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Nous avons réuni 12 tests du God of War : Ascension. Les experts notent God of War : Ascension 7.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du God of War : Ascension et d'autres Jeux Playstation 3.
Après avoir dépeuplé l'Olympe et conclu sa vengeance dans un flot de sang, on se demandait qui oserait encore se glisser sous les pattes délicates de Kratos. Bien décidé à trouver de nouvelles victimes pour notre champion spartiate, Santa Monica s'est vu obligé de creuser dans le passé pour trouver de quoi alimenter la fureur de notre bas-du-front préféré. Les Érinyes, nouvelles souffre-douleurs de God of War : Ascension sont-elles à la hauteur du défi ? Quoi de neuf au pays de Kratos ? Et bien, pas grand chose : combats et leviers à gogo, armes secondaires consommables et dispensables (javelot, massue), quelques pouvoirs et magies anecdotiques, et surtout du bon vieux carré-carré-triangle. Pas la peine de changer une recette qui marche, et effectivement, les mécaniques de God of War, huilées comme les pectoraux de notre ami grec, plongent immédiatement le joueur dans les délices du bats-les-tous. Malheureusement, elles marquent aussi les retrouvailles avec ses tares les plus dégénérées. Car si les ailes d'Icare ne sont –dieux soient loués- pas dans cette mouture, il faudra quand même se payer de la glissade et des énigmes parfois particulièrement obscures, histoire de bien casser le rythme de l'aventure.
Trois ans après un excellent God of War III, Sony remet le couvert en proposant un ultime épisode d'une de ses plus juteuses franchises avant de passer à la génération PS4. Cerise sur le gâteau, ce segment propose un mode multijoueur en plus d'une aventure solo s'intéressant au passé de Kratos. Vu sous cet angle, God of War : Ascension a plus d'un atout dans sa manche pour prétendre au statut d'indispensable, sauf que dans les faits, ce n'est pas aussi simple. Bien que God of War ait par certains côtés redéfini le genre du beat'em all, cela ne l'a pas empêché, au fil des ans, de proposer des épisodes à intervalles réguliers, que ce soit sur PS2, PSP ou bien encore PS3. Si ces derniers ne sont pas de qualité équivalente, difficile de remettre en cause la suprématie incontestable de la saga pour ce qui est de la mise en scène notamment. Pourtant, l'aura autour de God of War : Ascension se sera révélée moins importante, peut-être à cause d'une communication beaucoup trop axée sur le multijoueur, composante importante de cet épisode mais au final moyennement attendue par les fans de la première heure. Et c'est bien là que le bât blesse car en parallèle du multi, l'aventure solo se devait d'être au moins aussi bonne que celle de ses aînés.
Raser tout l'Olympe, c'est grisant, mais moins quand il s'agit de donner une suite aux aventures de ce bon vieux Kratos. Heureusement, la tendance actuelle est aux reboots et aux prequels, deux barbarismes anglais pour justifier un nouveau passage en caisse, pardon, un retour sur les origines troubles d'une légende. Emballez le tout avec un multi à expérience, l'autre marotte des éditeurs, et voilà God of War : Ascension servi sur un plateau d'argent. Je rase KratisAvec une telle mise en avant du multi tout au long du développement, on anticipait déjà un solo en sourdine. Une méfiance naturelle que de nombreuses années de previews en tout genre ont aiguisée. Bonne nouvelle : Kratos battra la campagne pour une petite dizaine d'heures, l'équivalent de God of War III, avec son lot de boss gigantesques et de coffres cachés. La mauvaise, c'est qu'on se rapproche dans l'intensité des épisodes portables, qui, ce n'est pas leur faire injure, ont moins marqué les esprits que les volets sur consoles de salon. En tant que prequel, comprendre un jeu situé scénaristiquement avant tous les autres, difficile de rivaliser avec la cohérence du premier, la démesure de sa suite et le bouquet final qui a mis fin à la trilogie sur PS3.
Après un God of War III qui aura mis pratiquement tout le monde d'accord, Santa Monica Studio n'a pas pu se retenir pour proposer en fin de vie de la PlayStation 3 une nouvelle aventure à Kratos avec God of War : Ascension. Se déroulant juste avant les événements de la trilogie initiale, cette préquelle souhaite en quelque sorte boucler la boucle sur la vengeance de notre homme de cendres. Reste à savoir si le studio californien a encore quelques tours dans son sac pour ne pas rendre cet épisode dispensable. Kratos est encore dans un beau pétrin. Après avoir rompu le pacte de sang qui le liait au Dieu Arès, notre homme blanc et rouge est poursuivi par les Érinyes qui voient là un énorme parjure qu'il faut condamner. Ascension débute pile au moment où l'on est emprisonné par ces persécutrices. Le scénario est quelque peu déroutant la première heure de jeu, avec ce sentiment d'avoir loupé la moitié des précédents événements. Cependant, Santa Monica a eu la bonne idée de faire de longs retours dans le passé pour comprendre les enjeux de cette nouvelle vengeance. A vrai dire, le scénario n'a jamais été la force d'un God of War et ne l'est toujours pas dans Ascension, mais il reste agréable à suivre grâce à des scènes toujours autant impressionnantes qui mettent directement le joueur dans le bain.
God of War 3 est une sorte d'exutoire suprême dont la scène d'introduction fait encore aujourd'hui figure de masturbatoire intergalactique. Avec Ascension, Santa Monica Studio et Sony avaient intérêt à viser haut – et juste – pour ne pas décevoir les joueurs souhaitant épuiser leur PS3 avant de passer à la suite. Des modes multijoueurs que l'on n'attendait pas laissaient pourtant à craindre que cette énième préquelle aux aventures principales de Kratos soit désinvestie et prétexte : en revenant aux fondamentaux de la série, Ascension semble finalement avoir fait un choix payant. God of War : Ascension s'intéresse aux évènements antérieurs aux premiers épisodes de la série (Chains of Olympus PSP et God of War PS2), le temps où Kratos fracassait les coffres d'orbes plutôt que de les ouvrir délicatement. Sous l'emprise d'Arès, le Fabien Barthez de l'Olympe a massacré sa famille lors d'un raid classique – destruction, torture, viol – sur un village quelconque. Décidé à botter le train du Dieu de la Guerre et donc de se défaire de son emprise, il sera capturé par les Erinyes, trois Furies qui tenteront de le faire revenir au bercail. Voilà, c'est tout.
Fidèle parmi les fidèles, Kratos rend une fois de plus une visite à une console PlayStation en revenant sur PS3 avec un God of War : Ascension qui a comme mission de prouver aux joueurs qu'il n'est pas impossible de concevoir un mode multijoueurs pour le titre. Aujourd'hui, nous allons donc voir si le guerrier est toujours aussi sûr de sa force ou, comme si certains l'ont annoncé par le passé, le jeu est finalement l'épisode de trop qui pourrait plonger la franchise dans de sacrées tourmentes. C'est donc trois ans après l'arrivée d'un God of War III qui avait mis tout le monde d'accord que le jeu arrive sur la console de salon de Sony. Cependant, au lieu de nous compter les faits se déroulant après le troisième opus en question, le jeu fait le choix de revenir en arrière afin de nous montrer la relation entretenue entre Kratos et Arès. Pour ceux qui l'ignorent, cette alliance a mal tourné et la femme de Kratos ainsi que sa fille en ont payé le prix de leur propre vie. Suite à ces actes, le héros de la franchise s'est transformé et cherche à assouvir sa soif de vengeance contre Arès. Mais comme l'exige la mythologie grecque, toute personne rompant un pacte de sang avec un dieu se retrouve pourchassée et torturée à vie par les Érinyes.
Le procédé est connu mais reste néanmoins populaire : lorsque les développeurs d'une série à succès en ont terminé avec leur arc scénaristique de départ, ils se tournent vers le passé pour nous relater la genèse de leurs personnages. C'est l'approche prise par les studios Santa Monica de Sony pour ce nouveau God of War, qui vous permettra d'en apprendre plus sur le mythique Kratos avant qu'il ne devienne le redouté Dieu de la Guerre. Rassurez-vous, il montrait déjà d'excellentes prédispositions pour la violence en tant que simple humain !C'est pourtant dans une position plus qu'inconfortable que l'on retrouve notre cher Fantôme de Sparte : enchaîné sur une plateforme circulaire située en altitude, il est bientôt rejoint par une créature aussi hargneuse que repoussante appelée Mégère. Il s'agit de l'une des trois Erinyes, d'anciennes divinités non soumises aux Dieux de l'Olympe mais qui remplissent pour leur compte un bien curieux rôle : punir pour l'éternité ceux qui oseraient les trahir. Et comme Kratos semble bien décidé à rompre son pacte avec Arès après avoir tué de sa main femme et enfant six mois plus tôt, il s'est évidemment mis les trois soeurs à dos... Heureusement le futur Dieu de la Guerre ne manque pas de ressources, et il ne tarde pas à se libérer pour affronter les Erinyes !
Comme beaucoup de fans de la série God of War, j'avoue que je ne m'attendais pas à un épisode aussi marquant que les trois premiers pour cet Ascension. C'est peut-être ça, aussi, qui a participé à l'excellent moment que j'ai passé à découvrir les événements qui ont précédé le tout premier titre de la série. Car Ascension est loin, très loin d'être le "God of War de trop" auquel beaucoup pouvaient s'attendre...Après avoir massacré toutes sortes de créatures, tué Arès, affronté Zeus, le Colosse de Rhodes, ou le Titan Cronos, que pouvait-il bien rester à raconter des hauts-faits de Kratos ? Tout simplement ce qui s'est passé avant qu'il n'entreprenne sa conquête sanglante de l'Olympe, au lendemain de la mort, par sa propre main, de sa femme et de sa fille. Tout commence dans une prison creusée à même le corps d'Egéon, l'un des hécatonchires aux cent mains, alors que Kratos, qui a tenté de briser son pacte de Sang avec Arès, est châtié et enchaîné par les Erinyes (les Furies dans le panthéon Romain). Kratos dans le rôle de Nique Furies Ainsi, le chauve cendré, 10 ans avant de partir à la conquête de l'Olympe et de son trône de Dieu de la Guerre en massacrant Arès, n'était pas au mieux de sa forme.
La règle chez Santa Monica Studio, depuis les débuts de la saga God of War, reste inchangée : à chaque nouvel épisode, un nouveau producteur est nommé et une nouvelle ligne directrice doit être donnée. Todd Papy, producteur de God of War Ascension, restera quoi qu'il arrive, le responsable d'un pari fou et audacieux : transformer une licence ancrée dans l'inconscient des joueurs comme du solo pur et dur en une expérience multijoueur. Mais c'est finalement un choix en demi-teinte et, en cherchant à ménager la susceptibilité de sa communauté, le studio s'est également embarqué dans une aventure solo en parallèle. L'idée de base de cette sixième aventure solo n'était pourtant pas mauvaise : revenir sur le passé de Kratos, alors que la folie le guette six mois après avoir massacré sa famille. Songeant à rompre son serment auprès d'Arès, le dieu de la guerre, il est alors pourchassé par les Erinyes, Mégère, Tisiphone et Alecto, dont le rôle dans la Grèce antique était de punir les crimes au sein d'une même famille et de faire respecter les pactes de sang et les promesses faites aux dieux.
Quand on évoque God of War, impossible de ne pas penser à God of War 3 qui, en 2010, nous avait broyé les côtes tel un Fulguropoing de Goldorak. Un spectacle d'une rare intensité qui marque une vie, et on s'attend forcément à se faire dévorer de la même façon avec God of War Ascension. Kratos est-il toujours animé par cette rage de vaincre qui lui permet de toiser du regard les divinités de la Grèce antique ? Notre verdict.Si God of War 3 était la suite directe de God of War 2, c'est bel et bien à une préquelle que nous avons affaire avec God of War Ascension. En effet, l'histoire du jeu se déroule dix ans avant les événements survenus dans le premier God of War, et plus précisément six mois après que Kratos ait commis l'irréparable : le meurtre de sa femme Lysandra et de sa fille Calliope. Une tragédie à l'origine de la rage qui anime le Fantôme de Sparte depuis l'existence de la série, mais pas encore suffisamment ancrée dans son âme pour en faire l'égal des dieux. En clair, les développeurs de SCEA Santa Monica Studio ont voulu profiter de cet épisode pour introduire un Kratos plus humain, plus fragile, plus vulnérable qu'à l'accoutumée ; ce qui explique sans doute pourquoi God of War Ascension s'avère moins spectaculaire que son prédécesseur.
Gamekult
Ajouté le : 06/2012
Plus accessible...
Quand il n'y a plus grand monde à tuer dans le futur, il suffit de revenir dans le passé pour trouver de nouvelles victimes. C'est exactement ce que s'est dit l'équipe de God of War : Ascension, présenté à la fois en solo et en multi lors de l'E3 2012. Les quelques nouveautés au programme avaient déjà été montrées un peu partout sur la Toile, mais une petite prise en main ne fait jamais de mal. Etalé sur une volée d'écran sur le stand de Sony Computer Entertainment America, la partie multijoueur de God of War : Ascension était la seule jouable du salon. Dans une arène assez ouverte, située au sommet d'une tour, huit joueurs incarnant autant de héros de la mythologie greco-romaine (Persée, Hector, Jason, Achille, Orion...) pouvaient se mettre joyeusement sur la tronche pendant quelques minutes, sous le regard unique d'un cyclope massif et enchaîné. Avant le début des hostilités, chaque participant peut choisir une armure (pour déterminer la résistance physique et magique), une arme et une attaque spéciale, liée au dieu que l'on aura choisi de servir entre Zeus, Hadès, Poséidon ou Arès.
« Je vais maintenant vous révéler un des secrets les moins bien gardés de l'industrie ! », Ironise le directeur du jeu, Todd Papy - en montrant une séquence spectaculaire superbement réalisée. Un zoom arrière de la caméra révèle que le guerrier méditatif, que nous étions censés prendre pour Kratos, est en fait un autre gros balèze musculeux habillé façon Mardi-Gras. Il en vient très vite à se colleter avec un immense cyclope totalement dingue et nous sommes en territoire familier : God of War : Ascension, c'est de l'action hack-and-slash classique d'une beauté meurtrière. La caméra se décale ensuite sur la droite avec une lenteur calculée pour cadrer l'entrée d'un second guerrier qui se lance promptement dans la mêlée. Le couple s'acharne maintenant sur le monstre fabuleusement bien animé, l'un sautant sur ses épaules musculeuses pour tirer sa tête en arrière, tandis que l'autre l'éventre de la taille jusqu'au cou jusqu'à ce qu'il s'effondre au milieu de la bouillie dégoulinante de ses propres entrailles. Les images fixes ne lui rendent pas justice - en mouvement, Ascension est aussi étonnant que n'importe quoi dans l'univers de God of War. Le duo sort triomphalement par une porte en trottinant et Todd Papy lance à la cantonade : « venez me défier pour prouver que l'on est en direct ! ».
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