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Nous avons réuni 8 tests du Puppeteer. Les experts notent Puppeteer 8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Puppeteer et d'autres Jeux Playstation 3.
Avec notamment les LittleBigPlanet et des titres multi-supports comme les derniers Rayman, la PS3 a offert quelques jeux de plateformes de grande qualité aux amateurs du genre. Alors que l'arrivée de la PS4 approche à grand pas, Sony leur propose un titre original nommé Puppeteer pour faire la transition en beauté. Mission réussie ? La réponse dans notre test. ? peine remis de notre claque prise sur Rayman Legends, voilà que nous avons déjà affaire avec un jeu du même genre, exclusif cette fois à la console de Sony. Fort heureusement, très vite, on se rend compte que Puppeteer témoigne d'une vraie personnalité qui en fait une expérience originale / savoureuse mêlant plateforme, action, énigmes et QTE. Pourtant, les bases de gameplay sont assez simples / communes voire même un brin trop redondantes au global : marche, saut, jet de projectiles, course-poursuite, combat contre des ennemis lambda ou des boss... Cependant, il faut préciser que le jeu est suffisamment varié / dynamique pour ne pas lasser et que ces bases ont été largement revisitées par les développeurs afin de lui donner une réelle identité. Ainsi, le saut simple et la marche existent certes, mais on se déplacera aussi très souvent en découpant des éléments de décor avec le ciseau magique de notre héros Kutaro (il reste en l'air tant qu'il y a quelque chose à découper).
Vous pensiez avoir tout vu en matière de jeux d'action/plateforme ? Le Japan Studio de Sony n'est pas exactement de cet avis et nous offre avec Puppeteer un titre surprenant à bien des égards : sans révolutionner le genre, il se permet de surprendre par son look, son rythme, et par un sens de l'humour qui réside aussi bien dans ses dialogues que dans ses multiples références au cinéma et à la littérature. Bref, si vous cherchiez un titre sympathique capable de vous occuper entre douze et vingt heures, voilà de quoi vous satisfaire !L'heure est grave : après s'être débarrassé de la Déesse qui régnait jusqu'ici sur notre petit satellite, l'autoproclamé Roi-Ours de la Lune s'est mis en tête de transformer tous les enfants en marionnettes afin de les asservir et d'utiliser leurs âmes pour accroître encore son pouvoir. Heureusement l'une de ses dernières victimes, Kutaro, ne l'entend pas de cette oreille et parvient à échapper à son geôlier avec un seul but : regagner sa liberté et celle de ses petits camarades !Pour atteindre son objectif, notre héros devra traverser 21 niveaux remplis de pièges et d'ennemis, et affronter les 12 généraux (inspirés de l'astrologie chinoise) de son terrible ennemi.
Annoncé l'an dernier à l'occasion de la conférence de presse de Sony lors de l'édition 2012 de la gamescom, Puppeteer pointe enfin le bout de son nez sur PS3 et veut nous montrer que le monde des marionnettes n'est pas forcément réservé qu'aux Guignols. Pour rappel, le titre en provenance de Sony Japan Studio nous permet de suivre les aventures de Kutaro, un enfant victime du roi Ours qui a décidé de se rebeller contre la Déesse de la Lune. Pour ce faire, ce dernier a volé la Pierre de Lune ainsi qu'une paire de ciseaux magique répondant au nom de Calibrus. Mais manque de chance pour cet Ours pas comme les autres, Kutaro ne se laissera pas faire et, malgré le fait qu'il soit décapité, il va partir à la recherche de Calibrus et tenter de regrouper tous les fragments de la Pierre de Lune. A cette fin, le héros va devoir parcourir de nombreux environnements variés et remplacer sa tête perdue par des têtes peu conventionnelles. Car l'un des éléments clefs du gameplay est la possibilité de découvrir jusqu'à 100 têtes différentes au fil de nos missions et d'en transporter jusqu'à trois maximum lors de nos déplacements.
Annoncé en 2012 durant la gamescom, Puppeteer s'est très vite distingué par sa direction artistique atypique et son univers haut en couleur. Un an plus tard, c'est l'heure du verdict pour ce jeu de plateformes développé par le talentueux studio de Sony Japan. Toujours aussi magique ? Se déroulant comme un conte pour enfant, Puppeteer ne cherche pas à avoir un scénario tortueux. Le titre de Japan Studio nous met en effet directement dans le bain avec une histoire simpliste. Kutaro, une âme-enfant récupérée par le méchant roi-ours de la Lune, se fait arracher la tête par ce dernier et jeter dans les bas-fonds du château tel un mouchoir. Pourtant, une sorcière et un chat-ailé, qui voient en Kutaro un moyen de vengeance, vont l'aider dans sa quête contre ce tyran et ses généraux qui règnent sur le satellite de la Terre. C'est là que l'aventure commence pour le joueur, qui va traverser différentes régions de la Lune durant les sept actes que contient le jeu (pour 8 heures de jeu). Aidé par ce fameux chat-ailé et par la suite une petite princesse (qu'un second joueur peut contrôler), on comprend très rapidement qu'il est possible de fouiller certains endroits du décor pour trouver des gemmes mais aussi, et plus important, des têtes qui vont permettre à Kutaro de survivre.
Dès son annonce, Puppeteer a su exciter la curiosité des amateurs de plates-formes, notamment grâce à son univers original prenant la forme d'un spectacle de marionnettes. A quelques jours de la sortie, il est désormais temps de vérifier par nous-mêmes si le contenu est à la hauteur de l'emballage. Puppeteer, c'est avant tout un spectacle aux airs de conte pour enfants. La Déesse de la Lune y a été trahie par son ancien nounours de compagnie, lequel lui a volé ses ciseaux magiques (nommés Calibrus) et la source de son pouvoir : la Pierre de Lune. Devenu le Roi-Ours de la Lune, il s'amuse à transformer les enfants en marionnettes alors chargées de défendre son empire du mal. Dans ce contexte, le joueur incarne Kutaro, sa dernière victime ayant la particularité d'avoir en prime été décapitée. Il lui faut dès lors trouver des têtes interchangeables, ainsi que tous les fragments de Pierre de Lune ayant été distribués aux généraux du Roi-Ours. Une ambiance exceptionnelle Cette quête s'avère intéressante à bien des égards, et notamment au niveau de la narration. Chaque action est ainsi commentée par une voix off extrêmement bien doublée et parfois assez drôle.
Le studio japonais de Sony regorge d'idées originales en ce moment. Développé en parallèle du mystique Rain, Puppeteer propose un trip marionnettiste au cœur de du royaume de la Lune, gouverné par le tyrannique Roi-Ours, dont le passe-temps favori est de kidnapper des enfants sur Terre afin d'en faire ses soldats de bois. Seulement l'un d'entre eux a décidé de lui voler dans les plumes afin de récupérer sa tête, que le despote a dévorée. Oui, ça sent le délire sous acide, et pourtant on a plutôt affaire à un conte dark et plein d'humour à la Tim Burton, qui devrait réunir les joueurs de différentes générations et de différents niveaux.Bienvenue sur la Lune donc. Dans l'histoire de Puppeteer toutefois, n'espérez pas trouver des cratères et ou un drapeau américain. La Lune est un Royaume dont la souveraine a été mise à bas par l'usurpateur Roi-Ours, qui a brisé au passage la Pierre de Lune et en a distribué les éclats à ses généraux, afin de les doter de pouvoirs exceptionnels. Toutes les nuits, il effectue des raids sur Terre afin d'enlever des enfants et d'enfermer leurs âmes dans des marionnettes qui lui serviront de petites mains. C'est le cas de Kutaro. Problème : ce dernier a tellement asticoté le despote, qu'il a décidé de lui bouffer la calebasse.
La rentrée des classes sonnera le 12 septembre pour la PlayStation 3, avec la sortie de Puppeteer, signé Sony Japan, à la fois commercialisé en Blu-ray et téléchargement. Petit parmi les gros, ce jeu de plates-formes pas comme les autres tente crânement sa chance dans un marché bientôt engorgé par les nouveautés pré-Noël. On peut déjà lui reconnaître qu'entre Mario, Rayman ou LittleBigPlanet, le petit Puppeteer a des arguments pour se faire remarquer dans la cour de récré. Verdict. Retrouvez en vidéo la première heure de Puppeteer. A en perdre la têteAu commencement de Puppeteer, il y a Kutaro, petite marionnette de foire dotée d'une âme d'enfant, mais pas d'une tête. Capable de sauter et de découper des monstres à grands coups de ciseaux géants, notre Pinocchio à l'envers - il s'agit cette fois d'un vrai garçon transformé en pantin - va déambuler dans un jeu de plates-formes en sept actes, soit 21 niveaux (ou rideaux), pour retrouver quelque chose à mettre sur ses épaules.
Depuis sa toute première apparition sur scène, Puppeteer n'a suscité que l'émerveillement. Impossible en effet de rester insensible au charme de ce pantin de bois qui tente de retrouver sa caboche, armé d'une paire de ciseaux, ni à l'univers fantasmagorique de cette quête. Mais mérite-t-il de nous faire perdre également la tête, ou s'agit-il d'une simple marionnette manipulée en coulisses pour titiller nos rêves de renouveau de la plate-forme ? Réponse à la fin de cette représentation...Interrogé sur la notion d'art dans le jeu vidéo, le directeur Gavin Moore avait préféré employer le terme "artisanat", et cette distinction prend tout son sens dès que s'ouvre le rideau de Puppeteer. Le décor se pose, morceau par morceau, en faisant trembler la scène au son des frottements sur les planches. Chaque élément réagit ainsi de manière indépendante et crédible, fût-elle un peu caricaturale, que ce soit une étoffe, un meuble, ou la flamme d'une bougie. Car si les protagonistes restent la plupart du temps sous le feu des projecteurs, d'autres lueurs minutieusement disposées viennent habiller les lieux, à l'instar de magnifiques effets atmosphériques.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Puppeteer. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Puppeteer.