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Nous avons réuni 10 tests du Last Window : Le secret de Cape West. Les experts notent Last Window : Le secret de Cape West 6.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Last Window : Le secret de Cape West et d'autres Jeux DS.
Il y a 3 ans sortait sur DS un titre quelque peu atypique, très porté sur la lecture et son histoire sans toutefois oublier un gameplay utilisant habilement la console portable chère à Nintendo. Aujourd'hui, le studio responsable de ce jeu ferme ses portes et nous lègue Last Window : le secret de Cape West, la suite directe d'Hotel Dusk : Room 215. Que représente Last Window alors ? Un chant funèbre achevant Cing, ou les regrets de l'équipe de n'avoir pu continuer leur aventure plus loin ? Il n'y a pas à dire, le 18 décembre 1980 est une sale journée pour Kyle. Renvoyé de son travail pour laxisme, apprenant qu'il doit partir de son immeuble avant la destruction de celui-ci à la fin du mois, le bougre n'a pas vraiment de pot. Et que dire de cette mystérieuse missive qui tombe à ses pieds lorsqu'il ouvre sa porte, lui demandant de dénicher l'étoile rouge, un joyau qui a disparu il y a 25 ans de cela. Kyle finira bien sûr par essayer de retrouver la pierre précieuse et tentera de résoudre les problèmes des autres locataires de l'ancien hôtel, tout en cherchant des solutions aux mystères qui planent au dessus du bâtiment.
Après Hotel Dusk, Kyle Hyde revient dans un jeu d'aventure classique, dirigiste, mais plutôt réussi. Vous revoilà dans les chaussures de Kyle Hyde, ex-flic de New-York travaillant aujourd'hui à Los Angeles pour la Red Crown. Cette compagnie vous emploie officiellement comme vendeur-démarcheur mais plus officieusement, comme détective pour retrouver des objets divers sans que la police ne s'en mêle. Mais cette petite vie était trop « normale »... Du jour au lendemain, vous voilà licencié et sommé de quitter votre appartement de la résidence Cape West pour cause de démolition. Mais, au moment de partir, une étrange missive vous demandant de retrouver instamment l'Etoile rouge vous parvient. Vous n'aurez pas à chercher bien loin, cette étoile se trouve dans la résidence. Voilà votre quête principale. S'y ajoutent des missions secondaires obligatoires combinant des intrigues en tout genre, qui vous mèneront des problèmes des locataires à une quête un peu plus importante : découvrir qui a assassiné votre père des années plus tôt. Un programme chargé qui va vous tenir quelques bonnes heures devant votre console.
Autrefois policier new-yorkais, Kyle Hyde vit aujourd’hui à Los Angeles. Alors qu’il vient de se faire licencier par son patron (il travaillait comme représentant), il apprend que l’immeuble où il réside, un ancien hôtel, a été vendu à un spéculateur immobilier qui souhaite le démolir. A l’évidence, Kyle a connu des jours meilleurs mais ce dernier n’a pas le temps de s’apitoyer sur son sort (ce n’est de toute façon pas son genre), qu’une mystérieuse lettre le sollicite pour retrouver un joyau soit disant perdu quelque part dans la résidence. D’un naturel curieux, il n’en faut pas plus pour que Kyle parte à la chasse au trésor. En quelques minutes, on comprend que Last Window n’a rien à nous proposer de neuf depuis Hotel Dusk. On y retrouve les mêmes défauts et les mêmes (maigres) qualités. Et forcément, la déception est de mise. En imposant au joueur de tenir la Nintendo DS comme un livre, on s’attend logiquement à ce que l’écriture soit un minimum travaillé. Dès lors, ce qui dérange le plus, ce n’est pas tant sa terrible rigidité (il est impossible de récupérer un objet tant qu’il ne trouve pas son utilité immédiate) ou ses scripts affligeants (les habitants disparaissent et apparaissent toujours au bon moment) mais bien le fait que le titre n’a une nouvelle fois pas su soigner ce qui constitue l’élément principal d’un roman interactif : son scénario.
Convaincu de la justesse de sa démarche par le beau succès d'estime de ses précédents projets, le studio CING a souhaité persister dans l'aventure verbeuse et offrir une suite directe à son Hotel Dusk : Room 215 paru au printemps 2007. Louable, cet acharnement s'est également révélé suicidaire, le studio ayant été contraint de fermer ses portes à l'issue de son dernier développement. Viable artistiquement aux yeux de certains, la formule du roman interactif ne semble donc avoir, pour le moment et sous cette forme, qu'un faible potentiel commercial. Mollasson, archaïque et extrêmement bavard, Last Window : Le Secret de Cape West ne changera pas grand-chose à cette situation.Un bien drôle de type, ce Kyle Hyde. Flic à New-York, le beau gosse à l'air désabusé a rendu son insigne après avoir tué un flic passé du côté obscur. Installé à Los Angeles, notre héros traîne désormais son spleen dans une trop rébarbative activité de représentant de commerce. Red Crown, la société qui l'emploie, est heureusement dirigée par Ed, un ancien ami de son défunt père, qui lui confie ponctuellement de très officieuses missions de recherche d'objets disparus et tolère sa fainéantise... du moins jusqu'au jeudi 18 décembre 1980.
En 2007, Hotel Dusk : Room 215 s'imposait sur Nintendo DS comme un titre à part, une expérience interactive immersive plutôt bien accueillie par les joueurs nomades en manque d'aventure. Quelques années plus tard, Nintendo et CING remettent le couvert et nous servent Last Window : Le secret de Cape West, une suite qui nous permet de retrouver l'ami Kyle Hyde prêt à lever le voile sur un nouveau mystère. Une investigation menée à bien ? Kyle Hyde, que l'on a appris à connaître dans Hotel Dusk : Room 215, est devenu, quatre années après les faits qui l'ont incité à quitter la police de Manhattan, un représentant de commerce dans une société du nom de Red Crown à Los Angeles, une boîte dirigée par un ami de feu son père. En réalité, et les fans du premier volet le savent bien, notre bonhomme s'occupe de retrouver des objets rares et perdus pour son patron, une tâche à laquelle il aime se plier quand il n'est pas en train de faire la sieste pendant les heures du boulot. D'ailleurs, cette conduite irresponsable va conduire son boss à le mettre à la porte un certain 18 décembre 1980.
GamePro.fr
Ajouté le : 09/2010
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Les difficultés financières ayant poussé le studio japonais CING à déposer le bilan n'ont pas empêché Last Window, la suite du surprenant point & click Hotel Dusk, de débarquer sur les DS du vieux continent grâce au bon vouloir de Nintendo. Les joueurs ayant débuté l'aventure avec Kyle Hyde seront donc heureux de voir débarquer Last Windows : Le Secret de Cape West en boutiques, retrouvant leur ex-flic à Los Angeles à la recherche d'un mystérieux joyaux dissimulé dans les murs de son immeuble appelé à être démoli. Mais alors que son prédécesseur était l'un des tous premiers jeux d'aventure réussis sur la portable de Nintendo, exploitant méthodiquement ses capacités tactiles, cette suite fait une impression plus mitigée. En effet, si l'on retrouve la volonté de proposer avant tout une ambiance forte, ce qui passe par une identité graphique affirmée, avec un style crayonné qui fait des merveilles, et que globalement l'intrigue de ce nouvel opus ne souffre d'aucune critique, Last Window n'en reste pas moins difficile à digérer. La raison principale est que l'on s'y sent tout étriqué, enfermé dans une logique de progression parfois bancale rappelant les difficultés que l'on avait pu éprouver pour adhérer au premier jeu.
Another Code : Mémoires Doubles et Hotel Dusk : Room 215 font partie des meilleurs jeux d'aventure sur DS, et peut-être même des meilleurs jeux DS tout court. Last Window : Le Secret de Cape West, la suite d'Hotel Dusk, fédérait donc toutes les attentes des fidèles du studio CING, qui a fini par mettre la clé sous la porte peu après la sortie du jeu au Japon. On craignait même ne jamais pouvoir profiter de la nouvelle enquête de Kyle Hyde, ce qui eut été franchement dommage. De Glass Rose à Last Window, le studio CING n'aura cessé de marteler sa vision du jeu d'aventure à travers des titres abondants de partis pris et destinés à une audience précise : celle qui est prête à composer avec un titre où la narration prime sur le gameplay, pour peu qu'on sache lui raconter une histoire solide dotée de thèmes forts et de personnages complexes et attachants. Voilà pourquoi, au-delà de ses allures de roman interactif à 40 euros, Hotel Dusk : Room 215 avait su trouver son public. Sa suite nous arrive trois ans plus tard dans un contexte différent, celui d'une DS en fin de vie (la nouvelle portable de Nintendo, la 3DS, ne saurait tarder) et d'un studio qui, croulant sous les dettes, a fini par déposer le bilan après la parution de son dernier jeu.
Trois ans après sa précédente enquête, l’ex flic Kyle Hyde reprend du service. Dernier jeu du développeur Cing avant sa triste fermeture, Last Window : le secret de Cape West se veut être la suite de Hotel Dusk : room 215. A mi-chemin entre le jeu d’aventure point & click et le roman policier interactif, cette suite nous plonge à Los Angeles au début des années 80. Le papa d’Another Code signe-t-il ici un dernier jeu convainquant, dans la lignée de ce qu’il a produit par le passé ? L’histoire narre une nouvelle fois les enquêtes de Kyle Hyde, ex flic qui ne peut s’empêcher de laisser son ancien travail empiéter sur sa nouvelle vie. Trois ans après Hotel Dusk, le jeu n’en est pas une vraie suite car les deux histoires sont indépendantes. Inutile donc de se précipiter sur le premier opus pour espérer comprendre Last Window. Kyle, fraichement viré de la compagnie Red Crown pour cause de gros poil dans la main, apprend dans la même journée que sa résidence va être fermée puis démolie. Une bien triste journée pour le bougre qui doit alors se préparer psychologiquement et physiquement à déménager dans les jours à venir.
Last Window : Le Secret de Cape West est, comme son titre ne l'indique pas, la suite de Hotel Dusk : Room 215. On s'étonne d'ailleurs qu'un vulgaire marketeux n'ait pas imposé la reprise de la marque dans le titre, car le premier épisode avait été bien reçu. Et surtout parce que ce nouveau volet reprend tout de son aîné, côté scénario comme côté gameplay. On retrouve donc des personnages esquissés avec soin, des dialogues de qualité et une ambiance maîtrisée. Mais cela est-il suffisant pour proposer un objet vidéoludique de qualité ? Voici ce que j'en pense.Les faits de Last Window se déroulent quatre ans après que Kyle Hyde, le protagoniste, ait quitté la police de Manhattan. Désormais employé chez Red Crown à Los Angeles, l'ex-flic est sensé vendre des produits ménagers au porte-à-porte mais ceci n'est qu'une couverture. Le patron de cette société lui demande en fait de retrouver certains objets particuliers, une faculté naturelle chez l'ancien détective et qui lui convient assurément mieux que de vendre du détergent. L'histoire commence alors qu'un Kyle un peu tire-au-flanc sur les bords vient de se faire virer et rentre chez lui, le pas lourd, à la résidence Cape West.
Avec Hotel Dusk : Room 215, le studio CING, notamment responsable des jeux Another Code, avait tenté l'étrange mélange entre point & click et roman interactif, le tout entièrement au stylet bien sûr. Si le résultat était séduisant, il n'en était pas moins entaché de quelques défauts. Trois ans et demi plus tard, CING nous offre une suite, Last Window, dans laquelle on retrouve Kyle Hyde, confronté à une nouvelle histoire pleine de mystères. Kyle Hyde, ancien policier new-yorkais, vit désormais à Los Angeles, dans un ancien hôtel reconverti en immeuble d'appartements. Le jeu commence alors qu'il vient de se faire licencier par son patron, un ami de son défunt père. En rentrant chez lui, Kyle apprend que la propriétaire de l'immeuble a été contrainte de vendre à un spéculateur immobilier qui souhaite le démolir : les résidents ont donc un mois pour faire leurs valises et quitter les lieux. Et dans son courrier, il trouve une lettre anonyme lui demandant de retrouver un joyaux disparu entre les murs de ce même immeuble. Durant les premières heures, le mystère ne fait que s'épaissir, et c'est bien sûr à nous de démêler les fils de cette intrigue plutôt bien ficelée.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Last Window : Le secret de Cape West. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Last Window : Le secret de Cape West.