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Nous avons réuni 9 tests du Operation Flashpoint : Red River. Les experts notent Operation Flashpoint : Red River 6.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Operation Flashpoint : Red River et d'autres Jeux PC.
Alors que la venue de la licence sur consoles en fin d’année 2009 avait laissé un goût amer auprès des fans de la version PC, voici que Codemasters remet ça avec l’arrivée de Red River sur PlayStation 3. Nous allons donc voir si les erreurs commises avec le précédent épisode ont été corrigées dans cette suite. Pour rappel, Operation Flashpoint est bien loin d’un Medal of Honor ou d’un Call of Duty. En effet, la franchise mise sur le réalisme et sur le travail d’équipe comme les vrais militaires le connaissent sur le terrain. C’est donc dans ce but que le jeu nous propose une aventure mélangeant habilement un scénario imaginaire tout en collant un minimum à la réalité actuelle. En effet, après un premier opus nous ayant fait voyager sur l’île imaginaire de Skira dans un conflit nous opposant à l’armée chinoise, cette fois-ci, nous incarnons des forces américaines basées en Afghanistan avant d’être redéployées au Tadjikistan pour intervenir dans un nouveau conflit. Vous aurez donc droit à pas moins de 10 missions différentes pour mettre fin au conflit et sortir en héros de cette guerre. Ce long chemin vous menant vers la gloire est découpé en trois actes bien distincts qui permettent au conflit de grandir en intensité et de prendre une véritable dimension au fur-et-à-mesure de votre progression dans l’aventure.
Operation Flashpoint : Dragon Rising, tout en n’étant pas un vrai Operation Flashpoint "à l’ancienne", n’en était pas moins un FPS sympathique, et une simulation de guerre moderne honorable. Vous découvrirez dans la suite que Codemasters n’a pas réussi à transformer cet essai avec Red River. Après plus de 8h de jeu sur ce titre, une question reste posée… Qu’est ce qui a bien pu passer dans la tête des équipes de Codemasters pour réussir à pondre l’un des FPS les plus ennuyeux qu’il m’ait été donné de tester ? Le scénario plutôt convenu d’une intervention américaine fictionnelle au Tajikistan qui devient un conflit armé avec les chinois, qui envahissent le pays ne sauvent pas le manque d’intérêt que l’on a à suivre les pérégrinations de notre équipe de marines. Le jeu est d’ailleurs une ode héroïque à ce corps de l’armée américaine, car les chinois, en face, semble avoir été bien moins doté au niveau IA. On se retrouve parfois dans un vrai jeu de tir au pigeon, et il n’est pas difficile, de se retrouver à avoir, à 4 marines, descendu un bon millier de soldat chinois. La campagne solo est ponctuée, en plus, par des bavardages incessants, et bien inutiles, l’objectif étant de toute manière de tuer tout ce qui bouge.
Licence mythique sortie au début des années 2000, Operation Flashpoint résonne encore dans le cœur des (vieux) joueurs comme l’essence même du jeu hardcore. Du moins jusqu’en 2009, quand Codemasters a décidé de développer un nouvel épisode, Dragon Rising, en se passant des services du développeur original, Bohemia Interactive. Sans être mauvais, Dragon Rising s’était révélé décevant dans l’ensemble : trop linéaire, pas très beau et doté d’un mode multijoueur pathétique, on l’avait aussi vite oublié que joué. Autant dire qu’avec Operation Flashpoint : Red River il était obligatoire pour l’éditeur anglais de relever le niveau. Passage en revue des bons et mauvais points de ce troisième opus. Qui se souvient encore du scénario de Dragon Rising ? Il était question de la petite île imaginaire gorgée de champs pétrolifère de Sirka, convoitée par des forces d’invasion chinoises et défendues par de braves marines. Dans ce nouvel épisode, Sirka laisse place aux terres un peu plus verdoyantes du Tadjikistan. A la frontière de l’Afghanistan et de la Chine, ce petit état a la particularité de contenir autant de terroristes d’Al Quaeda que de chèvres, ce qui fait beaucoup.
Après avoir lancé une première offensive sur consoles fin 2009 (et accessoirement sur PC) avec Dragon Rising, la série des Operation Flashpoint remet le couvert et entend élargir encore sa zone d'opération. En effet, les développeurs de Codemasters continuent sur leur lancée pour tenter de démocratiser le FPS militaire ultra réaliste conçu à l'origine par Bohemia Interactive. En découle un ensemble de partis pris qui font de Red River un excellent petit titre pour celui qui souhaite s'initier au genre du FPS réaliste. Les autres en revanche n'auront plus qu'à démonter leur M16 et aller voir ailleurs. Souvenez-vous, il y a deux ans, Codemasters nous avait expédiés sur l'île fictive de Skira afin d'en découdre avec l'armée chinoise. Cette fois cependant, les développeurs proposent un scénario imaginaire partant du principe que les forces américaines stationnées en Afghanistan se trouvent de nouveau déployées au Tadjikistan (la rivière rouge du titre, outre le fait qu'elle évoque le sang, est celle de Piandj qui marque la frontière entre les deux pays). Résultat : votre équipe de marines et les escouades Alpha et Charlie se confrontent à un pays hostile écartelé entre d'imprévisibles insurgés locaux et un large contingent de soldats chinois.
Dans Red River, le joueur incarnera un soldat de l'armée américaine comme les autres. Loin d'être un super héros, ni même un héros, celui-ci cherchera avant tout à accomplir l'ensemble des missions confiées par l'état-major. Le conflit tripartite impliquera l'armée des Etats-Unis, de la Chine ainsi que les insurgés du Tadjikistan.Le Tadjikistan sera justement le terrain de jeu de Red River, un terrain loin d'être accueillant. En terres inconnues, le joueur devra veiller à rester sur ses gardes pour éviter les guets-apens. La présentation qui s'est faite en présence d'un développeur nous a permis de découvrir directement le jeu, d'avoir un aperçu de deux modes de jeu coopératifs. La premier mode dévoilé ressemble au mode Horde de Gears of War 2. Il poussera un groupe de quatre joueurs à évoluer dans un cadre militaire scripté. Ils seront amenés à progresser au travers d'une carte dans laquelle apparaît des ennemis par vagues successives. L'objectif est bien entendu de survivre à ces vagues grandissantes d'ennemis afin de gagner des points et de figurer dans les classements mondiaux.Le second mode se prénomme CSAR pour Combat Search and Rescue.
Le nouvel épisode de la saga Operation Flashpoint continue de faire parler de lui. Ce FPS militaire réaliste dévoile désormais son jeu en multi et ses modes coopératifs à quatre joueurs. Premier bilan après une prise en main d'une trentaine de minutes... Bien loin des FPS traditionnels, la série Operation Flashpoint a toujours privilégié le réalisme au détriment du grand spectacle. C'est encore le cas aujourd'hui avec ce volet Red River qui, pour l'occasion, mise beaucoup sur son aspect multi. Le titre offre ainsi quatre modes auxquels peuvent collaborer quatre joueurs sous la forme d'une petite escouade (online seulement car aucun split-screen n'est disponible). Ainsi, dans le premier mode, Sauvetage, vous devez exfiltrer une poignée d'individus en milieu hostile. Concrètement, il s'agit de trouver puis protéger et enfin évacuer des otages retenus par vos ennemis, des insurgés locaux ou des membres de l'armée populaire de Chine (rappelons au passage que le scénario du jeu situe l'action au Tadjikistan, pays hostile dans lequel les forces américaines - dont vous faites partie - ont été redéployées après leur passage en Afghanistan).
Alors que des îles réelles ou fictives représentaient jusqu'à maintenant les terrains de jeu de prédilection de la série Operation Flashpoint, Red River innove quelque peu puisque la campagne solo nous embarquera au Tadjikistan. Idéalement situé entre la Chine et l'Afghanistan, ce pays d'Asie centrale possède tout ce qu'il faut pour justifier un scénario guerrier. On nous promet un conflit fictif, mais réaliste et contemporain. Découpée en trois actes, la campagne nous placera dans un premier temps face à des insurgés locaux, avant de nous faire affronter l'APL (l'Armée Populaire de Libération chinoise), la dernière partie du scénario étant encore gardée secrète pour le moment. Dans tous les cas, on incarne évidemment des Marines américains. Bonne nouvelle : les dix missions du mode solo pourront intégralement être parcourues en coopération, à quatre joueurs. Cet aspect social est également de mise en multi, puisque les différents modes proposés privilégient l'entraide plutôt que les bêtes affrontements. Intitulés Dernier rempart, Convoi, Coup de balai et Sauvetage, ils consistent respectivement à survivre à des vagues de l'APL, à protéger le déplacement d'un convoi géré par l'intelligence artificielle, à éliminer des insurgés planqués dans un village, et enfin à secourir et évacuer des pilotes tombés derrière les lignes ennemies.
Cet été, Codemasters a annoncé le débarquement du prochain Operation Flashpoint pour 2011. Nous avons pu approcher cette nouvelle recrue vidéoludique directement dans son centre d'entraînement top secret non loin de Birmingham. La première mission de Red River sera de se débarrasser de l'héritage technique pesant de Dragon Rising. Ce dernier n'a pas échappé au mythe des simulations sur PC : « c'est réaliste, mais c'est moche ». Ce fut une expérience d'autant plus frustrante que l'IA est venu ternir ce jeu pourtant prometteur. Ce nouveau champ de bataille est l'occasion rêvée pour Codemasters d'éviter une déroute et, pourquoi pas, de tenir tête à une très féroce concurrence avec un concept peu usé dans le monde du FPS : le réalisme. Operation Flashpoint : Dragon Rising mettait en scène une crise sur une île au large de la Chine, où les militaires américains ont orchestré une opération éclair pour reprendre les lieux à l'armée chinoise fraîchement débarquée. Red River est la suite narrative directe de cet incident : les Marines doivent mettre fin à une insurrection rebelle au Tadjikistan, un incident auquel Pékin n'est pas totalement étranger. Cette contrée s'avère être la destination rêvée pour tout développeur de FPS souhaitant apporter une touche de conflit potentiellement réel à son jeu.
La saga Operation Flashpoint est de retour pour un nouvel épisode qui risque fort de marquer un petit tournant dans la série. En effet, les développeurs tentent aujourd'hui de démocratiser leur FPS militaire ultra réaliste en proposant une ouverture sur un public plus large à travers de nombreux partis pris. Alors pari réussi ? Premiers éléments de réponse... Après Operation Flashpoint et ses deux add-on Red Hammer et Resistance, puis l'épisode Dragon Rising sorti également sur consoles, voici que la série prend une nouvelle orientation. Les développeurs ont ainsi décidé non seulement de corriger tous les soucis rencontrés sur Dragon Rising (esthétique inégale, IA déficiente...) mais surtout de sortir la série de son carcan en offrant un gameplay un peu plus accessible. D'abord, outre des animations entièrement revues et corrigées par rapport au volet précédent, le jeu bénéficie aujourd'hui de graphismes beaucoup plus séduisants, avec des soldats joliment détaillés qui possèdent tous un équipement spécifique et des armes uniques. De même, un effort a été réalisé sur les effets d'ombres et de lumières qui donnent aux décors une impression supplémentaire de réalisme, même si on remarque un peu de clipping à l'horizon (c'est en tout cas ce que nous avons constaté sur la démo jouable non finalisée - mais cela devrait être logiquement corrigé au fil des prochains mois).
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Operation Flashpoint : Red River. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Operation Flashpoint : Red River.