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Nous avons réuni 17 tests du Pro Evolution Soccer 2011. Les experts notent Pro Evolution Soccer 2011 7.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Pro Evolution Soccer 2011 et d'autres Jeux Playstation 3.
Univers Consoles
Ajouté le : 11/2010
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Malgré les efforts répétés pour mettre en avant l'aspect simulation dont veut s'imprégner Pro Evolution Soccer, la Licence n'avait au passé que peu convaincu les amateurs du genre. Ceci est heureusement sur le point de changer grâce à cette nouvelle saison. Avec à une poignée de nouveautés, dont quelques-unes bien significatives, PES 2011 atteint cette année un niveau de réalisme qui apporte un nouveau plaisir au gameplay et un semblant de fraicheur à vos rencontres vidéoludiques. Explication grâce à notre test... Le premier changement à remarquer dans ce PES est bien évidemment noté au niveau des graphismes. Bien que le moteur graphique adopté soit le même que celui de PES 2010, celui-ci a eu droit à un lifting au bénéfice de la fluidité des mouvements mais aussi à la qualité de la modélisation. Il suffit de quelques minutes de jeu pour remarquer le résultat. Autres de plus beaux graphismes, Pro Evolution Soccer 2011 bénéficie de superbes ralentis. Les réactions des joueurs suite à une action sont largement plus convaincantes et donnent ainsi vie au match. Hélas, nous ne pourront en dire autant des stades ou de l'ambiance qui les caractérise.
Depuis l'avènement des consoles haute définition, la série Pro Evolution Soccer n'arrive pas à retrouver son leadership légendaire. Qu'il est loin le temps de la PlayStation 2 où la franchise de Konami régnait en maître dans le monde des simulations de football, reléguant le FIFA d'Electronic Arts aux oubliettes. Après des versions 2008 et 2009 complètement dépassées, la cuvée 2010 avait su redresser la barre, même si ce n'était pas encore l'extase par rapport à FIFA, qui lui, avait passé l'examen PS3 et 360 avec succès depuis longtemps. C'est donc sur cette pente ascendante que Pro Evolution Soccer 2011 passe par la case test et espère rattraper son concurrent direct. Beaucoup de modes de jeux Comme tous les ans, Konami n'a pas chômé pour vous proposer de nombreux modes de jeu. Vous allez donc retrouver le célèbre mode Ligue des Masters, mais avec une nouveauté très appréciable, la possibilité d'y participer en ligne. Ainsi, vous devrez choisir votre équipe favorite, ou en créer une, et la mener au sommet. Si dans le mode hors ligne, vous pourrez choisir entre prendre une équipe avec son effectif réel ou avec les fameux joueurs inconnus du monde du football (Ximenez, Minanda, Espinas ou encore Castolo), vous devrez obligatoirement sélectionner le deuxième choix pour le mode en ligne afin de rendre les parties équilibrées.
Nous aurions sincèrement aimé vous offrir un comparatif FIFA 11/PES 2011 dans le but de vous convaincre que cette année, plus encore que les précédentes, on pourra être partisan d'une série sans avoir à se faire atrocement dénigrer par les fans de l'autre (si la mauvaise foi se fait discrète bien entendu). L'année dernière, l'édition 10 de FIFA avait battu sans trop de mal un PES 2010 sur le retour. La confrontation entre ces deux juteuses licences est-elle plus équitable aujourd'hui ? On avait pris l'habitude, à chaque sortie d'un nouveau PES, de se rapprocher toujours un peu plus de la réalité du terrain, de se permettre de quasiment la tutoyer avec cependant une politesse certaine. Konami a certes bafouillé ses formules ces dernières années, mais tente depuis peu de remettre de l'ordre dans ses idées. PES 2008 inspirait la pitié, PES 2009 était à regarder du coin de l'oeil, et quant à PES 2010, il ouvrait le chemin vers une nouvelle consécration tout de même très attendue, pour ceux y croyant encore.Etant donné que nous avons déjà abordé certains aspects de PES 2011 dans nos impressions sur la bêta de la Master League Online, nous n'allons pas revenir sur ces points précis.
Que le chemin de croix paraît long et dur pour Pro Evolution Soccer, une série portée aux nues la génération précédente, et qui se présente aujourd'hui en challenger pour une nouvelle année consécutive. Une chose est sûre : avec Pro Evolution Soccer 2011, Konami a décidé de ne plus se reposer sur ses acquis, et de revoir le gameplay de fond en comble pour fouler de nouveau les sentiers de la gloire. L'orgueil retrouvé du champion ? Plusieurs émotions s'entremêlent à l'évocation de Pro Evolution Soccer 2011, mais c'est le soulagement qui domine. Ouf, on va enfin pouvoir regarder la simulation de Konami dans les yeux, avec respect, ou sans gêne, tout du moins. La transition fut difficile, le compromis trouvé risque de diviser, mais on a enfin un jeu qui se tient, loin des versions expérimentales qui donnaient des envies d'ailleurs. Fini les boulevards sur les ailes et les actions stéréotypées : tout a été mis en oeuvre pour retourner dans le droit chemin, celui de la simu, où les scores fleuves sont aussi rares que gratifiants. C'est d'abord une question de rythme, beaucoup plus calme, moins enlevé.
C'est la reprise ! Ce mois de septembre représente en effet le début d'une toute nouvelle saison pour le football virtuel avec le lancement simultané de FIFA 11 et PES 2011. Un match au sommet provoqué par Konami qui, contrairement aux années précédentes, a décidé d'avancer la date de commercialisation de son titre. L'éditeur japonais passe donc à l'offensive avec une version qui s'annonce comme le meilleur cru depuis l'arrivée des consoles nouvelle génération. Alors, PES 2011 a-t-il les reins assez solides pour reprendre son trône et conquérir à nouveau les fans du ballon rond ? Réponse dans ce VidéoTest. Si l'on ne va pas refaire l'histoire, rappelons juste que PES a perdu sa couronne de champion incontesté de la simulation lors du passage - délicat - vers les consoles nouvelle génération. Le géant américain Electronic Arts a profité de ce moment de faiblesse pour muscler le jeu de FIFA et devenir ainsi la référence du genre. Quoi qu'on en dise, c'est aujourd'hui incontestable. Mais autant vous prévenir directement, nous ne rentrerons pas dans la comparaison détaillée entre FIFA 11 et PES 2011.
Alors que le passage à la HD a été l’occasion pour la série Pro Evolution Soccer de voir son statut de roi partir en éclat au profit de la concurrence. Konami nous livre aujourd’hui l’opus 2011 de sa simulation de foot avec comme mot d’ordre, la liberté retrouvée pour les joueurs. Nous allons donc voir ensemble ce qui se cache véritablement derrière ce nouveau volet de la simulation de Seabass. Afin de marquer le changement avec les précédents épisodes, Konami a décidé de retravailler une nouvelle fois les menus de son jeu pour nous montrer qu’il était temps de rentrer de plein fouet dans la guerre que lui livre FIFA. Malgré le nouveau design des menus, on se rend vite compte qu’il n’y aura pas trop de nouveauté cette année au niveau des modes de jeu. En effet, seule l’icône Copa Libertadores et le retour du PES Shop répondent présents au niveau des nouveautés. Pour ceux qui n’auraient pas suivi, la Copa Libertadores est l’équivalent de notre Champion League pour les clubs d’Amérique du Sud. Si l’on décide de s’aventurer un peu plus dans les menus avant de lancer un match, on se rend vite compte que l’équipe de Konami a tout de même cherché à rendre son jeu beaucoup plus agréable à l’œil en optant pour des menus plus clairs et une fonction de type drag & drop pour intervertir les joueurs entre eux.
Egalement disponible sur : Cela fait maintenant trois ans que l'on attend cette fameuse "vraie" édition next-gen de PES dont Seabass nous parle depuis des siècles. Trois saisons durant lesquelles FIFA aura eu le temps de retrouver sa mainmise sur le genre, chose qui n'était certainement plus arrivée depuis 1999 et l'avènement de la saga ISS. Autant dire une autre époque. Alors pour tous les fans qui ont connu presqu'une décennie de foot made in Konami - à l'époque des Petiot, Djerkof, Zedane et Wiltordu - et qui attendent avec impatience la renaissance du phoenix, cet opus 2011 pouvait avoir une saveur toute particulière. Oubliées les décevantes versions précédentes où les seules nouveautés se trouvaient dans les menus de la Master League : avec Pro Evolution Soccer 2011, Konami nous annonçe ni plus ni moins le come back de l'histoire du football virtuel, le retour du roi. Vous comprendrez alors pourquoi notre coeur battait très fort lorsque le titre du jeu est apparu à l'écran.Bienvenue dans les menus de PES 2011. "Exhibition", "Master League", "UEFA Champion's League", "Vers une légende", "Ligue/Coupe", "Jeu online", on a droit à du grand classique.
« Il ne nous reste plus qu’espérer que les prochaines semaines soient mises à profit pour gommer toutes les imperfections qui ne permettent pas, pour l’instant, à PES de surpasser FIFA à nos yeux. » C’est en ces termes que nous avions conclu notre preview de Pro Evolution Soccer début août. Deux sentiments se mélangeaient dans cette phrase. La frustration, tout d’abord, d’avoir eu entre les mains une version inaboutie, buggée voire carrément désagréable par moments. L’espoir, dans un deuxième temps, de recevoir une mouture finale totalement expurgée de son monceau de soucis pénibles et qui mettrait dignement en valeur les efforts consentis par Konami. Aujourd’hui, alors que PES 2011 nous a livré tout son potentiel, il est temps de rédiger le verdict. Et comme vous allez le voir, .Les vitessesPES 2011 propose cinq vitesses de jeu différentes, allant de –2 à +2, 0 étant l’option choisie par défaut. On a bien du mal à comprendre l’intérêt des deux vitesses négatives. Sous prétexte de ralentir et de poser le jeu, elles le rendent surtout mou et chiant. En revanche, +1 et +2 apportent un dynamisme intéressant. A la rédaction, nous avons d’ailleurs finalement décidé de jouer la plupart de nos matchs en vitesse +1.
Pas lassé de passer plus ou moins à côté de son sujet depuis trois saisons, Konami insiste et compte bien prouver par les faits sa volonté de redonner à la série PES un aspect simulation qu'elle a perdu à l'arrivée des consoles nouvelle génération. Un discours résolument optimiste qui permet aux joueurs de penser que cette fois, le développeur japonais a réussi à rectifier le tir sans pour autant renier la nature de son jeu de foot. Lors de nos deux premiers contacts avec PES 2011, à l'E3 puis à la gamescom, nous étions ressortis plutôt enthousiastes quant à la capacité de Konami à proposer un titre plus équilibré que ces dernières années. Notre avis n'a pas connu de bouleversement et il est évident que cet opus est un cran au-dessus de son aîné. Sans tirer un trait sur ce qui a été fait depuis Pro Evolution Soccer 6 sur 360, les équipes de Seabass se sont affairées à stabiliser le gameplay pour faire en sorte qu'il n'ait plus ce côté bourrin et arcade qui a tant déplu récemment. Les nets progrès constatés l'année dernière n'ont pour autant pas pesé bien lourd dans l'orientation de PES 2011, résolument différent, résolument nouveau.
Tous les ans, c'est le même refrain : « Pro Evolution Soccer est revenu à la vie ! », « Nous avons tiré les leçons du passé ! ». Le fait est que PES millésime 2010 n'était finalement pas aussi intéressant qu'il en avait l'air, se contentant d'appliquer de nouvelles couches de personnalisation tactique et un éventail de mouvements légèrement amélioré sur le même jeu boiteux que nous avions aimé il y a cinq ans. PES 2011 est différent et c'est évident dès le départ. Les nouveaux modèles de joueurs et les nouvelles animations ne sont pas seulement un embellissement réussi de la version de l'année dernière - ils ont changé. Dans la majorité des cas, les joueurs se déplacent naturellement et, grâce à un éventail plus large de mouvements directionnels, le jeu est précis et réaliste. Même la ressemblance des joueurs - un domaine dans lequel on pourrait sans doute se montrer indulgent envers Konami dès lors qu'il a essayé de tout repenser en l'espace de 12 mois - est crédible. Le développement est clairement encore en cours dans certains cas, car les tacles paraissent parfois maladroits et la balle donne quelquefois l'impression de coller sur une brève distance au pied d'un joueur qui court, mais il est juste de dire que même à ce stade précoce du développement, le remaniement graphique de PES réduit plus que nous l'espérions l'écart avec le très abouti moteur de FIFA.
Cela fait maintenant quatre ans que Konami nous assure que son PES va retrouver son lustre d’antan. Quatre années pour autant de désillusions. Seabass et ses hommes avaient beau assurer qu’ils redoublaient d’efforts, les promesses ne semblaient jamais tenues tandis que l’écart avec FIFA se creusait irrémédiablement. Les Japonais avaient-ils besoin d’un signe fort pour se mettre vraiment au travail? Le fait que FIFA 10 se soit mieux vendu que PES 2010, chose qui ne s’était pas produite depuis les premières années de la PS2, a-t-il fait l’effet d’un électrochoc? C’est possible. Surtout si on écoute les heureux élus ayant découvert la mouture 2011 en avant-première ces dernières semaines... Mais plutôt que de se fier à ces louanges a priori sincères, nous avons attendu la version preview pour nous forger notre propre avis. Un verdict là tout de suite ? Alors . Oui, PES est transfiguré par rapport à l’an dernier. Mais est-ce que PES 2011 est un jeu de foot exceptionnel? Pour la réponse, rendez-vous en bas de page…Les yeux et les oreillesLe jeu est légèrement plus fin et mieux détaillé mais ce sont surtout les nouvelles animations des joueurs qui rendent l’expérience visuelle plus intéressante.
PES 2011 ne sortira qu'à la fin du mois d'octobre mais Konami nous a déjà fourni une version preview afin d'avoir un avant-goût de ce qui attend les fans de la série. Nos quelques heures de pratique sont surtout l'occasion d'établir un premier contact avec ce cru 2011, sans tirer de conclusions hâtives, dans un sens comme dans l'autre. A presque trois mois du terme, difficile de considérer le contenu (modes de jeu, licences, transferts...) de cette version comme fiable, le jeu n'étant pas terminé, la saison pas réellement entamée et le marché des transferts encore ouvert jusqu'à la fin août. De fait, nous nous garderons bien d'émettre des critiques sur cet aspect du jeu, notre navigation dans les menus n'ayant pas été approfondie outre mesure. L'essentiel était en effet d'accumuler les heures de jeu afin de noter les progrès qui ont été faits depuis PES 2010, tout en tiquant par-ci par-là sur quelques accrocs susceptibles de nuire au gameplay. Rapidement, on a pu constater que PES va en s'améliorant, sans doute plus nettement cette année que les précédentes. Tout n'est pas parfait et aussi étrange que cela puisse paraître, ce nouveau volet compte tout autant de côtés "simulation" que de côtés "arcade", selon que l'on parle du rythme du jeu, des frappes de balle, de la gestion des contacts ou de la physique du ballon.
J'aime cet article 3 personnes aiment cet articleEgalement disponible sur : Trois semaines après la fin de la Coupe du Monde et à une semaine de la reprise du de notre championnat de Ligue 1 préféré, il était temps de reparler un peu ballon rond. Si l'année 2010 restera forcément dans les mémoires comme l'année où les millionnaires bleus se sont mis en grève, il ne faut pas non plus oublier que du côté des consoles, elle marquera aussi l'arrivée de deux jeux dont on attend énormément. L'un d'entre eux n'est autre que PES 2011, dont les fans espèrent beaucoup, surtout depuis que la franchise de Konami a perdu de sa superbe ces dernières années, laissant du coup FIFA s'imposer dans les foyers. Cette année, Konami a annoncé la couleur : à l'instar du grand projet de Laurent Blanc avec l'Equipe de France, 2010 marquera l'année du renouveau pour PES. Nous avons d'ailleurs pu tâter la bête, et voici nos premières impressions.Mettre la main sur un nouveau PES, c'est s'exposer à un "double effet Kiss Cool". Chaque année la rengaine est la même : passées quelques parties peu ragoûtantes, placées sous le signe de la frustration et de l'échec, le titre finit par dévoiler ses charmes. Un peu comme un joueur brésilien qui débarquerait au PSG en plein hiver...
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
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Tous ceux qui suivent l'actu sur Gamekult le savent, nous avions eu l'opportunité de découvrir Pro Evolution Soccer 2011 au printemps dernier, dans les locaux même de Konami. Passé le scepticisme bien légitime au vu des saisons passées, le jeu avait su éveiller en nous une certaine curiosité en faisant quasiment table rase des versions précédentes. Il nous tardait donc de recevoir le jeu en mains propres, au stade de la preview, pour enfin vérifier si l'emballement était justifié ou non. Allez, quitte à se mouiller un peu au stade de la preview, autant que les choses soient claires illico : oui, PES est de retour aux affaires ! Après deux traversées du désert et une saison de convalescence, la simu de Konami confirme les belles promesses entrevues au printemps dernier. Mais fini les concessions, il va vraiment falloir bosser le temps de retrouver ses marques, surtout pour ceux qui auraient changé de chasuble ces dernières années. En imposant de doser la moindre passe, PES 2011 réclame une attention de tous les instants. Il n'est d'ailleurs pas rare de voir les ballons filer en touche au cours des premières parties, malgré les jauges de puissance à l'écran. Et même avec un peu de pratique, l'absence ou presque d'assistance rend le jeu extrêmement pointilleux. Trop sans doute pour les débutants.
Elève assidu de l'Ecole de Foot depuis trois saisons maintenant, la série Pro Evolution Soccer a visiblement décidé de se bouger les fesses cette année. C'est en tout cas l'impression que nous avons eue en sortant de la présentation du jeu à laquelle nous avons assisté sur le stand de Konami, lors de la première journée de l'E3 2010. SeaBass et ses équipes tiennent-ils enfin leur revanche sur FIFA et Electronic Arts ? Premiers élements de réponse.Oui, PES 2011 nous a agréablement surpris, même s'il convient de ne pas s'enflammer tant l'ancienne gloire du football virtuel nous a déjà feintés à plusieurs reprises. Mais il semblerait que cette fois-ci soit la bonne, et que la profonde remise en question évoquée par nos confrère qui ont eu la chance de découvrir le jeu au Japon, dans les locaux même du studio, se répercute enfin sur le terrain. La rédemption de la licence repose sur deux révisions majeures du gameplay. La première concerne l'ajout d'une jauge de puissance qui accompagne désormais chaque centre, chaque passe, chaque touche, chaque frappe du joueur pour assurer des actions moins scriptées.
Il est facile de promettre du changement, mais beaucoup plus dur de tenir sa promesse. La dévotion fanatique que la série de football de Konami a inspirée à ses fans est une histoire d'amour virtuelle qui fait battre le coeur à 100 à l'heure. Pourtant, le sentiment qu'il est parti en vrille a éprouvé la patience et la passion de ses plus ardents adorateurs. Comme ils lui tournent maintenant le dos sans remords pour aller se jeter dans les bras tendus d'un rival, PES promet de changer. Pourquoi devrions-nous le croire ? S'il y a un indice de changement manifeste, c'est le fait qu'on m'aie invité au quartier général de Konami à Tokyo, un gratte-ciel imposant centre-ville qui abrite les 2000 créateurs les plus talentueux de l'entreprise. C'est là qu'est basé Kojima Productions, de même que l'équipe Dance Dance Revolution toujours en ébullition. Détail qui a son importance, c'est la première fois que Konami invite des journalistes occidentaux au coeur de sa base opérationnelle pour voir où et comment il crée ses jeux . Il ne se passe pratiquement pas une semaine sans qu'un studio européen ou américain n'ouvre en grand ses portes pour se livrer à coeur ouvert à la presse, mais au Japon cette transparence est toujours exceptionnelle.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
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A force de voir défiler les simulations de foot, on a appris à se méfier des effets d'annonce comme de la peste. Aussi, quand Konami évoquait début mai "le remaniement le plus radical de l'histoire de la série" pour Pro Evolution Soccer 2011, c'est peu dire que nous avions accueilli la nouvelle non sans un certain scepticisme. Toutefois, afin de vérifier que l'enthousiasme dont débordaient SeaBass et ses équipes était bel et bien justifié, nous avons eu le privilège d'être invités au sein même du studio PES Productions. Direction Tokyo, Akasaka, pour découvrir en avant-première, et manette en main, les surprises que nous réserve le prochain PES. Rappel des faits : à force de proposer une simulation où les joueurs courent comme des robots et offrent des grands boulevards en guise de repli défensif, Pro Evolution Soccer a fini par se couper de ses fidèles, partis sur d'autres terrains voir si l'herbe était plus verte. Une sorte de PSG-drama au royaume du jeu de foot. Conscient de l'urgence de la situation, Konami a fait amende honorable avant d'enfiler le bleu de chauffe, dans l'espoir de renouer avec la grinta du passé. L'orgueil retrouvé du champion ?
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