez également les limites imposées par les anciens patrons, la prudence visant à ne pas éveiller les soupçons pour ne pas créer de conflits diplomatiques, ça n'est plus votre problème. Aujourd'hui, Sam veut des réponses et il les prendra comme il faudra. Pour autant, l'infiltration n'a pas cédé la place à l'action. Mais nul n'est besoin aujourd'hui de cacher les corps ou de patienter dans l'ombre le temps qu'une patrouille passe son chemin.
Gamekult
Ajouté le : 06/2009
Plus accessible...
Que les fans en pleurs de Sam Fisher se rassurent, leur héros préféré sera bientôt de retour, pour de vrai. Pour se faire pardonner un petit accident de parcours qui a abouti sur un retard conséquent, le Solid Snake d'Ubisoft semble prêt à sortir le grand jeu et a même complètement revu sa copie pour nous revenir fringuant à cet E3 2009. Oui, Splinter Cell Conviction s'annonce finalement plutôt bien. Et voici pourquoi. Il est donc de retour, le Sam. Et il n'est vraiment pas très content. La démo E3 présentée par Ubisoft nous a mis nez à nez avec un héros méconnaissable, mais pas pour le pire, bien au contraire. Surtout connu comme un petit soldat agissant pour le compte du gouvernement avec un sacré balai dans le fondement, Fisher nous revient ici en tant que père profondément meurtri qui va tenter de venger la mort de sa fille Sarah en mettant toute sa science de la dissimulation et du combat au service de son propre intérêt.
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