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Nous avons réuni 17 tests du Sonic Colours. Les experts notent Sonic Colours 7.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Sonic Colours et d'autres Jeux Wii.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que Sega aura gâté les fans de sa mascotte sur la Wii, console où son grand rival d'antan domine : trois jeux de plates-formes sortis en boite et un disponible sur le WiiWare, deux jeux de courses, deux spin-off sportifs avec le compère Mario et c'est sans compter toutes les rééditions des jeux mythiques Megadrive / Master System sur la Console Virtuelle. Devant une telle profusion, l'arrivée d'un quatrième jeu de plates-formes 3D du hérisson en quatre ans pouvait laisser perplexe, d'autant plus que la formule a sans cesse été revue avec plus ou moins de succès. A force de tirer sur la corde, Sega ne font-ils pas tout simplement l'épisode de trop avec Sonic Colours ?Il était une nouvelle fois …Pas facile d'être un mal aimé, surtout après avoir essayé de conquérir le monde un nombre incalculable de fois avec une armée de robots. Alors pour se faire pardonner, le Dr Eggman, le grand "chauve poilu" et ennemi de Sonic, devait faire quelque chose de grand, de très grand pour marquer le coup. C'est ainsi que le cher docteur s'est mis en tête de construire un parc d'attractions et comme il a un goût prononcé pour la démesure, ce ne sera pas n'importe quel parc. Il veut un parc d'attractions spatial, rien que ça.
Sorte de Super Mario Galaxy 3 à la sauce Sega, le nouveau Sonic est nerveux, acidulé, explosif et pétillant. Un régal. Ne dites plus que la Wii n'a pas de bons jeux en dehors des titres Nintendo. Avec Sonic Colours, Sega signe non seulement l'un des meilleurs produits de Noël sur la petite console blanche, mais également le meilleur épisode de la série depuis Sonic Advance 2 sur Game Boy Advance en 2003. A l'origine de Sonic Colours, on retrouve l'idée simple, mais géniale, de Sonic Unleashed (2008) : proposer des niveaux en 3D, qui gardent la construction en montagne russe des épisodes vus de côté, mais en jouant sur l'angle de vue pour varier les possibilités et les sensations. Quant aux phases musclées en « Sonic-garou », elles ont dégagé, Sonic se concentrant sur ses acrobaties. Pourtant, si Sonic Colours s'inscrit dans la parfaite lignée des Sonic de 1991 à aujourd'hui, c'est une autre référence qui saute aux yeux dès le lancement du jeu : Super Mario Galaxy. Comme lui, le jeu de Sega se déroule dans l'espace intersidéral. Comme lui, il propose une bande-son orchestrale grandiloquente.
L'épisode 1 de Sonic 4 étant déjà disponible depuis plusieurs semaines, la Sonic Team gâte ses fans avec un tout nouvel épisode, exclusif aux consoles Nintendo de surcroît ! Baptisé Sonic Colours, ce volet inédit a la lourde tâche de confirmer le regain de forme du hérisson bleu... Pari réussi ? Eggman, encore et toujours !Grand rival de Mario durant l'époque dorée de la Super Nintendo, qui aurait pu deviner l'arrivée du hérisson bleu sur une console Nintendo en 2010 ? Absolument personne ! Après avoir côtoyé les bas-fonds vidéoludique, la Sonic Team revoit sa copie et repart de zéro. Finies les extravagances des derniers épisodes (Sonic Garou...), place à l'essentiel : le fun et la vitesse !Si vous avez suivi de près l'actualité liée à ce nouvel épisode, Takashi Lizuka (Lead Designer) avait affirmé que Sonic Colours était avant tout destiné aux enfants de 6 à 12 ans.« Avec Sonic Colours, nous avons voulu faire un jeu facile à prendre en main et à apprécier. Ce n'est donc pas un jeu fait pour les joueurs passionnés. Si vous prenez l'exemple du rail, c'est beau, simple, ça va vite et c'est très amusant à jouer. Nous avons fait un jeu qui correspond à sa cible de base, les enfants. » Ces propos avaient ensuite été repris par une employée de SEGA of America, Jill Gilbertson :« Sonic Colours est pour tout le monde !
Lorsqu’on parle de Sonic en 3D, beaucoup de poils se hérissent. Il est vrai que ces dernières années, le hérisson bleu a du mal à reproduire ses performances d’antan, la faute à l’arrivée d’une troisième dimension, exception faite de ses deux premiers titres sur Dreamcast. Bugs trop nombreux, gameplay peu intéressant, caméra parkinsonienne, le hérisson et ses compagnons semblent maudits. En parallèle au développement du premier épisode de Sonic 4, la Sonic Team a décidé de tenter une nouvelle fois sa chance et trouver l’équilibre après une semi-réussite dans Sonic Unleashed. Une nouvelle tentative d’ailleurs exclusivement destinée à la Wii. Le hérisson supersonique réussit-il enfin à trouver un nouvel opus 3D à la hauteur de la légende ? Bien que l’accent ne soit pas mis dans ce nouvel opus sur le scénario, l’histoire mérite d’être évoquée. Nous retrouvons comme seules têtes connues Sonic, Tails et le tristement célèbre docteur Eggman (Robotnik pour les puristes de la VF). Ce dernier, apparemment décidé à se racheter auprès du peuple de Moebius qu’il a tant fait souffrir, vient d’ouvrir un gigantesque parc d’attraction regroupant plusieurs planètes.
Sonic ne fait pas uniquement que courir après Eggman et les rings, il court également après l'affection du public. Il a commencé son travail de séduction avec un titre exclusif au téléchargement, un titre qui l'a replacé dans un univers familier. Sonic The Hedgehog 4 Episode 1 a opéré un retour aux sources sans vraiment prendre de risques, mais cette nouvelle itération s'est au final révélée honnête. Dans l'attente d'un épisode 2 que les joueurs attendront sans doute avec plus d'exigences encore, s'intercale ce jeu exclusif aux consoles de Nintendo. Sonic Colours tente le défi de proposer un gameplay et un style familier tout en lui apportant quelques nouveautés utiles pour séduire totalement. Sonic nous revient dans un jeu de plateformes lancé à toute allure après Eggman. Sonic et Tails se retrouvent lancés dans une aventure où Egmman semble encore mêlé. L'ennemi juré du hérisson a porté son dévolu sur de tous petits aliens et compte utiliser leurs pouvoirs spéciaux dans le but de contrôler l'univers. Ces aliens, plutôt attachants et connus sous le nom des Wisps, quémandent l'aide des deux compères. Sonic, toujours prêt à en découdre avec "le chauve poilu", ne se fait pas prier et part très rapidement à la conquête des différentes zones qui l'attendent.
La fin de l'année est chargée pour le hérisson. Chargée, mais pas forcément des plus réussie. La preuve avec le piètre Sonic Free Riders ne faisant pas franchement honneur aux possibilités de Kinect. Las, Sonic a par contre plus de chances de nous séduire avec un nouvel épisode Colours laissant la part belle à la 2D. Sans doute le territoire ou il brille encore le plus à l'heure actuelle ! Sans vouloir absolument enfoncer le hérisson bleu, on pourra dire que l'épisode I de Sonic the Hedgehog 4 aura fait naître beaucoup d'attente pour pas grand chose. Jouissant d'une bonne réalisation, il se calquait cependant sur un schéma bien trop classique pour étonner, respirant à des kilomètres le déjà joué/déjà-vu. Alors, doit-on craindre le même syndrome pour ce Sonic Colours ? Et bien non ! Les développeurs de la Sonic Team (de ce qu'il en reste dirons les mauvaises langues...) ont au contraire décidé de prendre des risques, en permettant au hérisson de disposer d'une palette de nouveaux pouvoirs ouvrant sur une approche des niveaux totalement différente, pour peu qu'on se donne un peu la peine. Pas complètement différente, certes, mais déjà assez originale pour permettre au jeu de trouver un rythme soutenu évitant les temps morts.
Le début du jeu commence donc sur ce parc d'attractions spatial où Sonic et son compère Tails se rendent puisque bizarrement, Dr Eggman (qui a définitivement troqué son nom de Dr Ivo Robotnik) est à l'origine de cet édifice propice à l'amusement et aux sensations fortes. Malheureusement, et il faudrait être candide pour ne pas voir venir la chose, Eggman prépare en réalité un plan diabolique. En effet, cette rave party intergalactique est une façade qui cache une station qui vise à exploiter l'énergie de petits extra-terrestres colorés appelés Wisps. Ni une, ni deux, Sonic enfile ses gants, ses chaussettes blanches à la Michael Jackson et ses tennis rouges pour contrer les méfaits de son éternel adversaire et libérer ses nouveaux petits amis. Voilà donc une mise en bouche d'une banalité sans nom mais qui malgré tout se laisse suivre gentiment, à l'aide de belles cinématiques et de quelques dialogues. De toutes les façons, là n'est pas l'intérêt de Sonic Colours. Non, le sel du jeu se trouve bien évidemment dans son game system, qui s'il ne révolutionne rien, se trouve bien mieux maîtrisé qu'à l'accoutumée...Dans les faits, Sonic Colours reste un jeu d'action/plates-formes qui vous fait traverser divers tableaux à la vitesse de la lumière.
Les consoles nextgen en sont arrivées à un point où les développeurs les poussent vraiment à leurs limites en ce qui concerne les graphismes. C'est un domaine dans lequel la Wii, qui n'a pas de capacité HD, n'a jamais été conçue pour rivaliser. Elle est cependant loin d'être obsolète. Sonic Colours est là pour nous rappeler que l'impact visuel ne vient pas nécessairement du relief des cartes et d'un éclairage dynamique. Un niveau, judicieusement appelé Starlight Carnival, est l'exemple type de la façon de tirer le meilleur parti d'une machine moins puissante. Le début du niveau en question voit Sonic débouler d'un sas, via un chemin sinueux en forme de grand huit, pour atterrir au coeur d'une flotte stellaire, et c'est une merveille à regarder. D'immenses vaisseaux aux couleurs de l'arc-en-ciel tournent sur eux-mêmes et changent de direction tandis que le chemin que vous dévalez à une vitesse étourdissante s'enroule frénétiquement autour d'eux. C'est une orgie de néons, de scintillements et de réflexions, un design à la Escher, noyé dans de la Jpop, avec des sons de synthé sifflants et métalliques. C'est d'une vitesse sidérante et totalement bluffant.
En perte de vitesse depuis de nombreuses années, Sonic, qui demeure tout de même une licence commercialement juteuse pour Sega, ne fait plus vraiment vibrer les joueurs. Tel Soeur Anne, les fans les plus vaillants guettent la venue de chaque nouvel épisode, pleins d'espoir, mais n'ont souvent que la déception comme récompense. Alors faudrait-il lever son nez un peu plus vers le ciel, adresser une prière ? La vérité serait-elle ailleurs, toute droite venue... de l'espace ? Faire un voeu en regardant les étoiles n'est pas si vain : Sonic Colours en est la preuve !Quand Eggman (qui adopte définitivement son nom japonais dans notre version européenne) décide d'inaugurer un parc d'attractions en orbite au-dessus de la Terre, Sonic et Tails ne sont pas dupes sur les intentions de leur éternel ennemi et percent bien vite le plan machiavélique du génie dérangé. Le professeur fou utilise l'énergie de petites créatures aliens nommées les Wisps, afin d'alimenter ses inventions les plus redoutables. Mais si ces petites créatures fournissent un excellent carburant à ce gros porc, ils permettent aussi à Sonic d'acquérir de nouvelles capacités, vraiment grisantes, qui vont s'avérer extrêmement utiles au hérisson pour braver tous les dangers.
?reintée par des versions de qualité régulièrement déplorable, la licence Sonic se lance à bout de souffle dans une énième tentative de restauration de son éclat d'antan. C'est donc avec une certaine méfiance que l'on a abordé ce Sonic Colours, d'autant que la Sonic Team, profil bas, a sorti le titre dans une relative discrétion. Après un Sonic 4 en demi-teinte, bien que plus attendu, quelle ne fut pas notre surprise en découvrant une version éblouissante à de nombreux égards. ? notre sens, il n’est pas interdit de voir en cette dernière un nouveau départ plein de promesses pour le futur de la licence. Des menus de présentation au jeu lui-même, le souci de finition omniprésent détache d'emblée ce Sonic des précédents. Détail appréciable, on peut choisir les voix japonaises, qui permettent de restituer le milieu naturel de la série (l’animation japonaise) dans tout son exotisme et son entrain de sh?nen. L’histoire n’est qu’un prétexte gentiment anecdotique, mais accompagne de façon appropriée l’expérience de jeu, avec une légèreté assumée. Dans un délire très japonais sur le thème du parc d’attractions, Robotnik/Eggman déboule en ignoble promoteur immobilier inter-galactique.
Bien décidé à retrouver ses lettres de noblesse, le petit hérisson bleu a traversé à toute vitesse cette année 2010 en tentant de nous proposer des expériences de jeu approfondies et à la hauteur de sa réputation, forgée au fil du temps mais mise à mal ces dernières années, la faute à quelques itérations des aventures de Sonic bien décevantes. Sonic Colours sera-t-il le titre qui redorera totalement le blason de la mascotte de SEGA ? En octobre dernier été déjà sorti Sonic The Hedgehog 4 : Episode 1, premier opus d'un jeu à télécharger créé pour raviver la flamme des adorateurs de la série, en leur proposant justement une aventure reprenant en tout point ce qui avait fait le succès des premiers titres. Malgré la qualité générale du soft, on pouvait donc être déçu par le manque d'originalité et de prise de risque de l'ensemble, dû à un retour aux sources néanmoins totalement assumé. C'est donc à Sonic Colours que revient la lourde tâche de proposer aux joueurs une recette adaptée, comprenant bien entendu les éléments que chaque fan attend avec impatience, mais en tentant également d'innover, de surprendre, et de se réinventer, au moins un peu.
On a souvent comparé Sonic et Mario. A tort. Même si les deux personnages les plus célèbres de l’histoire du jeu vidéo sont les héros de jeux de plateforme, les deux séries phares de Sega et Nintendo n’ont finalement pas grand rapport, pas les mêmes qualités, pas les mêmes intentions. On peut bien entendu avoir une préférence pour l’un ou pour l’autre mais les mettre en concurrence ne se révèle pas forcément judicieux. A vrai dire, on doit surtout cette confrontation à la guerre que se livrait à l’époque les deux grands constructeurs japonais dont Sonic et Mario représentaient les mascottes. Et c’est cette rivalité que l’on a sans doute un peu abusivement assimilé à des jeux somme toute différents dans leurs approches du genre. Il n’empêche, alors que Mario ne cesse de nous étonner épisode après épisode, Sonic déçoit les fans au fil des années. Mais voilà. Avec Sonic Colours, le hérisson bleu n’a peut-être jamais autant pioché dans les aventures bondissantes du plombier moustachu tout en restant un épisode totalement fidèle à la série. On sait à quel point Sonic n’a jamais su vraiment se renouveler, passant difficilement le cap de la 3D avec un Sonic Adventure tentant maladroitement d’y injecter une partie « aventures et énigmes » finalement inintéressante.
Fin d'année chargée pour le hérisson Sonic : après Sonic the Hedgehog 4 : Episode I sorti sur différents supports en téléchargement et Sonic Free Riders qui débarque sur Xbox 360 grâce à Kinect, la mascotte bleue de Sega revient également sur Wii et DS dans un épisode intitulé Sonic Colours qui laisse la part belle à la plate-forme et délaisse l'aspect action des dernières aventures en 3D de la boule de pics. Est-ce cependant suffisant pour oublier le naufrage de Sonic et le Chevalier Noir ? Robotnik n'a pas qu'un crâne d'oeuf, il a aussi un coeur. Du moins, c'est ce qu'il essaie de nous faire croire au début de Sonic Colours. Pour se faire pardonner d'avoir transformé des tas d'animaux en robots au grand dam de Brigitte Bardot et d'avoir tenté plusieurs fois de détruire la planète (rien que ça), le savant fou a décidé de transformer l'une de ses nombreuses stations orbitales en parc d'attractions. Voilà, maintenant, la vie est belle. Enfin, Sonic n'y croit pas vraiment, et décide d'aller jeter un oeil là-haut avec Tails. Après avoir emprunté l'ascenseur spatial qui mène au parc, ils découvrent que Robotnik veut en fait capturer de petits aliens pour extraire leurs pouvoirs. Et puisque Brigitte Bardot ne s'est pas encore penchée sur la cause extraterrestre, c'est le héros bleu qui va faire tout le sale boulot. Voici donc le point de départ de l'aventure.
Gamekult
Ajouté le : 09/2010
Plus accessible...
C'est décidément une année chargée pour Sonic : alors que Sonic Adventure vient à peine de sortir sur le Xbox Live Arcade, le hérisson revient dans Sonic the Hedgehog 4 sur les plates-formes de téléchargement, mais aussi sur Wii et DS dans Sonic Colours. Premier aperçu de ce jeu qui a pour ambition d'envoyer le joueur au septième ciel, parmi les étoiles et les extra-terrestres. Après une prise de conscience inattendue, Robotnik est rongé par les regrets et voudrait se faire pardonner. Pour cela, il construit en orbite un gigantesque parc d'attractions, relié au plancher des vaches par un ascenseur spatial. Sonic et Tails, quelque peu suspicieux, décident d'aller jeter un oeil là-haut. Evidemment, ils ne sont pas surpris lorsqu'ils comprennent qu'il s'agit encore d'un nouveau plan diabolique de la part du savant fou, qui a cette fois-ci décidé d'enlever de petites créatures extra-terrestres afin de profiter de leurs étranges pouvoirs. Le joueur incarne bien évidemment Sonic et doit sauver ces aliens prisonniers de capsules, à la manière d'un Sonic the Hedgehog. Particularité de Sonic Colours : au cours de l'aventure, les phases 3D et les phases 2D se succèdent.
Si comme beaucoup de joueurs, vous aviez autant adoré les phases de vitesse de Sonic Unleashed, que détesté ses phases grimé en Sonic-garou, dires vous que SEGA a retenu la leçon, en nous annonçant un Sonic Colors alternant entre phases 2D/3D, et axé à 100% sur la vitesse. Ca promet ! Effectivement, pour promettre, il promet, ce Sonic Colors, prévu à la fois sur Wii et DS. Désigné par son producteur comme un Sonic “mainstream, retournant aux sources des épisodes action-game”, il pourra être comme je vous le disait quelques lignes plus haut, classé comme une suite non-officielle à Sonic Unleashed, mais cette fois amputée de ses phases pénibles d’action molles (et imprécises, qui plus est). Enfin, pour le coup, les développeurs se sont creusés le citron pour apporter un vent de frâicheur à la série, qui sera ponctuée cette fois par l’apparition de couleurs (d'où le nom du soft...), associées à des pouvoirs, et amenant des nouvelles possibilités en terme de gameplay très sympathiques. Du moins, pour ce que nous en avons vu (et non, le producteur du jeu n’a a aucun moment souahité passer la Wiimote pour que nous puissions tester par nous même).
Conscient qu'il était impératif de redorer le blason du hérisson supersonique sur Wii après les très décevants Sonic Unleashed : La Malédiction du Hérisson et Sonic et le Chevalier Noir, SEGA a décidé de se focaliser sur ce que sa mascotte sait faire le mieux, à savoir dévaler les paysages à grande vitesse. C'est ce que propose grosso modo Sonic Colours qui renoue avec les origines de la série, tout en apportant quelques innovations en termes de gameplay. Nos impressions.Le scénario de Sonic Colours ne marquera pas les esprits, c'est clair, mais a au moins le mérite d'introduire de manière subtile le concept du jeu. Incapable de rester tranquille, Dr Eggman a décidé cette fois-ci de s'en prendre aux Wisps, une race pacifique venue d'ailleurs et dont la force repose sur des étranges perles colorées qui permettent d'accéder à différents pouvoirs. Nous avons ainsi eu l'occasion d'apercevoir le Yellow Drill avec lequel Sonic pouvait creuser le sol et découvrir des passages habituellement inaccessibles. Il y avait également le Cyan Laser qui permettait au héros de débouler à la vitesse de la lumière dans des tuyaux prévus pour, juste après avoir agité la Wiimote. Bien évidemment, chacun de ses pouvoirs ne sera pas disponible immédiatement, et il faudra d'abord libérer les Wisps correspondants avant d'être capable de les exploiter.
Le temps où le hérisson le plus rapide du monde et le fameux plombier moustachu se faisaient la guerre est bel et bien révolu. Les deux ennemis d'hier se retrouvent d'ailleurs régulièrement dans des titres dédiés aux Jeux Olympiques. Nouveau symbole de cette réconciliation, le prochain épisode des aventures de Sonic s'apprête à débarquer en exclusivité sur les consoles de Nintendo. On ne serait pas vraiment étonné d'apprendre que la mascotte de Sega ne sache plus où donner de la tête. En effet ce brave Sonic est accommodé à toutes les sauces ces derniers temps. Ses dernières aventures en 3D ne vous ont pas convaincu ? Vous pourrez bientôt le retrouver dans un épisode téléchargeable qui reprend les codes des opus 2D. Vous voulez vérifier s'il tient la route en dehors de ses plates-formes classiques ? Il vient de tenir la vedette d'un jeu de courses qui reprend la recette des Mario Kart. Bref, vous l'aurez compris, on ne sait jamais vraiment ce qui nous attend avec ce cher Sonic. D'ailleurs l'annonce d'un Sonic Colours exclusif aux consoles de Nintendo en a surpris plus d'un. Pas la peine de faire durer le suspense plus longtemps, Sonic Colours est un épisode qui est dans la totale continuité de Sonic Unleashed, ou plus précisément des phases de jour de ce dernier.
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