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Nous avons réuni 14 tests du Hunted : The Demon's Forge. Les experts notent Hunted : The Demon's Forge 6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Hunted : The Demon's Forge et d'autres Jeux Xbox 360.
Quand Hunted commence, le héros du jeu se réveille d'un cauchemar, paniqué. Son nom ? Caddoc. Kadoc, dans la série Kaamelott, c'est le personnage le plus limité intellectuellement. Pendant un petit moment, j'ai eu en tête pas mal de répliques idiotes. Mais il y aussi d'autres noms qui imposent le respect. Par exemple celui du boss de inXile, qui a développé Hunted : un certain Brian Fargo.Brian Fargo, c'est Black Isle, des jeux comme Baldur's Gate ou Fallout et bien avant ça, les mythiques Bard's Tales. Alors forcément, ce qui suit interpelle un peu :Pour tout vous dire, après plusieurs heures de jeu, je ne comprends toujours pas la logique du mappage des touches sur la manette. C'est tout bonnement incompréhensible. Je ne pensais plus qu'on pouvait encore retomber sur des problèmes élémentaires d'ergonomie en 2011. Je dois dire que j'y ai joué sur Xbox ; c'est probablement mieux sur PC et sans doute modifiable. Le pire, c'est que ça a vraiment gâché mon expérience de jeu. Toutes les choses un peu spéciales, intéressantes, ne s'effectuent pas simplement. Il n'y a rien de naturel. Donc, on est constamment en train de se dire "céoudéjà ?". C'est affreusement frustrant.Tout part pourtant d'une bonne idée.
Tout comme les jeux sur la Seconde Guerre Mondiale, les concombres tueurs ou encore les duckfaces, on pensait que les clones de Gears of War tendaient à disparaître des rayons des magasins de jeu vidéo. C’était sans compter sur Hunted : The Demon’s Forge qui nous prouve une fois de plus qu’il est difficile de faire aussi bien que la référence du genre… Explications. Hunted : The Demon’s Forge, c’est l’histoire de deux mercenaires amis-amis au sein d’un monde aux tendances dark fantasy qui cherchent à se remplir les bourses par tous les moyens. Caddoc est l’archétype du guerrier humain : musclé et spécialisé dans la baston au corps à corps, c’est lui qui se chargera de foncer dans le tas pendant que E’lara – l’elfette de service en string réglementaire – bandera son arc pour tuer ses ennemi à distance. Nos deux compères sont donc appelés à venir en aide à une autre elfette à la poitrine généreuse. Celle-ci va leur demander de retrouver un puissant artefact en échange « de tous les pouvoirs dont vous pouvez rêver ». Et plutôt que de partir en riant, nos deux amis décident de se coller à cette quête. L’occasion de s’aventurer dans des villes bourrées de mort-vivants, dans des cavernes remplies d’araignées-chiens et autres coins sombres et humides habités par des orcs.
Un peu sorti de nulle part, Hunted The Demon's Forge est la plus grosse production à l'heure actuelle du studio InXile Entertainment. Si les développeurs n'ont jamais brillé par le passé, ils ont pourtant à leur tête un maître du jeu de rôle à l'occidental ayant notamment fait ses preuves sur des titres comme Fallout ou encore Baldur's Gate. Cette carte de visite est-elle suffisante pour garantir la qualité de ce Hunted ? Réponse dans les lignes qui suivent !L'histoire d'Hunted est assez classique puisque elle amène le joueur à prendre le contrôle d'un duo de mercenaires motivé par l'amour de l'argent qui va peu à peu découvrir la sombre tragédie qui gangrène leur monde. Tout commence ainsi par un étrange rêve dans lequel une jolie jeune fille semble attirer dans un piège le robuste Caddoc, bientôt nez à nez avec un horrible monstre. La fin du rêve est abrupte et le réveil douloureux pour notre homme, sans doute bien content qu'il ne s'agisse là que d'un affreux cauchemar. Malheureusement pour lui, la réalité n'est pas plus joyeuse et ressemble étrangement à cet étrange songe. En effet, Caddoc et sa partenaire de toujours E'Lara font la connaissance d'une jeune fille, ou plutôt l'enveloppe spectrale de celle-ci, qui promet une forte rémunération au duo s'il lui vient en aide.
InXile, le développeur de Hunted : The Demon's Forge, voulait rajeunir le Dungeon Crawler (à la Ultima Uderworld et autres Dungeon Master d'antan) ; voire même le moderniser. C'est pourquoi la société est passée à une forme à la troisième personne (TPS) enrichie de quelques notions de jeu de rôle, le tout saupoudré d'une ambiance heroic fantasy dans la veine de Donjons & Dragons. Ainsi, Hunted était plein de promesses et d'espoir pour les fans du genre. Mais si le résultat reste correct, nous sommes loin de la révolution espérée...C'est l'histoire d'un couple qui décide de tenter l'aventure ensemble. Caddoc est la caricature du mâle dominant avec son physique de catcheur survitaminé. Quant à sa compagne de fortune, El'Ara, c'est une bombe sexuelle sur pattes qui joue le rôle du cerveau de l'équipe. Bref, comme souvent au début d'une histoire, on aurait pu croire qu'ils avaient tout pour réussir leur idylle et pourtant... Tout se complique lorsqu'une sorcière, habillée en pin-up, décide de leur demander de ramener un artefact maudit. Une quête qui les mènera face à des légions entières de morts-vivants, de sorciers malveillants et de monstres vraiment très (très) laids... En parlant de laideur, c'est un peu la première chose qui saute aux yeux dans Hunted : The Demon's Forge. Non pas que tout soit à jeter !
InXile Entertainment et Bethesda Softworks se lancent dans l'aventure avec Hunted : The Demon's Forge, un jeu mélangeant action et éléments de RPG avec un classique duo de héros en guise de vedettes. Un titre dont on nous vante les mérites depuis le début de l'année 2010, après l'annulation d'un certain HEI$T, et qui débarque enfin sur nos PC, PlayStation 3 et Xbox 360. Épée dans une main, arc dans l'autre et pouvoirs magiques pour soutenir le tout, Hunted : The Demon's Forge a-t-il l'étoffe du bon jeu d'aventure ? Lorsque Caddoc, un humain bourrin, baraqué et prêt à tout pour une belle récompense, et sa complice E'lala, une elfe sexy, plutôt drôle mais tout aussi redoutable, font la connaissance de Séraphine, une mystérieuse jeune femme dont il ne reste plus que l'enveloppe charnelle, nos deux amis ne se doutent pas qu'ils vont débuter l'aventure de leur vie. Un périple qui s'apparente de prime abord à une simple chasse au trésor mais qui va rapidement se transformer en quête pour sauver le monde d'une menace démoniaque. Cette quête, qui s'étale sur six longs chapitres, n'est malheureusement pas des plus passionnantes à cause d'une histoire classique, prenant place dans un univers fantasy qui n'a pas grand chose d'original et dont les deux héros manquent clairement de charisme.
Dire qu'on n'attendait rien de Hunted the demon's Forge serait presque un pléonasme tant le jeu semblait ne rien présenter de follement excitant. Et pourtant, essayer de transposer Gears of War dans un univers médiéval fantastique pouvait éveiller la curiosité à défaut de nourrir notre impatience. On pouvait même craindre le pire tant les deux univers semblaient totalement incompatibles. Après avoir parcouru l'épilogue de Hunted je peux vous dire que beaucoup de joueurs vont être à deux doigts de jeter le DVD du jeu par la fenêtre. Mais parfois il est de bon ton de persévérer. Certains jeux mettent du temps à captiver les joueurs, à dévoiler toutes leurs qualités. Les impatients jettent l’éponge très rapidement et assènent leur jugement inquisiteur dès les premières minutes. Un peu comme si vous passiez à côté de la femme de votre vie juste pour un morceau de salade collé entre deux dents. Dans la vie, il faut persévérer, il faut savoir gratter et savoir regarder derrière les premières impressions qui ne sont pas toujours les bonnes. On pourrait décerner à Hunted la palme d'or du « Prologue qui tue », de la plus grosse feuille de salade entre les dents. En effet, le chapitre de mise en bouche de ce jeu possède tout ce qu'il faut pour dégoûter un joueur normalement constitué de continuer.
Après les déceptions que furent Quantum Theory ou encore Knights Contract, on pensait en avoir fini avec les jeux d'action mettant en scène la brute épaisse de service épaulée par sa sexy mais non moins mortelle coéquipière. C'était sans compter sur les développeurs d'InXile Entertainment, sous la houlette de Bethesda, qui nous livrent ici une nouvelle version revisitée de La Belle et la Bête. Le résultat : un melting-pot plein de bonnes intentions, mais également bourré de défauts. Explications. Il n'accepte pas l'échec, Caddoc On l'aura donc compris : Hunted : The Demon's Forge, c'est tout d'abord un duo. Caddoc, véritable armoire normande tatouée dont la force n'a d'égal que le ridicule de son prénom et E'lara, l'elfette forcément sexy et court vêtue, aussi prompte à bander son arc qu'à taquiner son musculeux acolyte. Ensemble, ils forment une paire de mercenaires pour le moins improbable, mais diablement efficace quand il s'agit d'occire du monstre récalcitrant contre espèces sonnantes et trébuchantes. Et cela tombe bien, car de l'aventure, il ne va pas tarder à leur en tomber sur le coin de la tronche lorsqu'une voluptueuse inconnue toute droit sortie du Rocky Horror Picture Show va leur demander de mettre la main sur un puissant artefact.
Depuis la création de inXile Entertainement par Brian Fargo, on attendait leur premier gros jeu avec une impatience non dissimulée. Après l'annulation de HEI$T, on va enfin pouvoir apprécier le talent de la boîte avec ce Hunted : The Demon's Forge. Ou pas ? Une partie d'entre vous se demande peut-être qui est ce Brian Fargo cité dans l'intro. Pour votre gouverne, il n'est autre que le fondateur d'Interplay, créateur de The Bard's Tale, Wasteland, Fallout ou encore Baldur's Gate. On a donc affaire à un véritable pionnier auquel on doit des jeux d'une profondeur remarquable. Maintenant à la tête d'inXile, le bonhomme n'a pas vraiment fait parler de lui ces derniers temps. D'ailleurs, il n'est pas dit qu'il ait particulièrement pris part à la création de Hunted : The Demon's Forge. Par contre, on sait que la boîte attend beaucoup de son jeu d'action/aventure. L'histoire de Hunted : The Demon's Forge commence doucement. Après un terrifiant cauchemar, le vaillant Caddoc se réveille en sueur, rassuré par son acolyte archère E'Lara. Ces deux mercenaires vont vite se rendre compte que le rêve du gros costaud était prémonitoire, surtout lorsqu'ils rencontrent une étrange demoiselle.
Après une nouvelle session de jeu aux commandes de Hunted : The Demon's Forge, voici nos impressions, bonnes comme mauvaises. Si ce titre vous intéresse, vous trouverez ci-dessous un aperçu concis dévoilant les forces et faiblesses du titre d'InXile Entertainment. Hunted : The Demon's Forge ressemble à un titre comme on n'en fait plus. Un jeu d'action bien bourrin jouable à deux en coopératif, que ce soit en ligne ou en écran partagé. Il pourrait y avoir une différence fondamentale de gameplay entre les deux protagonistes, un homme et une femme, mais chacun d'entre eux dispose d'une arme au corps-à-corps et d'une arme à distance (arc ou arbalète). Seuls leurs pouvoirs diffèrent, un brin... Dans un univers heroïc-fantasy, on avance donc au fil des niveaux pour dessouder des hordes de monstres en tout genre se jetant sur nous par vagues. Vous savez, le genre de vagues qui arrivent d'une zone à laquelle on n'a pas accès. Doté d'un scénario prétexte et de dialogues prêtant à sourire qui mettent l'accent sur l'absence de lien fraternel entre les protagonistes, le titre ne fait pas dans la dentelle. Les orques, minotaures, archers et soldats démons qui infestent les niveaux explosent en gerbes de sang sous vos projectiles et autres coups de hache.
A la croisée des chemins entre le beat'em all, le jeu de rôle et le jeu d'aventure et d'énigmes, Hunted : The Demon's Forge met en scène un duo de personnages dans un univers Dark Fantasy. Un côté un peu old-school pour un jeu qui, lors d'une séance de prise en main, ne nous a pas véritablement dévoilé ses aspects les plus originaux, si tant est qu'il en ait... Elle s'appelle E'lara. Il s'appelle Caddoc. Elle est chasseresse, il est guerrier. Tous deux sont des mercenaires au service d'un village dont les membres sont régulièrement enlevés et torturés par des démons sortis de nulle part. Leur mission : mettre un terme à la terreur en combattant les créatures. Tel est le point de départ de ce dungeon crawler, un sous-genre du jeu de rôle un peu passé de mode qui met l'accent sur l'exploration de donjons, catacombes et autres cachots. Comme si un air de nostalgie avait soufflé pour Brian Fargo, créateur d'Interplay (Fallout, Baldur's gate) aujourd'hui à la tête du studio américain inXile Entertainment, et qui signait en 1987 son premier jeu intitulé, par le plus grand des hasards ou pas, The Demon's Forge.
Responsable des amusants The Bard's Tale sur PS2 et Line Rider sur Wii et DS, le studio InXile Entertainment est de retour avec un jeu d'action à la troisième personne qui se veut une sorte d'hommage déguisé aux beat them all d'antan mâtinés d'un tantinet de jeu de rôle. Problème : le titre semble dégager une odeur un peu trop forte de naphtaline, comme nous avons pu le vérifier. A gauche : un guerrier costaud armé d'une arbalète et surtout d'une épée large pouvant asséner de terribles enchaînements. A droite : une chasseresse spécialiste du combat à distance qui se débrouille à merveille avec son arc, son épée courte et surtout ses pouvoirs magiques. Au centre : un univers de Dark Fantasy à la Seigneur des Anneaux. Au fil de 36 niveaux (6 chapitres contenant chacun 6 niveaux), Hunted propose donc de mettre en charpie de vilaines créatures, nombreuses mais hélas pas vraiment jouissives (voir le minotaure assez piteux comparé à celui de God of War), en incarnant au choix le malabar ou la jeune Elfe. S'il n'est possible de se glisser dans la peau que d'un seul personnage à l'écran, l'autre qui vous suit étant géré par l'ordinateur, en revanche libre à vous d'en changer à chaque checkpoint si nécessaire.
Avis à ceux qui jadis, aimaient à se perdre dans les recoins enténébrés de sinistres labyrinthes pour y dénicher trésors et vieilles breloques ! Oui, vous qui ne trouvez plus aujourd'hui de quoi renouer avec votre vénérable passion ! Sachez, ô humbles aventuriers désoeuvrés, que Brian Fargo, le fondateur du studio InXile, a bien entendu votre complainte ! Le bougre a même conçu une idée folle, celle de créer un jeu qui permettrait à tous de retrouver les joies de la randonnée en plein donjon tout en profitant du génie visuel et de la rage d'un Gears of War. Un pari délicat, qui semble pourtant bien parti pour être tenu. Hunted : The Demon's Forge offre à notre regard un monde sombre et violent, un monde qui sent bon la dark fantasy et la crotte de troll. Un monde où d'immondes créatures suintant la haine la plus absolue émergent des entrailles de la planète, où les villageois disparaissent par centaines, où les chiens hurlent leur peur à la lune et où la Star Ac' est sur le point de revenir du royaume des morts. Mais aussi terrifiantes soient ces perspectives, tout n'est pas perdu, car deux mercenaires avides de piécettes et de rubis, ont accepté de mener l'enquête pour découvrir l'origine du mal et si c'est encore possible, le détruire.
Gamekult
Ajouté le : 05/2010
Plus accessible...
A peine annoncé, Hunted : The Demon's Forge avait fait l'objet d'une présentation qui nous avait laissé des impressions mitigées, la démo montrée ressemblant davantage à une espèce de Gears of War dans un univers dark fantasy qu'au dungeon crawler revisité promis à la base. La semaine dernière, les développeurs d'InXile Entertainment ont de nouveau fait le trajet jusqu'en France pour dévoiler une autre partie plus représentative du jeu pendant les gamers days de leur éditeur Bethesda. D'emblée, Matt Finley et Max Kaufman, respectivement président d'InXile et game director de Hunted : The Demon's Forge, ont tenu à mettre les choses au clair : "Notre première démo était centrée sur le système de combat et beaucoup de journalistes se sont naturellement focalisés sur les similitudes avec Gears of War dans leurs articles. Nous apprécions la comparaison avec le blockbuster d'Epic, mais nous pensons qu'il est temps de prouver que notre jeu est d'abord un vrai dungeon crawler." Après cette déclaration suivie d'un rapide rappel du pitch de leur titre, les développeurs ont lancé une partie située au début de l'aventure, lorsque les deux protagonistes principaux découvrent une étrange pierre verte au milieu d'un temple en ruines envahi par la végétation.
Gamekult
Ajouté le : 03/2010
Plus accessible...
C'est dans un grand hôtel parisien que Bethesda nous avait conviés un jour pluvieux de fin février afin de nous présenter Hunted : The Demon's Forge, un nouveau projet pris en charge par InXile Entertainment. De quoi oublier définitivement le mort-né HEI$T, le dernier titre d'envergure du studio fondé par Brian Fargo, qui s'était alors tourné vers plus modeste en 2009 avec Line Rider : Freestyle. Deux titres aux antipodes des premiers pas d'InXile et son remake The Bard's Tale en 2005, mais aussi de Hunted : The Demon's Forge, puisqu'il s'agit d'un Gears of War-like à la sauce dark fantasy. Première rencontre. Retrouver l'ambiance et le feeling des dungeons crawlers d'antan, voilà le souhait de Brian Fargo et InXile avec Hunted : The Demon's Forge qui placera le joueur aux commandes d'un des deux héros en présence : l'armoire normande Caddoc, barbare de son état, ou bien la sexy Elara aux oreilles pointues et à la taille de guêpe. Car le développeur joue ici à fond la carte du coop, avec deux personnages complémentaires (tant dans les compétences au combat, que dans leurs caractères) que l'on pourra par ailleurs incarner tour à tour au cours d'une même partie : à chaque checkpoint, il sera en effet possible de passer de l'un à l'autre.
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