Rise of Nightmares
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Nous avons réuni 8 tests du Rise of Nightmares. Les experts notent Rise of Nightmares 4.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Rise of Nightmares et d'autres Jeux Xbox 360.
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Test Rise of Nightmares
Test Rise Of Nightmares
En cette fin d’année 2011, Kinect semble vouloir enfin se démarquer un peu de sa simple relégation à des fonctions anecdotiques dans de grosses productions ou à des jeux de danse. Après un bien sympathique The Gunstringer, qui nous a fait voir l’utilisation de l’accessoire de la Xbox 360 d’un œil nouveau, voici Rise Of Nightmares. Nous passons à l’étape suivante. Terminé les jeux gentils et mignons ; voici du gore, de l’hémoglobine en tonneaux, des lacérations, éventrations, éviscérations, décapitations, démembrements et autres joyeusetés sanguinolentes. Bienvenue dans le survival-horror à la sauce Kinect. Passé une petite séquence introductive et interactive, nous nous retrouvons dans la peau de Josh, dans un compartiment d’un train sillonnant l’Europe de l’Est. En face de nous se trouve notre femme qui nous sermonne pour notre penchant un peu fort pour la boisson. Agacée, elle nous quitte pour rejoindre la voiture-bar. Nous décidons alors de nous rafraîchir un peu et allons aux toilettes. Après nous être aspergé le visage, en place de notre reflet dans le miroir, nous apercevons une immonde créature. Nous décidons de retrouver notre dulcinée mais nous heurtons au contrôleur.
Rise of Nightmares
Kinect, cet accessoire qui fait débat au sein de la communauté des joueurs. Alors que certains encensent la caméra à reconnaissance de mouvement pour sa technologie innovante, d'autres la critique car cette dernière n'est pas exploitée de manière hardcore gamer dans les jeux. Il est vrai que pour l'instant, hormis des jeux de danse, mini-games ou autres jeu de fitness, on n'a pas vu grand-chose d'autre. Pourtant, cela pourrait bien changer puisqu'après un Child of Eden qui a mis tout le monde d'accord, SEGA se lance dans le jeu plus adulte avec Rise of Nightmares. Il est donc temps pour nous de donner notre avis définitif sur ce coup d'essai.L'histoire nous met dans la peau de Josh, tranquillement assoupi dans le train (en faisant toutefois un étrange cauchemar impliquant deux personnes prisonnières d'un cachot lugubre dont ils ne sortiront pas vivants) et réveillé par sa tendre conjointe, Kate, qui essaie de nous dire quelque chose. Seulement, après avoir vu notre flasque, celle-ci se met en colère et quitte la cabine du wagon, ne supportant plus notre alcoolisme. Après s'être rafraichit et fait une petite frayeur dans les toilettes, notre héros retrouve une lettre de Kate nous disant de la retrouver à l'avant du train.
Test de Rise of Nightmares
Dévoilé au beau milieu de l'édition 2010 du Tokyo Game Show, Rise of Nightmares s'est rapidement présenté comme un jeu Kinect spécialement conçu pour un public mature, un soft capable de proposer l'expérience la plus terrifiante possible dans laquelle il faut utiliser tout son corps pour survivre. Proposé par Sega et développé par une équipe notamment habituée à s'exercer sur House of the Dead, ce jeu exclusif à la Xbox 360 est-il à la hauteur des espérances placées dans le capteur de mouvements ? Comme tous les titres Kinect qui se présentent sur Xbox 360, la reconnaissance des mouvements est sujette à bien des interrogations. Dans le titre de Sega, force est de reconnaître que cette jouabilité se révèle efficace, à condition d'être dans un espace de jeu optimal. Inutile d'espérer jouer à Rise of Nightmares dans sa petite chambre ou dans un salon trop encombré, il faut réellement disposer d'une place suffisante pour ne pas retrouver son écran envahi par les messages d'erreur. Pour notre test, la distance de 2m20 qui nous séparait de l'écran s'est révélée suffisante pour profiter du jeu sans aucun problème technique.
Test Rise of Nightmares
Presque un an après sa sortie, on ne peut pas dire que Kinect ait permis à beaucoup de jeux gamers de voir le jour. Avec Rise of Nightmares, Sega avait pour ambition de remédier à cela en offrant aux joueurs une aventure horrifique à la première personne pour accroître l’immersion. Du moins, c’était l’idée sur le papier... Tout commence quand Josh, que vous incarnez, se dispute avec sa petite amie Kate dans un train crasseux au milieu de la Roumanie. Car voyez-vous, Josh boit et sa copine n’aime pas beaucoup ça. Et pour la peine, elle l’abandonne dans son compartiment pour aller bouder dans le wagon restaurant. Quand soudain, un horrible monstre mi-zombie mi-machine fait irruption, assassine quelques passagers puis prend la fuite en emportant Kate sous son bras avant de faire dérailler le train sous les yeux hallucinés de Josh. En pleine forêt maudite roumaine, il va falloir tenter de survivre et de retrouver votre bien aimée. Malgré les motivations niaises de son héros, Rise of Nightmares offre pourtant une atmosphère réussie. Les personnages sont moins stéréotypés qu’ils n’y paraissent et le character-design des ennemis est globalement satisfaisant.
Rise of Nightmares
Il faut bien l’avouer, depuis sa sortie, Kinect est surtout réservé aux plus jeunes joueurs et aux parties en famille. Après un premier jeu plus orienté “hardcore” gamer avec Child of Eden, voici que Sega se jette à l’eau et lance le premier jeu classé PEGI 18 sur le capteur de Microsoft avec Rise of Nightmares. Un survival horror peuplé de de zombies et entièrement jouable avec Kinect, voilà une recette bien alléchante pour attirer les gamers. Encore faut-il que l’expérience soit au rendez-vous. Après un court passage servant de tutoriel pour apprendre les mouvements de base, on se retrouve aux commandes de Josh, touriste américain en voyage avec sa femme, Kate, en Europe de l’Est. Après un énième verre de trop à bord d’un train, Kate décide de laisser Josh seul et de changer de wagon. En tentant de la rejoindre, celui-ci découvre un horrible massacre perpétré par un étrange colosse qui finit par kidnapper Kate. Le drame ne s’arrête pas là puisque le train ne tarde pas à dérailler et à s’écraser dans un fleuve déchaîné. Parmi les tôles froissées, Josh se retrouve avec un groupe de survivants dans une grotte à la lisière d’une forêt, qu’un autochtone ne tardera pas à qualifier de maudite.
Test Rise of Nightmares
Parmi la palanquée de titres casual remuant avec plus ou moins de bonheur sur Kinect, Rise of Nightmares dénote immanquablement avec son atmosphère glauque et ses espèces de zombies sanguinolents. L'aventure prend place en Europe de l'Est avec le déraillement d'un train au bord duquel l'alcoolique Josh vient de se faire chiper sa fiancée par un monstre dégoûtant. Perdu dans la cambrousse aux côtés de quelques rescapés, il va pénétrer dans les méandres d'un château lugubre dont le propriétaire n'est autre qu'un savant fou digne de Frankenstein. Une overdose de clichés de série B qui ferait sourire si le gameplay n'était pas encore plus pénible que cette mise en scène ringarde. En vue à la première personne, Rise of Nightmares espérait profiter de Kinect pour nous plonger concrètement dans un cauchemar sanglant où chaque geste aurait un réel sens : ouvrir une porte, observer les alentours, se baisser pour éviter un obstacle, courir pour sauver sa peau ou enfoncer un couteau de chasse dans le buste d'un zombie... Hélas, la reconnaissance de mouvements est tout bonnement catastrophique et l'on se retrouve au final à lutter plus contre Kinect que contre les stupides monstres qui nous entourent.
Rise of Nightmares
Ah Kinect ! Tes excellents jeux de danse ! Ton adorable simulateur de lionceaux et autres bêtes à poils ! Ton flamboyant Child of Eden, shooter psychédélique qui continue de nous hanter même une fois la console éteinte ! Tu ne manques pas de qualités mais au fond, qu'as-tu déjà fait pour nous autres, amateurs de baston pure et de tripaille ? Fighters Uncaged ? Ahahah, laisse-nous rire ! Lolilol même ! Comment ? Tu aurais un survival-horror de folie en stock ? Rhoh, mais c'est que tu nous intéresses là ! Il est vrai que jusqu'à présent, les titres résolument matures fonctionnant avec Kinect peuvent se compter sur les doigts d'une main de lépreux. Après le titanesque naufrage de Fighters Uncaged, présenté comme le premier soft hardcore compatible avec le dispositif de détection de mouvements de Microsoft, nous attendions encore une preuve qu'un jeu du genre puisse effectivement fonctionner. Aussi, lorsque Sega a annoncé vouloir lâcher un titre d'action horrifique en vue à la première personne compatible avec l'accessoire magique sur le marché, autant vous dire que nous avons accueilli la nouvelle avec autant de curiosité que de méfiance.
Test de Rise of Nightmares
Josh aime Kate. Kate aime Josh. Kate aimerait dire à Josh qu’elle est enceinte. Mais Josh aime trop sa flasque de Bourbon, alors Kate s’engueule avec Josh. Et leur train crado déraille en pleine Europe de l’Est. Et Kate est enlevée par des monstres sous les yeux de Josh. Et Josh, il n’aime pas ça. Oh non, il n’aime pas ça. Et il va tout faire pour la sauver. Mais Josh a un handicap. Il pèse trente-huit tonnes. Rise of Nightmares, c’est l’histoire d’un jeu fait par des gros fans de Silent Hill, de Saw, de House of the Dead et même de Condemned. Leur problème, c’est qu’ils adorent aussi Kinect mais pas trop les jeux qu’il y a dessus. Gratouiller du chaton, très peu pour eux. Alors un matin, nos gaillards ont une idée. Passer leurs références au mixer et en tirer un jeu qui exploiterait la caméra de MS. Une sorte de FPS bien gore. Mais pas sur rails hein, le créneau est pris par Kinect Star Wars. Alors les petits gars se mettent au boulot, échafaudent un château-labyrinthe duquel le joueur doit s’échapper. Ils disséminent des trappes, des pieux, des guillotines et quelques interrupteurs. Enfin, ils saupoudrent le tout de dizaines d’ennemis au design « emprunté » à leurs jeux références.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Rise of Nightmares. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Rise of Nightmares.
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Rise of Nightmares : (4.8/10)
8 tests d’experts
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