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Nous avons réuni 23 tests du Medal of Honor. Les experts notent Medal of Honor 6.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Medal of Honor et d'autres Jeux Playstation 3.
Il y a bien des années que la saga Medal of Honor est apparue sur nos consoles. Plongeant toujours le joueur dans le contexte de la Seconde Guerre Mondiale, la saga MoH s'est rapidement fait un nom de par sa qualité. Aujourd'hui, surfant sur la vague du contexte de guerre actuelle instauré en 2007 par Call of Duty 4 : Modern Warfare, la série revient par le biais du sobrement intitulé Medal of Honor. Call of Duty : Black Ops est sorti et ses chiffres de vente sont excellents. Voyons maintenant si MoH a lui aussi sa place dans la ludothèque des amateurs de jeux de guerre. Tier-1, l'élite de l'élite L'armée américaine compte deux millions de soldats, aussi bien rattachés à l'armée de terre qu'aux forces de l'air ou à la marine. Parmi ces nombreux combattants, quelques centaines seulement font partie de Tier-1, l'élite de l'élite de l'armée. Les soldats de cette division sont envoyés pour les missions les plus dangereuses et présentant un haut-risque, comme les prises d'otages. C'est un soldat de cette fine équipe que nous incarnons dans Medal of Honor. Danger Close avait annoncé que les développeurs travaillaient en coopération avec de véritables membres de Tier-1 afin de garantir l'expérience de jeu la plus réaliste possible.
Medal Of Honor a tout d'abord été annoncé en grande pompe par EA. La bêta multijoueur a été par la suite une horreur pour les joueurs et pour les développeurs. Et enfin, Electronic Arts annonçait il y a peu être déçu par la qualité globale du titre... Certes, ce test est bien tardif... Donc je vais vous en parler rapidement, histoire de voir pourquoi sans être véritablement raté, il reste bien en dessous de nos espérances. Mais surtout pour expliquer POURQUOI cela donne malgré tout de l'espoir pour la suite... Vous êtes un Tier 1, un soldat d'élite, qui passe son temps derrière les lignes ennemies. Vous ne visiterez d'ailleurs que l’Afghanistan, ce qui n'est pas un problème en soit, car l'univers graphique, à défaut d'être impressionnant, n'est pas si mal. Je ne dévoilerais rien du scénario indigent du titre, et me contenterais de dire que ça manque cruellement d'inspiration, et que les missions s’enchaînent sans vraiment d'envie, tant de la part des voice-actors que du scénario. Bref, comme l'as dit EA il y a peu, ce n'est pas digne d'un jeu AAA, et le fait de traiter d'une guerre actuelle pourra de plus faire naître un léger malaise...
GamePro.fr
Ajouté le : 11/2010
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Si l'on en croit EA, Medal of Honor ne mérite pas l'accueil mitigé que lui a réservé la presse spécialisée. Reconnaissant que le jeu n'est pas assez solide pour jouer des coudes avec Call of Duty (qu'il s'agisse de Modern Warfare 2 ou de l'imminent Black Ops), EA demande de la clémence pour le retour d'une licence que l'on avait laissé en 2007 avec l'épisode Airborne en manque flagrant d'idées. Malheureusement, difficile de mâcher ses mots avec Medal of Honor. Pourquoi ? Tout simplement parce que le jeu avait un gros potentiel réellement gâché. Sans évoquer la technique, perfectible et en dents de scie, que les développeurs nous avaient pourtant promis irréprochable, la plus grosse déception concerne l'atmosphère du jeu et l'utilisation qu'il fait de sa prometteuse idée de départ : sonner vrai. Jouer la carte de l'authenticité, s'inspirer du quotidien d'une escouade d'élite, visiter un conflit actuel et ne pas avoir peur de la réalité, voilà les arguments qui – sur la facts sheet du produit – avaient matière à lui permettre de se poser en alternative crédible sur le marché du shooter. Malheureusement, des promesses de lecture d'un conflit Afghan traumatisant à celles d'une mise en scène percutante, il ne reste qu'un FPS lambda, linéaire, et qui fait toc.
Electronic Arts nous ressert son FPS de prédilection, Medal of Honor. Se présentant sans autre attribut que son simple nom, le titre de DICE et EA est une invitation à retrouver l'ambiance propre à la franchise. C'est du moins ce que l'on croyait bien avant le lancement du jeu. On espérait un renouveau de la franchise, on pensait EA prêt à taper du poing sur la table et à offrir aux joueurs un FPS digne de la série Call of Duty. Sinon, pourquoi un tel retour ? Trois ans après le dernier Medal of Honor Airborn paru aussi sur consoles HD, on s'attendait à ce que la série prenne un peu d'ampleur, un peu de corps. Que cet épisode là nous réconcilie avec la franchise et nous fasse oublier les titres très moyens dont elle nous a abreuvé. Malheureusement, nous nous sommes vite aperçus que cette attente plaçait bien trop haut nos exigences... Medal of Honor vous donne une première claque d'un point de vue graphique. Une vraie claque, pas de celle qui impressionne, mais de celle qui vous remet les idées en place. L'Afghanistan se montre certes très joli, mais on s'étonne de la qualité des décors, bourrés d'aliasing, des bugs à répétition...
Véritable série mythique auprès des amateurs de FPS, cela faisait maintenant trois ans que la série des Medal of Honor n'avait plus pointé le bout de son fusil sur nos consoles. Electronic Arts en était évidement bien conscient et a donc décidé de relancer sa vieille licence, délaissant au passage le cadre de la Seconde Guerre Mondiale au profit d'un conflit contemporain d'actualité. Mais alors, come-back réussi ou échec cuisant ? La réponse dans ce test. De nos jours, si les titres ayant fait le choix de prendre comme background un conflit moderne sont nombreux, il faut bien admettre qu'aucun d'entre eux n'avait encore choisi une guerre en cours de déroulement. C'est pourtant ce qu'on fait les équipes de chez Danger Close, optant pour leur titre de la guerre opposant les forces de l'Armée des ?tats-Unis à celle des Talibans, le tout se déroulant je vous le rappelle en Afganistan . Une décision lourde de sens donc, qui n'aura pas manqué de faire parler d'elles outre-Atlantique, créant ainsi d'une certaine manière le buzz autour du soft. Malheureusement, si l'idée était audacieuse, le scénario du jeu n'est pas pour autant des plus passionnant...
Electronic Arts nous propose de redécouvrir la série Medal Of Honor à travers une copie qui semble être conçue spécialement pour rivaliser avec les autres ténors du genre, Call of Duty en tête. Les ambitions ne sont pas cachées par le studio et le pari est donc risqué puisque la guerre "moderne" a déjà été traitée en long, en large et en travers et ce serait un véritable échec pour la firme de ne pas nous proposer quelque chose de nouveau. Nous allons donc voir ensemble si ce nouveau Medal of Honor vaut le détour et si EA a choisi la bonne solution en surfant sur une vague qui commence déjà à bien s'atténuer. Contrairement à ce que l'on a l'habitude de voir dans les jeux du genre, Medal of Honor nous plonge en plein coeur de l'Afghanistan, un conflit actuel et bien réel, qui ne sera pas du goût de tous comme nous avons pu le voir avec les premières retombées controversées de la part de la communauté, avant même la sortie du jeu. Des contestations qui ont d'ailleurs "obligé" les développeurs à renommer les Talibans en "Forces opposées" pour la partie multi du titre. Cela dit, l'histoire racontée dans le jeu est bien sûr fictive même si la frontière avec la réalité est souvent bien mince.
Aperçue pour la première et dernière fois sur PS3 il y a trois ans avec Airborne, la série Medal of Honor s'était depuis faite oublier, laissant le champ libre à la déferlante Call of Duty avec le succès que l'on sait. Sans doute conscient du potentiel de sa série en sommeil, Electronic Arts s'est mis en tête de la ressusciter en s'inspirant (doux euphémisme) des opus Modern Warfare de la concurrence. Résultat : nous voilà plongés au coeur de l'Afghanistan dans un conflit certes hautement technologique et spectaculaire, mais qui manque tout de même un peu de saveur.Alors que la plupart des FPS ancrés dans l'actualité font ce qu'ils peuvent pour ne pas nommer les pays dans lesquels se déroulent leur action et inventent des factions ennemies à décimer, Medal of Honor prend le parti du réalisme et de l'honnêteté : si les opérateurs du Tier 1 (l'élite des forces spéciales américaines) que vous incarnez vont au charbon, c'est bel et bien pour bouter les talibans hors d'Afghanistan.Sans surprise, Medal of Honor dans sa version 2010 reprend des recettes mises au point par Call of Duty : Modern Warfare. Vous devrez évidemment vous battre sur le terrain comme dans n'importe quel FPS, à coup d'armes diverses et variées, de vision nocturne et autres grenades, mais vous aurez aussi droit à quelques séquences de jeu différentes pour faire un break de temps à autres : rejoindre une zone spécifique au guidon d'un quad, arroser des ennemis de plomb depuis un hélicoptère ou désigner des cibles au sol pour votre appui aérien sont autant d'activités qui cassent un peu la routine malgré leur relatif manque d'originalité.
Après de glorieux débuts, la série Medal of Honor n'a eu de cesse de s'enfoncer jusqu'à finalement disparaître corps et âme après avoir donné naissance à son grand rival : Call of Duty. Aujourd'hui, Electronic Arts tente un come-back en fanfare et s'assure de faire parler de son bébé. Là où la plupart des "jeux de guerre" contemporains évitent soigneusement de s'inscrire trop clairement dans un conflit actuel, préférant s'en inspirer de loin ou partir directement dans la fiction, Medal of Honor prend le risque de plonger dans un conflit non seulement réel mais controversé qui plus est. Medal of Honor version 2010 se veut donc une retranscription des opérations militaires qui ont cours en Afghanistan et met en scène les troupes d'élite de l'armée américaine. Un background peu habituel qui confère au jeu une certaine authenticité et une inspiration de gameplay du côté de la campagne solo. Une campagne cohérente qui se déroule dans une portion réduite du pays et qui nous voit naviguer entre trois escouades dont le travail impacte celui des autres. On ne s'éparpille pas, on suit plus facilement l'histoire et on a moins de mal à s'identifier aux personnages.
Alors que la Seconde Guerre mondiale peine, depuis un moment déjà, à trouver écho auprès des amateurs de FPS militaires et que dans le même temps, Activision s'est imposé comme un des poids lourds du genre grâce au rouleau compresseur Modern Warfare, Electronic Arts se décide enfin à dépoussiérer sa mythique licence, tout juste quelques mois après un Battlefield : Bad Company 2 des plus convaincants. Sobrement intitulé Medal of Honor, comme pour marquer le renouveau de la série, le titre tente de se faire une place au soleil avec une approche plus authentique et réaliste de la guerre moderne. Pour un résultat à l'image du conflit afghan qu'il tente de cerner : oscillant entre exaltation et amertume. Explications. Kaboul, Bagram, Kandahar... S'il est devenu habituel d'entendre évoquer ces villes lors du journal de vingt heures, elles seront désormais les étapes incontournables du joueur se lançant dans ce Medal of Honor. Car fidèle à sa tradition d'ancrer le scénario de ses jeux dans un contexte historique et géopolitique réel, Electronic Arts a pris la délicate décision de faire de l'Afghanistan le théâtre de sa nouvelle production, se démarquant ainsi des habituels et fantaisistes affrontements entre Russes et Américains que l'on a pu voir se généraliser ces derniers temps.
Univers Consoles
Ajouté le : 10/2010
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Plus de réalisme, plus de tension... et plus de spectacle. L'hégémonie de Call of Duty : Modern Warfare 2 prend fin avec l'arrivée de ce nouveau challenger ? Oubliés les nazis et le decorum propre à la Seconde Guerre mondiale. Pourvu d'arguments solides dans le fond comme dans la forme, ce FPS s'offre une cure de jeunesse en conjuguant l'action des forces spéciales et de l'armée régulière sur un théâtre moderne : l'Afghanistan. Un virage à 360 degrés qui n'est pas une première et fait immanquablement penser à une autre série, plus récente mais néanmoins fameuse, dont la dernière sortie avait fait couleur beaucoup d'encre. Call of Duty : Modern Warfare 2 et Medal of Honor... un affrontement inévitable. Medal of Honor nous largue donc tranquillement sur les terres hostiles d'Afghanistan accompagné d'une escouade surentraînée, dans le but d'arrêter la menace terroriste qui pèse sur le monde. Si le scénario, désormais classique pour le genre, nous ébloui pas, il permet en revanche d'introduire la série dans l'univers très à la mode du moment : la guerre moderne. Après avoir bouffé du nazi pendant plus de dix ans, MoH tourne définitivement la page des plages de Normandie... et franchement, il était temps.
Attendu comme un concurrent de poids dans la course au titre de "shooter de la fin de l'année", Medal of Honor n'aura pas les honneurs d'une telle médaille de ma part. Malheureusement, le bébé de Danger Close et DICE a en effet, quel que soit l'angle sous lequel on l'aborde, le cul entre deux chaises. Il est loin d'être mauvais, mais quand on tente des grands écarts délicats et qu'on déclare forfait au milieu de l'essai, la bonne volonté seule ne suffit pas.Les différentes versions du jeu étant similaires, les tests le sont également. Je ne suis même pas vraiment déçu par Medal of Honor, pour la simple et bonne raison que sa promesse elle-même n'était finalement pas fantasmagorique. Mais proposer une alternative de choix au shooter moderne qu'incarne Call of Duty restait un défi tout à fait intéressant. Un défi qui, au fil des images, vidéos, présentations et explications lâchées par les développeurs, avait capté mon attention. Au final, j'ai passé un moment correct, mais en 2010, avec Noël en ligne de mire et un premier trimestre 2011 encore plus prometteur, il faut se rendre à l'évidence : ça ne sera pas assez. La promesse de Danger Close pour son solo, c'est le réalisme des opératifs de Tier 1.
Ça ne vous a sûrement pas échappé ces derniers mois, la promo autour de Medal of Honor s’est essentiellement axée sur deux aspects : le respect du soldat et le réalisme de son théâtre de guerre. La nouvelle production d’EA opte en effet pour un conflit afghan tristement d’actualité et « offre » donc au joueur la possibilité de ressentir l’adrénaline du soldat d’élite made in Oncle Sam. Un sujet polémique ? Pas vraiment. Malgré son contexte très authentique, la campagne solo évite habilement les fautes de gout et se dispense de violence gratuite ou de discours patriotique nauséabond. En se concentrant sur le devenir des personnages incarnés, les développeurs nous épargnent également un scénario abracadabrantesque à la Modern Warfare 2, c’est déjà ça. Ne vous attendez cependant pas à de grands états d’âme émouvants ou une quelconque réflexion sur la guerre, la narration de MoH donne dans le minimum syndical et se contente d’enfiler les missions comme des perles, plus ou moins liées entre elles. Que le scénario de Medal of Honor ne brille pas par sa profondeur importe peu finalement.
De passage dans les locaux du studio suédois DICE, nous avons eu l'occasion de tester trois missions en solo et de goûter aux joies du multi pendant environ 1h. Voici donc, pad en mains, nos premières impressions sur ce nouveau chapitre de la saga Medal of Honor... Deux studios auront été nécessaires pour développer ce Medal of Honor. D'un côté, Danger Close (nouveau nom du studio Electronic Arts Los Angeles) s'est occupé du mode solo. Tandis que les modes multi ont été confiés au studio Digital Illusions CE alias DICE, auteur de Battlefield Bad Company 2. Dès le premier contact avec l'aventure principale, on remarque rapidement que le jeu semble véhiculer un paradoxe. Alors qu'on est censé incarner un membre de l'unité spéciale Tier 1, dont l'observation, la discrétion et même le silence constituent les talents de rigueur pour évoluer en milieu hostile, le jeu s'avère extrêmement bavard. Que ce soit sous forme de séquences (longues et statiques) de dialogues entre le QG et vous. Ou bien par l'intermédiaire d'une voix off vous accompagnant en permanence. Y compris lors des moments les plus stressants (comme la scène du sniper dans les montagnes), dont l'ambiance environnante aurait mérité d'être davantage mise en avant.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
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Le choc des "conflits modernes" se rapprochant à grands pas, Electronic Arts nous propose de jeter un nouveau coup d'oeil au prochain Medal of Honor avec une première présentation jouable organisée à la gamescom de Cologne en Allemagne. Au programme, du mitraillage d'insurgé et une inévitable comparaison de plus avec la série Call of Duty d'Activision. Si les développeurs de Medal of Honor essaient depuis des mois d'esquiver les comparaisons directes avec la franchises-rouleau-compresseur Call of Duty, il faut bien avouer que leur malchance n'est maintenant plus à prouver alors qu'ils nous présentaient une mission de leur FPS centrée sur des combats en hélicoptères qui rappelait forcément... la mission centrée sur des combats en hélicoptères présentée quelques jours plus tôt par Activision pour Call of Duty : Black Ops. Si la similitude du programme de ces deux exhibitions pouvait prêter à sourire, on reconnaitra tout de même que le traitement des combats héliportés de Medal of Honor n'avait pas grand chose à voir avec l'approche clairement hollywoodienne de Call of Duty : Black Ops.
Sur le twitter du JDG pendant la conférence EA, j'avais été assez critique envers ce titre, le qualifiant de sous Modern Warfare 2... Sur le stand EA, j'ai pu prendre la main sur la chose de manière un peu plus poussé, sur le mode multijoueur uniquement malheureusement ! Dans la suite, un petit trailer, quelques screenshots, et mes impressions sur le multi ! On avait appris lors de la conférence EA que la partie multi-joueur du titre était réalisé par les équipes de DICE, ce que l'on ne savait pas forçément, c'est que deux moteurs étaient du coup utilisés pour le titre, un pour la partie solo (Unreal Engine 3 de chez Epic) et un pour la partie multi (Frostbyte de chez DICE). Comme je n'ai encore eu l'occasion de voir tourner la partie solo, je ne saurais faire de comparaison, mais comme le Frostbyte est surtout connu pour le côté très destructible de ses décors, j'avais hâte de le voir à l'oeuvre sur un terrain d'opération bourré de ruines... Et je n'ai pas été déçu ! Explosions, particules, balistique et dégâts collatéraux sont magnifiquement gérés, et rendent du coup les combats vraiment réalistes et intenses. Par contre, je n'ai malheureusement pas plus de détails sur la version du moteur utilisé (a priori pas la même que dans Battlefield Bad Company 2).
Il y a trois ans, EA décevait de vilaine manière les fans de FPS et de guerre totale. Le coupable s’appelait Medal of Honor : Airborne et constituait l’épisode de trop pour une série en sérieuse perte de vitesse. Depuis, l’éditeur a mis sa licence en jachère, laissant un boulevard à la concurrence des Battlefield Bad Company et autre Modern Warfare. Une période terminée. Medal of Honor revient, avec la ferme intention de reconquérir son trône. Seule inconnue, peut-il y arriver? En mars dernier, notre Jika avait tièdement accueilli la première présentation de MoH cuvée 2010. Parmi les reproches énoncés, une réalisation honnête sans plus, un gameplay vu et revu et une mise en scène des missions plan-plan. Bref, pas vraiment de quoi effrayer Activision et… EA. Pourtant, avant de revoir le jeu ces derniers jours, on y croyait un peu plus. Grâce notamment, à une communication axée sur un réalisme pointu là où les autres donnent volontiers dans le grand spectacle à outrance. Mais voilà. Après ce deuxième coup d’œil, on en est maintenant presque sûrs, Medal of Honor sera un bon jeu c’est sûr, un très bon jeu peut-être, mais pas le FPS de l’année. Le souci de MoH, c’est qu’il ne parvient pas –pour l’instant- à provoquer ce petit quelque chose qui nous donne envie d’y jouer.
Laissant enfin derrière elle les batailles de la Seconde Guerre mondiale comme on le ferait d'une vieille chaussette trouée, la série des Medal of Honor a décidé de mettre les pieds dans le plat en jouant elle aussi la carte de la guerre moderne. Sans doute enragé par le succès interplanétaire de Modern Warfare, malgré le retour récent des créateurs de la série dans son giron, Electronic Arts a manifestement choisi d'aller jouer sur les plates-bandes du mastodonte. Au cas où vous n'auriez pas suivi, le Medal of Honor nouveau nous entraîne en Afghanistan, sur les traces des forces américaines alors qu'elles affrontent les Talibans. Mais là où Modern Warfare cherche avant tout à en mettre plein les mirettes à ses joueurs, au détriment de la cohérence globale et du scénario, le prochain MoH tentera pour sa part de se concentrer sur le devenir et les états d'âme des soldats dont on partagera les aventures. En guise d'introduction à la séquence de gameplay, nous avons ainsi pu écouter un ranger laisser un message sur le répondeur de sa femme avant de partir en mission. Un message relativement court, prononcé par un combattant manifestement posé, déterminé et se concluant par un magnifique "We're rangers, this is what we do." (Nous somme des rangers, c'est notre boulot).
Gamekult
Ajouté le : 05/2010
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Sujet de discussion à la mode ces derniers temps chez les fanatiques de FPS, le grand come-back de Medal of Honor nous avait déjà été présenté une première fois au mois de mars dernier. Cela n'a pas empêché Electronic Arts de nous convier à une nouvelle exhibition de ce très attendu blockbuster, avec un nouveau coup d'oeil au mode solo à la clef. Si l'unité Tier 1 que l'on avait pu entr'apercevoir il y a quelques mois est considérée comme le scalpel de l'armée américaine dans Medal of Honor, l'escouade de Rangers que l'on suivait dans cette nouvelle présentation du FPS représente le marteau. Chargés d'une mission nettement moins subtile que leurs petits camarades barbus, ces fiers représentants de l'U.S. Army offraient du coup un gameplay nettement plus direct dans les montagnes de l'Afghanistan. Ces quatre bidasses chargés du repérage d'une position ennemie retranchée devaient effectivement traverser un visage abandonné occupé par des insurgés en colère afin de sécuriser une zone d'atterrissage pour leurs collègues aéroportés. Autant l'avouer franchement, la phase de jeu présentée était incroyablement classique dans son déroulement et n'était finalement notable que par la qualité générale de sa réalisation.
Il n'y a pas si longtemps que ça, la série Medal of Honor représentait la crème de la crème du FPS militaire à grand spectacle. Nombreux sont les joueurs à garder un souvenir ému de la scène d’ouverture de Medal of Honor: Débarquement Allié sur PC. Spielberg et son soldat Ryan étaient passés par là, couplés à une démesure dans le scripte de l’ordre du jamais vu pour l’époque. La Seconde Guerre mondiale restait donc un eldorado pour les éditeurs… Jusqu’à l’arrivée d’un certain Modern Warfare, qui changea la donne. Forcément, 1 milliard de dollars de recette en moins de deux mois pour le second épisode, ça attire les envieux. C’est donc tout logiquement que Medal Of Honor lorgne désormais du côté de la guerre moderne tendance hollywoodienne, pour essayer de grapiller quelques miettes. Ce Medal Of Honor nouvelle génération vous place dans la peau de plusieurs soldats. Rien d’officiel pour le moment, mais au moins deux protagonistes devraient être jouables, l’un appartenant aux forces spéciales d’infiltration «Tier1» et l’autre à l’armée américaine. Les développeurs ont d’ailleurs bien insisté sur ce point durant la présentation du titre.
Qu'on se le dise, si ces dernières années, la série des Medal of Honor n'avait pas vraiment l'air à l'aise dans ses rangers, elle ne s'est pas encore résolue à passer l'arme à gauche. C'est même tout le contraire. Voilà, on le sait depuis la première vidéo diffusée en décembre dernier, la "vieille" licence, du haut de ses dix ans, tente en effet de se remettre en question en lorgnant résolument du côté des Modern Warfare. Car après s'être enlisée en pleine Seconde Guerre mondiale, voici maintenant que Medal of Honor joue la carte du conflit contemporain et nous entraîne en Afghanistan, sur les traces de l'élite de l'élite des forces spéciales américaines. Pas de doute, c'est bien là l'odeur d'une crise identitaire mâtinée d'une bonne couche d'opportunisme. Reste que d'après ce que nous avons pu en voir, ce nouvel opus pourrait bien faire de l'ombre à l'ogre d'Infinity Ward, et c'est finalement tout ce qu'on demande. Il faut dire qu'Electronic Arts a mis les petits plats dans les grands pour tenter d'offrir un nouveau souffle à la série. Ainsi, si la petite présentation à laquelle nous avons eu le plaisir d'assister était chaperonnée par Richard Farelly, directeur artistique du studio EA Los Angeles, il vous faut tout de même savoir que deux entités se partagent le développement du nouveau Medal of Honor.
Gamekult
Ajouté le : 03/2010
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Alors qu'il vient tout juste de dégainer un explosif Battlefield : Bad Company 2, Electronic Arts a déjà les yeux tournés vers l'avenir et son autre licence phare du FPS militaire, Medal of Honor. En déclin depuis quelques épisodes, la série prépare en effet un comeback aussi prévisible qu'intrigant pour l'automne prochain. Changement de cadre, collaboration avec DICE, Medal of Honor part sur de nouvelles bases, c'est certain. Cela suffira-t-il à redonner à la série son prestige d'antan ? Après deux ans de silence et une intense réflexion à peine influencée par la concurrence, DICE, Medal of Honor est donc fin prêt à faire son retour, non sans avoir opéré de radicaux changements. Ce n'est désormais plus un scoop : EA Los Angeles s'est enfin décidé à faire le grand saut en choisissant de laisser tomber la Seconde Guerre mondiale, exploitée à tort et à travers depuis des années, pour le meilleur et pour le pire. Oui, à l'instar de Call of Duty, celui qui fût précurseur d'une tendance de fond pour le FPS à la fin des années 90 a donc accepté avec une certaine humilité de tourner la page et remet d'ailleurs symboliquement les compteurs à zéro avec un nouvel épisode sobrement baptisé Medal of Honor - tout court.
Il y a quelques semaines, EA nous a conviés à venir découvrir le nouveau Medal Of Honor. La série, qui a pratiquement inventé le genre du FPS grand spectacle mais qui n'est plus que l'ombre d'elle-même depuis l'avènement de Call of Duty, va tenter de revenir sur le devant de la scène, en venant piétiner les plates-bandes de Modern Warfare à grands coups de Rangers cloutés. Autant le dire tout de suite, cette présentation était très courte et ne nous a pas finalement pas appris grand chose. On nous a rappelé que ce Medal Of Honor suivra les péripéties du Tier 1, un groupe de soldats d'élite piochés chez les Delta ou les Navy SEALs. Ceux-ci seront amenés à effectuer des missions un peu plus subtiles que celle qu'on confierait à un bataillon de troufions de base. Le monsieur de chez EA qui assurait la présentation décrivait le Tier 1 comme étant le scalpel, là où l'armée régulière serait un marteau. Nous avons pu assister à un petit bout d'une mission, étiquetée "infiltration". Nos braves petits soldats doivent dégommer discrètement les méchants barbus (à ne pas confondre avec les gentils barbus de votre squad) qui les séparent d'une batterie de missiles sol-air.
Avec son dernier jeu Medal of Honor, EA veut montrer un aspect différent de la guerre moderne, et dans cet aspect différent - murmurez-le tout bas - il y a des chèvres. Vous pouvez cependant les transformer en véhicules et vous pouvez leur attacher du Semtex avant de les envoyer gambader dans les refuges des ennemis pour exploser obligeamment. Je ne pense pas que vous puissiez les utiliser aussi comme abri. Elles se contentent de folâtrer dans le paysage Afghan du jeu, à brouter de l'herbe et à fixer l'horizon avec ce regard étrange qu'ont souvent les chèvres, en ruminant leurs pensées de chèvres. En d'autres termes, il y a des chèvres dans le jeu précisément parce qu'il y a des chèvres sur la terre ravagée de l'Afghanistan, et ce projet est entièrement basé sur le réalisme. C'est facile pour moi à écrire (quoique pas aussi facile que cela aurait dû l'être, parce que je me suis coupé le doigt en épluchant une pomme il y a quelques minutes; qu'importe), mais comme je n'ai jamais été à l'armée, que je n'ai jamais subi l'épreuve du feu, et que je n'ai jamais été en Afghanistan, il me faut considérer comme vrai ce que disent les développeurs.
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