12 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 12 tests du Medal of Honor : Warfighter. Les experts notent Medal of Honor : Warfighter 5.4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Medal of Honor : Warfighter et d'autres Jeux PC.
Octobre, novembre, deux mois qui correspondent maintenant au combat annuel que se livrent Electronic Arts et Activision pour la palme de la meilleure vente de FPS pop-corn. Alors que Call of Duty : Black Ops II ne sortira que dans quelques jours, une courte avance est prise par le géant EA avec Medal of Honor : Warfighter, suite directe du reboot moderne de la série paru en 2010. Dispose-t-il des atouts suffisants pour être un bon FPS ou est-ce simplement un jeu convenu et peu original ? Réponse en quelques paragraphes. Sans surprise, le joueur est lâché dans les rangers des héros de l'unité Tier 1, Preacher, Stump et Vodoo, ce groupe de soldats surpuissants et increvables que l'Amérique du Nord envoie un peu partout dans le monde au mépris des règles élémentaires de droit international. Mais c'est pour la bonne cause paraît-il, puisque ceux-ci sont déployés pour lutter contre des terroristes internationaux qui ont mis la main sur un explosif dévastateur nouvelle génération. Pourquoi ? En 4 heures, durée de la campagne solo avec les cinématiques, le joueur n'en saura rien.
Les arbres commencent à perdre leurs feuilles, les champignons tapissent les sous-bois et les FPS militaires grand public commencent à montrer le bout de leur nez : il n'y a pas de doute, nous sommes bien en automne. Cette année c'est Electronic Arts qui ouvre le bal avec Medal of Honor : Warfighter. Mais suffit-il de tirer les premiers pour toucher le cœur des fans du genre ? La série des Medal of Honor n'est pas vraiment née de la dernière pluie, on peut même considérer qu'à la fin du siècle dernier c'est elle qui a lancé la mode des FPS basés sur la Seconde Guerre mondiale. On se souvient tous que la licence a connu un reboot plutôt surprenant en 2010 puisqu'elle quittait son cadre historique pour nous plonger dans des conflits contemporains. La chasse aux nazis était terminée, les nouveaux ennemis de l'Amérique sont bien entendu les hordes de talibans qui se cachent dans les montagnes afghanes. Warfighter est la suite directe de ce reboot, on y retrouve donc les opérateurs du fameux Tier 1, cette unité d'élite de l'armée américaine déployée un peu partout dans le monde pour mener des missions dangereuses dans la plus grande discrétion.
L'année dernière, Electronic Arts nous régalait d'un Battlefield 3 aux petits oignons faisant l'unanimité chez la critique. L'éditeur émettait au passage le désir de faire alterner ses deux licences de FPS chaque année. C'est donc un Medal of Honor qui est à l'honneur en 2012. Warfighter de son petit nom fait suite au reboot moyen de 2010. Désormais armé d'un moteur Frosbite 2, la franchise pourra-t-elle enfin retrouver ses lettres de noblesses ? C'est malheureusement loin d'être le cas. Le dernier épisode de Medal of Honor avait largement annoncé la couleur : la franchise laisse les nazis tranquilles et se penche sur la guerre moderne et plus précisément sur les forces spéciales du Tier 1 dont nous faisons parti. Pour cette nouvelle croisade contre les terroristes enturbannés, nous incarnerons à tour de rôle Preacher, le personnage principal du mode solo, et Stump, un sniper faisant office de personnage secondaire au background quasi inexistant. Notre objectif : retrouver et arrêter l'Ecclésiastique, un chef terroriste impliqué dans pas mal de magouilles dont un trafic de P.E.T.N, un des plus puissants explosifs connus à ce jour.
Parfois, on a un peu honte de se laisser embarquer dans un jeu. Pourquoi se met-on à jouer des heures à Angry Birds, alors qu'il suffit de quelques minutes pour comprendre l'extrême potentiel hasardeux de la réussite d'un tableau ? Les exemples sont vraiment nombreux. On a tous nos jeux honteux et là, on en tient un beau. Le scénario de la campagne solo de Medal of Honor Warfighter est assez basique. On a l'impression d'avoir vu ça 1.000 fois dans des séries ou des films. On en revient toujours à cette lutte contre le terrorisme international avec, en menace principale, un explosif surpuissant. Pour mettre à mal les plans des méchants, les gentils empruntent donc tous les « axes du mal » pour que le monde libre continue à ronfler sur ses deux oreilles. Oui, on fait partie des gentils, même si la France n'est pas représentée dans les différentes factions du jeu. C'était bien la peine de rejoindre l'OTAN, tiens ! Si une série TV reprenait le scénario de MW3, je pense que je préférerais zapper sur la chaine météo. Mais pour une raison qui m'échappe, bien que j'ai obtenu la mention P4 à l'armée, comme beaucoup de joueurs, j'ai kiffé Modern. Comme le 2. Et le premier.
En sortant trois semaines avant l'incontournable Call of Duty de l'année, Medal of Honor Warfighter tente clairement de prendre de vitesse son concurrent direct. Est-ce là un aveu de faiblesse ? On peut le craindre puisqu'il y a deux ans, le "premier" Medal of Honor n'avait pas vraiment réussi à déstabiliser le premier Call of Duty Black Ops. Mais cette fois, le titre d'Electronic Arts peut au moins se targuer d'utiliser l'un des plus beaux moteurs graphiques existants !On le savait, mais il est toujours plaisant de le constater par soi-même : Medal of Honor Warfighter utilise le fabuleux moteur Frostbite 2, qu'on a déjà vu à l'œuvre l'année dernière dans Battlefield 3. Si l'utilisation qui en est faite n'est pas aussi pointue que dans le jeu de DICE (notamment parce que les décors sont loin d'y être aussi destructibles), le résultat à l'écran reste de haute volée. Notamment pour la version PC du jeu, puisque les consoles de la génération actuelle ne sont pas assez puissantes pour pousser le moteur graphique dans ses derniers retranchements. Dans tous les cas, le jeu reste parmi les plus beaux shooters disponibles à ce jour.
"Inspiré de faits réels", "de vrais opérateurs", "la vraie guerre". Au moment de nous vendre le nouveau shooter militaire des californiens de Danger Close, on peut dire qu'Electronic Arts avait volontairement laissé sa subtilité dans son autre veste. De là, l'annonce d'une edition Collector réservée aux membres actifs ou vétérans de l'armée des Etats-Unis terminait d'enfoncer le vilain clou : Medal of Honor Warfighter s'annonçait comme un jeu pensé par et pour le continent américain. Après un premier épisode dont le solo peinait à trouver sa place entre réalisme et grand spectacle, se pouvait-il que les développeurs aient opté pour la course au réalisme crasse, jusque dans ses relents patriotiques les plus fétides ?En ce qui concerne le réalisme, j'ai considéré le pari comme perdu quand ma première phase de railshoot m'a proposé de dégommer à la grosse munition des ennemis qui s'étaient entourés de barils explosifs pour saluer mon arrivée. Comme dans Time Crisis (1995, tout de même). Le problème, c'est que du réalisme crasse redouté, Warfighter conserve tout de même la crasse. Aucune surprise à prévoir du côté de la mise en place : vous incarnez tour à tour Preacher et Stump, deux agents de la force spéciale Tier 1 découverte dans l'opus précédent
Après son reboot réussi - en tout cas au niveau des chiffres de ventes - de la franchise Medal of Honor en 2010, Danger Close nous livre un Warfighter toujours centré sur les aventures du Tier 1. Inspiré de faits réels, comme aime à le rappeler Electronic Arts, ce nouveau MoH reprend telle quelle la formule de l'original, pour un résultat ayant les mêmes qualités et les mêmes défauts. Cette fois, les guerriers du Tier 1 tentent de déjouer une attaque terroriste à l'échelle mondiale. Exit les montagnes arides de l'Afghanistan et place à un périple autour du monde qui nous mènera des Philippines à Karachi en passant par la Somalie ou encore Sarajevo. Déjà impressionnante dans le premier volet, la capacité de Danger Close à donner vie à un lieu force une nouvelle fois le respect. Il n'y qu'à voir la piste de bobsleigh déglinguée en Bosnie-Herzegovine ou ce village philippin pris par un typhon pour constater l'amour que porte le développeur au décor. ? défaut d'être totalement dépaysants, les environnements de Warfighter bénéficient d'un traitement intéressant qui nous fait forcément regretter l'impossibilité de les visiter.
Quand un jeu vidéo cesse-t-il d'être un jeu pour devenir un outil de propagande ? C'est en substance la question que l'on se pose après le générique final de Medal of Honor : Warfighter. Chantre de l'Amérique en guerre, le jeu de Danger Close mettra mal à l'aise tous ceux qui percevront son message politique et en amusera d'autres tant le trait peut parfois passer du grossier au grotesque. En effet, la subtilité n'est pas vraiment de mise ici, l'accumulation de clichés, de glorification de la chose militaire et le recours au pathos étant aussi finement amenés que dans un American Heroes : Special Forces. Mais encore plus que cette nouvelle forme de Voice of America, c'est l'utilisation de faits réels, sans aucune distance, qui choque, notamment les attentats de Madrid de 2004. Le malaise est alors prégnant, bien au-delà de la simple utilisation ad nauseam de la représentation du terroriste barbu…. Et on ne vous parlera pas de la séquence finale, caricaturale à souhait. Mais outre un propos amené au bulldozer, Medal of Honor : Warfighter est également un jeu vidéo. Et si le constat y est plus positif que pour le fond (qui touche le fond…), il n'en est pas pour autant exempt de reproches.
En sortant un peu moins de trois semaines avant son grand rival Black Ops II, Warfighter possède un avantage non négligeable. Les membres du Tiers 1 en ont-ils assez dans le ventre pour supporter cette pression ? Après avoir testé la campagne solo et le multi pendant quelques heures, l'optimisme est de mise. Reste le plus dur : convaincre les joueurs que MOH revient dans la course des bons FPS sur consoles et PC. Ok, la version n'était jouable que sur PC. Bien sûr, un seul niveau pour se chauffer dans la campagne solo et deux maps sur la partie multi, c'est un peu court pour se faire une idée définitive. Néanmoins, il existe parfois des signes qui ne trompent pas, suffisants pour confirmer que Warfighter demeure une très bonne suite, même si dans le fond, il ne réinvente pas la poudre. Effectivement le niveau joué dans les ruines de Mogadiscio n'a rien d'extraordinaire en soi. Après un débarquement par voie maritime, l'escouade des Tiers 1 tente une percée dans les décombres fumants d'une ville ensanglantée par les combats. Evidemment, ça peut sentir le réchauffé. On peut se dire : qu'elle soit en Somalie, en Normandie ou au Vietnam, cette entame de mission reste identique à ce que l'on connaît déjà.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 08/2012
Plus accessible...
Medal of Honor Warfighter, le poulain d'Electronic Arts, entrera bientôt dans la compétition du meilleur shooter multi de l'automne face au mastodonte Black Ops 2. On connait son approche du solo, inchangée : elle reste fondée sur une vision réaliste de la guerre, investissant des points chauds de conflits réels encore bien frais dans les mémoires (en l'occurrence : guerre de la terreur aux Philippines, pirates des côte est-africaines). La démo multi jouable sur la salon fut l'occasion d'une première inspection de son versant compétitif, amélioré, nous dit-on, par l'ajout d'une nouvelle idée : la Fire Team. Rappelons que le multi du précédent Medal of Honor, considéré comme peu mémorable, tentait un mélange mitigé de Call of Duty - pour l'action rapide - et de Battlefield - pour le jeu en équipe -, sans vraiment trouver sa propre voix. Toujours à cheval entre ces deux inspirations, le multi de Warfighter s'organise désormais autour du système de Fire Team, censément inspiré du mode opératoire des vrais soldat d'élite infiltrés. Son principe est simple : deux joueurs pourront désormais s'apparier en équipe, afin de se garder constamment en visuel, de pouvoir réapparaître près de leur partenaire et de profiter de gains d'XP en cas d'action victorieuse en équipe.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 05/2012
Plus accessible...
Décidé à sortir l'artillerie lourde pour contrer le Call Of Duty d'Activision, Electronic Arts a lancé une « offensive » en plusieurs étapes. L'éditeur a tout d'abord cédé à la mode du reboot en ressuscitant la franchise Medal Of Honor, véritable pionnier du FPS à grand spectacle sur fond de guerre mondiale. Electronic Arts a ensuite montré les muscles en distribuant un Battlefield 3 plus axé sur le multijoueur, mais doté d'un moteur graphique à faire mourir de jalousie son concurrent direct. Il y a quelques jours de cela, à Londres, nous avons été conviés à la troisième étape de cette « offensive » : Electronic Arts nous a présenté Warfighter, une suite à Medal Of Honor que l'éditeur a dopé au Frostbite Engine 2... Reste à voir si la boucle est réellement bouclée ! Avant d'expliquer le pourquoi du « décevant » de notre inter-titre, il convient de remettre les choses dans leur contexte et donc de détailler le contenu de la présentation à laquelle nous avons été conviés. Sans grande surprise, Medal Of Honor : Warfighter se propose de remettre la taskforce Tier 1 sur pied pour de nouvelles missions à haut risque. De fait, certains personnages du premier volet - Mother, Preacher et Voodoo notamment - sont de retour pour une aventure qui se veut plus réaliste que l'opus 2010..
Ressorti du placard en 2010, Medal of Honor a tenté de se faire une place auprès des grosses licences de FPS. Encore en deçà techniquement, le titre d'EA n'a pas abdiqué pour autant, revenant sur le devant de la scène avec un tout nouveau moteur. Si graphiquement Medal of Honor a progressé, on souhaite que le contenu suive, car les dix minutes de présentation n'ont dévoilé qu'une phase vue et revue dans les FPS actuels. Soyons honnêtes. Même si l'on ne s'attendait pas à un titre révolutionnaire, le showcase EA devait être l'occasion de nous montrer un Medal of Honor susceptible de faire oublier son prédécesseur. Dix minutes de présentation, c'est bien faible pour se faire une idée, mais suffisant pour voir que ce FPS affiche de belles prétentions graphiques. Les décors dévoilent de fines textures, les effets de lumières paraissent bien plus crédibles, quant aux environnements, ils s'avèrent relativement soignés, offrant un level design intéressant à défaut d'être original. Si cette patte visuelle tranche radicalement avec la précédente, il ne faut pas chercher la réponse bien loin. Les développeurs ont utilisé un moteur ayant fait ses preuves sur Battlefield 3, le Frosbite Engine 2.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Medal of Honor : Warfighter. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Medal of Honor : Warfighter.