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Nous avons réuni 20 tests du SimCity. Les experts notent SimCity 6.4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du SimCity et d'autres Jeux PC.
Ce nouvel opus de Sim City n'est pas sans rappeler un de ces vieux groupes de rock qui aurait eu son heure de gloire il y a plusieurs dizaines d'années et qui se reforme alors que tous ses membres sont au cimetière. On peut avoir des remplaçants avec du talent, mais on reste dans de la franchise, et ça n'a plus grand-chose à voir avec la formation originale. Je pense que vous êtes déjà parti regarder la note de Sim City ; personnellement, c'est la première chose que je fais quand le lis un test. Sachez que cette note n'a rien à voir avec le problème de la connexion permanente. On va en parler tout de suite, mais la note attribuée se base sur nos impressions de jeu et pas sur la rage que nous avons eu à ne pas pouvoir jouer au titre durant les trois ou quatre premiers jours. Faisons tout de même une petite parenthèse sur cette histoire. Quand on a appris que Sim City serait uniquement en connexion permanente, on a gueulé. Parce qu'une fois de plus, c'était principalement l'utilisateur honnête qui allait trinquer ; il ne pourrait plus jouer dans les trains et en cas de coupure Internet ou de ligne instable, sa partie serait fichue.
Depuis septembre 2003 et l'add-on Rush Hour pour SimCity 4, le genre city builder était légèrement en deuil. Et si quelques compagnies comme Monte Cristo ou encore Haeminont se sont mises en tête de palier le manque en proposant leur vision du jeu de gestion public, force est de constater que la série initiée en 1989 par Maxis manquait cruellement. Ces raisons expliquent l'attente grandissante des joueurs depuis l'annonce en mars 2012 d'un cinquième épisode développé par le studio mythique fondé par Will Wright et sobrement intitulé SimCity, sans doute parce que c'est la mode des reboot et qu'un nouveau départ se reconnaît aujourd'hui par l'absence de chiffre derrière le nom originel du jeu. Après de longues heures passées à se battre avec le système de connexion, puis avec la populace en colère et les catastrophes naturelles toujours de la partie, place à notre verdict. Première nouveauté et non des moindres, le SimCity nouveau cède à la tradition malheureusement trop actuelle de la connexion permanente : en effet, impossible de se faire une petite partie tranquille au travail entre deux dossiers ou en déplacement sans être en ligne.
Voilà presque une semaine que SimCity est sorti. Entre des serveurs visiblement loin d'être prêts pour l'affluence d'un grand nombre de joueurs et son game-design qui s'éloigne des précédents volets, le jeu n'aura pas franchement connu un lancement des plus faciles. Pourtant, une fois la polémique mise à part et l'esprit centré sur le jeu, il faudrait être de mauvaise foi pour ne pas reconnaître qu'il y a du bon dans ce SimCity.Oui, les cartes de ce nouveau SimCity sont petites, très petites. Mais est-ce vraiment un défaut ou plutôt d'un trait de caractère sur lequel se jette hargneusement tous les joueurs des anciens épisodes ? La réponse est simple : tout dépend de votre manière de jouer.Si vous êtes du genre à réserver un coin de votre mégalopole aux décharges, centrales nucléaires, stations d'épurations et autres joyeusetés, vous allez surement pester contre les quelques kilomètres carrés qui vous sont alloués. Impossible également de construire aisément tous les grands bâtiments spécialisés avec leurs annexes tant ils prennent de la place.Mais raisonner ainsi, c'est oublier le coeur même de ce nouveau SimCity : le principe des régions. Il vous est en effet possible de bâtir jusqu'à 16 villes dans une même région, reliées par la route, le rail, les airs ou la voie maritime.
Dix ans, c'est long, surtout lorsque l'on attend le retour de celui qui a créé un genre à lui seul, le bien nommé Sim City. Autant dire que cette édition 2013 du plus célèbre des city builder a une lourde responsabilité : celle de satisfaire des millions de fans désirant montrer leurs qualités de maires. Quelques jours après son lancement et des dizaines de tentatives de connexion plus tard, le couperet de notre verdict est enfin prêt à tomber. Vous expliquer le principe de SimCity en reviendrait peut-être à insulter votre culture ou votre intellect, mais rien ne vaut une petite piqûre de rappel. Le but ultime de Sim City donc est de construire une gigantesque ville pouvant subvenir à tous les besoins de ses nombreux habitants tout en affichant de juteuses recettes. Mais avant d'en arriver là, il va falloir démarrer de zéro, dans une ville où les premières habitations en préfabriqué servent à loger des employés exploités dans des usines polluantes qui font leur courses dans des rades moisis. Bien entendu, ces pauvres âmes ne tarderont pas à voir la chance tourner puisque les villes de SimCity ne cessent d'évoluer pour peu que les conditions nécessaires soient réunies.
Ce n'est pas tous les jours que je me réjouis autant d'écrire le test d'un gros jeu après sa sortie. SimCity est disponible depuis trois jours et si je l'avais testé sur les serveurs presse mis à disposition par EA et Maxis avant cela, je vous aurais peut-être servi une toute autre salade. Non non : j'ai pris mon temps, bu beaucoup de café, pris très peu de douches et examiné le bestiau sous toutes ses coutures. Je peux être en paix avec moi-même : je ne regretterai pas mes écrits dans deux semaines.J'aurais préféré commencer ce test avec une bonne vieille anecdote d'enfance. Raconter comment la saga m'a accompagné comme beaucoup d'autres tout au long de mon chemin de joueur PC, par exemple. Mais n'allons pas nous voiler la face : depuis trois jours, des milliers de gourmands sont attablés dans un resto où la bouffe est payable d'avance et où bon nombre d'entre eux n'ont toujours pas vu la pointe d'une asperge. Pire : parfois un serveur vient vous poser une belle plâtrée sous le nez puis vous la reprend 15 minutes plus tard avant de disparaître en cuisines en ricanant. En Europe comme ailleurs, le lancement de SimCity et son DRM à connexion permanente est un désastre technique tel qu'Electronic Arts vient lui-même de stopper la promotion du titre, en attendant que les choses rentrent dans l'ordre. Mais commençons par parler du jeu en faisant comme si. Comme si mes 20 heures de jeu cumulées perdues dans la nature n'avaient pas d'importance ou comme si le lanceur ne plantait pas régulièrement.
Les joueurs les plus jeunes ne le savent pas forcément, mais avant les Sims, il y avait Sim City. Une simulation urbaine qui a donné ses lettres de noblesse au genre, et dont chaque nouvel épisode a suscité l'enthousiasme de millions de fans à travers le monde. Alors que la parution de Sim City 4 date d'il y a déjà dix ans, la saga s'offre une nouvelle jeunesse avec un reboot qui porte le même nom que son ancêtre né en 1989. Mais attention, le petit nouveau fait partie de la génération Internet...On trouvera autant de raisons de s'en plaindre que de s'en féliciter, mais le SimCity nouveau nous oblige effectivement à jouer en ligne, même si l'on souhaite développer tranquillement sa ville dans son coin. Ce système à la Diablo III doit d'ailleurs encore passer l'épreuve du feu, puisque le jeu ne sort en Europe que dans deux jours. Espérons que les serveurs tiennent le coup ! Pour notre part, nous avons passé plusieurs jours à créer des villes et à échanger entre maires, sur un serveur consacré à cet effet. Et nous allons voir que l'expérience fut aussi réjouissante que frustrante.
Depuis bientôt un quart de siècle, SimCity fait figure de référence. Le jeu de Maxis est souvent considéré comme l'un des plus innovants jamais imaginé et le succès de ses différentes suites a montré combien un jeu de gestion peut être populaire. D'autres studios ont bien sûr essayé d'en reprendre le concept, mais sans jamais convaincre totalement des fans qui ne jurent que par SimCity 4... Dix ans après la sortie de ce quatrième opus, Maxis lui-même est-il en mesure de se renouveler ? Sur le papier, il n'est pas question de révolutionner SimCity. Maxis nous confie donc toujours un pécule et nous propose de choisir une zone pour établir notre cité. De fait, les premières minutes sur ce SimCity 2013 ressemblent beaucoup à celles passées sur SimCity 4. Représentant la demande de la population en zones résidentielle, commerciale et industrielle, l'outil RCI reste à la base du développement de la ville et il s'agit de l'équilibrer pour que notre bourgade ne manque de rien. On commence donc par placer quelques routes, on ajoute une centrale pas trop chère / polluante pour alimenter nos quelques bâtisses et on achète un château d'eau pour couvrir les besoins de base.
Maire d'une ville, ce n'est pas un métier très reposant. Il faut littéralement s'occuper de tout : allocation des zones dédiées à l'industrie, le commerce ou les habitations, construire routes et chemin de fer, des cliniques, des écoles, etc. Si, au premier abord, le chantier semble colossal, SimCity prend le joueur par la main et l'aide étape par étape, via des "conseillers" toujours prêts à lui indiquer les démarches à suivre. Un néophyte pourra ainsi assimiler facilement les bases et découvrir petit à petit les innombrables possibilités du nouveau titre de Maxis. Un jeu de couleurs viendra compléter le système de gestion de la ville, afin d'alerter des besoins des citoyens. Il faut en effet être bien réactif, si l'on veut voir son taux scandaleux d'approbation flirter avec celui d'une dictature stalinienne. Ainsi, lorsqu'un icone apparaît en orange, le maire est prévenu qu'un domaine requiert son attention. Lorsque celui-ci est en rouge, la situation s'avère catastrophique. Par exemple, lorsque le bouton "pompier" apparaît de cette couleur, il doit certainement y avoir un incendie non maîtrisé quelque part.Une fois tous les besoins de ses citoyens satisfaits, certains maires seront certainement atteints par la folie des grandeurs, en voulant attirer toujours plus de nouveaux habitants.
Le retour de SimCity est forcément un grand événement vidéoludique. Des images plein la tête, des étoiles dans les yeux, quiconque ayant déjà passé des heures à entretenir sa cité pour en faire un hymne à Metropolis sait pertinemment de quoi je parle. Moi-même, j'étais tout excité à l'idée de tester le nouvel opus du patriarche des City builders. D'autant plus grande est la déception... Mais avant tout, revenons aux bases. Ce nouveau SimCity est à contempler sous le signe de la connectivité. L'un de ses grands fers de lance est la possibilité de jouer en multi, reliant les villes par régions (jusqu'à 16 villes dans une seule région), permettant divers transferts et interactivités d'une ville à l'autre. Un projet très excitant et ambitieux sur lequel nous reviendrons plus tard. On sait aussi que cet épisode comptait réunir à la fois les profanes et les vieux de la vieille, un mariage délicat et souvent casse-gueule. Avec ceci en tête, nous pouvons démarrer notre première ville. Les prémices Après avoir vu ou non le didacticiel de départ, la première chose à prendre en compte est bien évidemment sa position dans la région.
Privés d'épisode canonique de SimCity depuis plus de dix ans maintenant, les amateurs de la série de Maxis peuvent commencer à sortir claviers et souris. Calée au 7 mars, la sortie du nouveau city builder du studio américain est maintenant toute proche. Après avoir joué environ six heures d'affilée sur celui-ci, nous sommes en mesure d'affirmer que l'attente n'aura pas été vaine. Voici nos dernières impressions sur une version très avancée du jeu. L'objectif de la session de jeu organisée par Electronic Arts était simple : nous laisser totalement libres de construire notre ville avec pour seule limite, le contenu de la version en compagnie de laquelle nous sommes restés six bonnes heures. En effet, quelques rares éléments manquaient encore à l'appel. Qu'importe, les possibilités offertes suffisaient déjà largement pour se faire un avis précis de ce que Maxis nous prépare depuis maintenant plusieurs années. D'emblée, il est important de rappeler que ce SimCity vous propose de construire une ou plusieurs villes au sein d'une même région.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 01/2013
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Depuis son annonce, le nouveau SimCity a tendance à souffler le chaud et le froid au gré des présentations d'Electronic Arts. Réalisation remarquable et nouveautés intéressantes semblent ainsi contrebalancées par l'obligation de rester connecté même en mode solo... Mais alors que la sortie se rapproche - un peu plus d'un mois maintenant - Electronic Arts s'est dit qu'il était peut-être temps de remettre les pendules à l'heure, de clarifier les choses en nous accordant quelques heures de jeu. Impressions. En plein Paris, Electronic Arts avait donc rassemblé une bonne partie de la presse jeu vidéo française. Kip Katsarelis avait fait le déplacement depuis San Francisco pour faire le point sur certaines caractéristiques du jeu, mais nous avions grosso modo cinq / six heures pour découvrir SimCity, faire le point sur les nouveautés et vérifier son interface. En début de partie, et après la séquence de didacticiel plutôt bien faite, on se retrouve donc devant la carte d'une région. Celle-ci nous permet de choisir entre trois emplacements pour bâtir notre première cité, mais Kip Katsarelis précise que de plus grandes cartes seront disponibles, certes regroupant jusqu'à 16 emplacements.
Fort loquace dès l'annonce de Sim City, l'éditeur Electronic Arts continue régulièrement d'exposer son titre à l'occasion de divers événements et de dévoiler de nouvelles informations à son sujet. A ce stade, le jeu inquiète d'ailleurs les joueurs autant qu'il les enthousiasme. Ainsi, l'absence de terraforming et l'obligation d'être connecté pour profiter de l'expérience ont refroidi les ardeurs de certains d'entre eux. On les comprend. D'un autre côté, impossible de nier le fait que le city builder se montre particulièrement convaincant dès lors que l'on évoque ou que l'on voit ses mécaniques en action. La nouvelle présentation concoctée par le studio Maxis nous a clairement conforté dans l'idée que le retour de Sim City sera l'un des événements à ne pas louper en début d'année prochaine. Avant toute chose, rappelons que le projet Sim City version 2013 est né de la volonté des équipes de Maxis de revisiter la série. L'objectif est de proposer un city builder moderne incluant de multiples fonctionnalités multijoueur. Pour parvenir à un résultat satisfaisant, le studio californien a développé un tout nouveau moteur baptisé GlassBox. Il s'agit là de la clé de voûte du projet.
SimCity. Un nom qui fait naître des étoiles dans les yeux de tous les joueurs PC depuis des années. Pourtant, la série s'est faite timide, pour ne pas dire inexistante, depuis SimCity 4 en 2003. Un certain SimCity Sociétés avait bien tenté de reprendre le flambeau en 2007, mais les simplifications du gameplay avaient déçu les fans de la franchise, qui s'était alors tourné vers Cities XL deux ans plus tard. Après avoir annoncé son retour, le roi compte bien reprendre son trône en 2013. Se montre-t-il à la hauteur de ses ambitions ? Cette nouvelle version de SimCity est entièrement articulée autour du concept d'accessibilité. Mais pas question pour autant de lui sacrifier la profondeur de jeu : si la prise en main semble aisée, on sent tout de même que le jeu en garde sous la pédale pour les maires chevronnés, et ce dans tous les domaines. La construction de votre ville est la première étape de jeu. Tracer des routes et des ponts, placer les zones résidentielles, industrielles et commerciales se révèle simple grâce aux onglets très lisibles de l'interface. Il est bien évidemment possible de vérifier quelles zones urbaines sont les plus recherchées par vos sims lorsqu'ils s'installent grâce à un code couleur simple.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 08/2012
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Depuis maintenant plusieurs mois, Electronic Arts et Maxis jouent avec les nerfs de tous les fans de SimCity en dévoilant - petit à petit - les différentes caractéristiques de ce qui doit constituer le plus ambitieux, le plus complet et le plus intéressants des city builders, rien que ça ! Une ambition que l'on a enfin pu cerner un peu plus précisément au travers de la session prise en main de la GamesCom 2012. Afin d'éviter les redites inutiles, nous ne reviendrons pas véritablement sur le concept propre à ce nouveau SimCity, sur l'aspect technique des choses ou sur les différentes options. Plutôt que de partir en d'innombrables digressions, pour ce nouvel aperçu, nous nous sommes focalisés sur la prise en main, l'interface et les impressions réelles, souris en main. Des impressions qui ne sauraient être complètes dans la mesure où nous n'avions accès qu'à environ 25 minutes de jeu sur une version pré-alpha... 25 minutes, c'est à la fois énorme quand on pense aux espoirs suscités par le jeu et c'est dérisoire pour un titre de cette ampleur. Avant de nous laisser à nos Sims, les développeurs ont cependant tenu à apporter des précisions sur le multijoueur, intitulé SimCity World.
Sur scène comme dans le jeu vidéo, il existe les come-back ratés et les retours fracassants. Sim City fait incontestablement partie de la seconde famille et c'est presque dix ans après le dernier épisode digne de ce nom, que le city-builder de légende renaît de ses cendres. Et comme un plaisir n'arrive jamais seul, nous avons eu la chance de mettre la main sur le jeu quelques minutes. Alors qu'on pensait la licence définitivement placée dans la catégorie des oldies comme un bon vieux vinyle de Simon et Garfunkel, EA et Maxis ont surpris tout le monde en annonçant le retour de la légende des city-builder. Un come-back rendu possible par la création d'un tout nouveau moteur, le Glassbox, censé rebooster et redynamiser le style de la série. Rues courbes, événements se déclenchant soudainement comme le feu d'une usine, l'intervention des pompiers dont le camion traverse la carte toute sirène hurlante... Mon Dieu que c'est beau une ville qui vit ! Lors de la petite session à laquelle nous avons participé, nous avons pu constater à quel point Maxis avait pensé à tout.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 06/2012
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Annoncé il y a seulement quelques semaines, le reboot de SimCity est un rêve qui devient réalité pour de nombreux joueurs PC. Un rêve que Maxis avait choisi de présenter plus en détail à l'occasion de l'E3 2012 afin notamment de revenir sur la construction des villes, sur l'interface et sur la notion de mode multijoueur asynchrone. Logiquement, notre hôte a débuté les « hostilités » en chargeant une ville encore embryonnaire. Architecturée autour d'une grande rue principale, la cité en question se trouve dans une grande plaine à proximité de deux agglomérations autrement plus développées. La première se consacre aux activités industrielles et génère ainsi d'importants capitaux. Hélas pour ses habitants, l'extraction minière et les industries de transformations ne constituent ni la meilleure solution pour environnement sain, ni le paysage le plus agréable à regarder de sa fenêtre. Du coup, nombre d'habitants de cette triste cité industrielle baptisée Pierce sont disposés à lever le camp pour venir s'installer dans notre petite bourgade à l'air beaucoup plus accueillant... Voilà qui tombe plutôt bien puisque ce nouveau SimCity semble devoir gérer à la perfection les échanges et les relations entre villes.
Dans un salon comme l'E3, plein de bruit et de fureur, certains genres un peu calmes ont souvent plus de mal à faire valoir leurs arguments. Pour apercevoir SimCity, il fallait donc s'incruster dans une salle privée du stand d'EA, à l'abri du dubstep et de la foule. Là, Maxis présentait une nouvelle fois ce nouveau volet, en assistant sur trois points : les nouvelles possibilités de construction, le moteur Glassbox et le multijoueur. Rien que ça. L'ouverture de cette présentation, naturellement, a été consacrée aux nouvelles possibilités offertes pour le tracé des routes. D'un geste ample de la souris, celles-ci peuvent désormais décrire des courbes élégantes, s'autoriser quelques chicanes et former ainsi un réseau bien plus riche et complexe que par le passé. La manière d'étaler les différentes zones (résidentielles, industrielles...) est au diapason : les bâtiments épousent naturellement ces nouvelles courbes, offrant aux villes une architecture bien plus dynamique et de quoi faire aux urbanistes en herbe.Et ils auront du boulot. Maxis est plutôt fier de son moteur de simulation, le Glassbox, censé régir la vie de tous les petits Sims que l'on voyait s'activer à l'écran.
C'est la raison pour laquelle avec le redémarrage l'année prochaine de SimCity, je vais être le pire voisin que vous ayez jamais eu. Dans cette nouvelle version, les joueurs s'occupent de leurs gratte-ciel sur d'immenses cartes partagées -puisque le jeu sera online-, ce qui signifie que je serai le Shelbyville de votre Springfield. Les gens qui en auront marre de vivre dans mon trou à rats émigreront en masse vers vos zones résidentielles fraîchement aménagées. Mes immenses nuages de pollution planeront au-dessus de vos parcs. Votre remarquable tissu industriel poussera éventuellement les travailleurs de ma ville à prendre leur voiture pour aller chaque matin travailler dans la vôtre mais ne rêvez pas, vous aurez probablement aussi droit à un ou deux de mes pyromanes pour équilibrer les choses. Vous pourrez même construire votre propre 'Vegas sur mer'. Une ville de choix pour une attaque de Godzilla... Peut-être serez-vous un peu contrarié de voir un de mes Sims au sourire sardonique pénétrer dans un de vos bâtiments avec un jerrycan, d'entendre le glouglou de l'essence répandu et le scratch d'une allumette ? Et je vous dis pas, quand des Sims enflammés sortiront du bâtiment en hurlant d'une façon franchement rigolote...
Gamekult
Ajouté le : 04/2012
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Même les city builders sont à la merci des reboots ! Pas loin de dix ans après Sim City 4, et à condition d'oublier une bonne fois pour toutes Sociétés, le plus célèbre d'entre eux s'offrira l'an prochain une refonte, avec un titre, SimCity qui sent bon le rebranding. Le EA Showcase organisé la semaine dernière à Londres fut l'occasion de découvrir ce que nous réserve cette nouvelle version, et quelques-unes des améliorations imaginées dans les studios de Maxis. La grande force de Sim City a toujours résidé dans son accessibilité, et à l'heure du tout casu, ce n'est pas cette version 2013 qui va déroger à la règle. Même si l'interface était loin d'être finalisée, on sent illico la volonté de proposer un jeu tout en 3D visuellement attrayant, limpide, où les indications visuelles se suffisent à elles-mêmes. Pour parvenir à ce résultat, Maxis a mis au point le Glassbox Engine, un moteur peaufiné pour absorber le flux d'infos sans broncher, tout en offrant le maximum de flexibilité aux urbanistes en herbe. Envie de placer des routes incurvées en plein milieu d'une forêt ? Il suffit de laisser aller la souris sans contrainte pour voir apparaître l'asphalte ; en clair, c'en est fini des axes de circulation "à l'américaine", rectilignes et peu inspirés.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 04/2012
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Si la presse vidéoludique a tendance à en parler comme de SimCity 5, Electronic Arts et Maxis l'ont simplement baptisé SimCity... comme pour faire table rase du passé et surfer sur la vague du reboot. Il faut dire que le studio traîne une jolie casserole avec le précédent épisode - SimCity Sociétés - qui n'est dans les mémoires que comme ce qu'il ne fallait surtout pas faire en matière de simulation urbaine ! Heureusement, le SimCity nouveau semble partir sur de bien meilleures bases et la présentation qui nous en a été faite à Londres nous a laissé béats d'admiration et impatients de pouvoir en découvrir davantage. Impressions sur ce qui risque d'être l'un des gros titres de 2013. Pour être tout à fait honnêtes avec vous, les choses ne démarraient pourtant pas sous les meilleurs auspices et notre hôte commençait sa présentation avec une mauvaise nouvelle : le mode multijoueur - pourtant présenté comme un élément majeur du gameplay de ce reboot - ne nous sera présenté qu'à l'E3 de Los Angeles, en juin prochain. Pire, les développeurs enchaînaient en indiquant que le jeu est encore en plein de développement, que de nombreux éléments graphiques sont appelés à changer et que l'interface sera complètement remaniée...
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