13 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
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Nous avons réuni 13 tests du Resident Evil 5. Les experts notent Resident Evil 5 7.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Resident Evil 5 et d'autres Jeux Playstation 3.
Un an après la sortie de Resident Evil 5, Capcom nous propose une nouvelle version de son blockbuster 2009. Cette Gold Edition, en sus du titre original évidemment, regroupe les différents contenus téléchargeables proposés ces derniers mois assortis de quelques bonus. Le duo mythique de retourNous ne vous ferons pas l'affront de revenir sur RE5, déjà critiqué dans nos colonnes. Pour résumer, cet opus reste un très bon jeu d'action, avec de jolis graphismes, une réalisation réussie, un coop du tonnerre, mais une jouabilité disons... sujette à polémique. L'héritage de Resident Evil 4 est en fait bien trop présent, et même si le cadre africain et le duo Chris Redfield/Sheva Alomar apporte du sang neuf, la maniabilité des personnages ajoutée au bestiaire peu innovant donne l'impression de se retrouver devant une version haute-définition de ce dernier. La base est donc de plutôt bonne facture, mais que vaut alors le contenu additionnel ? Commençons par le plus intéressant, les deux épisodes supplémentaires, liés directement à la trame principale. Le premier DLC, « Perdu dans les cauchemars », revient sur un flashback du jeu se déroulant dans un manoir Spencer ressemblant étrangement à celui de Raccoon City.
C'est d'une logique implacable. Conscient que Resident Evil 5 représente un excellent jeu d'action même s'il a déçu les aficionados qui suivent la série depuis ses débuts en 1996, Capcom tente de rafraîchir le contenu du titre avec deux chapitres additionnels et un mode "Mercenaires", qui est là pour montrer que la peur n'est plus le fonds de commerce de la série. Resident Evil 5 : Gold Edition mérite-t-il vraiment que l'on passe une seconde fois à la caisse ? Notre verdict.Dans le fond, Resident Evil 5 : Gold Edition est une occasion en or pour ceux qui n'ont pas encore eu l'occasion de goûter à la version d'origine, puisque le disque intègre entre autres deux épisodes inédits que l'on peut d'ailleurs récupérer en téléchargement sur le Marketplace du Xbox Live et sur le PlayStation Store. "Perdu dans les cauchemars" est une sacrée déception, soyons clairs. Alors que l'on s'attendait à un retour aux sources avec des énigmes tordues et une ambiance oppressante, on sent que Capcom a trop pris goût à l'action pour être capable de proposer du survival horror à l'ancienne.
Suivant une logique implacable consistant à offrir quelques mois après le jeu original une version ++ de leur titre, Capcom lâche dans la nature son Resident Evil 5 : Gold Edition. Si certains souffleront devant cette vision très mercantile du marché, il faut avouer que cette mouture reste un excellent moyen pour ceux n'ayant pas encore acheté le jeu de base de se faire plaisir à moindre frais tout en profitant de nombreux ajouts venant gonfler la durée de vie. On le sait depuis longtemps, les développements sur new-gen coûtent cher, très cher. De fait, les prises de risque, surtout en cette période de crise, restent minimes, les éditeurs/développeurs préférant miser sur les valeurs sûres quitte à sortir un produit formaté sans cette petite étincelle d'originalité censée raviver la flamme du plaisir. Resident Evil 5 : Gold Edition est assurément de ceux-là et à moins de faire preuve d'une totale mauvaise foi, il est impossible de ne pas voir en cet opus un "doppelganger" de Resident Evil 4 mâtiné de Gears of War. Et c'est là que le savoir-faire de Capcom prend le relais puisque si on souffle parfois en dodelinant de la tête devant certains choix, on peut difficilement critiquer la montée en puissance de l'oeuvre, rythmée par des affrontements dantesques ou des passages délicieusement éprouvants.
Passé maître dans l'art du recyclage, Capcom propose avec Resident Evil 5 : Gold Edition la version ultime de Resident Evil 5. En condensé, on retrouve sur un même disque le jeu original nanti de ses contenus téléchargeables payants, à savoir les deux scénarios alternatifs "Perdu dans les cauchemars" et "Une fuite désespérée", les deux packs de costumes rigolos pour Chris et Sheva, mais aussi huit variantes de personnages jouables pour le mode Les Mercenaires, dont Excella, Barry et Rebecca. On attendait évidemment beaucoup des deux épisodes, d'une durée d'une heure chacun, mais "Perdu dans les cauchemars" déçoit. Situé dans un manoir Spencer alternatif qui sent bon le fanservice, ce prologue à l'ambiance gothique compte beaucoup trop sur ses énigmes et son seul vrai ennemi, un redoutable bourreau, pour distraire. Mais déclencher trois fois le même piège n'a rien de palpitant, malgré quelques effets réussis et un combat de boss très attendu, où Jill et Chris devront faire parler les poings. "Une fuite désespérée" cartonne, en revanche, dans tous les sens du terme. Partis assister Sheva et Chris dans leur ultime combat, Jill et Josh vont devoir dégommer du docker cannibale sans jamais avoir le temps de souffler.
Resident Evil 4 a marqué un tournant décisif pour la saga fétiche de Capcom. Si certains fans de la première heure ont longuement maugréé sur ses choix de game design, il faut reconnaître à l'éditeur un talent rare pour revivifier ses franchises. Pourtant, avec Resident Evil 5 force est de reconnaître que Capcom brise totalement l'équilibre ténu installé par le quatrième volet entre ambiance horrifique et action. A notre grand regret ... Le démantèlement d'Umbrella prononcé, Chris Redfield peut enfin sortir de la clandestinité à laquelle il se vit acculé par la firme. Désormais enrôlé sous la bannière du B.S.A.A. (oui, ça sonne moins bien que les S.T.A.R.S.), l'ancien marine peut mettre son expérience au profit de la lutte anti-terroriste internationale. Le voilà donc en route pour l'Afrique où il doit retrouver Sheva Alomar, de la branche ouest africaine du B.S.A.A. Ensemble, ils devront empêcher la transaction d'une terrifiante arme biologique.
GamePro.fr
Ajouté le : 03/2009
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Capcom sort l'artillerie lourde en ce début 2009 et après avoir réussi le retour coup de poing de Street Fighter IV, nous livre un Resident Evil 5 sans doute encore plus attendu. Un jeu majeur, mais loin de la perfection à laquelle il semblait pouvoir prétendre... De Resident Evil 5, nous gardons d'abord le souvenir de son annonce durant la conférence Microsoft de l'E3 2007, puis celui de notre premier essai un an plus tard toujours à Los Angeles. Un premier face à face intimidant duquel nous étions ressortis plutôt confiants, excités par les qualités du moteur graphique, l'ambiance nouvelle et un accent mis sur la coopération qui annonçait une aventure trépidante. Puis vint le temps de l'inquiétude, à force de lire les articles assez mitigés publiés par quelques confrères anglo-saxons visiblement réticents face au parti pris par Capcom et Jun Takeuchi de recentrer l'expérience Resident Evil sur le pan de l'action. Inquiétudes scellées par la démo diffusée peu après, et confirmées après quelques heures de jeu.
Gamekult
Ajouté le : 03/2009
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Resident Evil 5 s'avance sans conteste comme l'un des titres les plus importants de cette année 2009, celui que tous les fans guettent depuis quatre ans, une attente qui remonte aussi loin que le générique de fin du 4. Jeu fondamental, Resident Evil 4 avait su renouveler une série mal en point de façon magistrale. Avec un aîné aussi prestigieux, Resident Evil 5 avait un double défi à relever : succéder à l'un des jeux d'action les plus importants de la génération précédente, et prouver à tous que son gameplay pouvait supporter le poids des ans. On dit de l'Afrique qu'elle est le berceau de l'humanité. Chris Redfield et Sheva Alomar vont apprendre à leurs dépens qu'elle peut aussi devenir leur tombeau. Située quelques années après Resident Evil 4, l'intrigue de ce nouvel épisode voit le retour au premier plan de Chris, le héros du premier volet, sous un soleil de plomb, bien loin des manoirs lugubres des familles Spencer ou Ashford.
Avec Resident Evil 5, Capcom démontre à nouveau que sa série phare supporte difficilement l'absence de son créateur à la barre, du moins quand il s'agit de lui apporter du sang neuf. Si cet épisode ne manque pas de qualités tout en se montrant bien supérieur à la plupart des jeux d'action de la machine, il donne également la désagréable impression de n'être qu'un gigantesque copier-coller de RE 4, sans aucune âme. Si ce point de vue peut sembler consternant, il n'est pas nécessairement synonyme de prise de conscience rendant caduque la notion de plaisir, bien au contraire. On le sait depuis longtemps, les développements sur new-gen coûtent cher, très cher. De fait, les prises de risque, surtout en cette période de crise, restent minimes, les éditeurs/développeurs préférant miser sur les valeurs sûres quitte à sortir un produit formaté sans cette petite étincelle d'originalité censée raviver la flamme du plaisir.
Il va sans dire que Resident Evil 5 peut sans problème représenter un fantasme de joueur. Parce que le précédent opus a mis la barre très haut, et qu’on s’est forcément plu, à la vue des premières images disponibles de l’épisode suivant, à imaginer un Resident Evil next-gen d’une qualité au moins similaire à celle du quatrième épisode. Entre-temps, les exigences ont évolué. La faute à qui, à quoi ? Des titres qui ont fait leur trou, comme Dead Space, et des mécanismes de jeu ayant montré leurs limites. Quand certains rouages rouillent le temps passant… Les trailers qui nous en ont mis plein la vue ont également mis en exergue des points noirs qui auront certainement bien du mal à partir, même avec un dermatologue confirmé. Mais commençons par le premier choc que nous offre cette démo, c’est-à-dire l’aspect visuel. C’est beau, très beau, voire même plus que tout ça, et je vous prie de me croire. Le premier niveau dépeint une atmosphère que l’on palpait déjà dans les bandes-annonces...
Gamekult
Ajouté le : 02/2009
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Sans conteste un des titres les plus importants de l'année pour Capcom avec Street Fighter IV et Monster Hunter 3 au Japon, Resident Evil 5 porte un double fardeau sur ses épaules : celui de passer après Resident Evil 4, l'épisode du renouveau magistral, mais aussi celui de prouver que sa formule et son gameplay ont encore des choses à dire en 2009. Après plusieurs présentations et une démo en téléchargement, nous avons pu mettre la main sur une version preview PS3 contenant les trois premiers chapitres du jeu. Bienvenue à Kijuju... La survie en milieu extrêmement hostile ne s'improvise pas et Chris Redfield est bien placé pour le savoir. Déjà confronté à plusieurs reprises aux infâmes créatures nées des expériences d'Umbrella Corporation, l'ancien agent des STARS fait à présent partie de la BSAA, une organisation internationale fondée par certains survivants des évènements du manoir Spencer et de Raccoon City pour empêcher la propagation et de développement du bio-terrorisme.
Gamekult
Ajouté le : 10/2008
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Attendu comme le messie des jeux japonais sur la nouvelle génération de consoles, le titre qui va redorer l'image de la maîtrise technique des développeurs nippons se dévoilait encore un peu plus lors de ce TGS. Retour sur les deux nouveautés qui nous ont été révélées à cette occasion. Tout ou presque a déjà été dit à propos de ce qui est l'un des titres les plus attendus de l'année prochaine, celui dont chaque nouveau screenshot fait se pâmer les fans d'extase. Ceux qui connaissent déjà par coeur la plupart des bandes-annonces dévoilées par l'éditeur ne s'y laisseront pas prendre : la démo jouable pour laquelle les joueurs nippons faisaient la queue plus d'une centaine de minutes était à peu de choses près la même qui nous fut présentée quelques semaines auparavant. Pourtant, ce TGS fut l'occasion de découvrir deux nouveautés de poids : un nouveau mode de jeu, ainsi qu'une maniabilité complètement repensée. Il faut dire qu'avec la transition vue épaule de Resident Evil 4, il semblait pertinent de proposer une nouvelle manière de jouer aux utilisateurs.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 07/2008
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Jusqu'ici uniquement présenté au travers de son mode coopératif lors de la conférence Microsoft, Resident Evil 5 était heureusement jouable sur le stand de Capcom. Mieux encore, deux environnements nous étaient proposés, avec, pour chacun d'entre eux, quelques scènes de coopération avec la belle Intelligence Artificielle nommée Sheva (non, il ne s'agit pas d'un ancienne star du Milan AC). Premières impressions à chaud, sous le soleil africain. Sans passer par la case introduction, la première mission que nous proposait cette démo nous plaçait immédiatement dans l'ambiance. Après l'exécution d'un pauvre hère sous les cris hystériques d'une foule visiblement possédée, nos deux agents mandatés par les Nations Unies sont désignés comme les prochaines victimes. Galvanisés par un inquiétant chef de meute éructant ses ordres dans un mégaphone, les villageois enragés prennent d'assaut la petite bicoque dans laquelle se sont réfugiés Chris et son acolyte.
Gamekult
Ajouté le : 07/2008
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Jusqu'à présent, Resident Evil 5 n'était qu'un lointain mirage, le genre de jeu inaccessible qui nous nargue à l'horizon. S'il doit être dit que les grands jeux prennent du temps, alors on n'osait pas mettre en doute le degré de finition de ce nouveau Resident Evil, trois ans après son annonce. Aujourd'hui, après un essai prolongé de la démo E3 dans les bureaux londoniens de Capcom, nous en avons la quasi-certitude : Resident Evil 5 s'annonce éblouissant. Si l'action de Resident Evil 5 nous emmènera du côté de l'Afrique de l'Ouest, le jeu ne s'écarte pas fondamentalement des chemins balisés par son prédécesseur. Ce nouvel épisode ne change pas son fusil d'épaule, reprenant à son compte la formule gagnante de RE4. Quitte à se mettre à dos des légions de fans déjà sceptiques, ce n'est pas encore aujourd'hui que Capcom autorisera un petit strafe pour échapper aux ennemis. Comme son collègue Leon dans RE4, Chris est raide comme un piquet dès qu'il met en joue l'ennemi.
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