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Nous avons réuni 14 tests du R.U.S.E.. Les experts notent R.U.S.E. 7.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du R.U.S.E. et d'autres Jeux Xbox 360.
Les STR sur consoles n'ont pas foncièrement une aussi bonne réputation que ceux qui sont sortis sur PC, le support de prédilection du genre. Il reste cependant indéniable que certains titres ont su tirer leur épingles du jeu. Les créateurs d'Act of War comptent bien faire de même pour le compte d'Ubisoft avec R.U.S.E., un soft qui se permet d'apporter quelques innovations non négligeables au domaine. Test complet.Que les choses soient claires d'emblée, ce n'est clairement pas dans son scénario que R.U.S.E. puise son lot de nouveautés. On est encore une fois en face d'un jeu de guerre qui exploite le thème si cher au genre : la seconde guerre mondiale. Le scénario n'est donc pas surprenant au premier abord, et les joueurs qui vont voir le titre dans les étalages savent déjà à quoi s'en tenir d'entrée de jeu, la jaquette étant suffisamment explicite à ce sujet. Dans R.U.S.E., vous devrez tenir le rôle du commandant Joe Sherridan, un jeune officier américain, et vous aller devoir user de stratégies dans des environnements divers et variées tels que l'Afrique, l'Italie, la Belgique, les Pays-bas et même notre douce France natale.
Si l'arrivée d'un énième STR basé sur la Seconde Guerre mondiale n'est pas exactement une grande nouvelle de nos jours, il faut avouer que R.U.S.E. a su se démarquer de la plèbe en cherchant à revoir un peu les poncifs d'un genre qui a tendance à se complaire dans ses habitudes. Développé par les auteurs du très bon Act of War, ce jeu de stratégie arrivera sans peine à nous convaincre que les bons STR sur console, c'est possible. Si la Seconde Guerre mondiale n'est pas exactement le contexte le plus original dans le milieu de la stratégie en temps réel, R.U.S.E. tente au moins de s'éloigner de l'approche habituelle du conflit pour nous proposer une narration un peu plus originale. La campagne solo du jeu d'Eugen Systems nous proposera en fait de suivre la carrière de Joe Sheridan - un officier aux dents longues de l'U.S. Army - à travers un flashback qui nous lancera à la poursuite d'un mystérieux espion simplement connu sous le nom Prometheus entre deux duels contre le talentueux et impitoyable Général Von Richter de l'armée allemande. Au fil des missions, on en apprendra de plus en plus sur la personnalité de tout ce petit casting d'officiers de haut rang que l'on suivra depuis l'Afrique du Nord jusqu'au coeur même de l'Allemagne nazie (en passant par l'Italie, la France, la Hollande et la Belgique) par l'intermédiaire de scènes cinématiques courtes mais nombreuses et plutôt convaincantes dans leur réalisation.
Univers Consoles
Ajouté le : 09/2010
Plus accessible...
R.U.S.E. est un jeu de stratégie ambitieux, qui confirme une tendance qui a le vent en poupe dans l'industrie : développer des STR adaptés aux impératifs consoles. Les prémices d'une déferlante de futurs hits. La stratégie en temps réel a toujours été le fleuron du jeu sur PC. Les adaptations consoles de STR (comme Age of Kings sur PlayStation 2), serinées par des éditeurs peu regardants sur la qualité, ont toujours affiché des écueils rédhibitoires (complexité, fluidité, maniabilité) pour conquérir un public console peu réceptif. Pourtant, depuis quelques années et l'avènement de la dernière génération de consoles, les sorties de STR se multiplient sur Xbox 360 et PlayStation 3. Au début, il ne s'agissait toujours que d'adaptations de productions PC, mais les développeurs semblaient avoir rencontré moins de difficultés techniques qu'auparavant, et ils ont dès lors proposé des conversions un peu plus respectables. Ainsi, des titres tels que La Bataille pour la terre du Milieu II en 2006 et Command & Conquer 3 l'année suivante ont préparé le terrain pour le raz-de-marée de 2008/2009. Cinq STR sont apparus dans les rayons l'an dernier (Universe at War, Battle March, Supreme Commander, Alerte Rouge 3 et un certain Tom Clancy's EndWar), tandis que le premier trimestre 2009 a vu débarquer Halo Wars et Stormrise, deux productions aux ambitions sur consoles affichées et revendiquées... mais pourtant pas exemples de défauts.
Egalement disponible sur : Chaque année, c'est la même chose. Des dizaines de studios nous dévoilent des FPS théoriquement tous plus révolutionnaires les uns que les autres. En parallèle, des développeurs encore plus nombreux nous promettent des produits qui marqueront à jamais l'histoire de l'action en vue objective. Quant aux producteurs qui débarquent, surexcités, des projets grand public « novateurs et amusants » plein les bras, une colonie de mille-pattes ne pourrait les compter. Autre rendez-vous annuel incontournable : la rencontre avec des auteurs convaincus d'avoir trouvé le moyen de décliner de manière optimale la stratégie en temps réel sur consoles. Bien moins nombreux, ces drôles d'énergumènes subissent souvent les mêmes déconvenues que tous les professionnels précédemment évoqués. Car une fois les communiqués de presse dithyrambiques dûment placés dans une poubelle, il ne faut généralement que quelques minutes à l'amateur pour découvrir combien est longue la route qui sépare les promesses commerciales de la réalité ludique. Une route que les développeurs de l'ambitieux RUSE n'ont parcourue qu'à moitié...
La Seconde Guerre mondiale revient une nouvelle fois sur le tapis dans un jeu de stratégie. R.U.S.E., signé Ubisoft et Eugen Systems, nous plonge en plein conflit mondial avec un gameplay novateur pour le genre à mi-chemin entre Total War et Starcraft. Et cette fois-ci les joueurs consoles sont de la partie. Allez la bleusaille, on vous expliquera tout sur la route de Berlin ! Colditz, un soir de 1945 au cœur d’une Allemagne affaiblie. Vous, le colonel Sheridan devez sauver un de vos espions retenus dans un fort par une division allemande. Un prologue qui nous plonge tout de suite dans une ambiance de guerre et d’espionnage et de contre-espionnage. Mais on ne vous en dit pas plus. Sachez que la campagne comporte 23 missions, toutes scénarisées avec des cinématiques pour faire avancer l’intrigue, dont on connaît tous le dénouement. Désolé pour Karl au fond, mais oui les Allemands capitulent en 45. Après cette entrée en matière, on parcourt les champs de bataille les plus célèbres de la dernière guerre de 1943 à 1945 : Afrique, Italie, France, Belgique, Pays-Bas et Allemagne. On suivra le jeune commandant Joe Sheridan qui va gagner ses galons dans la boue et le sang, entouré du vétéran Andrew Campbell et de la mystérieuse Kate Garner.
Si vous aussi, vous commencez à en avoir ras le képi de ces STR où la victoire ne semble tenir qu'à la quantité de troupes que l'on balance sur la tronche de l'ennemi, alors peut-être devriez-vous jeter un oeil à la dernière production en date des parents d'Act of War. R.U.S.E., puisque c'est là le nom de la bête, redonne en effet ses lettres de noblesse au S de STR en introduisant avec intelligence les concepts de désinformation et d'espionnage. Bienvenue dans un monde où l'issue des combats se décide souvent au bout du canon d'un tank factice... Avant de plonger au coeur de R.U.S.E. et de brosser un généreux tableau des tactiques de fouine qu'on pourra utiliser pour tromper et écraser l'adversaire, prenons quelques secondes pour nous remémorer le contexte. Le titre nous entraîne en pleine Seconde Guerre mondiale et nous invite, pendant les 23 missions de la campagne/tutorial, à revêtir le bel uniforme du commandant Joe Sherridan, un jeune officier américain prêt à mettre son service trois pièces sur le billot pour démontrer son gros skill de leader et accessoirement sauver l'univers.
A l’heure où le microcosme des amateurs de stratégie ne jure que par , le maître du genre sur , un outsider vient titiller un public encore boudé sur consoles. de son petit nom, est un jeu de stratégie qui cherche à démocratiser un genre qui fait encore peur à de nombreux joueurs, ceux qui pensent qu’il faut connaître une centaine de raccourcis et réaliser mille actions à la minute pour espérer rivaliser avec un adversaire moyen. Jusque là abonnés à quelques fonds de tiroirs et d’extrêmement rares bonnes surprises, il est temps pour les joueurs consoles de découvrir un nouveau monde. Oubliez la micro-gestion prônée par n’importe quel champion de , dans c’est la macro-gestion qui est à l’honneur. Ici, il n’est pas question de donner des ordres unité par unité pour être sûr de se trouver quelques millimètres assez loin pour que votre adversaire ne vous touche pas pendant que vous le mitraillez. Non, vous devez simplement savoir placer en embuscade vos unités de la meilleure façon possible pour défendre ou garder un chemin critique, avancer efficacement et contrer les attaques adverses en opposant les bonnes unités à celles qui sont en face.
Présenté à l'E3 il y a deux ans sur un écran tactile, ce jeu avait eu sa petite heure de gloire auprès des visiteurs et depuis, nous attendions une version jouable... Cela valait le coup, car RUSE est le premier RTS traitant de la Seconde Guerre mondiale à introduire des techniques de... ruse (mais si !), alors qu'elles ont été si nombreuses pendant le conflit. Sans partir dans un trop long exposé historique, les anglais, peuple fourbe bien qu'excellent camarade de jeu pour nous (eh oui, ils ne sont pas à un paradoxe prêt) avaient constitué une équipe composée d'un magicien, d'un philologue, du propre frère de Ian Fleming et autres individus aussi variés qu'intéressant dans le seul but de tromper Hitler sur la véritable date du débarquement. Cela s'est traduit par le largage du corps d'un officier avec sa sacoche refermant de faux plans de débarquement au large de l'Espagne jusqu'à la création d'un faux corps d'armée en Angleterre en passant par l'utilisation d'agent double, voire triples... Si vous voulez en savoir plus, jetez-vous sur « La Guerre Secrète » de Anthony Cave Brown. Et tout ceci, sans mentionner le rôle de la machine Enigma qui fut l'arme la plus précieuse aux mains des alliés occidentaux, leur permettant de décoder les messages allemands pratiquement dès le début de la guerre.
Se faire un nom dans le monde très concurrentiel des RTS n'est pas chose aisée. Avec Act of War : Direct Action, sorti en 2005, les Français d'Eugen Systems y sont pourtant parvenus. Leur nouveau jeu de stratégie en temps réel, R.U.S.E., suscite donc forcément la curiosité. D'autant plus que son concept, basé sur le subterfuge et la manipulation, le démarque clairement de la concurrence. Entouré par quelques membres du studio situé à Paris, nous avons pu tester nos acquis stratégiques sur PC au cours de plusieurs parties multijoueurs. Et ça tombe plutôt bien car le jeu a pour vocation d'être joué à plusieurs ! Avant d'aborder concrètement le coeur de R.U.S.E., à savoir son gameplay fin et complexe, il convient de resituer un peu le jeu dans son contexte. Pour le coup, Eugen Systems ne donne pas dans l'originalité puisque le scénario prend place pendant la Seconde Guerre mondiale. Vous serez en effet amené à incarner le commandant Joe Sherridan, jeune officier fougueux de l'armée américaine. A travers le conflit, ce dernier apprendra petit à petit à réfréner ses instincts brutaux pour utiliser la ruse. Et ce, pour venir à bout du général allemand Von Richter, fin stratège et amateur de coups vicieux.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
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Principalement connus pour le très bon Act of War, les Français d'Eugen Systems préparent leur grand retour sur le devant de la scène avec R.U.S.E., un STR attendu le mois prochain sur PC, Xbox 360 et PS3. Pour mieux préparer le terrain, Ubisoft nous a invités à essayer une version preview solo et même à se faire un peu (beaucoup) massacrer par l'équipe du jeu lors d'une partie multijoueur en 2 contre 2. Impressions à froid. Déjà croisé à plusieurs reprises ces dernières années, R.U.S.E. nous a cette fois-ci laissé tâter de la partie Alliés de sa campagne solo, qui mettra en scène un trio d'officiers pendant la Seconde Guerre mondiale et un conflit autant basé sur les échanges armés que sur les ego démesurés. Au fil des cut-scene, on apprendra à connaître notre héros - le brillant et colérique Sheridan - à travers des cinématiques bien réalisées et particulièrement sobres. L'ambition des développeurs semble être de nous donner une vision un peu neuve du conflit (ce qui ne devrait pas faire de mal dans l'absolu) en restant relativement proche des évènements réels d'un point de vue contexte, tout en prenant des libertés sur le terrain.
Univers Consoles
Ajouté le : 07/2010
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Des jeux comme Halo Wars donne des ailes, du moins en termes d'exemplaires vendus, puisque tous les éditeurs y vont de leur STR cru 2010 et Ubisoft n'y échappe évidemment pas. Ne cherchez pas de message caché ou de signification dans cet énième acronyme employé par l'éditeur pour le titre de son dernier STR. Le jeu s'appelle R.U.S.E. car il a la particularité d'utiliser des "Ruses" pour déstabiliser l'adversaire : créer de fausses informations ou au contraire en voler à l'ennemi pour connaître son prochain coup, envoyer des leurres par la droite pour mieux surprendre par la gauche, les méthodes varient. On note aussi la présence d'une dizaine de ruses que l'on débloque sur la durée. Voilà la première raison pour laquelle je fut attiré par le jeu, le changement. Il ne s'agit plus d'utiliser son sens tactique pour placer intelligemment ses unités, mais de se découvrir une passion pour la manipulation à grande échelle. Mais rassurez-vous, en dépit de sa touche STR matinée de jeu d'échecs et de poker, R.U.S.E. reste très accessible. Si le genre s'est toujours révélé plus jouable au binôme clavier/souris, les programmeurs ont particulièrement travaillé sur l'accessibilité au pad, sans pour autant passer par un changement radical de système de jeu (à l'instar d'EndWar et sa commende vocale).
Gamekult
Ajouté le : 12/2009
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Les Français d'Eugen Systems se sont fait un nom dans le domaine de la stratégie temps réel avec Act of War : Direct Action, sorte de Command & Conquer survitaminé qui avait séduit le public et la critique à sa sortie. Pour R.U.S.E., ils restent dans leur genre fétiche mais tentent une approche beaucoup plus novatrice. Avec son gameplay nerveux taillé pour les parties multijoueur et son interface impressionnante, censée satisfaire les joueurs PC, les joueurs console et même les utilisateurs d'écran tactile, R.U.S.E. suscite la curiosité. Nous venons de passer quelques jours sur la bêta privée du jeu, c'est l'occasion de vous donner nos premières impressions. C'est d'abord l'interface qui surprend dans R.U.S.E.. Le jeu nous place en effet dans une salle d'état-major de la Seconde Guerre mondiale avec, au centre, une sorte de plan-relief représentant la carte de jeu. Ça ressemble à un rêve éveillé de wargamer. En zoomant d'un coup de molette, les icônes représentant les bâtiments et les unités façon maquette de jeu de plateau, se transforment en vrais modèles 3D, à l'échelle du terrain, et R.U.S.E. prend alors le look d'une sorte de World in Conflict version 39-45.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
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Développé par les Français d'Eugen Systems, à qui l'on doit notamment l'excellent Act of War, R.U.S.E. nous était présenté dans une version jouable par Ubisoft à la gamescom de Cologne en Allemagne. L'occasion d'en apprendre un peu plus sur ce drôle de STR et son approche assez fourbe de la guerre. Depuis le confort d'un bunker stratégique planqué on ne sait pas trop où, les grands stratèges de ce monde s'affrontent sur un plateau virtuel dans des guerres secrètes impitoyables. Si l'on zoome un tout petit peu, l'intérieur de ces locaux militaires secrets disparait subtilement pour nous emporter directement sur le terrain afin de vivre le conflit au coeur même de l'action jusqu'au niveau du sol si l'on tient vraiment à regarder nos tanks droits dans les yeux. Cette caméra expansive est sans indéniablement la première chose qui frappe lorsque l'on découvre R.U.S.E. pour la première fois, en passant d'une vue aérienne très éloignée au plancher des vaches avec une fluidité redoutable, encore plus sidérante lorsqu'un développeur nous confie que la carte compte environ un milliard de polygones au total.
Parlons donc de RUSE : un jeu de stratégie en temps réel qui, même s'il est développé sur PC, est attendu en même temps sur PS3 et Xbox 360. Quand on parle de stratégie en temps réel sur consoles, les mots qui reviennent le plus souvent dans la discussion sont « compromis » et « édulcoration ». Vous voulez savoir pourquoi les RTS ne fonctionnent généralement pas sur consoles ? Le fait même que nous admettions d’entrée qu'ils ne fonctionnent pas y est sans doute pour quelque chose. Par ailleurs, RUSE d'Eugen Systems est doublement handicapé, car il se déroule pendant la Seconde Guerre Mondiale. Par conséquent, si nous en avons marre de dire du mal des contrôles sur consoles dans nos articles, nous pouvons toujours consacrer un paragraphe au fait qui y a déjà énormément de jeux sur la Seconde Guerre Mondiale et prétendre que Relic n'a pas vaincu avant tout le monde le Berlin de la critique avec Company of Heroes. Malgré tout, Mathieu Girard, le coordinateur du projet RUSE, semble tout à fait décontracté sur ces deux sujets. Les contrôles ? Eh bien, dit-il, RUSE n'a pas les mêmes problèmes que d'autres jeux pour plusieurs raisons.
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