SOCOM : Special Forces
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Nous avons réuni 13 tests du SOCOM : Special Forces. Les experts notent SOCOM : Special Forces 6.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du SOCOM : Special Forces et d'autres Jeux Playstation 3.
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Test SOCOM : Special Forces
Test SOCOM Special Forces
Instaurée il y a quelques années sur PS2, SOCOM : U.S. Navy Seals jouait la carte de l'immersion avec l'utilisation d'un micro qui permettait de donner des ordres à ses alliés gérés par l'intelligence artificielle. De plus, le gameplay à mi-chemin entre l'action pure et la tactique offrait un certain cachet qui a séduit de nombreux joueurs. Alors que Zipper Interactive, le développeur attitré de la série, développait M.A.G. sur PS3, c'est un autre studio qui s'est chargé de la conception de SOCOM : Confrontation, un opus clairement médiocre pour les amateurs de la première heure. SOCOM : Special Forces, le véritable quatrième volet de la franchise, propose donc d'instaurer à nouveau une approche pleinement immersive.Ce nouvel épisode vous met toujours à la tête d'une escouade militaire. Dans la peau de Cullen Gray, vous devrez maintenir un climat de paix au plein coeur de l'Asie. En effet, les terroristes du NAGA ayant déjà quadrillé les lieux, il faudra souvent jouer la carte de l'infiltration, puisque vous êtes en infériorité numérique. Dès les premières minutes de jeu, l'absence de réelle originalité scénaristique est une évidence, les différents événements étant excessivement prévisibles. Aussi, le but sera généralement de détruire des points stratégiques, éliminer des cibles spécifiques, etc.
GamePro.fr
Ajouté le : 04/2011
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Test : Socom Special Forces
La musique de Bear McCreary – que connaissent les amateurs de Battlestar Galactica – associée à des doublages convaincants permettent de se lancer dans le solo de ce nouveau Socom tout en douceur et d'avaler plutôt facilement un scénario des plus convenus (il s'agit de faire la guerre en Asie contre une organisation terroriste...). On en ressort toutefois sans rien avoir joué de particulièrement délectable, la soupe servie continuant à faire bouche sans véritables surprises d'un bout à l'autre de l'aventure, avec une montée en puissance sur la seconde partie du jeu. Si l'on regrette la fin trop facilement envoyée, on apprécie néanmoins les efforts faits par Sony pour renouveler sa licence qui – on peut le dire – commençait à sentir le renfermé. De Socom : Special Forces, on retiendra donc d'abord une maniabilité moderne, le jeu d'action/tactique ayant été chercher chez les cadors actuels du shooter à la troisième personne les éléments qui lui permettent d'être plus coulant. C'est simple, on retrouve tout ce qui peut faire la force d'un Gears of War, du système de couverture qui fonctionne bien à celui de régénération qui permet de dynamiser l'action, sans oublier une certaine souplesse de déplacements qui tranche avec la rigidité des précédents jeux de la série.
Test de SOCOM Special Forces
En 2008, la franchise SOCOM débarquait sur PlayStation 3 avec un épisode franchement décevant, dénué d'une campagne solo et surtout d'un manque flagrant de punch. Avec cette nouvelle itération sur la console de salon de Sony, Slant Six Games cède sa place à Zipper Interactive (SOCOM PS2/PSP, M.A.G.) pour un SOCOM Special Forces bien décidé à faire dans le changement, quitte à bouleverser un peu les habitudes d'une niche de joueurs toujours prêts à prendre part au combat. Rapport en direct du champ de bataille. Si SOCOM Confrontation avait fait l'impasse d'un mode solo, ce nouvel épisode PlayStation 3 ne fait heureusement pas le même choix et propose donc une campagne à vivre en tant que leader d'une unité de l'OTAN. Une histoire qui prend place du côté de l'Asie où une milice locale, la NAGA, prépare un sale coup qui pourrait mettre à mal l'économie de la planète toute entière. Pas question pour notre héros de laisser faire les méchants, surtout lorsque les évènements en question rappellent certains éléments douloureux du passé de notre ami. SOCOM Special Forces tente donc de nous immerger le plus possible dans son scénario mais, malheureusement, les évènements prévisibles et les personnages auxquels on peine à s'attacher empêchent l'histoire de nous surprendre.
Test Socom Special Forces
Alors que le Xbox Live en était à ses balbutiements et que le jeu en ligne sur PC connaissait un premier essor, la pourtant très peu online-friendly Playstation 2 se dotait en 2003 de son premier jeu en ligne avec communication vocale. Si le service ne se développa pas plus que cela sur la machine, Socom et ses suites jouirent d’une bonne petite communauté bien décidée à jouer tactique en équipe. Zipper Interactive (Mag) reprend la licence huit ans plus tard, tandis que le support et les joueurs console se sont habitués au phénomène. Paré pour une révolution tactique ? Les premières minutes de jeu surprendront certainement les joueurs habitués à la rigidité des épisodes précédents : Zipper Interactive a en effet décidé de rendre le contrôle plus fluide et les animations moins robotiques. La jouabilité en devient nettement plus nerveuse et la frustration que l’on ressentait à ce niveau dans la série se dissipe. La vue est cette fois encore très (trop) resserrée sur le personnage, empêchant par moment de parfaitement cerner la situation à laquelle le jeu nous confronte. Quoi qu'il en soit, le gain de souplesse est réel et bienvenu, que ce soit à la manette ou au Move, qui se prête assez bien au style de ce Socom.
SOCOM : Special Forces
La guerre, c'est moche. Néanmoins, nos amis de Zipper Interactive, à qui l'on doit M.A.G, sorti l'année dernière, ont une certaine habitude de la chose et savent, souvent, en faire une véritable partie de plaisir virtuelle. C'est pourquoi chaque nouvelle version de la série SOCOM sur les consoles de Sony est attendue avec une certaine fébrilité, dans l'espoir de voir enfin débarquer un grand jeu de guerre. Et cette fois, on est pas passé loin !Présenté sous la forme d'un TPS, le jeu de Zipper vous met dans la peau de Cullen Gray, un capitaine de l'OTAN qui doit diriger une équipe d'élite dans un pays asiatique, résumé le plus simplement du monde à une zone de conflits. Notre héros est, par ailleurs, l'archétype du soldat US, tout comme ses comparses, à l'exception de "45", la femme forte du groupe. Un peu plus intéressante que le reste des personnages par certains aspects, l'incarner est surtout l'occasion de varier un peu le gameplay, comme vous allez le lire un peu plus bas... Dans la peau de Cullen, vous dirigez une escouade. Outre des joutes musclées à coups de fusils, mitraillettes, grenades et autres armes en tous genres, vous devez donc donner des ordres à vos soldats. Ceci via un système de commandes, simples à exécuter (à la croix directionnelle) pour entourer, au mieux, vos adversaires.
Test Socom Special Forces
Après le décevant Socom : Confrontation, Sony Computer Entertainment devait redonner un coup de fouet à sa série d'action/tactique emblématique. Pour Socom Special Forces, les choses n'ont pas été faites à moitié avec un changement de développeur, mais aussi d'orientation puisque le gameplay du jeu a pas mal évolué entre les deux épisodes... Une décision payante ? Une bonne dose de stéroïdes SOCOM avait donc besoin d'un ravalement de façade, et en confiant le projet aux créateurs de M.A.G., Sony n'a pas fait les choses à moitié. Vu de loin, le jeu est en effet parfois plus proche de Gears of War ou d'Uncharted que de ses prédécesseurs, plutôt lents et rigides par tradition. Mais le titre a tout de même conservé les bases essentielles qui faisaient la particularité de son gameplay. Dans la peau d'un commandant américain, le joueur se retrouve à la tête d'une équipe de quatre soldats d'élite, impliqués dans un conflit asiatique opposant les "gentils" aux forces du NAGA, une organisation terroriste. Dans l'ensemble, et même s'il est servi par de nombreuses cinématiques, le scénario n'est pas vraiment le point fort de Socom Special Forces.
Socom 4 : Special Forces
Véritable révolution pour la PS2, SOCOM premier du nom avait ouvert la voie au jeu en ligne sur PlayStation en accompagnant le lancement du fameux adaptateur réseau de la console. Un pari réussi à l'époque pour Sony et Zipper Interactive qui avaient ainsi fédéré un grand nombre de joueurs, constituant une communauté au sein de laquelle d'impitoyables matchs de clan étaient régulièrement organisés. Mais après deux suites un peu moins convaincantes sur PS2 et un premier opus baptisé Confrontation sur PS3, la série avait perdu de sa superbe auprès des fans de la première heure. Le véritable quatrième volet saura-t-il à nouveau les séduire ?Pour la petite histoire, il est sans doute bon de rappeler que SOCOM Confrontation, opus exclusivement jouable en ligne, n'avait pas été développé par Zipper Interactive, alors trop occupé avec le développement de MAG. Sony avait ainsi confié ce premier SOCOM next-gen à Slant Six, le résultat ayant eu bien du mal à séduire tant le public que les critiques. Il faut dire qu'avec une réalisation dépassée, l'absence de mode solo, et des problèmes récurrents de connexion, l'offre n'était pas des plus convaincantes.Avec la reprise des commandes par Zipper, l'offre de SOCOM 4 apparaît d'emblée comme plus conforme aux débuts de la série.
Test de SOCOM : Special Forces
Le scénario de Socom: Special Forces emmène le joueur en Asie du Sud-Est. Les agissements d’un mouvement révolutionnaire local menacent de fiche la pagaille à l’échelle mondiale. Il revient à un petit escadron de l’OTAN de remettre de l’ordre dans tout ça et de découvrir qui tire les ficelles. Malheureusement, l’histoire ne parvient pas à captiver et donne presque l’impression d’être prise en cours de route. Même lors des scènes les plus dramatiques, il est difficile de s’identifier aux héros ou même de ressentir une quelconque empathie pour eux. Leur côté stéréotypé y est certainement pour quelque chose. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé de les rapprocher du joueur... En effet, le pays représenté par le héros et ses deux coéquipiers correspond à celui de la langue dans laquelle tourne la version du jeu. Tant qu’à faire, ils auraient également pu « localiser » leurs noms, parce que des Cullen ou des Wells, il ne doit pas y en avoir beaucoup dans l’armée française... Le gameplay se décline de deux manières, selon les missions: Si certaines d'entre elles demandent au joueur de dégommer tout ce qui bouge, tel un Rambo lâché dans la jungle birmane, d’autres requièrent une totale discrétion.
Test SOCOM : Special Forces
Avant de parler de ce qui fait le sel de SOCOM 4, revenons rapidement sur l'intrigue qui, à l'instar de la majorité des titres du genre, est bien loin de pouvoir déplacer des montagnes. Le joueur incarne donc Cullen Gray, un soldat de l'OTAN au passé assez obscur qui tente, à l'aide d'un groupe de combattants, de venir à bout d'une guerre civile qui paralyse un pays d'Asie du Sud-Est. Manquant de relief et bourré de clichés sur le militaire (patriote et borné au possible), Gray n'est pas un personnage auquel on prendra plaisir à s'identifier, ce qui limite du coup l'immersion. Dommage. Même si le manque d'épaisseur des personnages n'est pas vital pour un titre de ce genre, on aurait quand même apprécié, sans arriver à un background aussi riche qu'un Metal Gear Solid, pouvoir suivre une histoire un poil plus prenante. Cela dit, Cullen Gray et ses acolytes parviennent avec beaucoup plus de succès à nous entraîner sur le champ de bataille, et à transmettre leur volonté de (presque) tout faire péter. Dans les faits, SOCOM : Special Forces ne fait pas dans la grande originalité. Le but du jeu est de venir à bout de 14 niveaux linéaires, qui vont de la ville dévastée à la jungle luxuriante, tout en remplissant des objectifs où il faudra se frayer un chemin en éliminant les insurgés, ou alors détruire des points stratégiques.
SOCOM : Special Forces
Après quelques années de service et, il faut le dire, de redondance, la série SOCOM avait sérieusement besoin de se renouveler. C'est chose faite avec ce volet en forme de "reboot" qui lorgne du côté des derniers Ghost Recon. En grand besoin de renouveau, la série SOCOM a donc décidé de changer d'orientation et opte pour une approche parente de celle choisie par Ghost Recon avec les épisodes Advanced Warfighters, à savoir un mélange de mise en scène scriptée dans des niveaux linéaires et de travail tactique en équipe. D'ailleurs, à l'image de la franchise d'Ubisoft, cet épisode de SOCOM se déroule en "temps réel" et vous place à la tête d'une unité de soldats de l'OTAN s'efforçant de survivre à un conflit interne ravageur quelque part en Asie. SOCOM : Special Forces s'en tire relativement bien pour garder le joueur pris par son fil rouge scénaristique mais peine un peu à épaissir ses personnages. Sur les 5 protagonistes, seuls deux sont réellement mis en avant, ceux que l'on incarnera. Le premier, Cullen Gray, leader de l'équipe, a un peu tout du cliché du héros au passé trouble dont on ne se soucie guère.
Test SOCOM : Special Forces
Les exclusivités PlayStation 3 sont, bien souvent, des titres d’excellentes factures à l’image de God of War ou de Uncharted. Celui qui nous intéresse ici est SOCOM Special Forces, un jeu dans lequel le joueur contrôle une petite escouade de soldats surentraînés. Un titre basique qui risque de ne pas se vendre aussi bien que les jeux précités. Explications. Dans SOCOM Special Forces, le scénario est plus que décousu. On nous balance sans introduction au cœur d’un conflit civil dans un pays asiatique qui semble être la Malaisie. Des forces armées tentent de renverser le gouvernement et, en tant que membres des forces spéciales de l’OTAN, on vous confie des missions diverses au beau milieu des lignes ennemies. Sabotage, infiltration, récupération de données sont quelques-uns des objectifs qui vous sont assignés. Pour parvenir à les remplir, le joueur, qui incarne le commandant Ops, est affublé de deux groupes de deux soldats auxquels il peut donner des ordres simples. On peut ainsi placer ses unités à volonté derrière des couverts, leur ordonner d’attaquer une cible précise, sur-le-champ ou au cours d’une attaque coordonnée. Bien pratiques, nos bidasses déblaient le terrain avant qu’on se lance soi-même dans la mêlée.
SOCOM : Special Forces (Preview)
Pour la majorité d'entre nous, Socom se résume à une grosse licence aux États-Unis, mais vouée à faire un bide hors du pays de l'oncle Sam. Pour les autres, il s'agit d'un TPS axé tactique permettant de sortir du schéma bourrin trop souvent vu dans ce genre de jeu. SOCOM : Special Forces faisant partie des jeux "gamers" compatibles Move, il est peut-être temps pour la série de faire son trou en Europe. Pour convaincre le public français, le titre a fait le déplacement à Paris le temps de la Paris Games Week. Annoncé pour l'année 2011, SOCOM : Special Forces est l'un des softs mis en avant par Sony pour montrer que son contrôleur de mouvement n'est pas réservé qu'aux party games. Relativement discrète chez nous, la série a pourtant un énorme panel de fans en Amérique. Avant son arrivée sur PlayStation 3, la série offrait des phases d'action dans lesquelles la tactique jouait un rôle capital. Quelques balles suffisaient à abattre l'ennemi, un tir dans la tête permet de se débarrasser d'un adversaire, de plus votre commando devait se faire le plus discret possible afin d'éviter les affrontements face à trop d'ennemis.
SOCOM : Special Forces (Preview)
On fait coup double avec SOCOM 4, non seulement on s'essaie à une refonte de la série d'action tactique phare des consoles Sony, mais en plus on peut en profiter pour mettre les mains sur le PS Move avec lequel le titre est compatible. Si elle rencontre toujours un certain succès, la série SOCOM a toutefois un problème : elle évolue peu et n'a jamais réussi à corriger ses défauts. Avec ce quatrième opus, l'orientation du titre change, optant pour une action plus radicale et une mise en scène plus présente, story driven comme on dit dans le jargon. Ainsi, à l'occasion, de fréquentes cinématiques ponctueront la progression du joueur dans ce TPS qui prend, en tout cas dans la mission que nous avons pu essayer, de faux airs de Modern Warfare. Parachutée au milieu d'une ville en plein désarroi terroriste et infestée de chars, l'escouade contrôlée par le joueur ne cherche plus à rester discrète mais plutôt à rester en vie au milieu d'une véritable guerre. Les premiers pas dans cette mission seront consacrés à la prise en main du titre via le Playstation Move. L'accessoire en mains, on commence donc par viser et orienter la caméra de quelques légers mouvements du poignet.
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SOCOM : Special Forces : (6.6/10)
13 tests d’experts
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