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Nous avons réuni 12 tests du Spec Ops : The Line. Les experts notent Spec Ops : The Line 7.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Spec Ops : The Line et d'autres Jeux Xbox 360.
Dubaï... ville côtière luxueuse des États Arabes Unis... ses commerces, ses hôtels multi-étoilés, son Burj Khalifa... Une destination de rêve sans aucun doute ! Allez on y va, mais ne vous embêtez pas pour les billets, vous n'aurez besoin que d'un aller simple... Après de fulgurantes tempêtes de sable, la voici ensevelie. Aaaah la nature... la plus grande adversaire de tous les temps ! Face à cette catastrophe naturelle, le 33ème bataillon de l'armée US sous les ordres du Colonel John Konrad, est envoyé sur place pour une tentative d'évacuation. Six mois se sont écoulés et toujours aucune nouvelle. C'est là que vous entrez en piste. Votre mission ? Une simple reconnaissance afin de retrouver Konrad et son unité. Vous incarnez le Capitaine Walker, vous êtes à la tête de la Delta Force composée de deux autres homme : le Lieutenant Adams et le Sergent Lugo. Mais vous n'avez encore aucune idée de ce qui vous attend... En effet, dès vos premiers pas vous voilà attaqués de toutes parts. Les hommes semblent avoir perdu la raison depuis un moment ici. Qui sont vos vrais alliés ? Qui allez-vous sauver ?
Spec Ops : The Line est loin d'avoir été le titre le plus rapide à développer au point que, début 2011, on s'est demandé si le titre géré par Yager n'était pas passé à la trappe tant les informations se faisaient rares. Heureusement pour nous, et après plusieurs reports de la part de l'éditeur 2K Games, le TPS guerrier mijoté par le studio allemand est enfin prêt à débarquer en ce début d'été. Une parfaite coïncidence pour ce TPS se déroulant à Dubaï qui ne joue pas tout à fait dans la même cour que ses concurrents. Rares sont les jeux vidéo qui se soucient du choc psychologique qu'engendre la guerre. Alors que la majorité des jeux d'action nous fait enchaîner les cibles comme si l'on enfilait des perles, le titre de Yager nous prend à contre-pied et se rapproche des thèmes évoqués dans des ?uvres cinématographiques telles qu'Apocalypse Now. Pourtant au premier abord, le speech se veut plutôt simple : l'équipe Delta, menée par le sergent Walker et deux autres camarades, a pour mission de retrouver des survivants, dont notamment le 33e bataillon américain qui est porté disparu depuis plus de six mois dans une ville de Dubaï touchée par de régulières tempêtes de sable.
Avec Spec Ops : The Line, 2K Games ne réinvente pas le jeu de guerre mais en retourne les codes, façon soldat suicidaire. Un héros militaire en mission de sauvetage au Moyen-Orient, des combats très efficaces et une violence omniprésente. Des composantes classiques du blockbuster militaire qui sont ici savamment détournées, quasiment perverties pour plonger le joueur dans un voyage particulièrement éprouvant et inoubliable. Souvent violent, volontairement choquant, le jeu ne joue jamais la carte de la facilité et va même jusqu'à pousser le joueur vers un certain malaise là où d'autres titres auraient joué la carte de l'euphorie et du sentiment de toute puissance. Une intelligence rare pour un jeu d'action porté par une narration beaucoup plus subtile qu'il n'y paraît et une ambiance graphique unique malgré une technique parfois en retrait. Apothéose de ce périple apocalyptique, les dernières minutes du jeu ne déçoivent pas et laissent le joueur seul juge de l'étendue de la réussite de sa mission. Sous les pavés, le sable. Sous le soleil, un voyage au bout de l'enfer. Après nos premières impressions enthousiastes l'heure du verdict a sonné.
Comme nous vous l'avions dit lors de la preview, Spec Ops : The Line n'est pas le titre le plus attendu de 2K Games. Et pourtant. Loin d'être un banal TPS à couloir option guerre moderne, le titre développé par Yager possède une chose que ces petits camarades sont loin de posséder : un scénario. Et quel scénario. Riche, prenant, loin des habituels clichés du genre, il guidera le joueur sur des sentiers peu usités dans le jeu vidéo. Tour d'horizon d'un petit TPS qui à tout des grands. Dubaï n'est plus. Cette Babylone des temps modernes narguant le désert par son faste et son extravagance, a finalement du plier sous les assauts incessants de ce dernier. Ses tours, qui jadis défiaient fièrement les cieux, dorment désormais sous un linceul de sable. Ses habitants, autrefois plein d'insouciances, doivent désormais faire face à la dure réalité d'une vie sans confort, ou la survie prime sur le reste. En six mois, la grandeur de Dubaï a donc été réduite à néant par la puissance de dame nature, pliant sous le joug de tempêtes de sables sans précédent. La ville n'est plus que chaos désormais, et c'est dans cette ambiance apocalyptique que débarquent trois hommes de la Force Delta, une unité d'élite des forces spéciales américaines.
La guerre dans les jeux vidéo, on la connait. Et on aurait presque envie de dire qu'on l'a vue à toutes les sauces. Mais c'est sans compter sur les développeurs de Yager qui ont l'intelligence de proposer un jeu de tir en vue à la troisième personne qui fait réfléchir, chose assez rare depuis quelques années. En effet, Spec Ops : The Line est un thriller psychologique guerrier présenté sous la forme d'un TPS dont le but est de proposer une histoire qui sort des sentiers battus et rabattus par Gears of War et autres... Une opération presque réussie !Dubai, cité de tous les excès, est en proie à des tempêtes de sable à répétition. Et malgré sa grandeur, la ville ne peut rien contre la nature et se retrouve rapidement submergée. Le 33ième bataillon de l'armée américaine déboule alors sur place mais le QG leur demande rapidement de rentrer et d'oublier les civils. Les soldats, dirigés par le Colonel John Konrad, refusent d'abandonner leur mission de sauvetage et disparaissent, comme le reste de la ville... Six mois plus tard, alors que le monde semble avoir laissé Dubaï à son triste sort, un mystérieux message de Konrad se fait entendre. Les américains envoient alors trois hommes de l'escouade Delta pour trouver des survivants.
A l'origine de jeux comme BioShock ou encore Borderlands, entre autres, 2K Games ne s'était encore jamais aventuré du côté du TPS militaire. Avec Spec Ops : The Line, développé par les allemands de Yager, c'est désormais chose faite. Et pour faire face à la rude concurrence qui règne sur le secteur, le studio américain s'est fendu d'un scénario un peu plus adulte qu'à l'accoutumée, loin des habituels poncifs manichéens, avec de vrais morceaux de psychologie et de choix cornéliens à l'intérieur. Manette en main, c'est aussi l'occasion de découvrir un jeu de tir à la troisième personne où l'on ne tue ni alien, ni nationaliste russe, ni fondamentaliste barbu. Si si. Pas assez cher, mon fils... A force de prendre notre belle planète pour un dépotoir et de la ponctionner comme le fisc avec une PME, il fallait bien s'attendre à quelques conséquences. Action : réaction. Le problème, c'est que lorsque c'est Dame Nature qui rend la monnaie, le retour de bâton est plutôt du genre biblique. Et dans Spec Ops : The Line, la victime toute désignée de cette ire nourricière n'est autre que Dubaï, symbole moderne de la démesure et du pétrodollar.
La guerre, c'est l'enfer. Si cette phrase vous semble bateau, elle paraît pourtant beaucoup moins évidente dans les mondes du cinéma et du jeu vidéo, où les pires conflits mondiaux se voient romancés en de simples aventures héroïques où on dézingue de méchants soldats sans âmes, en toute impunité. Loin de ces clichés barbares inconscients, Spec Ops : The Line vise notre sensibilité en contant l'histoire de trois hommes perdus dans une mer de cadavres. Bienvenue à Dubaï. A Dubaï certes, mais pas celui qui s'illumine dans votre télé. Dans The Line, le sable a repris ses droits sur la ville née du pétrole, et de multiples tempêtes ont submergé une cité autrefois resplendissante. Aujourd'hui, il ne reste que peur et désolation, et les quelques survivants s'en sortent comme ils peuvent. Evidemment, de la misère naît souvent la violence, et les factions ainsi formées se battent pour des miettes moisies. C'est alors que vous entrez en scène. Vous, vous êtes le Capitaine Martin Walker, un vétéran de Kaboul envoyé sur place, accompagné du Lieutenant Adams, expert en furtivité, et du Sergent Lugo, polyglotte et adepte des tirs de précision.
Alors qu'une opération de routine avait lieu sur Dubaï, votre commandant a disparu dans une tempête de sable qui s'est abattue sur la ville. Vous, ainsi que vos deux acolytes, êtes amenés à rechercher des survivants, et ce malgré vos faibles graduations. Mais les choses ne semblent pas être aussi carrées, comme lorsque vous faîtes votre lit de militaire, et d'étranges rixes entre le peuple et l'armée remettent votre jugement en cause. Bienvenue dans Spec Ops : The Line, dans une aventure boulversante qui mettra à l'épreuve psychologiquement vos tripes. Si nous n'avons pas pu profiter de l'histoire dans sa totalité, il est clair que nous avons affaire à un scénario pour adultes. Bien entendu, je ne fais en aucun cas référence à la classification PEGI 18 + ! Néanmoins, il se pourrait bien qu'elle ne plaise pas à ceux et celles qui viennent fraîchement de passer le cap de la majorité. Mais vous découvrirez des magouilles plutôt louches en avançant dans le jeu qui vous feront souvent douter de votre employeur : l'armée. Ainsi, vous serez confronté à des choix cornéliens où prendre une décision deviendra une réelle épreuve pour vos nerfs.
De nos jours, emprunter la voie du third person shooter revient à choisir un genre en vogue ayant des chances de conduire à la rentabilité. Le revers de la médaille, c'est qu'il faut aussi se heurter à une très forte concurrence. Pour s'en sortir, il faut alors trouver un moyen de se distinguer. Pour le développeur allemand Yager, l'éditeur américain 2K Games et leur TPS militaire Spec Ops : The Line, cette singularité tant recherchée provient de la volonté de proposer une narration particulièrement travaillée. Pour qu'au final, l'expérience suscite de vives émotions chez le joueur. Un pari bien engagé. Dubaï, capitale du luxe et de la démesure. Cité de tous les excès, où les gratte-ciel côtoyant les nuages prolifèrent à la même vitesse que les touristes venus claquer des millions pour s'offrir un coin de paradis. De tout cela, il n'en reste rien dans Spec Ops : The Line. De violentes tempêtes ont balayé les envies de grandeur des plus grosses fortunes du pays. La nature a repris ses droits à Dubaï, détruisant tout ce que la main de l'homme s'était échinée à créer au cours des précédentes décennies. Particulièrement réputé, le bataillon du 33e, l'élite de l'armée américaine, est envoyé sur place pour aider à évacuer les civils.
Univers Consoles
Ajouté le : 07/2010
Plus accessible...
Il semble que les blockbusters doivent aujourd'hui aller encore plus loin s'ils veulent vraiment se démarquer de leurs concurrents, il suffit de lire les communiqués de presse pour réaliser quels sont les sujets qui reviennent à la mode : les scénarios très écrits à la BioShock 2 ou Metro 2033, des gameplay centrés sur un gimmick ou une fonction comme Dark Void, ou construits selon un type de jeu comme les niveaux multijoueurs de Call of Duty 2 ou de Halo 3, par exemple. D'un autre côté, les gros jeux peuvent de moins en moins prendre de risques s'ils veulent éviter de se planter. Du coup, les développeurs tournent généralement autour de deux ou trois grandes idées, en suivant des concepts élaborés pour des jeux de référence. Ainsi, c'est grâce au succès de BioShock que l'on a pu voir débarquer beaucoup de titres qui osaient raconter une histoire qui ne tienne pas sur un simple ticket de métro. The Line possède d'ailleurs beaucoup de points communs avec BioShock. Non seulement le titre reprend les grandes lignes d'un chef-d'oeuvre de la littérature contemporaine pour créer son intrigue (ici, Au coeur des ténèbres de Joseph Conrad), mais se base aussi sur gameplay qui vous confronte à des éléments naturels hostiles.
Les jeux d'action nous ont déjà donné l'occasion de partir sur quasiment tous les champs de bataille possibles et imaginables. Vous avez l'impression de connaître l'Afghanistan comme votre poche et d'avoir sillonné la jungle vietnamienne ou les plages normandes dans tous les sens ? Vous serez heureux d'apprendre que le prochain Spec Ops vous permettra de faire du tourisme vers une destination plus originale : la ville de Dubaï qui a été totalement dévastée par une catastrophe naturelle. Autant crever l'abcès d'entrée de jeu : par le passé la série des Spec Ops ne s'est pas vraiment distinguée par la qualité de ses différents opus. Il faut donc bien reconnaître que l'annonce d'un nouvel épisode intitulé The Line n'avait pas vraiment enthousiasmé les foules. D'ailleurs le fait qu'un développeur assez méconnu, Yager, se charge du projet ne semblait pas vraiment de bon augure. Mais parfois il faut savoir mettre de côté ce type de mauvais pressentiments. En effet, il suffit de jeter un œil à ce Spec Ops : The Line pour se rendre finalement compte qu'il s'agit là d'un jeu intense qui s'annonce tout simplement époustouflant.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
Plus accessible...
Pas facile de faire lever un sourcil au milieu de la folie de l'E3 lorsque l'on est un énième third person shooter plongé dans un conflit militaire "moderne". Pourtant, Spec Ops : The Line a su faire tourner quelques têtes grâce à un champ de bataille original, à une approche audacieuse du genre et à un moteur plutôt sympathique. Une bonne surprise en perspective ? Considéré par beaucoup de fils à papa comme la place to be du moment, Dubaï ne sera pas exactement une destination touristique à conseiller dans le futur proche où se déroule Spec Ops : The Line. Ravagée par des tempêtes de sable d'ampleur biblique, la ville des Emirats arabes unis sert depuis de champ de bataille à une guerre entre un groupe de pillards attirés par les richesses perdues de l'endroit et un bataillon de militaires dirigés par un certain colonel Konrad. Ce gradé égaré en enfer sera d'ailleurs notre objectif principal dans le titre de Yager Development puisque notre petite escouade de soldats d'élite devra localiser le larron afin d'organiser son extraction. Le problème, c'est que cet officier ne semble pas spécialement pressé de quitter Dubaï et parait même plus intéressé par une pacification agressive de tout ce que la ville compte encore comme habitants.
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