6 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 6 tests du Lollipop Chainsaw. Les experts notent Lollipop Chainsaw 6.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Lollipop Chainsaw et d'autres Jeux Playstation 3.
Pour concevoir un univers comme celui de Lollipop Chainsaw, rien de plus simple. Prenez un shaker, mettez-y Buffy Contre les Vampires, Clueless, des zombies, ainsi qu'une parodie quelconque de « teen movie ». Secouez un peu, servez, et il ne reste qu'à déguster. Le joueur incarne ici Juliet Starling, pom pom girl du lycée de San Romero et accessoirement chasseuse de zombies. Un de ses anciens camarades de classe, gothique mal-aimé de son état, choisit le jour du 18ème anniversaire de la starlette pour tenter de relier la Terre au Monde Putréfié. Ce dernier laissant échapper un gaz toxique, une bonne partie de la population de San Romero se retrouve transformée en zombies bavards. Pour remettre de l'ordre dans tout ça, Juliet va devoir se rendre aux quatre coins de la ville et éliminer la menace tout en sauvant ceux qui peuvent encore l'être. Comme l'ont prouvé les créateurs de South Park, être drôle et vulgaire, c'est un métier. Et chez Grasshopper Manufacture, on est apparemment drôle en alternance. Bien entendu, l'univers décalé de Lollipop Chainsaw ne doit absolument pas être pris au sérieux. Mais le problème, c'est qu'être décalé et vulgaire ne suffit pas pour être drôle.
Si vous vous attendiez à voir un classique du film de série B foutraque - où Grasshopper conjuguerait son goût pour l'Amérique bizarre, vous serez déçu par ce jeu court, répétitif et manquant un peu de précision là où c'est important. Juliet Starling est indéniablement un canon et Lollipop Chainsaw ne rechigne jamais à la cadrer d'un peu trop près avec sa caméra malicieuse, mais le scénario insiste plus lourdement qu'on pourrait s'y attendre sur le côté sexy. Est-ce une critique de l'exploitation de la femme ou de l'exploitation sans complexe ? J'ai l'impression que le jeu essaye de faire un peu les deux. C'est typique de la production de Suda 51 : une bouillie de références à la culture pop, de vannes qui flinguent dans tous les sens et d'effets sanguinolents démesurés. L'héroïne est une sorte de Buffy, car Juliet Starling avoue à son petit ami Nick - malheureusement décapité - qu'elle est en secret une tueuse de zombies en plus d'être une pom-pom girl vedette. Les morts vivants se répandent en ville, mais cela donne au jeu une tonalité étrangement romantique.
À notre époque, il existe des jeux qui rentrent parfaitement dans des cases et qui s'assurent des ventes mirobolantes sans prendre beaucoup de risques. Mais de temps en temps, un créateur prend un risque en sortant des sentiers battus pour nous proposer un délire sorti de son esprit créatif. À ce petit jeu, Suda51 n'est plus un amateur et le créateur déjanté nous gratifie aujourd'hui d'une nouvelle production dont il a le secret avec l'arrivée de Lollipop Chainsaw. Nous allons donc voir aujourd'hui, si le titre restera dans les mémoires ou si cette fois, le créateur à été se perdre trop loin pour être compris par les joueurs. Si vous avez suivi les différents trailers du jeu, vous savez forcement que nous allons suivre les aventures de Juliet, une Cheerleader quelque peu originale. En effet, la belle blonde a eu la bonne idée de faire partie d'une famille de chasseurs de zombies et est donc loufoque à souhait et n'est en aucun cas surprise par le scénario mis en place par le jeu. Alors que la belle allait fêter son anniversaire et devait rejoindre son petit copain du moment, son lycée va avoir la malchance d'être envahi par une armée de zombies suite à l'invocation magique d'un jeune aux allures gothique.
Comme la plupart des productions de Grasshopper Manafacture, Lollipop Chainsaw compte davantage sur son caractère atypique que sur la profondeur de son gameplay pour marquer les esprits. Si dans le fond nous avons un beat them all tout ce qu'il y a de plus conventionnel et efficace, dans la forme le jeu possède un charme indéniable qui touchera bon nombre d'entre vous en plein coeur. Par contre, voir la belle Juliet se débiner cinq heures après notre premier rendez-vous laisse un goût de rupture dont on se remet difficilement. Depuis que nous avons découvert la sexy Juliet Starling lors d'une présentation à la GamesCom 2011, nous avons toujours gardé un oeil sur le dernier jeu des créateurs de Killer 7, No More Heroes et Shadow of the Damned. Il faut dire que le studio nous a habitué à des productions atypiques toujours riches en délires visuels et en action trippante. Et ce n'est pas ce titre qui changera la donne. Destinée à toucher un public plus large, plus occidental, l'aventure se passe cette fois aux Etats-Unis, avec une blonde à gros seins découpant des zombies. Voulez-vous en savoir plus ?Ce n'est un secret pour personne : les zombies sont à la mode.
Lollipop Chainsaw en aura fait tourner des têtes à travers les maintes images et vidéos proposées depuis son annonce l'année dernière. Jouant sur les formes de notre chère Juliet, Grasshopper Manufacture Inc. a fait monter la pression jusqu'à maintenant, jour de la sortie du titre. Alors que peut-on attendre du développeur japonais et de sa dernière production qui ne se prend pas vraiment au sérieux ? Voici notre verdict. Juliet Starling est heureuse. Aujourd'hui, c'est son 18ème anniversaire. Pour le fêter dignement, elle est sur le point de retrouver son boyfriend Nick au campus de San Romero pour ensuite le présenter comme il se doit à sa famille. Le problème, c'est qu'en arrivant sur les lieux, la demoiselle ne trouve pas des étudiants prêts à démarrer les cours mais une armée de zombies en train de tout ravager. Ça tombe bien, notre innocente cheerleader est justement chasseuse de morts-vivants et transporte dans son sac sa fameuse tronçonneuse décorée avec des petits c?urs. Commence dès lors notre périple dont le but premier est de retrouver notre petit copain, puis, dans un second temps, de connaître l'identité de celui qui a commandité cette invasion.
Goichi Suda est un de ces créateurs qui se plaisent à explorer les mêmes thématiques dans des jeux aux gameplays très différents (Flower, Sun & Rain, Killer 7, No More Heroes...). Sa dernière production, Lollipop Chainsaw, est animée d'un esprit décalé et de fulgurances artistiques toujours aussi réjouissants, mais s'avère trop proche de No More Heroes pour offrir une expérience aussi rafraîchissante. Au confluent de Dead Rising, de No More Heroes et d'un épisode de Buffy contre les Vampires, la dernière production de Grasshopper Manufacture a bénéficié du concours de James Gunn, scénariste et réalisateur d'Hollywood auquel on doit entre autres le script de L'Armée des Morts. Dans ce titre complètement barré, on incarne Juliet Starling, une pom-pom girl qui se prépare à fêter ses dix-huit ans en compagnie de son petit ami Nick, lorsque les étudiants de son lycée de San Romero (on apprécie la référence) se transforment subitement en zombies ! Aucun souci pour Juliet, car derrière cette Lolita écervelée se cache en réalité une farouche chasseuse de morts-vivants, qui a l'habitude de charcuter du zombie en famille, en compagnie de son biker de père et de ses soeurs Cordelia et Rosalind.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Lollipop Chainsaw. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Lollipop Chainsaw.