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Nous avons réuni 12 tests du Inversion. Les experts notent Inversion 4.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Inversion et d'autres Jeux Playstation 3.
Juste avant la rentrée qui s'annonce particulièrement chargée, il est encore temps de boucler les dossiers en cours. Disponible depuis le mois dernier sur Xbox 360, PS3 et PC, Inversion avait fini sur le coin d'un des bureaux de la rédaction, vacances d'été oblige. Ce n'est pas la première fois que nous croisons le chemin du TPS de Saber Interactive, car nous avions déjà eu l'occasion de le prendre en main l'année passée à Dubaï. A l'époque, le jeu ne nous avait pas paru exceptionnel, mais les développeurs nous avaient alors promis que la version définitive répondrait aux attentes. Est-ce vraiment le cas ? Eh bien non.Autant être franc et poli : Inversion, c'est le Gears of War du pauvre, et encore. Difficile en effet de ne pas penser au blockbuster d'Epic Games lorsque l'on fait face aux Lutadores, une sous-race des Locustes dénuée d'intelligence. Comprenez par là qu'il ne faut pas forcer son talent durant les gunfights, et les adversaires persistent constamment à passer en force, au lieu de chercher à prendre à revers histoire que l'on se serve un peu de sa tête. Mais bon, avec un level design aussi faible, il n'est pas forcément nécessaire d'avoir une I.A. en béton, c'est vrai.
Annoncé par une bande-annonce tonitruante en 2009, Inversion s'est perdu depuis trois ans dans les abîmes des ténèbres, à tel point qu'on le pensait définitivement mort et enterré. Mais après une multitude de reports en tout genre, le TPS de Saber Interactive a enfin atterri sur la planète Terre avec son concept de la gravité zéro. Malheureusement, au vu du résultat final, on se demande si il n'aurait pas mieux fait de ne jamais quitter son apesanteur. Pour être clair, on pourrait résumer Inversion en une seule phrase : "celui qui a copié les meilleurs, mais en moins bien, voire en pire." Tel est le constat que l'on peut faire dès la première heure parcourue sur le triste Shooter de Saber Interactive. Première tare, le scénario qui est tout droit pompé de l'intrigue de Gears of War. Après tout, il n'y a rien de mal à s'inspirer d'une référence, sauf que dans Inversion, l'intrigue est saturée de clichés, de stéréotypes mêmes pas maquillés et surtout d'innombrables séquences cinématiques qui n'apportent rien à l'histoire, sauf à se taper de bonnes barres de rire quand on entend les conversations de nos deux larrons qui frisent (souvent) le ridicule.
Accoucher d'Inversion n'a pas été chose facile pour les développeurs de Saber Interactive. Annoncé un beau jour d'octobre 2009 puis exhibé une fois tous les 36 du mois, le titre pris en charge par Namco Bandai Games n'a finalement vu le jour que tout récemment dans nos contrées avec une sortie dans la quasi-indifférence totale. Une période généralement creuse pour les amateurs de jeu vidéo et donc une aubaine pour se faire remarquer ? Oui, mais pas forcément dans le bon sens du terme. Il ne faut pas accumuler beaucoup d'heures de jeu pour se rendre compte que Inversion s'inspire beaucoup (trop) de Gears of War et, d'une manière plus générale, des productions d'Epic Games. On le constate tout d'abord avec les protagonistes du jeu qui, s'ils ont d'aussi gros bras que Marcus et compagnie, sont bien loin d'en avoir le charisme. Davis et Leo, les héros de cet Inversion, sont deux flics ordinaires dans une ville qui est soudainement envahie puis détruite par une race baptisée Lutadore, des créatures à mi-chemin entre les Locustes et les ennemis rencontrés dans Rage. Qui sont les Lutadores et que veulent-ils ? Ces réponses, Saber Interactive tente de les apporter au fil des heures de jeu.
Mais qui a entendu parler d'Inversion ? Annoncé très discrètement en 2009 et retardé de plus d'un an, le titre de Saber Interactive (TimeShift) n'a pas franchement déchaîné les passions. Il y a pourtant de quoi faire, puisque comme le sous-entend sa jaquette, on nous promettait de participer à un TPS testostéronné dans lequel il serait possible de jouer avec la gravité. Le résultat ? Un clone de Gears of War sans âme et surtout sans la moindre once d'originalité. Inversion c'est l'histoire d'un type, policier de son état, dont la vie va changer du jour au lendemain quand sa ville est envahie par des grosses brutes humaines capables de manipuler la gravité. Voilà pour le scénario, on retiendra simplement que Davis Russel n'a désormais plus qu'un seul objectif, remettre la main sur sa fille alors qu'il ne sait pas si elle est encore vivante. Autant vous prévenir, si vous trouviez que le scénario de Gears of War était une insulte à votre intellect, Inversion devrait vous finir de cramer le reste d'espérance que vous auriez pu porter pour les scénaristes de jeu vidéo. Davis Russel n'est pas seulement aussi carré qu'un frigo américain, il en possède aussi le quotient intellectuel et le charisme.
Entre son gameplay qui évoque un mauvais collage et son scénario digne du pire des téléfilms à petit budget employés pour occuper l'antenne d'une chaîne aux heures creuses, Inversion a du pain sur la planche pour se faire remarquer. Nous sommes bien d'accord, les jeux s'inspirent réciproquement les uns les autres à longueur de temps et d'une manière générale, personne ne s'en plaint vraiment. Mais il y a une sacrée différence entre chercher l'inspiration chez la concurrence et proposer un assemblage bancal de morceaux de gameplay et de design chopés à droite et à gauche. Dans Inversion, on prend le contrôle de Davis, un flic bourru constamment accompagné de son partenaire Léo. Pour ces deux agents aux méthodes rugueuses, la journée va prendre une curieuse tournure lorsque des envahisseurs d'apparence humaine semblent surgir des tréfonds de la terre pour dominer la surface et enfermer tout le monde dans des camps d'internement. Cerise sur le gâteau, ces sagouins ont embarqué la fille de Davis, qui passera donc la moitié de son temps à pleurnicher parce que bon, on a beau être rugueux, on n'en reste pas moins humain.
Les développeurs de Saber Interactive sont revenus brièvement sur le scénario d'Inversion, qui se déroulera dans un monde post-apocalyptique ravagé par une invasion d'aliens. On ne sait pas encore s'ils seront plus féroces que les Chimères de Resistance 3, mais les Lutadore donneront certainement du fil à retordre à Davis Russel et Leo Delgado, les deux personnages principaux du jeu. En plus de sauver sa peau, Russel devra également retrouver la trace de sa fille, un sujet sur lequel les représentants du studio ne se sont pas vraiment étendus. En revanche, ils ont été beaucoup plus bavards sur le Grappler, le fameux instrument qui permettra de manipuler la gravité pour évoluer à travers les niveaux et se débarrasser des ennemis. Ces derniers pourront ainsi être attrapés pour les déloger de leur planque, ou bien alors être utilisés comme bouclier de fortune afin de se protéger des projectiles adverses. Il sera même possible de se saisir de barils blindés de liquide inflammable, pour nettoyer les environs de manière efficace. Mais défier les lois de la gravité ne se réduira pas uniquement à éliminer les monstres venus d'ailleurs, puisque les développeurs de Saber Interactive ont déjà prévu plusieurs énigmes que le joueur devra résoudre.
Déjà croisé à la Gamescom 2010, Inversion faisait son retour lors du Namco Bandai Level Up, l'événement spécialement organisé par l'éditeur à Dubaï.L'occasion pour nous de retrouver ce TPS signé Saber Interactive (TimeShift) dans une version jouable, cette fois-ci. Dans le joyeux univers du jeu vidéo, il y a ceux qui rivalisent d'originalité pour se distinguer de la masse, et ceux qui s'inspirent de la masse pour y puiser un semblant d'originalité. Inversion serait à ranger directement dans la seconde catégorie. Pour faire simple, le TPS de Saber Interactive reprend à son compte la formule peaufinée par les Gears of War, Dark Void & cie, en ajoutant une touche de gravité à son gameplay. Gravité au sens Newton du terme, pas au sens Adjani. Low-G, Hi-G : en basculant de l'un à l'autre grâce au Gravilink, le héros d'Inversion peut au choix neutraliser les ennemis ou déblayer le chemin. Tous les grands poncifs y passent, du bidon d'essence à renvoyer pleine tête aux caisses à soulever / alourdir pour tracer sa route et éventuellement écraser deux, trois ennemis au passage. C'est aussi le plan idéal pour se fabriquer des planques de fortune dans des environnements trop ouverts.
David Russel est un flic banal dans une ville banale. Malheureusement, sa petite bourgade paisible est la cible d’une attaque non identifiée, causant la mort de sa femme et la disparition de sa fille. Honnêtement, il y a quand même de quoi perdre son calme. Aidé de son coéquipier Leo Delgado, Dave décide d’aller botter le train de l’envahisseur. C’est quand même sympa, le deuxième amendement, surtout quand on allie des armes classiques à une gravité capricieuse. Oui, Inversion porte bien son nom. Les armes conventionnelles ne suffisent malheureusement plus contre l’ennemi. Qu’à cela ne tienne, David et Leo s’équipent de sac à dos magiques leur permettant de jouer avec la gravité, leur offrant évidemment un monde de nouvelles possibilités d’occire la concurrence. Après la manipulation temporelle dans TimeShift, Saber Interactive passe donc au spatial avec le Gravlink, un outil permettant d’accentuer, de diminuer ou d’annuler la gravité. Inversion se présente sous la forme d’un Third Person Shooter classique, avec visée épaule et système de couverture dynamique à la Gears of War.
C'est à San Francisco que Namco Bandai nous a de nouveau présenté Inversion, son jeu de tir à la troisième personne développé par Saber Interactive, l'équipe derrière TimeShift. Après avoir joué avec le temps, le studio s'attaque à la gravité. Cramponnez-vous à vos sièges, ce jeu est tout bonnement renversant ! La dernière fois que nous avons vu Inversion, c'était à la gamescom de Cologne. Nous y avions découvert un titre qui reprend les bases du gameplay de Gears of War (du système de couverture aux coups au corps-à-corps) pour y ajouter un zeste de fantaisie en jouant avec la gravité. On incarnera dans ce jeu de tir à la troisième personne, se déroulant dans un futur proche, un flic un peu paumé. Il faut dire que ce n'est pas tous les jours qu'une guerre éclate au beau milieu d'une ville avec un ennemi difficilement identifiable (et pourtant bel et bien humain) faisant usage d'une technologie inconnue jusque-là. Dans ce capharnaüm bien mystérieux, David Russel, notre héros, se met en quête de sa fille disparue. Dès les premières secondes de jeu, on découvre un titre à la fois pêchu et rythmé. Les balles fusent, nos coéquipiers nous encouragent à nous planquer ou au contraire à progresser, bref, on est dans l'ambiance en moins de deux.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
Plus accessible...
Il aura fallu m'y reprendre à trois fois pour ne pas l'appeler Inception. A croire que le dernier carton de Christopher Nolan a fini par s'insinuer dans tous les esprits, comme dans le film. Il faut dire aussi qu'Inversion, le prochain jeu de Saber Interactive, s'amuse lui aussi à jouer avec la gravité lors de certaines séquences. C'est même le principal ressort du prochain titre des créateurs de TimeShift. Premier contact avec un TPS qui ne fait pas dans la dentelle. Oh que non. Présenté sous le pavillon Namco Bandai, Inversion a encore de longs mois de développement devant lui, puisque nous en étions encore au stade de la pre-alpha. Pas question encore d'évoquer le scénario, même si notre interlocuteur russe nous explique dans un français remarquable qu'il met en scène un héros revanchard et son compagnon d'armes, partis à la recherche de sa fille disparue tout en sauvant un monde en proie en chaos. Soit. En tout cas, on sait au moins une chose : Inversion est un clone de Gears of War. Mais un vrai, hein, qui s'assume, jusqu'aux petits dessins explicatifs pour accompagner les phases de couverture.
J'aime cet article 2 personnes aiment cet articleEgalement disponible sur : Il y a des titres que l'on croit morts et enterrés et qui reviennent sur le devant de la scène vidéoludique au moment où l'on s'attend le moins. C'est le cas d'Inversion, un jeu de tir à la troisième personne annoncé en 2009 par Saber Interactive et Bandai Namco Games, avant de disparaître de la circulation depuis plus de six mois maintenant. Il aura donc fallu patienter jusqu'à la gamescom 2010 avant d'en entendre de nouveau parler, par le biais d'une première présentation officielle qui laisse apparaître quelques bonnes idées malgré une forte ressemble avec un certain Gears of War. Nos impressions. Difficile de ne pas penser à Gears of War lorsque l'on pose pour la toute première fois les yeux sur Inversion. C'est d'une fatalité extrême, le jeu d'action d'Epic Games étant à l'origine de standards que la concurrence a bien du mal à contourner dès qu'elle opte pour la vue au-dessus de l'épaule. Le système de couverture est identique à celui des aventures de Marcus Fénix, et le personnage passe de planque en plaque d'une simple pression sur A. La ressemblance va même beaucoup plus loin, puisque le tir à l'aveuglette est de mise, sans oublier la shake cam qui rythme chaque course pour renforcer un peu plus l'immersion.
Annoncé en octobre dernier, Inversion n'avait depuis lors plus daigné nous donner la moindre nouvelle. Mais le bébé de Namco Bandai ne pouvait pas rester éternellement dans l'ombre ! Et c'est à l'occasion de la gamescom de Cologne que le bougre s'est enfin décidé à plonger dans l'arène et à subir l'examen minutieux des journalistes. Amis gamers, voici donc le compte rendu de notre premier contact avec ce jeu d'action à la troisième personne qui s'amuse à torturer les lois de la gravité. C'est avec des étoiles dans les yeux que les petits gars de Namco Bandai nous ont enfin présenté la dernière production de Saber Interactive, le studio russe déjà responsable d'un certain Timeshift. Répondant au doux nom d'Inversion, le jeu nous propose de suivre le parcours mouvementé de Davis Russel, un flic de 28 ans aux méthodes un tantinet expéditives qui part à la recherche de sa fille disparue alors que la ville est prise d'assaut par une force inconnue. Accompagné par son voisin, Leo Delgado, Davis pourra compter sur le grappler, un équipement anti-gravité capable de déplacer à peu près tout et n'importe quoi.
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