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Nous avons réuni 15 tests du Risen. Les experts notent Risen 7.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Risen et d'autres Jeux PC.
Risen est un jeu de rôle qui s'apparente de façon très proche aux Gothic. Aussi, si le concept de la licence passée ne vous a jamais satisfait, il est préférable pour vous d'éviter Risen. Ce n'est d'ailleurs pas pour rien si ce dernier provient du même studio qu'est Piranha Bytes. Les développeurs ont souhaité poursuivre une autre aventure sur les mêmes bases que Gothic mais, rassurez-vous, il ne s'agit pas là de reproduire les mêmes mécanismes à l'identique. Risen sait tout de même exister par lui-même, même si la première impression d'évoluer dans un nouveau Gothic vous occupera l'esprit quelques temps. Il n'empêche qu'il vaut mieux ressembler à un Gothic plutôt qu'à un jeu mal fait, et Risen part donc sur de bons a priori. Votre aventure débute alors qu'une tempête s'abat sur votre bateau en pleine mer. Une vague met fin à votre embarcation et vous envoie sur une plage déserte, où vous retrouverez votre amie Sara. Seuls survivants, vous n'avez pas d'autre choix que de partir à la découverte de ces nouvelles terres. Le héros que vous allez incarner ne vous séduit pas avec ses haillons et son gourdin ?
Quand on a du mal à quitter un jeu pour en écrire le test, c'est bon signe. Bon, une dernière quête, et je m'y mets! Autant le dire cash, dans le genre jeu de rôle addictif, Risen se pose là. Il faut avoir parcouru l'île de Faranga pour comprendre. Il faut avoir assisté à un coucher de soleil sur ses plages, avoir vu les flammes d'une torche jouer avec les ombres de ses arbres, avoir arpenté ses marais lugubres, avoir exploré ses donjons, s'être perdu dans les souterrains de son volcan menaçant. Car c'est de ça dont il est question: Faranga était une île comme une autre, avec sa ville portuaire, ses fermes, son monastère. Un environnement médiéval crédible (et par ailleurs rafraîchissant, dans un genre qui a tendance à abuser du fantastique tendance Tolkien). Jusqu'à ce qu'un homme tente d'en chasser les dieux. Comme en contrecoup de son crime de lèse-divinité, des temples, remplis de trésors et de monstres, sont alors sortis du sol de Faranga. L'Inquisition n'a pas tardé à rappliquer voir ce qu'il se passait, imposant du même coup son joug sur l'île, tandis que les miliciens locaux s'empressaient de s'engouffrer dans ces temples, au péril de leur vie, prêts à tout pour se remplir les poches.
Dire que Risen commence classiquement est un euphémisme. Le héros se retrouve en effet sur une plage, amnésique. Voilà. C'est donc officiel, les scénaristes n'ont plus qu'une seule histoire à proposer. On pensait que le coup du type ayant perdu la mémoire qui débarque sur une plage avait vécu, après XIII et Jason Bourne, interdit pendant 150 générations de scénaristes. Et bien non ! On remet le couvert. La grande différence, cette fois, c'est qu'il s'agit tout de même d'une histoire non contemporaine. Pas de compte à Zurich planqué dans un microfilm. Dommage, ça aurait réglé les histoires de pognon qui se manifesteront dans le jeu. Nous y reviendrons plus tard. Très rapidement, notre nouveau héros se rendra compte qu'il se trouve sur une île avec de curieux vestiges un peu partout, comme si ceux-ci avaient poussé du sol. Le héros n'est pas non plus la seule personne dont la curiosité a été éveillée. Trois factions se disputent la suprématie des lieux. C'est le premier point réellement intéressant. Généralement, quand deux factions (Horde ou Alliance, NOD ou GDI) s'affrontent, c'est toujours blanc ou noir et votre adversaire fonctionne d'une façon diamétralement opposée à la vôtre.
Etre passager clandestin d'un navire n'est pas de tout repos, à la moindre tempête on se réveille sur la plage, en pleine nuit, en compagnie des cadavres d'autres passagers... L'opération survie commence alors. Les premières minutes du jeu sont prometteuses, aussi excitantes que le pilote de Lost. Ensuite l'adrénaline est évacuée, laissant un peu sonné, dans un monde où les actions dépendent seulement de nos désirs. Enfin... en théorie. En effet, la boite de jeu souligne la liberté du titre, façon Wanted : "Choisir son destin". Et son destin, on le choisira bel et bien, ou plutôt son camp. L'Ordre et ses inquisiteurs ou les Rebelles ? Les premiers apprennent à user avec dextérité du baton tandis que les seconds se spécialisent plutôt en coups en douce. Plus que des Rebelles se sont des filous. Ces derniers sont évidemment plus sympathiques, exprimant une certaines moralité théorique, tandis qu'ils oeuvrent en sous- marin dans les sombres quartiers des villes. L'Ordre est un peu le côté obscur de la force. Plus facile, plus rapide, mais aussi trop lisse et vertueux. C'est là le grand enjeu de choisir son destin. Progressivement, au fil des quêtes du premier chapitre, on sera amené à choisir ses amis et, de fait, ses ennemis.
Risen a la beauté des choses simples. Une aventure qui transcende ces matériaux du réel que sont le pragmatisme ou l'instinct de survie, et prend heure après heure une ampleur digne des sagas les plus épiques. D'abord vêtu d'oripeaux, armé d'un simple gourdin et grattant le sol pour y trouver votre pitance, vous partirez à l'aventure pleinement conscient du sens du mot humilité... Dans la grande valse des droits d'exploitation de licences récupérés par les éditeurs au détriment des développeurs d'origine (Crytek avec Far Cry ? Ubisoft, Bohemia Interactive avec Operation Flashpoint ? Codemasters...) les allemands de Piranha Bytres ont eux aussi connu les affres de la séparation de biens avec JoWood. Qu'importe : tandis que le premier nous gratifie aujourd'hui d'un Risen corrigeant les errements techniques de leur précédente production (Gothic 3), le second s'est adjoint les services de Spellbound Software pour nous préparer un Gothic 4 : Arcania qui aura au moins le mérite de partir sur de nouvelles bases. Représentant toujours avec profondeur et fierté le genre RPG "fantastico-réaliste", Risen fleure bon l'artisanat teuton, et conjugue avec brio une vraie simplicité – menus résolument old school, interface limitée à une feuille de personnage, un inventaire, une carte et un journal de bord - et un souci du détail hallucinant.
En raison d'un changement d'éditeur plus ou moins volontaire, le studio Piranha Bytes a été contraint en 2007 d'abandonner la série Gothic, qui constituait pourtant jusqu'ici la pièce maitresse de leur curriculum vitae. Qu'à cela ne tienne ! Nos amis allemands ne se sont pas laissés abattre et sont repartis de zéro pour nous proposer un tout nouvel univers. Fort heureusement, ils ont eu l'intelligence de ne pas chercher à révolutionner un concept qui fonctionnait déjà fort bien : celui du jeu de rôle ardu et terriblement convaincant. Le héros de Risen commence son aventure en tant que passager clandestin d'un navire bien mal en point, puisqu'en proie à une violente tempête et placé face à un monstre gigantesque. Une scène cinématique et un naufrage plus tard, notre homme régresse carrément au statut de rescapé, avec uniquement des haillons en guise d'armure et une branche ramassée à terre pour se défendre des animaux sauvages alentours. L'île sur laquelle il a échoué n'est donc pas des plus accueillantes, même si elle constitue un paysage très agréable du point de vue du joueur. Car à l'instar des Gothic, et contrairement aux Morrowind et autres Oblivion, les décors ne sont pas générés aléatoirement mais amoureusement placés "à la main".
Après avoir dû abandonner ses droits sur la série de jeux de rôle Gothic, le studio de développement Piranha Bytes ne comptait pas en rester là. Se lançant alors dans un nouveau projet, il a persévéré avec un sujet qu'il maîtrise, et, tout en gardant les fondements qui ont fait le succès de sa précédente série, il a souhaité apporter une nouvelle expérience de jeu. Cette dernière s'intitule Risen, et le tout nouveau bébé de Piranha Bytes a largement de quoi se faire une belle place chez les amateurs de jeux de rôle. Tout commence par un naufrage. Passager clandestin sur un navire de l'Inquisition, notre destin va rapidement basculer après que le vaisseau se soit fait attaquer par une mystérieuse créature. Une gigantesque vague déferlante réduit le bateau en miettes et nous nous retrouvons inconscients sur une plage, en guenilles, sans armes ni protections, et sans un sou. Heureusement, les restes du navire vont nous permettre de trouver une arme, de la nourriture, des plantes, un peu d'or et quelques matières premières. Rapidement nous rencontrons une jeune femme survivante que nous escortons en sécurité.
Après leur divorce d’avec JoWood, Piranha Bytes a perdu les droits d’exploitation de la licence Gothic. Qu’à cela ne tienne, il suffit de se trouver un nouvel éditeur comme Deep Silver et de se mettre au travail sur une nouvelle licence : Risen. Un titre qui, malgré son classicisme et ses longueurs, accroche le joueur pour ne plus le lâcher grâce à ses nombreuses qualités. Tout commence sur un frêle esquif malmené par un typhon comme on en a rarement vu. Notre héros, dont on ignore le nom pour mieux s’y identifier, voyage sur cette embarcation en clandestin. Un personnage énigmatique, aux traits durs et manipulant la magie avec brio, semble être le commandant à bord. Ce dernier fait d’ailleurs usage de ses pouvoirs face à un être gigantesque sorti de nulle part et prenant notre bateau pour son canard en plastique. Le naufrage est inévitable et seul vous et une jeune demoiselle échouez sur une plage inconnue. Après quelques investigations alentours, il paraît clair que vous vous trouvez sur une île. Toutefois, ce lopin de terre semble protégé des tempêtes incessantes qui l’entourent. Pourquoi ?
On pourrait résumer la genèse de Risen comme la quatrième de couverture d'un roman Harlequin. C'est l'histoire d'un divorce, prononcé au terme d'une idylle impossible. C'est aussi celle de trois rejetons arrachés à leur géniteur. C'est enfin celle de leur demi-frère, un bâtard illégitime qui ressemble comme deux gouttes d'eau au cadet de la famille. Mais pour traduire de façon moins énigmatique cette entrée en matière tarabiscotée, on se limitera à dire que Risen, le dernier jeu de rôle de Piranha Bytes, est le successeur spirituel de Gothic II. Depuis le premier volet sorti en 2001, les Gothic avaient repris avec brio le flambeau de la saga des Ultima : un univers ouvert et immersif source de multiples interactions, un système de progression très roleplay et une liberté d'action et de choix ayant une incidence sur l'histoire. Dépossédés des droits de la série, les développeurs de Piranha Bytes n'avaient pas pour autant l'intention de laisser tomber un concept si prisé des fans. Leur nouveau RPG, Risen, s'inscrit donc dans la continuité de leurs jeux précédents, dont il perpétue les mécaniques en prenant soin de les huiler de façon encore plus convaincante.
Désormais séparé de l'éditeur JoWooD parti développer son propre Gothic 4 avec Spellbound Software, le studio allemand Piranha Bytes se trouva fort dépourvu lorsqu'il fallut perpétuer une série de jeux de rôles qu'il avait pourtant inventée. Sa réponse, Risen, un jeu souvent présenté comme la suite spirituelle des Gothic, et qui partage avec ses illustres ancêtres toutes les caractéristiques du RPG allemand classique : monde ouvert, quêtes et combats en pagaille, et aussi, parfois, un design pas toujours du meilleur goût. Très attendu notamment par ceux qui n'ont plus grand chose à se mettre sous la dent depuis un Gothic 3 assez controversé, Risen est-il le coup de maître d'un studio qui commence à bien maîtriser son art, ou un simple jeu de plus dans un genre qui continue à rester populaire ? Echoué sur une plage après le naufrage de son bateau et livré à lui-même, le protagoniste de Risen est une fois de plus un héros sans nom au faciès très quelconque, ici prisonnier d'une île inconnue envahie d'étranges ruines qui surgissent du sol, apparemment sans raison. Un phénomène qui soulève évidemment beaucoup de questions et aiguise la curiosité d'une faction nommée l'Inquisition.
Nous avons enfin pu arpenter librement l'île volcanique de Risen, le nouveau jeu de rôle de Piranha Bytes. Cette suite officieuse de Gothic III évoque furieusement la créature de la Belle et la Bête : repoussante à l'extérieur, mais d'une richesse intérieure peu commune. Comme nous vous le confiions dans notre dernier aperçu, les développeurs de Piranha Bytes ne veulent plus entendre parler de Gothic. Leur rupture avec l'éditeur Jowood, qui en a profité pour récupérer les droits de la série, est consommée. Pourtant, dès les premiers pas dans l'univers de Risen, une évidence s'impose : c'est du Gothic pur jus ! Un retour en arrière s'impose donc pour ceux qui, parmi vous, ne seraient pas familiers de la trilogie de Piranha Bytes. Né en 2001, Gothic reprend en quelque sorte le flambeau de la série des Ultima : un univers ouvert et immersif source de multiples interactions, un système de progression très roleplay et une liberté d'action et de choix ayant une incidence sur l'histoire. Après deux premiers épisodes remarquables, réputés tout autant pour leur qualité que pour leurs nombreux bugs, Gothic III s'était attiré un public plus large mais avait parallèlement déplu à une partie des fans de la série, déçus par ses combats simplifiés et par l'augmentation injustifiée de la zone de jeu.
Le mois dernier DeepSilver nous invitait à découvrir pour la première fois le prochain titre des allemands de Piranha Bytes (PB) : Risen. Les créateurs de la série Gothic ont donc travaillé pendant près de trois ans sur un nouvel univers qui n’est pas sans rappeler les meilleures références du jeu de rôle. Un scénario torturé impliquant plusieurs factions, des temples mystérieux et un espace de jeu se déroulant sur une île. Vous avez dit Morrowind ? Explication. Le monde de Risen est bâti sur un univers Heroic Fantasy relativement classique. Depuis près d’un millénaire les Dieux ont été chassés par un puissant magicien. Et depuis cet évènement nommé « le cataclysme », le monde a été envahi par la magie mais aussi par de puissantes créatures démoniaques. Afin de lutter contre l’apparition de ces créatures, une organisation dénommée l’Inquisition s’occupe de traquer ces monstres et de les tuer. C’est dans ce contexte qu’on devine chaotique qu’apparaît l’étrange île de Risen.
Après avoir traversé un gros litige autour de la série Gothic, le développeur Piranha Bytes revient aux affaires et nous a montré sa dernière création : Risen. Ne parlez plus de Gothic aux membres du studio de développement Piranha Bytes. Voilà maintenant deux ans qu'ils ont coupé les ponts avec cette licence mais aussi avec Jowood, l'éditeur qui a réussi à récupérer les droits d'une série pourtant créée par Piranha Bytes. Depuis lors, les développeurs allemands se consacrent totalement à leur nouveau projet : Risen, auquel nous avons pu jeter un premier coup d'oeil. Et ce titre présentera comme particularité d'être leur baptême du feu hors de leur domaine d'expertise, le PC, puisqu'il sera également publié sur Xbox 360. A ce sujet, dès le début de la présentation, les membres du studio de développement dépêchés sur place nous font bien savoir que le jeu ne sera jamais ralenti par des chargements, que ce soit sur PC ou sur la console de Microsoft.
Gamekult
Ajouté le : 06/2009
Plus accessible...
Déjà découvert en avant-première à la GDC en début d'année, Risen a décidé de se dévoiler plus en détails grâce à une petite présentation suivie d'une longue séance d'essai jouable organisée par KOCH Media France. Au programme, plus de détails sur le contexte de ce jeu de rôle développé par Piranha Bytes (Gothic) et nos premiers pas dans le monde impitoyable qui nous y attend. Une île isolée jusque-là sans problème, un évènement mystique que personne ne peut expliquer et trois factions prêtes à en découdre : le point de départ de Risen fera appel au héros qui sommeille en chacun de nous. Il faut dire que des ruines ancestrales et des temples pas spécialement accueillants ont surgi du sol un peu partout dans les environs et qu'une faction religieuse patibulaire, les Inquisiteurs, a décidé d'interdire l'accès aux parties sauvages de l'île pour s'assurer que personne ne découvre les secrets des lieux avant leurs troupes.
Gamekult
Ajouté le : 03/2009
Plus accessible...
Après des mois de mystère et d'apparitions furtives, Risen s'est enfin laissé approcher lors d'une bruyante soirée organisée par Deepsilver en marge de la GDC afin de présenter quelques-uns de ses jeux à venir. Et le prochain projet de Piranha Bytes fait évidemment partie de ceux qui comptent pour l'éditeur allemand. Il faut dire que dans la sphère des RPG sur PC, le développeur a ses adeptes, conquis par Gothic, une série souvent saluée pour sa richesse, mais aussi régulièrement montrée du doigt pour son austérité et son manque de finition. Une réputation que Piranha Bytes compte bien se défaire avec Risen, mais ce n'est visiblement pas gagné d'avance... Piranha Bytes part pourtant d'une bonne intention avec Risen puisque le développeur a souhaité sortir des univers souvent froids et génériques des RPG en proposant une aventure située sur une île volcanique typiquement méditerranéenne. Il faut donc s'attendre à pas mal de verdure - voire des paysages carrément luxuriants par endroits, sans pour autant bannir des lieux plus sombres et glauques -, dans laquelle on s'engouffrera dès le début de l'aventure après s'être remis de notre naufrage.
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