Metal Gear Rising : Revengeance
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Nous avons réuni 13 tests du Metal Gear Rising : Revengeance. Les experts notent Metal Gear Rising : Revengeance 7.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Metal Gear Rising : Revengeance et d'autres Jeux Playstation 3.
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Test Metal Gear Rising : Revengeance
Metal Gear Rising : Revengeance
Passer de l'infiltration à l'action sans trahir les codes de la saga Metal Gear, voilà le pari osé que s'était lancé Hideo Kojima en annonçant en juin 2009 un certain Metal Gear Solid : Rising. Une tâche plus compliquée que prévu qui conduisit rapidement le créateur de la série, déjà pas mal occupé par d'autres projets, à transférer celui-ci chez Platinum Games occasionnant au passage des modifications radicales dans le scénario et le gameplay, ainsi qu'un changement de titre. Bien qu'on ne sache pas vraiment ce que devait proposer le jeu à l'origine, on peut tout de même affirmer après avoir bouclé Revengeance que le postulat de départ a été totalement respecté !Metal Gear Rising : Revengeance se déroule en 2018, soit quatre ans après les évènements de Metal Gear Solid 4 : autrefois raillé pour son manque de charisme dans Metal Gear Solid 2, le désormais « ninja-cyborg » Raiden est devenu une véritable machine de guerre oeuvrant pour une société militaire privée (SMP) nommée Maverick. Son idéal ? Défendre les faibles aux quatre coins de la planète en découpant leurs oppresseurs en petits morceaux grâce à son sabre particulièrement affûté !
Test Metal Gear Rising : Revengeance
Tout le monde se souvient de Raiden, anti-(?) héros de Metal Gear Solid 2 : Sons of Liberty, qui a été plus que décrié en Occident en son temps de par son physique androgyne - en totale opposition avec le héros de toujours, le légendaire Solid Snake, au corps marqué par les combats, la voix grave et virile, etc...- ses cheveux blancs et son côté 'rookie'. Tout cela avait à l'époque levé un tollé des fans, qui hurlaient au massacre de la série. Bien que Raiden n'ait jamais été véritablement aimé, même après une petite scène d'autodérision dans Metal Gear Solid 3 : Snake Eater et une apparition assez spectaculaire dans Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots, beaucoup de joueurs se sont interrogés sur l'exosquelette de notre jeune héros, pourquoi le faire passer pour Gray Fox, lui qui n'est que l'ombre de Snake ? Et bien, aussi surprenant que cela puisse paraître, Platinum Games semble avoir trouvé la réponse. Et cette fois, fini les enfantillages : Jack the Ripper (Jack l'Eventreur -ndlr) est de retour et cette fois, il risque de vous laisser un tout autre souvenir.
Test de Metal Gear Rising : Revengeance
Février semble être le mois synonyme des sorties de jeu ayant un passé houleux. Car après le regretté Aliens : Colonial Marines, dont on entend encore les pleurs des fans, voici venir Metal Gear Rising Revengeance annoncé il y a de ça quasiment quatre ans. Repris par les talentueux japonais de chez PlatinumGames, à qui l'on doit Bayonetta et Vanquish, cet épisode complètement dédié à Raiden met-il tout le monde d'accord ou emprunte-t-il le mauvais chemin ? Verdict. Kojima Productions est donc arrivé à une impasse avec ce Metal Gear Rising, préférant donner le projet à des gens bien plus compétents dans le domaine : PlatinumGames. Pourtant, la Kojima Touch se ressent tout au long de l'aventure solo, à commencer par son scénario. Tout commence lorsque Raiden, alors garde du corps du premier ministre d'un État africain maintenant prospère, se fait attaquer par une milice militaire plutôt bien équipée. Réussissant à kidnapper ce fameux homme d'État et ayant des motivations plus que haineuse (le retour de la guerre dans cette région), cette milice se fait poursuivre par notre fameux ninja aux traits efféminés, qui malheureusement va se prendre une rouste monumentale.
Metal Gear Rising : Revengeance
Le développement de Metal Gear Rising : Revengeance aura été pour le moins tumultueux. Entre les changements de scénario, de gameplay, de nom et l'annonce de son annulation, on pensait qu'il allait disparaître complètement du paysage vidéoludique. C'est alors que le projet atterrit entre les mains de PlatinumGames, grand spécialiste des jeux d'action (MadWorld, Vanquish, Bayonetta). La nouvelle surprend les fans, qui se demandent si le studio japonais saura retranscrire l'œuvre d'Hideo Kojima à travers un beat'em all survolté. Réponse dans quelques centaines de mots... Quatre années se sont écoulées depuis les évènements de Metal Gear Solid 4. Raiden travaille désormais pour Maverick Security et se voit confier la protection d'un ministre africain. Malgré tous ses efforts, il ne peut empêcher l'enlèvement puis l'assassinat de ce dernier par un commando de mercenaires connu sous le nom de Desperado. Grièvement blessé suite à un combat acharné contre Samuel Rodrigues alias Jetstream, notre héros est sauvé in extremis par les membres de son organisation. Depuis, il traque inlassablement les responsables du meurtre pour mettre un terme à leurs agissements et, accessoirement, se venger.
Test Metal Gear Rising Revengeance
Tout couper. Voilà le tout premier concept de Metal Gear Rising Revengeance lorsqu'il était uniquement entre les mains de Kojima Productions. Une idée qui pouvait faire son chemin, mais qui s'est vite heurtée à un mur de de retards et de problèmes techniques, causés selon le studio par l'absence d'un réalisateur fort en tête de projet et l'écueil d'un principe de base trop ouvert. Devant un équilibre infiltration/action qui traînait dans un entre deux-eaux, KojiPro n'a eu d'autres solutions, pour éviter le passage par l'abandon de projet, que de le confier en partie à un autre studio. Le choix s'est porté sur PlatinumGames, qui s'est approprié le jeu au point d'en modifier le contexte et de faire exploser la tension latente des épisodes classiques de la série Metal Gear. Tout ce que Kojima cache, tout ce qu'il a hésité à pousser jusqu'à ses limites, brûle littéralement dans Metal Gear Rising Revengeance. Une démesure ludique qui découpe le coeur de fans épluchant sans relâche les moindres indices d'une quasi-mythologie ? Réponse dans notre test.
Test : Metal Gear Rising : Revengeance
Il faudrait donner un prix Nobel au génie qui s'est dit un jour "Et si on faisait un Metal Gear ninja avec un katana qui peut tout découper aussi facilement que de la mozzarella". Je dois vous avouer quelque chose : au risque de passer pour un psychopathe, j'adore poignarder. J'aime les lames, les couteaux, les sabres, tout ce qui coupe. J'essaye de jouer tous les jeux qui me proposent de le faire proprement et avec style. Je ne nie pas le charme nacré du fusil à pompe, ni le raffinement du bazooka, toujours idéal pour raser les immeubles. Evidemment, j'apprécie la saveur rustique des coups de pieds retournés ou sublimer l'urbanisme en écrasant des villes à bord de robots géants. Mais au fond, mon plaisir, c'est la lame affûtée qui tranche et qui découpe. Et, que Dieu le bénisse, il n'y a QUE ça dans Metal Gear Rising : Revengeance. Au dessus de 9000 Il faut voir avec quelle harmonie Raiden, re-cybernétisé de partout, peut tout découper. Tel un calligraphe qui manierait le pinceau, il bascule dans un "Blade mode", où le temps passe plus doucement, ce qui permet d'ajuster sa coupe avec la finesse d'un samouraï.
Test de Metal Gear Rising : Revengeance
Vous pensiez la série Metal Gear à jamais cantonnée à l'infiltration sous perfusion de cinématiques ? Branle-bas de combat avec Metal Gear Rising Revengeance, un jeu qui préfère la voie du sabre à la ruse. Et comme le projet semblait bien mal engagé avec un directeur délogé en cours de route, Konami a confié le bébé et ses grosses pastèques à un orfèvre du genre, le studio Platinum. Pour un résultat à découper le souffle. Rising TaggleQuand il empoigne la colonne vertébrale de son adversaire, avant de l'exploser de toute sa rage le regard fixé sur le joueur, Raiden a déjà gagné. Oublié le bêta-testeur crispant des débuts, le cyborg-ninja déborde de toute sa classe dans un exutoire enfin à sa mesure. Rising Revengeance est un jeu de poseurs, un beat'em all électrique, le genre de production qui redonne la foi dans le Japon et ses créateurs. Ici on ne rigole plus question détails : des modèles détaillés à l'excès, des animations et des effets qui donnent l'impression de tenir un taser à la place de la manette, et surtout une fluidité qui renvoie à la niche tous les Ninja Theory du monde.
Metal Gear Rising : Revengeance
La vie de joueur est parfois faite de frustrations, qui naissent souvent au cœur de séries que l'on aime plus que de raison. Lorsque le fan de MGS a découvert, dans le second volet, après le jouissif épisode du tanker, qu'il allait devoir jouer Jack "Raiden" et non ce fantastique Snake qu'il prenait tant de plaisir à retrouver, ce fut le choc! Pauvre Jack! Ce n'était pas de sa faute, mais une partie de la communauté ne pouvait que le détester. Des années plus tard, quand les premières vidéos de Metal Gear Solid 4 montraient un Raiden cybernétique tenant plus du ninja que du troufion débutant, c'est avec l'espoir un peu fou d'abandonner un Snake vieillissant que les joueurs lorgnaient sur lui. Mais là encore, déception, il faudra incarner pépé Snake jusqu'à son dernier souffle ! Alors, avec Metal Gear Rising, c'est une double vengeance qui se profilait. D'un côté celle de Raiden, qui allait pouvoir exposer sa personnalité aussi complexe que torturée, et son character design d'une classe folle. De l'autre, les joueurs allaient pouvoir savourer un rendez-vous réussi avec cet objet de fascination dès lors qu'il eut la bonne idée de se laisser pousser le katana.
Metal Gear Rising : Revengeance (Preview)
Avant-hier, nous avons enfin pu mettre la main sur le tranchant Metal Gear Rising : Revengeance dans une version assez récente puisqu'il s'agissait de la démo du Tokyo Game Show. Si l'expérience était bien trop courte (un quart d'heure pad en main), elle nous a conforté dans l'idée que nous nous faisions : Platinum Games aux commandes d'un jeu mis en scène par Kojima Productions ne peut que donner un bon, voire un excellent titre. Explications.L'écran titre donne le ton, ça pose et c'est quand même assez classe. J'appuie sur start, prêt à trancher dans le tas, mais le représentant de Konami m'ôte la manette des mains : il fera la démo une fois pour m'expliquer les commandes, le background et d'autres petites choses. Pour ce qui est du scénario : le jeu se passe en 2018, soit 4 ans après les événements de Metal Gear Solid 4. Raiden fait partie d'une Société Militaire Privée (SMP) qui avait pour mission de protéger un premier ministre. Double échec : le ministre se fait tuer et Raiden se fait découper par un cyborg ninja appelé Sam. La mission de la démo commence dans la peau de Raiden devenu super cyborg*, juste après ces événements qui feront office de prologue. Et il rêve de vengeance.
Metal Gear Rising Revengeance (Preview)
Issue de l'esprit créatif de Hideo Kojima (papa de la série Metal Gear), Metal Gear Rising Revengeance, que nous appellerons MGR Revengeance pour gagner en espace, n'a pas eu la genèse des autres projets de Kojima Production. Tout d'abord annoncé en fanfare par Monsieur Kojima en personne lors d'un lointain E3, initialement comme une exclu mystérieuse sur Xbox 360, puis ensuite accueilli aussi sur Playstation 3, le titre fut vite oublié et vécu comme l'enfant non désiré par son père. Il y a environ un an, MGR Revengence aurait dû être tout simplement annulé… Heureusement pour lui, les créateurs fous de Platinum Games ont vue en lui du potentiel et après quelques négociations avec Kojima Production, ils ont décidé de reprendre le projet. Cette nouvelle version est bien loin des habituels titres de Kojima Production. Le découpage de pastèque, qui fit les beaux jours d'une présentation du titre quand il était encore sous l'égide de monsieur Hidéo Kojima est donc plus que présent. Chez Platinum Games on s'est dit qu'on le mettrait bien à toutes les sauces… En effet, Raiden, le personnage principal deMGR Revengeance, aura la faculté de tout découper.
Metal Gear Rising : Revengeance (Preview)
Qu'attendre de Metal Gear Rising : Revengeance ? A quelques minutes de jouer au titre pour la première fois, la question se posait inévitablement. Qu'on se le dise, lorsque le jeu sortira, ce sera dans la douleur. Annoncé en grande pompe lors de la conférence E3 de Microsoft en 2009, le titre s'est quelque peu perdu, puis a été repris en main par Platinum Games. Cette fois-ci, exit les possibilités Kinect, c'est la version Playstation 3 qui a été mise en avant. La première chose à noter est que la session présentée n'est a priori qu'une simple démo technique, que les développeurs ne souhaitent pas mettre dans le jeu. Ainsi, nous ne prêterons pas trop attention au level design des niveaux, et garderons en tête qu'il reste encore de nombreux mois de développement au jeu. En deux temps, ces vingt minutes de jeux ont fait office de présentation pour le Blade mode et le Ninja run, les deux techniques de combat mises en avant dans le jeu. Le Blade mode c'est ce fameux ersatz du bullet-time, qui ralentit le temps et permet de découper à peu près tous les objets et même le décor du jeu, en autant de parties que l'on souhaite. Tout du moins jusqu'à ce que le titre passe sous la barre des 25 images par seconde et qu'il se mette à saccader.
Metal Gear Rising : Revengeance (Preview)
Et dire qu'il aurait pu rester dans les cartons de Konami... Et pour cause, Metal Gear Rising n'est pas passé loin du cimetière. Annulé pendant quelques mois, le projet a finalement été repris par les petits gars de Platinum Games. Les responsables de Bayonetta ont su convaincre Hideo Kojima et tout sa clique en apportant une vision neuve sur le projet. Rappelons que cet épisode se déroule après les événements de Metal Gear Solid 4. Nous sommes en 2023. Les technologies cybernétiques provoquent un nouveau genre de guerre civile. Raiden (alias Jack), que l'on incarne tout au long de l'aventure, rejoint ainsi une unité d'élite dans le but d'éradiquer une toute nouvelle menace. Si Kojima Productions souhaite conserver le secret du scénario, on nous assure tout de même que la narration reste l'un des éléments les plus importants du jeu. Hideo Kojima en personne supervise l'écriture et l'ensemble des séquences cinématiques. MGS Revengeance se démarque clairement comme étant l'épisode le plus atypique de la série. En revanche, pas question de tomber dans la facilité d'un spin-off incohérent. Mais sur ce plan-là, on peut faire confiance aux troupes de maître Kojima. Ce qui nous intéresse surtout aujourd'hui, c'est le gameplay, le cœur du sujet. Celui qui a fait couler énormément d'encre durant ces derniers mois... Alors, oui, MGS Rising se présente clairement comme un jeu d'action survitaminé.
Gamekult
Ajouté le : 06/2012
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Metal Gear Rising (Preview)
Second jeu PlatinumGames de cet E3, Metal Gear Rising : Revengeance était enfin présenté en version jouable cette année, au coeur d'une installation imposante sur le stand de Konami. L'approche sanglante et complètement over the top en rebutera sûrement certains, mais ce spin-off centré sur Raiden méritait clairement le détour. Toujours émincer Resté avant tout dans la mémoire des joueurs comme un simulateur de découpage de pastèque, Metal Gear Rising n'a pas perdu de son tranchant en changeant de studio. Toujours au coeur du jeu, le concept de zan ("découpage") débridé est introduit dès les premiers pas de la démo, constituée d'une succession de missions de réalité virtuelle. Une pression continue sur LT ralentit l'action pour laisser le joueur choisir un sens pour ses coups de sabre. Il suffit de maintenir le stick droit dans une direction et le relâcher pour que le mouvement parte, sectionnant n'importe quel objet dans son sillage : mannequin d'entraînement, acier trempé, pilier en pierre ou adversaires en chair. Pratique mais pas gratuit, vu qu'un niveau minimum d'électricité dans le corps du cyborg est requis pour déchaîner la pleine puissance du zan. Recharger les accus se fait de manière "simple", en combattant de manière plus classique avec des enchaînements de coups horizontaux et verticaux dynamiques, mais aussi en réalisant des contres ou des assassinats dans le dos. Certaines animations ainsi que les exécutions à deux boutons rappelleront d'ailleurs des souvenirs aux adeptes de Bayonetta, tout en collant avec le style de combat de Raiden.
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Metal Gear Rising : Revengeance : (7.8/10)
13 tests d’experts
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