Quantum Theory
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Nous avons réuni 11 tests du Quantum Theory. Les experts notent Quantum Theory 3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Quantum Theory et d'autres Jeux Playstation 3.
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Test Quantum Theory
Test de Quantum Theory
Après avoir surfé sur la vague du succès avec Dead or Alive et Ninja Gaiden, Tecmo tente de s'immiscer discrètement dans le monde très occidental du Third Person Shooter qui tâche. Le pari est osé, mais l'on pouvait espérer tout de même que le développeur réussisse un tube surprenant. Cependant, à ne pas vouloir mettre de Wax pour une glisse parfaite sur une déferlante de douze mètres, Tecmo s'est ramassé dans les grandes largeurs et ne risque pas de réessayer de si tôt au genre qui nous a apporté Gears of War.Difficile en effet de trouver un quelconque intérêt à cette production qui n'arrive à surnager dans aucun des critères qui peut faire d'un jeu vidéo un petit bijou. Le scénario est affligeant de pauvreté et symbolise là tout l'amour qui a été mis dans Quantum Theory. Vous incarnez Syd, un homme super balèze mais beaucoup moins classe qu'un Marcus Fenix, qui va tenter de détruire de vilaines tours aux origines inconnues qui répandent un virus mortel pour les pauvres humains aux alentours. Il croisera en chemin une entité de cette tour représentée sous une forme féminine qui aurait pu être aguichante si le chara-design n'était pas tout droit sorti de l'imagination d'un gothique de quinze ans.
PlayLipse
Ajouté le : 11/2010
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Quantum Theory
Quantum Theory a été annoncé en octobre 2008 comme une exclusivité PlayStation 3. Histoire d'avoir un argument un peu accrocheur, il avait été présenté comme une sorte de Gears of War-like pour la console de Sony. En décembre 2009, Tecmo crée la surprise et annonce que le titre débarquera aussi sur Xbox 360. Après plusieurs reports, celui-ci voit enfin le jour sur les consoles de nouvelle génération avec la promesse d'avoir un jeu pas comme les autres étant plus qu'un simple shooter. Promesse tenue ? Un univers post-apocalyptique, une sorte de mal qui ravage le monde (la Diablose), un héros super costaud qui doit détruire une tour, une partenaire nommée Filena qui tente dans un premier temps de l'en empêcher et deux ou trois mystères liés à cette dernière et la tour, voilà les ingrédients qui composent le maigre « scénario » de ce Quantum Theory. Même si l'histoire est souvent prétexte à tirer sur tout ce qui bouge, il faut reconnaître que l'on n'est jamais vraiment embarqué dedans malgré les cut-scenes et autres dialogues aux mises en scène extrêmement banales et aux répliques plates, voire dénuées d'intérêt.
Quantum Theory
Annoncé comme une exclusivité PlayStation 3 capable de rivaliser avec Gears of War, Quantum Theory s'est vu repousser plusieurs fois avant d'être finalement confirmé sur Xbox 360. Sorti dans l'indifférence générale après des previews peu élogieuses, le jeu est enfin passé entre nos doigts pour un test en profondeur. Voici donc en détails les raisons du naufrage.Passé une longue installation tout juste inadmissible de nos jours sur PlayStation 3, le joueur fait la connaissance de Syd, le héros du jeu. Personnage entièrement en armure largement inspiré des bidasses de Gears of War, ce dernier est présenté comme un mercenaire, seul capable de pulvériser de mystérieuses tours apparues un peu partout sur terre. Outre l'aspect insolite de voir des tours sortir du sol, c'est surtout le fait qu'elles contaminent la population locale qui inquiète. Une fois atteints, les militaires se transforment en créatures humanoïdes belliqueuses incapables de réagir autrement que par la violence. Au secours Syd, vous êtes notre seul espoir.Si le secret de la force de Syd sera dévoilé plus tard dans le jeu, les premières secondes permettent de se familiariser avec les bases du shoot them up reprises point par point par Tecmo Koei.
Test Quantum Theory
Peut-on copier une mécanique de jeu ? Beaucoup ont essayé. A l’époque des tout-premiers jeux vidéo, Magnavox a attaqué Atari qui avait copié son jeu de tennis pour créer Pong. Plus récemment, le développeur de jeux sociaux Zynga, créateur de FarmVille, a poursuivi son concurrent Playdom pour avoir soi-disant volé le « Zynga Playbook », un document renfermant de précieux concepts et techniques pour développer des jeux en ligne à succès. Le premier cas a été réglé à l’amiable, tandis que le second, non résolu, se poursuit encore à l’heure actuelle. Il semblerait bien que la frontière entre inspiration et plagiat ne soit toujours pas clairement établie dans le monde du jeu-vidéo. On ne peut pas dire que Quantum Theory « s’inspire » seulement de Gears of War. Bien que la tâche s’avère fastidieuse, il est impératif d’attirer l’attention sur les nombreux éléments qui ont été repris par Tecmo Koei. En ce qui concerne les mécaniques de base du jeu, ce n’est rien de moins qu’une copie flagrante du fameux TPS de Epic, dont la série s’est vendue à des millions d’exemplaires. Décortiquons un instant l’univers du jeu : un type baraqué est accompagné de son escadron bourré de testostérone.
Quantum Theory
Il en va des jeux vidéo un peu comme de la cuisine. On retrouve souvent les mêmes recettes mais la façon dont on vous accommode la sauce peut en changer radicalement le goût. C'est ainsi que les petits gars de chez Tecmo Koei croyaient certainement bien faire en nous mitonnant un TPS qui reprenait les ficelles du célèbre Gears of War. Malheureusement il faut bien reconnaître que la tambouille qu'ils nous proposent n'a plus grand-chose d'épique... Est-ce encore la peine de présenter Gears of War ? Le licence d'Epic Games s'est en effet imposée comme la Rolls du TPS, la Joconde du jeu d'action, voire la Sixtine de la tripaille. Le succès de la série a forcément fait quelques envieux et de nombreux jeux s'en sont inspirés ou revendiquent sa filiation. C'est par exemple le cas des équipes de PlatinumGames qui n'hésitent pas à présenter Gears of War comme un modèle pour Vanquish... Si de telles affirmations ont de quoi laisser sceptique, il faut reconnaître que d'autres studios japonais ne font pas dans la demi-mesure lorsqu'il s'agit de copier sur leurs collègues américains. C'est notamment le cas de Tecmo qui nous livre là un Quantum Theory qui flirte avec le plagiat.
Test de Quantum Theory
Il y a deux ans, Quantum Theory avait été annoncé. Il était présenté alors comme un digne représentant du TPS sur PS3, le genre de titre capable de faire de l’ombre à l’illustre Gears of War de la Xbox 360. Depuis, le temps a passé. Le jeu est finalement devenu multi-support avant d'être maintes fois repoussé aux calendes grecques. Comme souvent dans ces cas-là, on pouvait s'attendre au pire. Et c'est effectivement le pire qui a échoué à la rédaction ces derniers jours. Quantum Theory est bien le jeu raté que l'on craignait, avec son gameplay repompé sans vergogne sur Gears of War et sa réalisation d'une laideur incommensurable. Pourtant, le premier contact n'est pas si repoussant que cela. L'univers choisi a même tout pour plaire. Le monde est en ruines depuis l'apparition soudaine d'une tour gigantesque que l'on peut considérer comme « vivante ». Elle est composée de trachées, de poumons, d'un appareil digestif… Elle fonctionne à la manière d'un organisme et peut sécréter des anticorps sous forme de soldats zombies lorsqu'elle se sent attaquée.
Quantum Theory
Annoncé en grande pompe à l'occasion du Tokyo Game Show 2008, Quantum Theory avait été à l'époque présenté comme le Gears of War de la PS3. Gameplay identique, design similaire, le titre de Tecmo semblait avoir tous les atouts en main pour lutter à armes égales avec le hit d'Epic, à défaut d'être véritablement original. Deux ans et un passage en multisupport plus tard, le résultat se révèle malheureusement conforme aux previews alarmistes qui avaient jalonné son développement. Car il ne suffit pas d'aligner une galerie de mines patibulaires, des pétoires démesurées et un univers post-apocalyptique au rabais pour espérer venir taquiner Marcus Fenix sur son terrain. Pour cela, il aurait fallu un scénario digne de ce nom, une mise en scène efficace, une action soutenue, une ambiance, du rythme et, si possible, quelques morceaux de bravoure bien sentis. Des choses dont ce Quantum Theory s'avère totalement dépourvu. A la place, on se coltinera un héros bien lourdaud, honteusement modélisé, sexy comme un pot de chambre, à la visée délicate et à la maniabilité pachydermique, évoluant dans des décors désespérément vides, blastant jusqu'à la nausée des ennemis au design impressionnant de mauvais goût.
Gamekult
Ajouté le : 09/2009
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Quantum Theory (Preview)
Le Japon aura son clone de Gears of War, c'est à présent certain. Un clone gothique qui plus est. Annoncé l'an passé sur le salon, Quantum Theory de Tecmo était à présent jouable pour cette édition 2009 du Tokyo Game Show. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on se sentait en terrain familier, même s'il s'agit dans le cas présent d'une exclu PlayStation 3. Une tour immense se dresse à l'horizon, présage de jours sombres à venir. Certains la disent vivante, en perpétuelle évolution. Maudite. Envoyé sur les lieux, Marcus Ph... Syd, un gars baraqué dans une armure luisante, a pu le constater à ses dépens. Lui qui pourrait être le frère jumeau de Guts dans Berserk a vu ses frères d'armes laminé sous ses yeux, exécuté par une troupe de soldats d'élite. Il ne doit son salut qu'à Filena, l'héroïne aussi redoutable que mystérieuse, avec qui il décidera de pactiser pour s'infiltrer jusqu'au coeur de la tour. Les interactions entre les deux personnages sont d'ailleurs le seul véritable apport de Quantum Theory depuis Gears of War : moins enrobée que ce brave Dom, Filena pourra non seulement faire office de partenaire en vue du jeu en ligne, mais aussi de projectile humain.
Quantum Theory (Preview)
Le marché japonais a beau lui tourner le dos, Gears of War et sa suite Gears of War 2 parviennent à faire des émules auprès des développeurs japonais. Le titre de Epic Games a en effet séduit Tecmo qui a décidé de mettre sur pied un équivalent de Gears of War sur PlayStation 3. Et quand on sait que l’un des responsables du projet fait partie de la Team Ninja, il y a de quoi s’intéresser de près. Premières impressions depuis le Tokyo Game Show 2009 ! Qu’il s’agisse du chara-design, des mécaniques de jeu ou bien encore des thèmes abordés, Quantum Theory n’a aucune honte à exhiber ses références qui sautent considérablement aux yeux. Il suffit en effet d’un simple coup d’œil pour comprendre que Cliff Bleszinski et sa bande de programmeurs ont eu une influence colossale sur la production de Quantum Theory. C’est simple, la démo jouable qui nous a été proposée au TGS 2009 était un copié/collé quasiment parfait d’un niveau de Gears of War 2. Quasiment parce que le résultat n’est évidemment pas du même acabit. Graphiquement tout d’abord, le moteur 3D utilisé pour Quantum Theory n’est pas l’Unreal Engine 3 et cela se ressent immédiatement au niveau des textures, qui paraissent fadasses et floues quand on regarde de plus près.
Quantum Theory (Preview)
Pendant japonais au Gears of War d'Epic, Quantum Theory semble prometteur si on se base sur les divers visuels alléchants et autres vidéos bien montées proposées par Tecmo. Malheureusement, après y avoir joué au Tokyo Game Show, l'attente laisse place à l'effroi. Explications. Lorsque le papa de Ninja Gaiden s'intéresse de près à Gears of War, l'annonce de Quantum a de quoi faire saliver. En effet, outre un design science-fictionnel résolument japonais, on retrouve dans ce titre un héros aux muscles surdéveloppés, des pétoires surdimensionnées et une jolie demoiselle aux formes sursiliconées. Le concept, lui, reste simple. On avance, on se planque derrière les éléments du décor et on dégomme tout ce qui ose pointer le bout de son nez. Parfait, d'autant que ce titre exclusif à la PS3 est censé offrir aux possesseurs de la machine un jeu au moins aussi jouissif que celui disponible sur la machine de Microsoft. Le hic, c'est que passé notre session de jeu d'une vingtaine de minutes, on a du mal à croire que le tout est attendu pour le début de l'année prochaine au Japon.
Quantum (Preview)
Quantum se veut la réponse nipponne au Gears of War de Epic Games mais pour la console de Sony. Une intention louable qui fait la part belle à l’action frénétique, aux monstres hideux et autres grosses pétoires... Dans Quantum, on incarnera Syd, un soldat qui se lance à l’assaut d’une tour maléfique armé d’une énorme mitraillette. Quelles sont les forces qui ont pris possession de cet édifice, quelles sont leurs véritables intentions, on l’ignore. Mais ce n’est pas grave ! A l’instar d’un Gears of War, le but du jeu est de tout dézinguer en vue à la troisième personne. Lâché sans plus de précision dans cet univers de tour organique, nous avons donc pris un plaisir non dissimulé à faire exploser les extraterrestres dans des gerbes de sang jaunâtre et gluant, parfois même au ralenti. A la mitrailleuse ou au fusil à pompe, en se déplaçant avec la caméra dans le dos ou en faisant usage de la visée plus précise avec une vue au niveau de l’épaule, on se fraye un chemin dans ce décor à mi-chemin entre un vaisseau alien de Doom et une tour d’Oblivion.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Quantum Theory. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Quantum Theory.
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Quantum Theory : (3/10)
11 tests d’experts
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