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Nous avons réuni 10 tests du Metro : Last Light. Les experts notent Metro : Last Light 7.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Metro : Last Light et d'autres Jeux Playstation 3.
Il y a trois ans, Metro 2033 créait la surprise dans le petit monde des FPS, grâce à une ambiance post-apocalyptique unique et immersive, servie par un beau moteur graphique et une jouabilité aux petits oignons radioactifs. Sa suite, Metro Last Light, entend bien nous emmener un peu plus loin dans l'enfer du métro moscovite. 2034, soit un an après les événements du premier opus, Moscou est toujours hautement contaminée. Les rares survivants se sont rassemblés en différentes factions qui occupent chacune une zone du métro, seule partie relativement épargnée de la ville et ses créatures aussi difformes que dangereuses. Dans cet enfer sous-terrain, Artyom s'attèle à terminer le combat qu'il a commencé dans Metro 2033. Il va pour cela devoir arpenter les couloirs et stations du métro et s'aventurer plus souvent à l'extérieur pour mettre un terme à la menace qui plane toujours. Dans la peau de ce survivant émérite, nous voici donc plongés dans cette atmosphère oppressante, terriblement bien retranscrite grâce à une ambiance et une mise en scène soignée. Bien que l'on soit régulièrement accompagné de plusieurs compagnons d'armes, le danger demeure omniprésent. Cette sensation de mort qui rode autour de nous contraste cependant avec toute cette vie qui grouille dans le métro.
Agréable surprise dans un genre surreprésenté sur consoles, Metro 2033 fut un des bons jeux de l'année 2010 sortis sur Xbox 360 et PC. Sa suite directe débarque trois ans après sur PlayStation 3, sans même laisser le temps aux joueurs de raccrocher les wagons de l'histoire. Les possesseurs de la console de Sony devront donc prendre le train en marche, au risque de passer à côté d'une bonne partie de l'intrigue. Compostez votre billet, c'est parti pour le test.La suite de Metro 2033 aurait pu s'appeler simplement Metro 2034 mais une possible confusion avec le livre de Dmitri Gloukhovski en a voulu autrement. Il s'appelle donc Metro : Last Light, mais se situe tout de même en l'an de grâce 2034, dans les guêtres du ranger Artyom. Si ce nom ne vous dit rien, c'est normal puisque le héros du premier volet (jamais sorti sur PS3 rappelons-le) reprend du service pour terminer le travail. Mais quel travail me direz-vous ? Celui d'exterminer la race des sombres, des créatures mutantes aux pouvoirs psychiques nées de l'apocalypse nucléaire déclenché bien avant le début du jeu.
Trois ans après la sortie de Metro 2033, 4A Games revient avec une suite adoptant un principe similaire. Préparez-vous donc à un FPS narratif basé sur une ambiance prenante et un côté survival-horror marqué, tout en proposant un aspect couloir et scripté à la Call of Duty. Si cette formule fonctionnait en 2010, est-elle encore pertinente en 2013 ? A l'origine de Metro 2033, il y avait un livre. Celui-ci a connu une suite logiquement nommée Metro 2034 contant les aventures d'un héros inédit dans une nouvelle ville. 4A Games n'a toutefois pas choisi d'adapter cet épisode, préférant se concentrer sur le héros du premier opus : Artyom. Last Light s'affranchit donc des romans afin de narrer une histoire inédite, mais rassurez-vous, le scénario et les dialogues de Last Light ont été écrits par l'auteur des romans himself, à savoir Dmitri Gloukhovski. On y retrouve alors un Artyom dévasté par la fin de l'épisode précédent (la fin classique, pas l'alternative) et cherchant à se racheter une conscience tout en tentant de prévenir une guerre latente entre les différentes factions qui se sont installées dans le métro moscovite afin de fuir l'hiver nucléaire.
Beaucoup avaient apprécié leur première virée dans le métro moscovite en 2010. Il faut dire que Metro 2033 dépeignait à merveille cette cité Russe à la dérive après un « accident » nucléaire, pas si fictionnel si on s'intéresse un peu à la géopolitique moderne. Avant de sombrer, THQ avait dans l'idée d'éditer une suite réalisée par les ukrainiens de 4A Games, studio composé de pas mal d'anciens de l'épopée S.T.A.L.K.E.R. L'éditeur américain n'est plus mais Koch Media, comme d'autres, s'est servi sur la bête mourante forcée de brader ses propriétés intellectuelles. La franchise Metro, et donc ce Last Light qui nous intéresse aujourd'hui, a donc visiblement de beaux jours devant elle. Comme Metro 2033, Last Light mise tout sur l'ambiance. Des intérieurs décrépis des anciennes stations souterraines aux abris de fortune où vivote la populace en passant par les extérieurs délétères abandonnés à leur déliquescence, le tableau dépeint par 4A Games est délicieusement triste et pourri. L'empathie envers ces sinistrés est immédiate et l'on prend un certain plaisir à vivre les séquences de balade nonchalante dans les différentes bases, à poser les yeux sur une saynète ou une autre n'ayant pour but que de crédibiliser un peu plus un univers déjà costaud à la base.
Comme le cinéma, comme la littérature ou les séries télé, le jeu vidéo fonctionne par vagues. Après la sortie simultanée de plusieurs titres post-apocalyptiques (RAGE, Fallout 3, Fallout New Vegas), il y a trois-quatre ans, le genre est passé de mode, devenu has-been. Et puis, Metro : Last Light qu'on a un temps perdu de vue, suite à la faillite de THQ. Reprenant directement après le précédent volet – une cinématique d'intro résume bien le tout-, Last Light corrige grosso-modo les errances de l'esquisse Metro 2033, tout en s'inscrivant dans une démarche plus scriptée que jamais.Pour résumer, Metro : Last Light (et 2033 avant lui), ce serait comme une sorte de condensé/manuel pour les nuls du FPS linéaire. Malgré une structure toute en ligne droite affichée, presque revendiquée, malgré ces rails omniprésents qui guident, orientent la progression du joueur – presque une surcouche visuelle/thématique à ladite structure-, la production de 4A Games réussit à cacher à tout moment sa condition de shooter linéaire. La solution ? Une dynamique narrative, réglée, scientifique, 4A rythmant son voyage souterrain de façon très mécanique, presque – et c'est un peu le problème du jeu- prévisible : séquences de shoot pur, visites d'environnements narratifs et scriptés (les stations habitées), scènes d'infiltration, explorations d'extérieurs chronométrées, etc.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 05/2012
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Initialement, le projet Metro 2033 n'était pas l'une des priorités de THQ dans le calendrier 2010. Cela s'est d'ailleurs vu au moment de la sortie du jeu : très peu de campagnes de publicités pour soutenir « mercantilement » le titre. Il faut admettre qu'à côté d'autres licences de l'éditeur, cette nouveauté pesait peu. Malgré tout, le jeu de 4A Games a su trouver son public grâce aux centaines de milliers de joueurs lassés des FPS paramilitaires comme il en existe en surnombre. Avec Metro : Last Light, l'éditeur compte bien mettre en avant une suite qui ne manque pas, elle non plus, de qualités. Juste avant l'E3 de 2011, nous avions déjà assisté à une présentation non jouable du titre. Un an plus tard, THQ remet le couvert pour nous dévoiler un trailer et une autre séquence du jeu. Mais toujours sans nous confier les commandes... Avant de nous faire profiter d'une séquence de jeu, nous avons eu droit à l'exclusivité de la diffusion d'un trailer réalisé avec des acteurs réels. Un court-métrage de 4 minutes 25 qui fait figure d'excellente genèse à l'apocalypse qui perdure 20 années après les milliers de déflagrations nucléaires de 2013. Un zoom appuyé sur les événements de Moscou qui est perpétré tout au long de l'aventure vidéoludique.
Suite directe du remarqué Metro 2033, sorti en mars 2010 sur 360 et PC, ce FPS post-apocalyptique refait parler de lui aujourd'hui suite à une nouvelle - mais courte - démo présentée par les développeurs... A la vision du court-métrage assez impressionnant qui précédait la présentation, une chose paraissait d'ores et déjà sûre : le traitement hors normes de l'univers du jeu, mélange détonnant de post-apocalyptique et de survival-horror. Il faut dire que le petit film en question, fort bien réalisé et durant une dizaine de minutes, plante à merveille le décor en montrant une poignée d'individus qui se réfugient dans le métro souterrain de Moscou, à la suite d'une attaque atomique surgie d'on ne sait où. Couleurs délavées, personnages hystériques ou au contraire glacials, ambiance ténébreuse et limite malsaine : les ingrédients du court-métrage se retrouvent en réalité dans l'aventure... L'action se déroule donc dans un futur proche, peu de temps après le premier jeu. Les survivants de l'apocalypse nucléaire se sont réfugiés sous terre, dans le métro. Problème : non seulement de dangereux mutants y rodent mais en plus certaines stations sont sous la coupe de psychopathes qui veulent dominer le monde, comme des adorateurs du Troisième Reich.
Belle surprise de l'année dernière, le Metro 2033 appelait certainement une suite, Metro : Last Light, que THQ s'est empressé d'éditer. Présent à l'E3, par le biais d'une démonstration d'une trentaine de minutes, le jeu faisait certainement partie des FPS à surveiller durant le salon californien. Premières impressions. Suite directe de l'original, ce nouveau volet nous met de nouveau dans la peau d'Artyom, un héros un peu plus expérimenté que lors de ses premières aventures. Il n'est pas plus optimiste pour autant, coincé dans les villes souterraines installées dans le métro moscovite : à la surface, toujours dominée par les Novalis, la civilisation n'a pas repris ses droits, et la vie en sous-sol n'a pas perdu de sa rudesse, le Reich n'étant notamment pas toujours des plus faciles à vivre. C'est néanmoins dans l'une des tanières de la faction fasciste que notre héros, et un confrère, s'infiltraient au début de la présentation du jeu. Pour éviter de se faire repérer dans les tunnels sombres du métro (et nous montrer les progrès réalisés en termes d'éclairage), il s'est employé à faire disparaître une à une les sources de lumière, en tirant dessus bien sûr, mais également en dévissant une ampoule... ou en tirant sur une marmite pleine d'eau, pour éteindre le feu en dessous.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 06/2011
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Bonne surprise de l'année 2010, Metro 2033 avait réussi à nous séduire grâce à une ambiance originale et très bien rendue. Conscient du potentiel de cette nouvelle licence, THQ signe à nouveau avec les développeurs ukrainiens de 4A Games pour une suite : Metro Last Light. Si le premier volet est une adaptation du roman de Dmitri Gloukhovski, le second s'éloigne davantage de cet ouvrage, puisque le scénario de Metro : Last Light se déroule juste après les événements de Metro 2033. Nous sommes donc dans le futur, à Moscou. La ville est complètement dévastée, dans une ambiance post-apocalyptique. Le décor à des allures de fin du monde. Pour échapper aux radiations et aux étranges créatures qui virevoltent au sein de la cité, les derniers survivants se sont réfugiés dans les entrailles de Moscou et occupent désormais les sous-terrain et les nombreuses rames du métro. Contrairement au premier volet, l'environnement extérieur s'avère tout de même plus coloré : les premières lueurs du soleil commencent à revenir lécher les immeubles en ruine. La fin du cauchemar ? Pas tout à fait, puisque les citoyens du Moscou sous-terrain sont encore obligés de porter un masque pour sortir.
C'est bien connu, la fin du monde approche à grands pas. Il ne faut pas arrêter de vivre pour autant et on peut déjà se demander comment on s'organisera lorsque l'hiver nucléaire s'abattra sur nous. Si vous êtes du côté de Moscou lorsque l'Armageddon tape à votre porte, faites donc un tour dans les dédales du métro. Ces couloirs sombres constitueront en effet l'un des derniers bastions de l'humanité face aux monstruosités nées de la catastrophe... Le roman de Dmitri Gloukhovski a beau être un véritable best-seller, c'est avant tout le jeu vidéo qu'il a inspiré qui a fait connaître Métro 2033 en Occident. Ce FPS reprenait la trame du livre pour nous faire découvrir un univers postapocalyptique original dans les entrailles de la capitale russe. Comme son nom l'indique, il nous plongeait une vingtaine d'années dans le futur et il nous faisait arpenter les couloirs du métro moscovite où les survivants de la catastrophe posaient les bases d'une nouvelle société. La vie à la surface était devenue impossible à cause des différentes contaminations toxiques, et elle était loin d'être idyllique sous terre : d'horribles monstres harcelaient ceux qui y avaient trouvé refuge et les habitants de certaines stations du métro se livraient une guerre farouche.
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