Resident Evil 6
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Nous avons réuni 15 tests du Resident Evil 6. Les experts notent Resident Evil 6 6.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Resident Evil 6 et d'autres Jeux Playstation 3.
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Test Resident Evil 6
Resident Evil 6
Alors que certaines années furent marquées par l'absence de jeux Resident Evil, la licence est au coeur de l'actualité en 2012. Entre les cinq jeux vidéo (Resident Evil : Revelations, Resident Evil : Opération Raccoon City, The Umbrella Chronicles HD, The Darkside Chronicles HD et Resident Evil 6), un cinquième film d'une nullité abyssale au cinéma (Resident Evil : Retribution), et un duo film d'animation (Resident Evil : Damnation) / manga (Resident Evil : Marhawa Desire) censé servir d'introduction au dernier jeu vidéo (mais en fait non), on frôlerait presque l'overdose. Et oui, la machine marketing est en marche et l'épisode 6 est bien parti pour être l'une des meilleures ventes de cette fin d'année sur PlayStation 3 (déjà 4,5 millions d'exemplaires distribués dans le monde). Mais derrière ce matraquage médiatique, que vaut réellement ce nouveau Resident Evil ? Réponse dans ce test.Référence incontournable d'un genre qu'il a créé (même si Alone in the Dark était passé avant), le premier Resident Evil a marqué toute une génération de joueurs par son ambiance cinématographique et le sentiment de peur que généraient les mésaventures de Jill Valentine et Chris Redfield dans le fameux manoir.
Resident Evil 6
La référence de Leon S. Kennedy à la première ville submergée par des zombies dans la série « survival horror » de Capcom en dit long sur Resident Evil 6. A priori, c'est l'incrédulité et la stupéfaction d'un héros tueur de zombies qui doit affronter un péril familier dans une suite : « Oh non ! encore ça ? Vraiment, vous êtes sérieux, là ? » Cependant, tandis que Kennedy et sa nouvelle partenaire en uniforme, Helena Harper, se frayent péniblement un chemin à travers une université américaine abandonnée, dont les halls délabrés résonnent des coups de tonnerre et des éclairs violents d'une tempête électrique nocturne, on a en effet l'impression que c'est exactement comme Raccoon. Des chiens enragés se jettent à travers des vitres, tandis que des cadavres aux yeux d'insectes tournent leurs têtes pour vous regarder par-dessus leurs épaules en décomposition, exactement comme si vous vous retrouviez dans les couloirs aux lambris rongés par les vers de Spencer Mansion. Les angles de caméra fixes et les personnages qu'on pilotait comme des bateaux, qui caractérisaient les premiers temps de la série, ont été relégués dans les oubliettes de l'histoire.
Test Resident Evil 6
Brocardé par les fans les plus fidèles de Resident Evil pour n'avoir pas su franchement décider de l'orientation du cinquième volet, Capcom réplique avec une production gros calibre sans malheureusement se montrer à la hauteur de ses ambitions. S'il fallait illustrer le changement de polarité entre Japon et Amérique du Nord dans l'Histoire récente du jeu vidéo, la saga Resident Evil pourrait servir de parfait exemple. Monument intouchable de l'ère PlayStation jusqu'aux dernières heures de la précédente génération de consoles, la licence phare de Capcom a commencé à vaciller sur son piédestal avec un Resident Evil 5 cherchant maladroitement à suivre la tendance des shooter grand spectacle produits de l'autre côté du Pacifique. Sans vraiment oser la formuler en ces termes, tout le monde se posait alors la question : et si Resident Evil était condamné à vivre dans l'ombre de son ancienne gloire ? Une crainte que Capcom ne parviendra pas à dissiper avec un sixième épisode aux moyens pourtant colossaux et construit comme une véritable fresque horrifico-explosive.
Test de Resident Evil 6
S'il y a bien une série à laquelle il est impossible de reprocher un manque de changement, c'est celle des Resident Evil. Passant du jeu en caméra fixe au TPS plus classique avec même des incursions dans le monde des rail shooters, la licence de Capcom ne cesse d'expérimenter. En bien ou en mal ces transformations ont eu pour effet de créer une démarcation nette entre les fans des 3 premiers opus et les nouveaux joueurs. C'est pourquoi, avant d'insérer le disque de Resident Evil 6 dans la console, le joueur doit se poser une seule question : veut-il vraiment jouer à un survival horror, genre auquel le nom de Resident Evil est pour lui associé, ou veut-il jouer à un TPS bourrin et bourré de testostérone qui a pour enveloppe l'univers de la saga ? Autant le dire tout de suite, le joueur qui choisit la première solution peut tout de suite laisser tomber sa commande et passer à autre chose. Resident Evil oblige, l'histoire est centrée autour de la société Umbrella et de sa recherche de domination mondiale. Il va donc falloir déjouer les plans des méchants pas beaux et sauver le monde. Excitant non ?
Resident Evil 6
Si chaque nouveau Resident Evil a la lourde tâche de surpasser le précédent en perpétuant une certaine idée (ancienne ou nouvelle) qu'on se fait de la série, Resident Evil 6 arrive après le cinquième opus qui fut relativement décrié. De ce fait, Capcom se devait de réagir en brossant le fan dans le sens du poil tout en essayant d'accueillir un public toujours plus nombreux. Vaste entreprise pour la société japonaise qui en a profité pour faire du neuf avec du vieux. Alors que Resident Evil 5 n'était finalement qu'un ersatz ensoleillé de Resident Evil 4, le sixième épisode effectue quant à lui un virage à 90°. Puisant ses inspirations dans l'opus Revelations tout en modernisant son gameplay, Resident Evil 6 voit grand et quitte à le faire, autant que ça ait de la gueule ! Du coup, ce nouveau segment a un peu des allures de réunion de famille dans le sens où plusieurs protagonistes connus se rejoignent ici pour le plus grand bonheur des fans. Chris Redfield, Sherry Birkin, Ada Wong, Leon S. Kennedy, le casting cinq étoiles est à la hauteur des ambitions de Capcom d'autant qu'il sera possible de tous les incarner par le biais de binômes dont les chapitres se rejoignent afin de donner une véritable densité au scénario.
Test Resident Evil 6
Depuis l'annonce de Resident Evil 6 et de ses quatre campagnes solo au début de l'année, ça fantasme sévère à la rédaction, malgré une démo qui ne nous a pas vraiment emballés, soyons honnêtes. Le retour aux affaires de Leon S. Kennedy va-t-il vraiment permettre à la série de renouer avec le survival horror ? Jake Muller a-t-il les reins suffisamment solides pour succéder à son père Albert Wesker ? Bref, allons-nous avoir droit à un vrai Resident Evil comme le laissait espérer Resident Evil Revelations sur 3DS ? Eh bien non.Le constat peut sembler rude, arbitraire et impitoyable, mais il y a un moment où il faut dire la vérité. Resident Evil 6 est avant tout un mauvais jeu d'action au regard de ce qui se fait chez la concurrence, et les approximations aperçues dans Resident Evil 5 ne pardonnent pas aujourd'hui. On pense surtout au cover system qui est juste affreux. La manipulation demande en effet que l'on se torde les doigts dans tous les sens, puisqu'il faut d'abord se coller contre le mur en maintenant LT/L2, utiliser ensuite le stick gauche pour sortir la tête de la planque, cibler les ennemis avec le stick droit et enfin tirer en pressant RT/R2. La misère.
Test Resident Evil 6
On peut dire qu'il était attendu au tournant ce Resident Evil 6. L'épisode précédent, complètement concentré sur l'action, avait surpris, voire déçu les fans. On s'attendait donc à quelque chose de plus proche des bases de la série. On n'a rien contre le changement, bien au contraire, mais si une série perd complètement ses racines sans pour autant s'accomplir sous une autre forme, c'est déjà plus inquiétant. C'est malheureusement ce qui est en train d'arriver à Resident Evil, dont la dernière transformation a du mal à convaincre, la faute à une technique et une narration défaillante. Fait unique dans la série, Resident Evil 6 propose 3 chapitres (+ 1 caché) mettant chacun en scène un duo de personnages. On trouve Leon S. Kennedy et Helena Harper, Chris Redfield et Piers Nivans, et enfin Jake Muller et Sherry Birkin. Cette profusion de héros était censé nous offrir un scénario dense avec moult révélations, mais cette structure narrative « chorale » finit par perdre le joueur. En effet , quand toutes les pièces du puzzle sont rassemblées. De plus, puisque tout ce petit monde se croise à plusieurs reprises, vous serez amenés à rejouer certaines scènes avec différents personnages, sans changement ou presque.
Resident Evil 6
Tester Resident Evil 6, voilà un exercice bien périlleux. Car on ne touche pas à n'importe quelle saga. Il s'agit d'un monument, d'une institution qui déchaîne les passions depuis 16 ans déjà. Le nom pèse, intrigue, suscite l'attente. Certains pardonnent ses errances, acceptent que l'action ait largement pris le pas sur le frisson, pourvu qu'ils aient leur dose. D'autres, nostalgiques des premières moutures, pleurent le frisson perdu. Capcom a dépensé une énergie folle pour que ce sixième volet soit le plus réjouissant jamais sorti. Une sorte de menu best of censé mettre tout le monde d'accord. Mais l'idée que se fait l'éditeur nippon de sa franchise est-elle en adéquation avec ce que les fans, dont certains ont été profondément déçus par Resident Evil 5, espèrent ? Et surtout, dans l'absolu, sans même avoir ne serait-ce qu'effleurer un des épisodes précédents, se trouve-t-on face à une expérience de qualité? Difficile de répondre catégoriquement...Si vous êtes un véritable mordu de la mythologie Resident Evil, que vous en connaissez jusqu'au plus insignifiant point de scénario, vous avez toutes les raisons de frétiller.
Test de Resident Evil 6
La manipulation génétique se poursuit. Autrefois maître de l'horreur, et référence incontestée du genre, Resident Evil revient pour un épisode au confluent des genres, mariant l'action, la SF et le TPS brut dans la lignée de Resident Evil 5. L'ambition est démesurée, les moyens engagés colossaux. Mais dans sa quête de la perfection, Resident Evil 6 n'a-t-il pas oublié l'essentiel ? Sherry, fais-moi peur Le prologue donne le ton : un personnage qui se refuse à courir, des QTE fléchés en guise d'action, un hélicoptère qui explose en vol comme dans n'importe quel triple A. Derrière Resident Evil 6, on saisit une angoisse commune à de nombreux studios japonais, cette incapacité à lutter à armes égales sur le terrain de l'action pure, tendance gros flingues, chasse gardée des gros éditeurs occidentaux depuis déjà quelques années. Pour être sûr de mettre dans sa poche le plus large public possible, l'éditeur n'a pas seulement jeté toutes ses forces dans la bataille - 650 personnes, chiffre officiel. Il s'est surtout attaché à repomper les mécaniques de ces nouvelles références, comme une sangsue. La boussole de Dead Space en guise de fil d'Ariane, les liaisons radio main sur l'oreillette à la Gears, le système de couverture devenu obligatoire dans le moindre jeu d'action, l'interface épurée qui fait fi des limitations d'inventaire...
Resident Evil 6= (Preview)
Les choses ne se passèrent pas très bien avec les fans. Cela imposa aux joueurs en solo de composer avec une intelligence artificielle incompétente et tout devint moins effrayant. Pour Resident Evil 6, au lieu de revenir à ce que voulaient les fans en éliminant le jeu en coopération, Capcom a résolument campé sur sa position en l'améliorant et en y intégrant des éléments novateurs. Resident Evil 6 est divisé en plusieurs campagnes distinctes. L'une a pour vedette Leon Kennedy, une autre Chris Redfield, une autre encore Jake Muller, un nouveau venu. La durée de chaque campagne devrait tourner entre 70 et 80 % de la durée totale de Resident Evil 5. Ces trois campagnes s'imbriquent les unes dans les autres à différents moments et constituent à elles toutes une histoire gigantesque. La spécialité de Chris est d'aller dans des pays de culture non occidentale et d'y assassiner des gens. Le fait d'avoir plusieurs perspectives n'est pas qu'un procédé astucieux pour enrichir la narration, mais a également un impact sur la façon de jouer. Si l'on joue en ligne et qu'on arrive à un passage où les histoires s'entrecroisent, d'autres joueurs arrivant au même endroit dans des campagnes parallèles seront ajoutés à votre partie. Par exemple, si avec un de vos amis vous incarnez Jake et sa compagne Sherry et que vous en arrivez à un moment où ils rencontrent Leon et Helena, deux autres joueurs aléatoires jouant la campagne avec Leon et Helena vous rejoindront dans votre partie.
Gamekult
Ajouté le : 06/2012
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Resident Evil 6 (Preview)
Annoncé depuis plusieurs mois mais jamais pris en main par la rédaction, Resident Evil 6 s'est laissé approcher pour la première fois à l'occasion de l'E3 2012. Construit de manière assez étonnante avec son scénario suivant trois voies distinctes qui s'entrecroisent, le prochain opus de la série se renouvelle également sur le plan de la jouabilité et de l'interface. Impressions à chaud après une double démo. Incarner Leon Kennedy, Chris Redfield ou Jake Muller, voilà le choix proposé dès l'écran titre de la version d'essai de Resident Evil 6. Par respect pour le glorieux quatrième épisode, on commence par suivre ce bon Leon, qui n'est plus tout à fait le même qu'à la maison : totalement badass et accompagnée de la séduisante Helena Harper, l'ancien flic de Raccoon City se retrouve avec le cadavre du président des Etats-Unis sur les bras, au milieu d'une grande bâtisse aux allures de bibliothèque, illuminée de manière sporadique par les éclairs d'un orage. On comprend vite que le scénario de Leon sera la caution "formule à l'ancienne", vu l'ambiance pesante, les scripts faisant sursauter et l'environnement cloisonné. Pour autant, certains changements sont déjà visibles : le personnage n'est plus sur pivot, on peut courir sans presser autre chose que le stick, la caméra est libre (mais proche et encore un peu folle dans certaines situations), il y a des roulades et des glissades - avec possibilité de tirer en mouvement ou allongé sur le dos - et Léon peut se défendre avec un flingue dans chaque main, à la John Woo.
Resident Evil 6 (Preview)
Occidentaliser la licence afin de séduire un peu plus le marché européen et nord-américain, voilà le but avoué de Capcom, justifiant ainsi la nouvelle orientation prise par Resident Evil 6. Et c'est là que commence le plus dur pour cette saga légendaire : parvenir à augmenter le côté action de l'aventure tout en revenant à ce qui a contribué à son succès : le côté flippant. Une alchimie pas si évidente à trouver. Peut-on décemment privilégier l'appel du profit au détriment de l'attente de fans qui vous suivent depuis de longues années ? Capcom va-t-il dénaturer son Resident Evil, prétextant que les ventes outre-Atlantique ne sont pas satisfaisantes ? Si cette question a pu être posée, provoquant un certain scepticisme, la présentation faite lors du Captivate à Rome, nous a partiellement rassurés. Oui, Resident Evil 6 sera encore une fois tourné vers l'action avec l'apparition de nouvelles features mais tout le côté horreur lui aussi, a subi quelques arrangements. Nos craintes fondées ont finalement fini par fondre au fil de la demi-heure passée à découvrir cet opus tout frais. Adieu l'Afrique et son soleil harassant, RE6 change de continent pour atterrir en Asie, quelques années après les événements du cinquième volet.
Resident Evil 6 (Preview)
Dans la mesure où la série s'est répandue aussi largement et souvent avec des arguments très minces, il n'est pas surprenant que Resident Evil ait flirté avec la médiocrité par le passé - il suffit de regarder les jeux mal conçus Outbreak ou Operation Raccoon City. Même ses meilleurs moments ne se sont pas tout à fait hissés au niveau d'une série qui avait jadis pour vitrine un ensemble agréable de jeux 3DS et qui est désormais déchirée entre l'action et l'horreur. Pendant deux ans et demi, une équipe de Capcom forte de 600 personnes a travaillé d'arrache-pied à Resident Evil 6 pour combler ce fossé. C'est un jeu d'horreur avec des séquences d'action scénarisées, un drame dans lequel on joue avec le plus grand sérieux avec un président mort-vivant, un jeu avec de la tension et aussi avec un entrepôt d'explosifs pour faire joujou. En d'autres termes, il recouvre de nombreuses choses différentes pour plein de gens différents - mais le plus impressionnant est comment l'approche « touche-à-tout » de Capcom de sa série au long cours l'oriente à nouveau sur le chemin brillant de ses années glorieuses.
Resident Evil 6 : le survival horror est de retour ! (Preview)
Annoncé au mois de janvier 2012 sans crier gare, Resident Evil 6 était sans conteste l’un des jeux les plus attendus de ce Captivate 2012, aux côtés bien sûr de la révélation de l’événement : Lost Planet 3. Le titre a tellement d’importance aux yeux de Capcom qu’une journée lui a été carrément consacrée afin que les journalistes puissent réellement mesurer sa valeur. Car avec cet épisode, Capcom a la ferme intention de satisfaire les fans absolus de la série, ceux qui ne jurent que par le survival horror, sans oublier les autres joueurs qui ont été séduits par l’approche plus action de la licence. Ces deux approches peuvent-elles vraiment cohabiter ? Eléments de réponse. Lorsque Masachika Kawata annonce lors d’une interview accordée à nos confrères de Gamesutra que Resident Evil ne sera plus jamais un survival horror, Capcom ne mesure pas encore l’impact de ces paroles faites à l’encontre de la communauté. Il ne faudra d’ailleurs pas attendre bien longtemps pour que les fans s’insurgent sur les forums du monde entier et ne crient au scandale. Pourtant, depuis la sortie en 2008 de Resident Evil 5, les indicateurs laissant croire que la série fétiche de Capcom prenait une orientation différente étaient bien tous au vert.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 04/2012
Plus accessible...
Resident Evil 6 (Preview)
Menée par Hiroyuki Kobayashi (executive producer sur RE4), Heichiro Sasaki (game director des deux RE : Outbreak et désormais de RE6) et Yoshiaki Hirabayashi (à l'œuvre sur plusieurs postes clefs de RE5 et aujourd'hui producer de RE6), la présentation de Resident Evil 6 vint longuement conclure le Captivate 2012 tenu la semaine dernière à Rome. Un premier aperçu riche en informations de toutes sortes dont voici un petit compte rendu. Resident Evil 6 est, à n'en pas douter, le mastodonte du line-up Capcom pour l'année fiscale en cours. Avec cent cinquante développeurs bûchant sur sa réalisation, confirmation nous est donnée que la série n'a pas dégringolé dans l'ordre des priorités de Capcom. Et ce, malgré un cinquième épisode qui aura fait couler beaucoup d'encre et levé une armée de fans en colère contre ses choix discutables. Nous étions dès lors impatients de connaître la réponse de l'éditeur aux griefs des joueurs. Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, le triumvirat s'est astreint à un fastidieux et néanmoins nécessaire briefing sur les principaux changements engagés par leurs équipes. Resident Evil 6 emmènerait la série vers un style résumé en ces termes choisis par Capcom : thrilling and dramatic horror.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Resident Evil 6. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Resident Evil 6.
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Resident Evil 6 : (6.5/10)
15 tests d’experts
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