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Nous avons réuni 6 tests du Majin and the Forsaken Kingdom. Les experts notent Majin and the Forsaken Kingdom 6.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Majin and the Forsaken Kingdom et d'autres Jeux Xbox 360.
Qu'est-ce qu'ont en commun Resident Evil, Street Fighter et Majin and the Forsaken Kingdom ? Eh bien pratiquement rien, si ce n'est qu'ils ont tous les trois été produits sous la direction de Yoshiki Okamoto, de quoi piquer au vif notre intérêt pour Majin. Développé par Game Republic et édité par Namco Bandai Games, le titre est d'ores et déjà sorti en Europe et sera disponible ce mois-ci au Japon. S'il vous reste quelques étrennes à dépenser et qu'un jeu de plateformes et d'énigmes parsemé de combats vous tente, attrapez votre pieu et partez dès à présent à l'aventure aux côtés du Majin. C'est ça la Majin ! Dans Majin and the Forsaken Kingdom, le joueur est invité à contrôler un jeune voleur possédant le curieux don de pouvoir parler aux animaux. Ceux-ci possèdent tous des voix différentes, pas toujours en accord avec leur morphologie d'ailleurs. Les petits oiseaux ont ainsi beaucoup plus de virilité que dans la vie réelle. Mais ne nous égarons pas. Le royaume de notre brigand, autrefois majestueux et en paix, est désormais entre les mains des forces des ténèbres. Le fringant jeune homme décide de faire quelque chose et part ainsi à la recherche du légendaire Majin, monstre aux pouvoirs incroyables ayant déjà aidé les gentils autrefois, durant la guerre contre le mal.
Yoshiki Okamoto... derrière ce nom se cachent une série de jeux mythiques qui feraient bander un eunuque gamer : 1942, Pang, Forgotten Worlds, Resident Evil 2 et Veronica, Street Fighter Alpha 3 et Rival Schools ! N'en jetez plus ! Cet homme est une légende ! Un dieu vivant ! (bon ok j'exagère mais en ce lendemain de fêtes j'ai l'estomac dans mes sandalettes !). Et lorsque l'on a appris que ce saint homme allait sortir un nouveau jeu, on s'est rué dessus la bave aux lèvres et les doigts frétillants ! Les ténèbres ont envahi le royaume il y a de cela une centaine d'années. Le peuple vit reclus essayant d'échapper tant bien que mal à une armée d'ombres immortelles. C'est dans ce contexte qu'un jeune voleur sans nom, ayant l'étrange faculté de pouvoir parler aux animaux, s'infiltre au cœur des ténèbres pour retrouver le gardien de la légende, le Majin, seul être encore capable de libérer le royaume. Avouons-le tout de suite, s’il faut chercher de l'originalité dans Majin ce n'est pas du côté de l'histoire qu'on la trouvera. D'une banalité banale rare elle n'est que le prétexte à mettre en scène un improbable duo : le voleur que vous dirigerez et le Majin, sorte de gros ours-panda doté de pouvoirs immenses avec lequel vous interagirez via un système d'ordres simples.
Après avoir développé le très médiocre Le Choc des Titans, Game Republic revient sur console de salon avec un titre aux allures d'aventure magique dans un univers féérique. En l'absence d'un certain The Last Guardian, le studio japonais pourrait, avec Majin and The Forsaken Kingdom, avoir tiré la bonne pioche en venant combler un genre qui fait cruellement défaut dans les productions actuelles. Sorti sur Xbox 360 et Playstation 3, leur dernier titre a-t-il les atouts nécessaires pour représenter une véritable bouffée d'air frais ou se contente-t-il de jouer la pâle imitation sans saveur ? Réponse au-delà des ténèbres. Dans le royaume de Q'umarkaj, rien ne va plus. Envahi par les ténèbres depuis près d'un siècle, le monde se meurt et l'humanité a perdu depuis longtemps son combat contre les forces du mal. La nature est réduite à sa plus simple expression, les ressources naturelles se font de plus en plus rares et les hommes se sont transformés en âmes errantes tourmentées à jamais. Alors que tout semble perdu, un jeune voleur, élevé par des animaux, va se voir offrir l'opportunité de changer cette situation quelque-peu désespérée lorsque les ténèbres viendront frapper à la porte de son petit paradis terrestre.
Rendu célèbre par Genji : Days of the Blade et son "giant enemy crab", le studio Game Republic a le chic pour réaliser des jeux sympathiques mais pas inoubliables. Après un Choc des Titans de commande totalement loupé, le développeur nippon revient sur consoles de salon HD avec Majin and the Forsaken Kingdom, une aventure originale entre un humain et une créature magique, chargés de libérer un royaume autrefois prospère de l'emprise d'une sombre malédiction. On a déjà vu ça quelque part... Il y a quelque chose de pourri au royaume de Q'umarkaj depuis que les Ténèbres ont corrompu ses habitants, transformés en âmes errantes agressives et immortelles, contaminant au passage tous ceux qui ont tenté de les éliminer. Un siècle après le début du désastre, un jeune voleur nommé Tepeu ayant le don de comprendre le langage des animaux déboule dans les ruines du château royal et tombe nez à nez avec le Majin, sorte de croisement entre un jardinet et un Maximonstre. Après avoir nourri la créature afin qu'elle retrouve la force nécessaire pour se libérer de son entrave, Tepeu va devenir le nouveau meilleur ami du Majin (ou Teotl de son petit nom), seul être capable d'absorber les Ténèbres poisseuses et de libérer les "infectés" de leurs tourments.
Depuis sa première apparition en mai dernier, Majin and the Forsaken Kingdom a titillé nos envies d'aventure poétique. The Last Guardian de Fumito Ueda se faisant trop longuement attendre, de nombreux joueurs verront en Majin un excellent palliatif à ce manque d'univers originaux et oniriques dans les jeux vidéo ces derniers mois. Le titre de Namco Bandai est maintenant disponible sur PlaySation 3 et Xbox 360. Alors déception ou songe d'une nuit... d'hiver ?Les versions étant similaires, les tests le sont également. Majin and the Forsaken Kingdom est le genre de titre qui pique les bonnes idées de ses petits camarades pour les compiler dans son gameplay. Ainsi, nous retrouvons à la fois de l'aventure grâce à des élément empruntés à Zelda, de l'émotion avec une légère dose d'ICO ou encore de la plate-forme et des énigmes à résoudre en coopération à la manière d'un bon vieux Banjo-Kazooie pour ne citer que ces trois titres. Mais attention, ce n'est nullement un reproche. Réinventer des concepts de jeux vidéo n'est pas à la portée de tout le monde, auquel cas nous aurions chaque semaine moult chefs d'oeuvres entre les mains.
La fin de l'année approche à grands pas et les éditeurs se pressent de nous sortir une ribambelle de jeux en espérant que ceux-ci trouvent leur place sous votre sapin. A côté des très grosses productions habituelles, il se pourrait bien qu'un titre atypique et inattendu vous attende dans la hotte du Père Noël. En effet, les développeurs de Majin and the Forsaken Kingdom s'étaient fait plutôt discrets et nous livrent finalement un jeu surprenant à plus d'un titre. Le studio Game Republic n'est pas forcément très connu du grand public. On lui doit des titres aussi variés que Dragon Ball : Origins, Folklore, Dark Mist, l'adaptation du Choc des Titans ou encore Genji. Une telle liste a de quoi laisser dubitatif : ces braves développeurs sont visiblement capables du meilleur comme du pire. Dans ces conditions, on ne savait pas vraiment sur quel pied danser en apprenant que le studio travaillait sur un nouveau projet. Et pourtant, leur dernier rejeton s'avère être l'une des trop rares bonnes surprises de cette fin d'année. Préparez-vous à entreprendre un voyage captivant et féerique dans ce fameux royaume abandonné. Le point de départ de cette aventure a des allures de conte : vous incarnez un jeune voleur qui a l'étrange aptitude de parler avec les animaux.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Majin and the Forsaken Kingdom. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Majin and the Forsaken Kingdom.