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Nous avons réuni 18 tests du Prototype 2. Les experts notent Prototype 2 7.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Prototype 2 et d'autres Jeux Playstation 3.
Développé par Radical Entertainment sous la houlette d'Activision, Prototype avait tenté en 2009 de se faire une place au soleil au milieu des GTA IV, inFamous, Saints Row 2 et autres Assassin's Creed en proposant un savoureux mélange d'action débridée, de super pouvoirs à gogo et d'hémoglobine à l'hectolitre. Une recette intéressante sur le papier qui avait pourtant eu du mal à convaincre à l'époque, malgré des qualités indénibales. Trois années plus tard, le studio canadien a tenu compte des retours des joueurs et nous livre sa version revue et corrigée d'un super héros seul contre tous. Version PC : Sortie avec trois bons mois de retard sur ses homologues consoles, cette version PC a au moins le mérite d'être adaptée correctement. Un peu plus fine graphiquement, avec une distance de vue très légèrement augmentée, elle n'arrache pas la rétine mais n'est pas excessivement gourmande et tournera convenablement sur la plupart des machines, d'autant que les options graphiques de base sont bien présentes. Pour le reste, le jeu est en tous points identique et se joue très bien au clavier/souris, même si on préfèrera si possible brancher une manette, comme souvent dans ce genre d'adaptations.
Si Sucker Punch a réussi à transformer l'essai avec inFamous sur PlayStation 3, il n'en va pas de même pour Radical Entertainment et sa licence maison Prototype. Bien que le premier opus ait marqué les esprits grâce à sa violence exacerbée, certains défauts récurrents ne lui ont pas permis de prétendre à devenir un grand jeu. C'est ce que tentent une nouvelle fois les canadiens, basés à Vancouver, avec Prototype 2. Comme on a pu le deviner à travers maintes images et vidéos, ce n'est plus Alex Mercer que l'on contrôle dans le soft de Radical Entertainment, mais un tout nouveau personnage au nom de James Heller. Son histoire se révèle bien plus tragique que le précédent héros puisque cet ancien militaire a perdu sa femme et sa fille suite au virus qui a balayé New York et rejette la faute sur Alex Mercer. L'introduction nous met en tout cas directement dans le bain avec un James totalement suicidaire essayant de s'en prendre à l'omnipotent Alex. Une façon de présenter les principales actions de Prototype 2 avec un tutoriel plus ou moins scripté. Là où cela devient intéressant, c'est que le précédent héros va lui transmettre ses pouvoirs pour que notre ex-soldat découvre la vérité et se venge, au départ, des blackwatch et de la multinationale Gentek.
Prototype 2 peaufine le gameplay du premier volet sans apporter la fraicheur que laissait croire le changement de protagoniste. On retrouve le même genre de sensations défoulantes et violentes saupoudrées cette fois d'une pointe d'infiltration lors de la traque de nos cibles. Malheureusement les missions s'avèrent rapidement répétitives l'intelligence artificielle est à la rue et l'histoire n'est pas assez captivante pour nous motiver très longtemps. On décroche pour y revenir plus tard, peut-être. Après un premier volet concluant, l'équipe de Radical Entertainment remet le couvert pour Prototype 2. Est-ce que le virus du jeu est contagieux ? Généralement un prototype désigne le premier exemplaire d'un produit destiné à être fabriqué en masse. On admet donc plus volontiers que le premier jet soit teinté de défauts, et c'est même voulu compte tenu de la marge de progression. Arrivé au second exemplaire par contre, les choses sérieuses commencent et l'indulgence laisse place à de sérieuses critiques. Cette définition doit-elle s'appliquer au jeu de Radical Entertainment ?L'histoire de Prototype 2 reprend là où nous avait laissé le premier volet : dans un New York apocalyptique dévasté par un virus mortel propagé par le joueur, Alex Mercer.
En 2009 sortait un certain Prototype. Défouloir violent et sanguinaire, le titre avait alors su nous séduire, notamment grâce à son monde ouvert et le sentiment de toute puissance procuré. Quelques défauts majeurs étaient toutefois de la partie et on espère que le second opus qui nous parvient aujourd'hui saura parfaire le tableau. Si par malheur vous avez manqué Prototype premier du nom, ne vous inquiétez pas, ce second épisode comprend une vidéo qui vous familiarisera avec le contexte du jeu. Pour faire simple, un virus terrible (conçu afin de devenir une arme biologique) a été lâché sur New York transformant les êtres humains en véritables monstres. Cela vous aura permis de suivre les pérégrinations d'un certain Alex Mercer, infecté en quête de vérités et disposant de pouvoirs extraordinaires. N'en déplaise aux fans, Prototype 2 mettra quant à lui en scène un nouveau héros : James Heller. De retour chez lui après avoir servi en Irak, celui-ci apprend que sa famille a été éliminée par le virus et décide donc d'éliminer celui qu'il tient pour responsable, à savoir Mercer. Cependant, cette tentative désespérée conduira à la contamination d'Heller qui deviendra ainsi le nouveau prototype.
La première bataille opposant inFAMOUS à Prototype en 2009 (deux titres accrocheurs dans lesquels les joueurs incarnaient respectivement un super-héros vengeur et indiscipliné) s'étant soldé par un ex-æquo, leur éditeur respectif n'a pas résisté à l'envie de nous proposer chacun une suite. L'année dernière, Cole MagGrath rempilait dans InFAMOUS 2 et passait avec brio son second examen de passage au sein de la rédaction. Le remplaçant testostéroné d'Alex Mercer dans Prototype 2 est-il aussi parvenu à enchanter la populace ? Réponse dans notre test ! Prototype 2 reprend à peu de chose près l'histoire là où le premier volet se terminait, Alex Mercer parvenant à éradiquer le virus Blacklight. Alors que l'on pensait l'épidémie disparue, elle réapparait quelques mois plus tard à New York, avec au cœur de ce désastre biologique, James Heller - notre héros - un Marine dont la famille a trouvé la mort durant la propagation, et qui se retrouve contaminé par le même gène qu'Alex Mercer. Qu'on se rassure, le départ de Mercer n'est pas préjudiciable, ce dernier jouant malgré tout un rôle clef dans cette nouvelle itération, sans en dire trop.
Que deviendrait le jeu vidéo sans ses innombrables suites, ses licences usées jusqu'à la corde ? Il suffit de regarder le planning de fin d'année ou de jeter un œil sur les titres déjà parus en 2012 pour constater que l'originalité n'est pas vraiment au rendez-vous. Si l'on excepte la filière indépendante (Journey, Fez) ou encore l'excellent Catherine, les exemples de nouvelle licence restent largement minoritaires. On peut le regretter mais, à l'image du cinéma hollywoodien, si le jeu vidéo est devenu une industrie, de nombreux talents parviennent tout de même à insuffler une vision, des idées dans leurs productions, qui nous poussent à ne pas tirer un bilan alarmant du marché. D'Uncharted à Uncharted 2, impossible par exemple de reprocher à Naughty Dog de n'avoir proposé qu'une banale suite, bien au contraire. Avec le prochain Bioshock Infinite, on pressent également que le jeu n'aura rien d'un « Bioshock 3 ». On pourrait également citer GTA V (Rockstar dressant, épisode après épisode, un portrait éblouissant, et de plus en plus riche, de l'Amérique) et bien d'autres titres encore. Hélas, on ne citera pas Prototype 2. Mais est-ce pourtant un problème ?
Sans doute un peu « overhypé » lors de sa sortie en juillet 2009, Prototype a quelque peu divisé les foules : certains y ont vu un défouloir hyper jouissif là où d'autres ont peiné sur un jeu d'action bien mal calibré et à la réalisation discutable. Autant dire que les développeurs de Radical Entertainment avaient du pain sur la planche pour cette suite. L'objectif ? Conserver le fun et la sensation de puissance du premier volet, mais retravailler à peu près tout le reste. La mission est quasi-accomplie avec ce Prototype 2. Comme Alex Mercer au début du premier épisode, le sergent James Heller n'a qu'une idée en tête : se venger, ici des responsables de la mort de sa femme et de sa fille. Problème, c'est bien l'antihéros de Prototype qui est la cible du badass du second volet. Tout au long de la dizaine d'heures de scénario, les deux personnages, infectés par le mystérieux virus (Mercer contamine Heller au début du jeu), croiseront donc le fer tout en ayant des ennemis communs : la milice de Blackwatch et la multinationale Gentek, qui contrôlent une nouvelle fois New York, quatorze mois après les évènements de Prototype.
Gamekult
Ajouté le : 04/2012
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Développé par Radical Entertainment sous la houlette d'Activision, Prototype avait tenté en 2009 de se faire une place au soleil au milieu des GTA IV, inFamous, Saints Row 2 et autres Assassin's Creed en proposant un savoureux mélange d'action débridée, de super pouvoirs à gogo et d'hémoglobine à l'hectolitre. Une recette interessante sur le papier qui avait pourtant eu du mal à convaincre à l'époque, malgré des qualités indénibales. Trois années plus tard, le studio canadien a tenu compte des retours des joueurs et nous livre sa version revue et corrigée d'un super héros seul contre tous. Verdict. The blood, the sweat (à capuche), the tears La chose n'aura échappé à personne : que ce soit dans la vraie vie, avec le 11 septembre, au cinéma ou dans les jeux videos, New York, c'est souvent la ville qui prend cher. Prenez Prototype premier du nom par exemple. Un virus qui transforme ses habitants en mutants cannibales, une société pharmaceutique qui joue aux apprentis sorciers, des militaires zélés qui tirent dans le tas et au milieu de ce joyeux et sanguinolant foutoir, un super (anti) héros malgré lui, Alex Mercer, en quête de rédemption et de réponses à ses questions existentielles. D'où lui viennent ses prodigieux pouvoirs ?
Petit rappel, du gros défaut, du premier opus. Le héros, Alex Mercer, commençait l'aventure plus ou moins amnésique. Plus ou moins parce que de temps en temps, après certaines missions, des flashs inondaient son esprit, comme des décharges de 10.000 volts. C'est avec ça qu'il fallait composer pour reconstituer l'histoire de Prototype ; une histoire forcément déstructurée, partielle, tant qu'on n'avait pas ouvert pas mal de choses. Résultat ? Je n'ai pas compris la moitié de ce que voulait dire Radical Entertainment et je suis certain d'être passé à côté de plein de choses. Mais vous voulez que je vous dise ? Je m'en tape complètement. Parce que Prototype a probablement été l'univers ouvert le plus fun auquel j'ai joué. Et, pour une fois, j'ai un peu mis le scénario de côté pour le simple plaisir de la destruction. Comme on casse un château en Lego d'un mètre de haut, j'ai pris plaisir à détruire tout ce qui passait à portée de mes armes. Je crois que si on mettait tous les super héros, Marvel, DC Comics, ceux du cinéma, des séries TV dans un même sac et qu'on secouait le tout, Mercer en sortirait grand vainqueur. Là, je pense que vous avez une première inquiétude : si je n'ai rien compris au premier, s'il me manque des bouts de scénario, comment s'engager à fond dans Prototype 2 sans être complètement paumé ?
Gamekult
Ajouté le : 03/2012
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Spectaculaire et sanglant, mais lassant et perturbé par des soucis de jouabilité, le premier Prototype nous avait laissé sur notre faim tout en posant des bases encourageantes pour une éventuelle suite. Et justement, Radical Entertainment s'est sérieusement mis au travail pour corriger ses petits ratés et tenter de livrer Prototype 2 à la hauteur des espoirs que l'on avait placés en lui. A un mois de sa sortie, nous avons pu parcourir le jeu pendant une bonne heure et demi. Place au carnage ! Si l'on doit d'ores et déjà tirer une leçon de cette session de jeu dans Prototype 2, c'est l'indéniable bonne volonté de Radical Entertainment qui a, semble-t-il, tout fait pour que cette suite réponde à nos attentes. Autant à l'écoute des critiques déçues que des avis enthousiastes, le studio canadien a ainsi gardé intacte son ambition de créer un super-héros tout-puissant, capable de prouesses surhumaines et d'une rare violence. Infecté par Alex Mercer en personne (héros du premier volet), c'est James Heller que l'on incarnera désormais, découvrant peu à peu tout le potentiel destructeur de sa mutation. Comme son géniteur mutant, Heller court à une vitesse ahurissante aussi bien au sol que sur les façades des buildings, fait des bonds démentiels, peut planer dans les airs...
À Vancouver, c'est là-bas que ça se passait, on avait pu découvrir les deux versants d'un même jeu : le début et un moment où le personnage est très avancé et a tous ses pouvoirs. C'est relaté dans cette preview.Aujourd'hui, revenons sur le début et surtout sur la base du scénario. Comme vous le savez probablement, le héros de Prototype 2 n'est plus le même que dans le premier opus. Dans le premier, on incarnait Alex Mercer, un ingénieur de chez Gentek qui, en une quinzaine d'heures de jeu, avait réussi à maitriser ses pouvoirs, en développer d'autres, être devenu une véritable machine à tuer, impossible à arrêter. Difficile dans ces conditions de reprendre le même personnage. C'est pour cette raison que James Heller a été inventé par les développeurs. Lors de l'arrivée des premières vidéos, on a compris que Mercer et Heller n'étaient pas les meilleurs amis du monde, le second reprochant au premier d'avoir tué sa famille. Ça allait promettre un combat d'anthologie. Mais Mercer s'explique et les diplomates ont pris le pas sur les hommes d'action. Durée du conflit ? 10 minutes. Pour tout dire, je suis un peu resté sur ma faim, je misais sur un affrontement final Mercer / Heller.
Suite on ne peut plus directe au premier Prototype, Prototype 2 fait pourtant figure de nouveau départ, tout du moins scénaristiquement parlant. Alex Mercer n'est désormais plus qu'un énième mutant qui hante les rues de New-York et c'est le Sergent James Heller qui va porter cette fois-ci le fardeau de la contamination. Dans une situation encore plus apocalyptique, ce dernier va devoir suivre les traces de son prédécesseur et désosser tout ce qui lui passe sous la main, en jouant également sur sa capacité à se fondre dans le décor. Un schéma de base relativement similaire qui n'est, sur le papier, qu'une introduction à une rénovation de fond. Le prototype est-il maintenant passé en phase de validation ? Premiers éléments de réponse dans cette preview de Prototype 2.Malgré son allure d'Altaïr moderne et ses faux airs de justicier de l'ombre, Alex Mercer n'est pas vraiment porté sur l'aide à son prochain. Son truc à lui était davantage de massacrer du soldat, de découper des choses et de traquer des hélicoptères de manière obsessionnelle. Des agissements qui n'ont eu qu'une petite conséquence, l' évolution du virus BLACKLIGHT au sein de Manhattan, et ce jusqu'à recouvrir une bonne partie de la ville.
C'est dans le studio de Radical à Vancouver que l'éditeur Activision nous a conviés pour découvrir la version bêta de Prototype 2. Après une après-midi avec l'équipe de développement, on en sait beaucoup plus sur ce qui nous attend ! Vous trouverez dans cet article les tous derniers détails sur ce titre qui devrait aisément faire patienter les amateurs d'action jusqu'aux grandes vacances ! Si vous avez suivi ce jeu sur Jeuxvideo.com, vous savez probablement déjà que le héros du précédent opus Alex Mercer ne sera pas le protagoniste principal de cette suite. Il ne sera pas exclu de l'aventure pour autant, puisque le personnage que l'on incarnera ; James Heller, sergent de l'armée de son état, le tient pour responsable de la mort de sa femme et de sa fille, en propageant le virus qui a contaminé New York. De retour de mission en territoire étranger, il n'a alors qu'une idée en tête, trouver Alex et le faire payer pour ses crimes. C'est ainsi que débute le jeu, mais cette quête de vengeance va prendre une toute nouvelle direction après seulement quelques minutes de jeu. Dans la scène cinématique d'introduction qui nous a été montrée lors de la présentation, James affronte Alex dans un combat inéquitable et même perdu d'avance.
Gamekult
Ajouté le : 08/2011
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Quatorze mois se sont écoulés depuis les évènements de Prototype premier du nom et la ville de New York se remet difficilement des aventures rocambolesques d'Alex Mercer. Si les forces de Blackwatch et les scientifiques de Gentech s'amusent beaucoup à poursuivre leurs expériences sur la population en grande partie infectée de la ville, ils tiennent toujours autant à éliminer le fameux métamorphe emocore à capuche. Malheureusement, le tueur qu'ils ont envoyé pour se débarrasser de Mercer s'est approché tellement près de sa cible qu'il est devenu lui aussi un supermutant bardé de pouvoirs mortels. Plus on est de folles plus on rigole. Shoryuken Rebaptisée en New York Zero après les évènements du premier Prototype, la Grosse Pomme se retrouve en plus partagée en trois zones : la zone verte relativement vivable bien que contrôlée par les forces armées de Blackwatch, la zone jaune peuplée d'habitants infestés sur lesquels Gentech pratique des expériences scientifiques forcément un peu louches et enfin la zone rouge, repaire d'Alex Mercer et enfer sur Terre.
Eh oui, mon premier RDV sur l'E3 porte donc sur Prototype 2... J'avoue que je n'accroche que rarement aux titres purement open world comme l'avait été le premier opus. J'ai besoin d'un scénario, d'un bout de narration quoi ! Mais bon : si la présentation à laquelle j'ai pu assister était basée sur une version pre alpha du titre, mais cela donnait déjà pas mal d'indication sur ce vers quoi les développeurs veulent aller. Me voilà donc assis, dans une des salles de cinéma du stand Activision, en compagnie d'autres journalistes... Le Monsieur qui nous fait la présentation, c'est Jonathan Lin, l'un des producteurs du titre. Il commence d'ailleurs par nous informer que 2.1 millions de Prototype ont été vendus. Il pense que le premier opus pouvait être résumé à cette phrase (tiré du comic Penny Arcade) : In prototype, you can do a karate kick on a helicopter… What the else do you fucking want ?... En clair, le titre était un bon défouloir, mais était loin d'être parfait. Comme d'habitude, il affirme que lui et ses équipes ont voulu garder ce qui était bon dans le premier volet, et enlever ce qui avait déplu.
Eh oui, mon premier RDV sur l’E3 porte donc sur Prototype 2… J’avoue que je n’accroche que rarement aux titres purement « open world » comme l’avait été le premier opus. J’ai besoin d’un scénario, d’un bout de narration quoi ! Mais bon : si la présentation à laquelle j’ai pu assister était basée sur une version pre alpha du titre, mais cela donnait déjà pas mal d’indication sur ce vers quoi les développeurs veulent aller. Me voilà donc assis, dans une des salles de « cinéma » du stand Activision, en compagnie d’autres journalistes… Le « Monsieur » qui nous fait la présentation, c’est Jonathan Lin, l’un des producteurs du titre. Il commence d’ailleurs par nous informer que 2.1 millions de Prototype ont été vendus. Il pense que le premier opus pouvait être résumé à cette phrase (tiré du comic Penny Arcade) : « In prototype, you can do a karate kick on a helicopter… What the else do you fucking want ?« … En clair, le titre était un bon défouloir, mais était loin d’être parfait. Comme d’habitude, il affirme que lui et ses équipes ont voulu garder ce qui était bon dans le premier volet, et enlever ce qui avait déplu.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 06/2011
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Prototype était le parfait exemple du jeu à recette, suivant scolairement le programme du genre bac-à-sable (ajoutez une pincée de super pouvoirs pour le goût), mais tombant également dans ses travers typiques. Chacune de ses idées potentiellement jouissives étaient en effet sapées par la répétitivité des situations, et son action dénuée de perspective dramatique se vouait à un oubli rapide : pas d'histoire, pas de colonne vertébrale, et c'est toute la substance du jeu qui flanche. Le développeur Radical Entertainment nous présentant le jeu à Londres en est pleinement conscient lorsqu'il nous dit que « les retours des joueurs ont été pris en compte » et corrigés. La présentation relativement courte nous permettait de découvrir quelques phases de jeux censées illustrer les progrès de ce nouvel épisode. De fait, la présentation basée sur une version pré-alpha laissait effectivement entrevoir une amélioration sur certains des points les moins réussis de Prototype, à commencer par la variété de ses décors. A l'instar d'Infamous 2 qui reste son concurrent direct sur le créneau du jeu bac-à-sable à super héros, on nous promet une ville nettement plus grande mais également plus précise,où chaque quartier se veut le fruit d'une attention marquée au détail.
Présenté par le biais d'une succession de séquences réalisées avec une version pré-alpha, Prototype 2 laissait pourtant déjà entrevoir toutes les qualités attendues d'une bonne grosse suite. Liberté de mouvement, pouvoirs aussi impressionnants que destructeurs et action décomplexée, voilà les ingrédients que les petits gars de Radical s'apprêtent à mixer une nouvelle fois pour le plus grand bonheur des petits, mais surtout des grands. Quatorze mois se sont écoulés depuis les pérégrinations sanglantes d'Alex Mercer dans le premier Prototype. Quatorze mois pendant lesquels la pauvre ville de New York a continué à se dégrader, rongée de l'intérieur par une terrible infection affectant aussi bien les bâtiments que les habitants. La propagation de l'infection a d'ailleurs abouti à la formation plus ou moins forcée de trois zones distinctes. La zone rouge tout d'abord, totalement irrécupérable, infectée jusqu'au trognon et peuplée de bestioles qui furent jadis humaines. On passe ensuite à la zone de quarantaine ou zone jaune, dont les origines industrielles sont maintenant noyées par une marrée de réfugiés qui s'entassent tristement dans un gigantesque bidonville, sans possibilité de sortir. Enfin, la zone verte est la moins touchée de la ville, mais est toutefois sujette à la loi martiale instaurée par la milice Blackwatch.
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