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Nous avons réuni 11 tests du Silent Hill : Downpour. Les experts notent Silent Hill : Downpour 6.4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Silent Hill : Downpour et d'autres Jeux Playstation 3.
Loin de nous avoir convaincu lors d'une récente impression et sortant en même temps que l'insatisfaisante compilation HD, Silent Hill : Downpour arrive sur Xbox 360 et PlayStation 3 avec une certaine appréhension. Développé par le jeune studio tchèque Vatra, qui en est à son tout premier essai, assistons-nous avec ce nouvel épisode à la renaissance d'une franchise culte du jeu vidéo ou bien tout simplement à sa chute ? Murphy Pendleton, le personnage que l'on incarne, est le genre d'individu peu bavard mais droit dans ses bottes. Après s'être fait emprisonner et avoir passé à tabac l'un des détenus pour une raison que l'on gardera mystérieuse afin d'avoir une expérience intacte, notre homme est transféré vers un autre pénitencier qui va le mener directement dans les faubourgs de Silent Hill. Un début qui nous met directement dans l'ambiance grâce à une mise en scène et à une musique, composée par Daniel Licht, parfaitement dans le ton. Malheureusement, cette prise en main accompagnée de nombreuses cinématiques va au fur et à mesure disparaître durant notre progression. Une progression qui s'avérera assez linéaire lors des deux premières heures, rendant le titre quelque peu déconcertant, pour enfin complètement nous lâcher dans la ville éponyme.
La série Silent Hill a depuis quelques temps du mal à renouer avec son glorieux passé. Alors que son concurrent historique, Resident Evil se tourne vers l'action, l'innovation dans la peur nous vient de nouveaux arrivants comme Dead Space ou Alan Wake. Mais Konami n'a pas dit son dernier mot. C'est un nouveau studio, Vatra qui est aux commandes du titre. Un nouveau venu qui laisse penser que des changements seront au rendez-vous. Alors ? Retour gagnant ou nouvel assassinat de la série ? La réponse est dans le test. Première nouveauté de Downpour, le héros. Inconnu au bataillon jusqu'à présent, c'est Murphy Pendleton qui va plonger dans l'horreur. L'aventure débute en prison, lors de son dernier jour d'incarcération. Et c'est pendant de son voyage en bus vers la liberté que tout bascule. Des prisonniers agités, une policière agressive et un chauffeur distrait, voilà le cocktail qui plongera le bus carcéral dans les tréfonds de la forêt. L'aventure débute ainsi, perdu au milieu de nul part, sans équipement et avec pour seul objectif de survivre. Murphy cherche donc à retrouver son chemin, celui de la liberté, mais c'est Silent Hill qui le rattrapera.
Désormais confiée à un développeur différent à chaque nouvel épisode, la série Silent Hill est très sollicitée en ce moment : un premier opus multijoueur nomade, des portages HD des meilleurs épisodes PS2 et, enfin, l'humide Downpour annoncé depuis bientôt deux ans. Entre les mains du studio tchèque Vatra, l'aventure du bagnard Murphy Pendleton arrive-t-elle à surprendre l'arpenteur vétéran de la ville maudite ? Pas assez, malheureusement. A moins de n'avoir de n'avoir rien compris aux thématiques de la série, les fans de Silent Hill savent que les prisons mentales peuvent être aussi éreintantes que les pires pénitenciers. Le protagoniste principal de Downpour, Murphy Pendleton, n'a vraiment pas de bol puisqu'il cumule les deux. Incarcéré pour des raisons inexpliquées pendant une bonne partie de l'aventure, ce père de famille aux émotions et à la violence contenues se retrouve libéré par accident lors de son transfert en bus vers un autre établissement. Comme par hasard, le crash a lieu aux portes de la ville maudite de Konami, reflétant toutes les angoisses et les tourments de ses visiteurs. Sensible au vertige, effrayé par l'eau et fuyant la vérité, Murphy va donc devoir affronter toutes ces phobies en essayant d'échapper à la police en même temps qu'à l'influence surnaturelle de Silent Hill.
Konami continue son combat en faisant confiance à des studios occidentaux afin que ces derniers proposent une autre vision de la ville de Silent Hill. Après Climax et Double Helix Games, c'est au tour du studio Vatra de nous prendre par la main pour nous conter l'histoire d'un certain Murphy Pendleton. A chaque nouveau segment de Silent Hill, la même question revient sans cesse : Peut-on vraiment apporter sa pierre à l'édifice de la saga sans pour autant en changer les fondements mêmes ? Difficile à dire tant les premiers épisodes, Silent Hill 2 en tête, font encore aujourd'hui office de référence absolue en matière d'horreur psychologique. Pour autant, si Climax avait su proposer deux visions intéressantes sur PSP et Wii, Double Helix s'était quelque peu fourvoyé avec son Homecoming, bien trop influencé par le cinéma de torture porn très éloigné des aspirations plus cérébrales de la série. De son côté, Vatra revient aux sources en essayant d'amener un vent de fraîcheur synonyme d'environnements plus bucoliques ou de diverses idées piochées à droite à gauche. Pour autant, l'originalité n'est pas toujours moteur d'efficacité surtout quand les emprunts sont maladroits.
Telle la ville dans laquelle se déroulent des événements passant aléatoirement du morbide au cauchemardesque, la licence Silent Hill connaît une tendance à la décrépitude. Après un épisode 4 original mais qui ne savait pas trop où aller (assénant des allers-retours autant ludiques que stylistiques) et le passage à la production occidentale qui a, selon les fans, détruit en partie l'esprit de la série, Silent Hill Downpour arrive dans un climat électrique. Comme l'étranger un peu louche qui arrive dans une tranquille bourgade, le jeu de Vatra Games est regardé de travers, avec le soupçon que le prochain accident sera son entière faute. Mais à trop juger hâtivement, il est parfois difficile de reconnaître au contraire un homme simple qui revient sur ses terres de naissance. C'est justement ce que fait Silent Hill Downpour dans l'indifférence générale. Un retour qui mérite un accueil chaleureux ? Réponse dans notre test.Jeu relativement correct, Silent Hill : Homecoming avait eu deux grosses épines dans ses pieds mal assurés : la licence de Konami et une vision du survival horror un peu biaisée, où seul le manque était le moteur de l'inquiétude.
Silent Hill : Downpour fait penser à un tableau peint par Norman Rockwell un jour de déprime : l'hôtel de ville est barricadé et des nids de poule fumants parsèment la rue principale. La franchise maladive et dérangeante de Konami m'avait toujours fait penser à un cafard détalant sur le bar en zinc d'un troquet, et c'est toujours le cas. Par ailleurs, l'histoire est plutôt bien - tout du moins, elle est racontée avec enthousiasme. Quand le jeu commence, Murphy Pendleton est transféré vers une autre prison, après avoir tailladé un gros lard dans la salle des douches. Franchement, c'est le genre d'erreur que nous avons tous commis à un moment ou à un autre et, de toute façon, il y avait en l'occurrence des circonstances atténuantes : cet incident faisait parti d'un apprentissage du combat. Cela dit, des questions importantes restent en suspens en ce qui concerne Mr Pendleton, quand on entre dans les premiers niveaux de Silent Hill : Downpour. Qui est ce mec ? Qu'a-t-il fait pour se faire tabasser sévèrement ? Qu'est-il advenu de sa famille ? Tandis que vous réfléchissez à tout cela, le bus transportant Murphy entre les deux prisons prend un raccourci passant par la ville de Silent Hill, et très vite on le retrouve explosé dans un fossé ténébreux.
Ce n'est pas avec ce Silent Hill : Downpour que la série reviendra à son plus haut niveau. Si l'histoire est intéressante à suivre et plutôt surprenante sur la fin, le gameplay qui l'accompagne est entaché par des combats brouillons et des passages d'exploration qui ne font jamais peur. Les énigmes plutôt fines et les moments stressants dans le monde altéré ne suffisent pas à rendre le jeu meilleur que les précédents volets. Encore un épisode qui divisera les fans. Après un Silent Hill : Homecoming efficace mais loin d'être aussi marquant que ses prédécesseurs, ce Downpour arrive-t-il à nous traumatiser ? Le mois Silent Hill continue ! Calé entre Silent Hill : HD Collection (en test sur PlayFrance) et Silent Hill : Book of Memories à venir sur PlayStation Vita, Downpour apporte une pluie de fraicheur sur PlayStation 3. Le studio tchèque Vatra Games succède aux américains de Double Helix Games à la tête de ce chapitre inédit, après l'amusant mais oubliable Homecoming. Pour le studio l'enjeu est donc double : prouver que Konami a raison d'externaliser en Occident l'une de ses licences phares et - plus difficile - redonner ses lettres de noblesse à une série en perte de vitesse depuis son troisième épisode.
On avait quitté Silent Hill lessivé en 2010, à la fin de l’excellent Shattered Memories. Après deux ans passés à s’en remettre, voilà que les tchèques de Vatra Games nous assènent un nouvel opus que n’aurait pas renié la Silent Team japonaise, à l’œuvre sur les quatre premiers épisodes de la série. Silent Hill Downpour est à la fois un brillant retour aux sources et une porte grande ouverte sur l’avenir, un titre majeur qui transcende ses nombreux défauts pour offrir un voyage intimiste d’une rare intensité. Ouf. Le Survival Horror revient enfin au premier plan. La quête spirituelle de Murphy Pendleton, récemment rescapé d’un transfert pénitentiaire, ne pouvait que le conduire à Silent Hill. Entre culpabilité, deuil et rédemption, ce père de famille a un jour franchi la ligne blanche. Downpour nous donnera donc l’occasion de comprendre pourquoi et surtout comment cet homme ordinaire s’est vu offrir un séjour tous frais payés au purgatoire urbain le plus célèbre du jeu vidéo. Les pièces du puzzle se mettent en place à mesure que progresse l’intrigue, mais aussi qu’avance sa découverte de la cité américaine. L’évolution de l’histoire va en effet de pair avec la prise de possession de Silent Hill, une cité plus ouverte que jamais.
D'un côté, le grand-huit de la peur avec ses cris, sa recette bien rodée, son action de plus en plus débridée. Resident Evil. De l'autre, les morsures de l'effroi, les griffes de la nuit. Silent Hill ou Project Zero. Deux visions de l'horreur numérique ne cessant de s'éloigner l'une de l'autre à chaque itération. Grandeur et décadence. Ainsi après avoir tutoyé l'apogée de la peur avec un second opus désormais culte, la série de Konami aura fini par se perdre dans les brumes de sa propre cité infernale. Repris en main par les tchèques de Vatra Games, Silent Hill Downpour semblait destiné au pilori. Surprise, en dévorant le terreau initial et en prenant ses libertés avec ses illustres aînés il secoue un genre moribond. Entre maladresse et ivresse de l'horreur, dissection d'un voyage au pays de la folie...Silent Hill a toujours été une expérience à part. Un plongeon glacial dans les méandres de la démence. Présente, la peur y a souvent été reléguée au rang de prétexte. Ce qu'on découvrait était un voyage dans les tréfonds de l'âme humaine, ses zones les plus tourmentées, les plus malsaines. Souffrance. Folie. Rédemption. Certains l'auront vite oublié, mais les Silent Hill n'ont jamais constitué des monuments d'aisance dès qu'il s'agissait de diriger leurs héros dans les vagues embrumées d'une ville maudite.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 02/2012
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Après plusieurs années de développement, de bandes-annonces et d’interviews prometteuses, Silent Hill Downpour s’apprête à combler le vide entre le bourrin Homecoming et l’ovni Shattered Memories. Développé par les tchèques de Vatra Games, Downpour offre en effet une nouvelle approche de la licence de Konami, à équidistance de tous les styles déjà arpentés par les précédents volets. Pour un résultat assez déconcertant, il faut bien le reconnaitre. Murphy Pendleton est transféré de la prison de Ryall State, où il est incarcéré pour un motif inconnu, vers le pénitencier de haute sécurité de Wayside. Le bus se crashe aux abords de Silent Hill, et Murphy s’en sort. C’est ainsi (ou presque) que débute l’histoire de Downpour. Livré à lui-même dans une nature inquiétante, avec sa tenue de bagnard qui l’accable, il doit retrouver le chemin de la civilisation. ?videmment, tout ne va pas aller comme sur des roulettes. Les premiers environnements sont Lovecraftiens, le triptyque forêt/brouillard/montagne déjà à l’œuvre dans Alan Wake montrant une fois encore toute son efficacité dans le genre fantastique. L’entrée en matière est particulièrement écrasante, entre le héros impossible à cerner, les rencontres fortuites très étranges et des lieux arpentés aussi chargés de vie que vides de toute présence tangible.
Alors que Silent Hill Homecoming avait déçu les fans, il ne remettait pas en question la volonté de Konami d'externaliser le développement de sa franchise en Occident. Bonne pioche puisque les épisodes sur PSP et Wii s'étaient montrés particulièrement convaincants. On attendait donc avec une impatience fébrile le nouveau volet destiné aux consoles HD. Le résultat après être passé par la case E3 est finalement mitigé. Les deux niveaux présentés lors de l'E3 étaient tout de même complémentaires, l'un se déroulant dans une bâtisse, l'autre dans une forêt bordant les alentours de Silent Hill. En termes d'ambiance, le premier renvoyait un peu plus aux premiers épisodes de la série vu qu'après avoir éteint un incendie dans une cuisine puis coupé l'arrivée d'eau pour éviter la noyade, le plan démoniaque se substituait à la réalité. Murphy Pendleton devait ensuite courir comme un dératé dans un immense couloir s'étirant à l'infini pour échapper à une entité ténébreuse aussi rapide que hargneuse. Le tout était parfait pour constater quelques nouveautés comme cette touche permettant de voir derrière soi, la caméra étant alors placée devant le visage de Murphy de façon à bien mettre en exergue les menaces nous coursant. Parfait pour faire monter l'adrénaline.
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