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Nous avons réuni 15 tests du God of War : Ghost of Sparta. Les experts notent God of War : Ghost of Sparta 7.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du God of War : Ghost of Sparta et d'autres Jeux PSP.
Une dernière aventure, une dernière épopée pour la Playstation Portable en compagnie de Kratos. Alors que les dieux se rappelleront de son passage sur trois « générations » de consoles, le guerrier spartiate revient une toute dernière fois sur la portable de Sony. Avec un épisode nommé Chain Of Olympus, Ready At Dawn prouvait par la même occasion quelques années auparavant, la puissance de la machine. Avant de lâcher définitivement le support qui leur a permis de se faire connaître, les développeurs de Daxter offrent aux fans, un magnifique chant d’adieux ! Véritable démonstration technique à chaque sorties, la série God Of War peut se targuer d’être une vitrine technologique ! Ghost Of Spartiate ne déroge pas à la règle, surpassant par la même occasion Chain Of Olympus, cet épisode assène une claque et s’impose comme le plus beau titre de la console. Un régal visuel dont les développeurs proposent une aventure haute en couleur, délaissant le côté très sombre du troisième ! Par moment, on reste bouche grande ouverte, et en remémorant le tout premier GoW, difficile de ne pas faire un rapprochement, tant la qualité graphique dépasse ce que l’on a pu voir sur ce Hardware !
GamePro.fr
Ajouté le : 11/2010
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Ready at Down avait dit en avoir fini avec la PlayStation Portable. Auteurs des excellents Daxter et God of War : Chains of Olympus, les développeurs du studio sont pourtant revenus à la portable de Sony pour donner une suite à la saga God of War, dont la trilogie de salon fut close (pour toujours ?) par l'énormissime God of War III sur PS3. Il fallait donc d'abord réussir à intercaler ce Ghost of Sparta dans la chronologie de la série, et c'est entre les deux premiers épisodes PS2 que ce nouveau GoW vient s'insérer. L'occasion d'approfondir un peu plus le personnage de Kratos, ses tourments et comprendre pourquoi il est à ce point craint par l'Olympe. C'est donc à la recherche de son frère disparu, contre dieux et marées, que l'on retrouve le fantôme de Sparte. Comme convenu, Ghost of Sparta fait encore plus fort que Chains of Olympus d'un point de vue technique. Poussant clairement la PSP dans ses derniers retranchements, cet épisode s'impose comme l'un des jeux techniquement les plus aboutis de la plateforme, si ce n'est le mieux réalisé. Qu'il s'agisse du graphisme d'une finesse bluffante pour le format, de l'animation à laquelle on ne trouve rien à reprocher, ou encore du travail sonore impeccable, Ghost of Sparta fait clairement honneur à la réputation d'excellence technique de la saga God of War.
Difficile pour la PSP d'exister aux côté d'une DS pour le moins prolixe, surtout quand on connaît son catalogue de jeux quelque peu limité. La rumeur d'une PSP 2 qui ne fait qu'enfler sur la toile n'aide pas non plus la console à sortir du lot, surtout en ces périodes de fêtes. A l'exception d'un Metal Gear Solid : Peace Walker fantastique et de quelques RPG salvateurs, la nomade de Sony survit tant bien que mal. Et rares sont les éditeurs-tiers à engager tous leurs deniers dans le développement de nouvelles licences exclusives aux UMD. Même Sony, premier supporter de sa console, préfère se cantonner aux licences qui ont fait leur trou dans le marché du jeu vidéo. Et en cette fin d'année, c'est Kratos qui s'y colle avec une nouvelle aventure qui s'inscrit entre les scénarii de God of War et God of War II. Connu pour être le premier mortel à devenir un Dieu, Kratos ne cesse d'être hanté par les fantômes de son enfance et notamment l'enlèvement de son frère Deimos par Arès et Athéna. Voulant mettre fin à ses flashbacks, notre chauve colérique s'enfonce dans le palais de Poséidon découvrir la vérité de la bouche de sa mère.
Deux ans et demi après sa première apparition sur PSP dans Chains of Olympus, Kratos revient sur la portable de Sony dans une nouvelle aventure toujours dirigée de main de maître par le studio Ready At Dawn. Si les qualités intrinsèques de la série sont bel et bien présentes, et les compétences techniques des développeurs indiscutables, on attendait peut-être quelque chose d'un peu plus original après avoir goûté à God of War III sur PS3. Mais avant de plonger au coeur du gameplay et de la réalisation de Ghost of Sparta, resituons d'abord le contexte de l'aventure au sein de la saga God of War. Ce nouvel épisode portable se déroule entre les deux opus sortis sur PS2 : après avoir tué Arès et être devenu le nouveau Dieu de la Guerre, Kratos souffre toujours de ses visions cauchemardesques qui lui rappellent sans cesse les atrocités commises par le passé. Afin de mieux comprendre ce qui lui arrive, notre héros part sur les traces de son enfance et retrouve sa mère qui réveille en lui quelques souvenirs au sujet de son frère Deimos emprisonné par Thanatos, le Dieu de la Mort. Bien décidé à enfin sauver ce frère trop longtemps oublié, Kratos part à la recherche du Royaume des Morts.
Revenu à la console de ses premières amours spécialement pour les gros bras musclés de Kratos, le studio Ready at Dawn livre aujourd'hui pour la seconde fois sa vision portable de God of War avec Ghost of Sparta. Calée de manière un peu facile entre les deux épisodes PS2, cette aventure emmène le Spartiate tueur de dieux sur la piste de son frère disparu et de son passé, mais aussi vers son destin inexorable de colère, de mort et de souffrance. Après la démesure de God of War III, cet opus miniaturisé grimpe-t-il plus haut que les chevilles de ses prédécesseurs ? S'il y a bien des qualités indéniables chez les équipes de Ready at Dawn, c'est leur talent pour la copie appliquée et leur maîtrise technique. Avec Daxter et God of War : Chains of Olympus, le développeur californien a montré qu'il savait réaliser des adaptations nomades de licences connues en tirant à chaque fois davantage de la PSP. Pour Ghost of Sparta, le studio a su accomplir un nouvel exploit graphique et sonore, au point de donner parfois l'impression d'avoir un petit God of War III dans le creux de la main.
Le développeur Ready At Dawn, spécialiste des adaptations de grosses licences sur PSP, patiente dans l’antichambre des blockbusters depuis plus de sept ans déjà. En dépit de son statut d’énième commande, leur God of War : le Fantôme de Sparte s’annonçait comme un coup d’éclat sur la portable de Sony, après un Chains of Olympus plutôt réussi. Plein d’ambition et de bonnes intentions, le studio a sans conteste soigné son dernier titre. Cela suffit-il à hisser le jeu au niveau des épisodes de référence? Loin s'en faut, tant cette version, aux prises avec les limitations de son support et le manque d'inspiration de ses développeurs, donne de la licence une transposition incomplète et routinière. Le récit de cet épisode a de quoi faire sourciller. Avec ses allures de hors-série cheap et démotivé, il fait pâle figure aux côté des scénarios de série B luxueuse des épisodes de salon, pleins de drame et de grand-spectacle. La relance est digne d’une sitcom : après son intronisation au poste du dieu de la Guerre à la suite du premier opus, Kratos apprend que son frère qu’il croyait mort est en fait bien vivant. Ni une, ni deux, il part à sa recherche sous le regard scrutateur des autres dieux. On notera le caractère éculé du ressort narratif qui consiste à sortir du chapeau un membre de la famille du héros pour justifier une suite...
Univers Consoles
Ajouté le : 11/2010
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Nous sommes sur PSP et non une PlayStation 3. En conséquence, on se retrouve avec des attentes naturellement abaissé, mais comme vous en doutez, le plaisir avec le jeu était quand même là. Pour un temps du moins. Toute personne familière avec le fonctionnement interne d'un jeu God of War, sera plus qu'à l'aise avec ce qui se passe. Pour ceux qui ne connaissent pas, ou ceux qui recherchent un rappel succinct : situé entre God of War et sa suite, les joueurs prennent le contrôle d'un homme très colère ; il démembre violemment toutes sortes de gens, des monstres et même des dieux. En chemin il y a un simple casse-tête basée sur la communication, un peu de plateforme et juste ce qu'il faut en séquences Quick-Time Event. C'est une formule qui est restée à peu près exactement la même depuis la première sortie de la série en 2005. Il s'agit, comme il s'avère, à la fois une bénédiction et une malédiction. Mais en premier, c'est une bénédiction que ce jeu conserve de ce qui rend la série God of War si attrayant. C'est même vraiment plus violent et vraiment n'importe quoi le fout en rogne.
Après avoir faut chauffer la PSP une première fois il y a un petit moment maintenant avec un Chain of Olympus magistral, Kratos revient pour ce qu'on imagine être un dernier tour d'honneur. En reprenant une ossature peut-être un tout petit trop connue... La série God of War va t-elle finir par devenir une parodie d'elle même ? Déjà à son 5ème essai sur console, elle semble en effet nous offrir à chaque fois la même recette, certes diablement bien maîtrisée, mais qui laisse comme un arrière goût de déjà-vu. Car non, au risque de vous décevoir, les petits gars de chez Ready at Dawn Studios n'ont pas fait évoluer de manière radicale leur série, et se sont contenter de minimiser les risques en appliquant à la lettre les codes qu'ils maîtrisent. Ainsi, à moins d'avoir snobé le jeu vidéo les 5 dernières années, vous savez déjà à peu près de quoi est composé ce Ghost of Sparta : d'une réalisation graphique sans faille qui fait clairement cracher les tripes de la PSP (à se demander comment la bécane arrive à ne pas prendre feu...), d'un gameplay efficace comme si c'est permis, nous donnant droit à des combats aussi violents que jouissifs mélangés à quelques phases de plates-formes très courtes, et à un système d'évolution on ne peut plus basique, basé sur de la récupération d'orbes.
Après un passage remarqué sur PS3, Kratos revient sur PSP pour une aventure mythologique sans l’ombre d’un défaut. En mars dernier, God of War 3 ramenait Kratos, le guerrier spartiate devenu dieu, sur le devant de la scène avec un superbe épisode pour la PS3. Deux ans après sa première balade sur la portable de Sony, l'éternel rebelle, l'homme qui défie les dieux et nie leur emprise sur son destin, revient dans un volet toujours confié au studio Ready At Dawn. Voilà un adage auquel on n'avait jamais accordé aucun crédit jusqu'à God of War : Ghost of Sparta. On avait peut-être tort... Ready At Dawn, littéralement « prêt dès l'aube », réussit un sans-faute aussi bien d'un point de vue narratif que du côté du gameplay ou de la réalisation en général. En se penchant davantage sur la vie de Kratos, le studio californien, fondé par d'ancien de Naughty Dog et de Blizzard, enrichit non seulement son jeu mais également la trilogie sur console de salon. On comprend ainsi pourquoi Poséidon a une dent contre notre héros dans God of War III. On découvre également une belle tranche de son passé. Car ce Ghost of Sparta est sous-tendu par la quête de son frère, Deimos, kidnappé par les dieux de l'Olympe alors qu'il était encore enfant.
En 2008, les possesseurs de PlayStation Portable goûtaient aux pouvoirs divins de Kratos dans le réussi God of War : Chains of Olympus. Bien décidés à gâter une seconde fois les joueurs nomades, Sony Computer Entertainment et les développeurs de Ready at Dawn Studios nous proposent un God of War : Ghost of Sparta dont le but est de nous en apprendre davantage sur le passé de notre puissant héros et sur sa famille, avec une trame prenant place juste après les évènements de God of War premier du nom. Un nouveau volet digne de la saga ? Lever le voile sur des évènements du passé de Kratos, voilà une intention fort louable pour ce second épisode sur PlayStation Portable. Une bonne manière de permettre aux joueurs nomades de retrouver la série tout en apportant quelques lumières sur l'histoire de cette saga, même si God of War : Ghost of Sparta se montre finalement décevant sur le sujet. On pensait pouvoir profiter d'une histoire digne des autres épisodes God of War, et au moins aussi intéressante que Chains of Olympus, il n'en est finalement rien. Ici, le scénario n'a comme objectif que de justifier les ébats de notre héros sans vraiment arriver à proposer une trame intéressante.
Plus pauvre encore que le catalogue de jeu de la Wii, la ludothèque de la PSP a beaucoup de mal a accueillir des jeux d’envergures capable de fédérer le grand public. On sent pourtant que Sony fait des efforts. J’en veux pour preuve le premier épisode PSP de God of War (Chains of Olympus), sorti il y a deux ans, qui avait donné un bon coup de fouet aux joueurs en manque d’action. Durant ces deux ans, il faut bien admettre qu’il ne s’est pas passé grand-chose d’excitant sur PSP, et le deuxième épisode de God of War sur PSP laissait enfin espérer le retour de l’ambition sur la console portable de Sony. C’est un demi-échec. Ou un demi-succès, ça dépend du point de vue. God of War : Ghost of Sparta est donc le deuxième épisode sur PSP. Du point de vue du scénario, Ghost of Sparta se déroule entre le premier et deuxième épisode du jeu sur console de salon. On incarne donc un Kratos fraîchement devenu Dieu de la Guerre, mais toujours tourmenté par les souvenirs de son passé. Et ici il n’est pas tant question du meurtre sa femme et de sa fille que de sa famille, à savoir sa relation avec maman Kratos et son frère, un certain Deimos que l’on sera amené à sauver.
Lorsqu'on est fan de God of War, chaque nouvel épisode est bon à prendre tant la saga a toujours été auréolée de succès et saluée de tous sur les consoles de salon comme sur portable. Et que ce soit clair tout de suite, Ghost of Sparta ne fait en rien exception à la règle. Néanmoins, et malgré les efforts de Ready At Dawn (le développeur à qui l'on doit Chains of Olympus sur PSP) pour tenter de redonner un nouveau souffle à cette suite, il faut avouer que certaines redondances pointent le bout de leur nez, heureusement sans pour autant empêcher ce volet de rejoindre le panthéon des meilleurs beat them all du genre sur la portable de Sony...Kratos a toujours de bons prétextes pour revenir à la charge ! Ainsi, Ghost of Sparta sera l'occasion de découvrir son enfance aux côtés de son frère Deimos, un peu parachuté dans la saga pour les besoins de cet opus, que l'on croyait mort et enterré. Mais après les dernières déclarations de la mère du tueur de dieux, ce dernier n'a d'autre choix que de retrouver son frangin en proie aux tourments infligés par Thanatos, la personnification de la mort. Bon, soyons clair, si le scénario semble bien débuter, il faut avouer que Deimos ne remplit pas vraiment le rôle que l'on aurait espéré de lui et que la conclusion du titre s'avère pour le moins abrupte...
Si un mythe se fortifie à chaque fois qu'on l'évoque, la petite merveille Kratos doit actuellement être le plus grand héros de Sony. Dans ce hack n' slash, on privilégie le spectacle par rapport au pointillisme des mécanismes. Les séquences scénarisées à tomber à la renverse, qui remplissent l'écran de visions homériques, vous glacent d'effroi, sans doute comme cela avait été le cas pour les Grecs il y a 3000 ans. Par conséquent, Ghost of Sparta est aussi prévisible qu'il est stupéfiant ; c'est un jeu qui flirte avec les limites techniques de la PSP et qui communique un sentiment d'urgence et une intensité comme peu d'autres savent le faire. Le toucher magique de Midas qui transforme tout en or Comme son prédécesseur, les Chaînes de l'Olympe, le jeu propose un voyage spectaculaire, de même qu'une approche fragmentaire, mais honnête, aussi brutale qu'expressive, de la mythologie grecque, tout en cherchant à exposer le vécu de son héros au cours de son périple pour retrouver son frère Deimos. Comme avec tous les autres titres de la série, la séquence d'ouverture du jeu donne le ton et le rythme : le galion de Kratos est pris dans une tempête au milieu de l'océan, et l'écran est une déferlante de pixels d'eau avec un effet de flouté et de zébrures d'éclairs.
Se situant entre le premier et deuxième épisode de la saga, God of War : Ghost of Sparta nous plonge dans l'enfance de Kratos, celle-là même qu'il pensait avoir oublié. Surgissant du passé, et du cerveau laser d'un scénariste peu inspiré, Deimos se présente alors sous nos yeux ébahis. Malheureusement, tout frère du Dieu de la guerre qu'il est, il semblerait que le bougre ait attisé la colère de Thanatos. Qu'à cela ne tienne, le spartiate revanchard n'en attendait pas plus pour partir à nouveau au combat afin de retrouver l'unique famille qu'il lui reste encore. N'y allons pas par quatre chemins, le scénario de Ghost of Sparta est d'une pauvreté affligeante. Reprenant l'ossature scénique de Chains of Olympus, ce segment n'arrive pourtant pas à la hauteur de son aîné. De fait, l'impression d'assister à un remake du précédent opus PSP prévaut du début à la fin dans le sens où ce bon vieux Kratos va devoir une fois encore effectuer une mission suicide afin d'aller sauver son frère Deimos, prisonnier du dieu de la Mort. Si l'ensemble intègre une fois encore quelques figures et monstres mythologiques à l'image d'Athéna, du roi Midas ou de Scylla, il est regrettable que Ready at Dawn n'ait pas cherché à s'émanciper de sa précédente création.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
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Petite prouesse technique en son temps, God of War : Chains of Olympus souffrait malheureusement d'une durée de vie peu élevée et d'un manque relatif de surprises. Alors qu'on pensait Ready at Dawn parti vers d'autres pâturages, le studio a récemment annoncé s'être remis au travail sur une nouvelle aventure portable de Kratos, Ghost of Sparta. Présenté sur le stand Sony, le jeu attendait sagement de nous mettre une gifle. Impressions. A la manière du tout premier God of War, la démo de Ghost of Sparta commence sur un navire attaqué par des créatures bipèdes amphibies, ainsi qu'un monstre marin géant qui n'était cette fois pas la vilaine Hydre mais la méchante Scylla. Respectant les traditions de la série, ce boss suivait Kratos sur l'ensemble du niveau, en essayant de lui barrer la route avec ses gros tentacules. Ceux qui connaissent le tempérament du Fantôme de Sparte savent que rien ne l'arrête, surtout quand il dispose d'armes inédites pour faire joujou. En complément des fameuses lames enchaînées, on pouvait effectivement s'équiper simultanément d'une lance et d'un bouclier pour faire le ménage. Malgré son rayon d'action beaucoup moins large que les lames, la lance avait l'avantage de pouvoir être lancée en maintenant une gâchette enfoncée, chose assez utile pour atteindre la tête de la géante Scylla sans trop forcer.
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